Covid-19 : le bilan

Je par­tage ce point de vue exprimé.
Vous y trou­ve­rez des infor­ma­tions ori­gi­nales et déci­sives, il me semble.

Passionnant, Louis Fouché, interrogé par François Asselineau sur la prétendue « crise sanitaire » (créée de toutes pièces par la dévastation volontaire de l’hôpital perpétrée par les « libéraux » depuis 40 ans)

J’aime ce jeune homme, sa gen­tillesse, sa culture, son humi­li­té, son hon­nê­te­té, sa phi­lo­so­phie, son res­pect des autres — même de ses détrac­teurs—, sa patience, son cou­rage… tout ça est exemplaire. Et ce qu’il explique est de la pre­mière importance. À...
[Remarquable synthèse de l’horreur que nous acceptons en restant silencieux] Le désastre de l’ingénierie de l’utopie – par Chris Hedges [Ceci dit, toutes les utopies ne se valent pas]

[Remarquable synthèse de l’horreur que nous acceptons en restant silencieux] Le désastre de l’ingénierie de l’utopie – par Chris Hedges [Ceci dit, toutes les utopies ne se valent pas]

Karl Pop­per, dans « The Open Socie­ty and Its Ene­mies », met en garde contre l’ingénierie uto­pique, les trans­for­ma­tions sociales mas­sives menées par ceux qui croient avoir trou­vé une véri­té révé­lée. Ces ingé­nieurs uto­pistes pro­cèdent à la des­truc­tion mas­sive de sys­tèmes, d’institutions et de struc­tures sociales et cultu­relles dans un vain effort pour réa­li­ser leur vision. Ce fai­sant, ils déman­tèlent les méca­nismes auto­ré­gu­la­teurs des réformes pro­gres­sives et frag­men­taires qui font obs­tacle à cette vision. L’histoire regorge d’utopistes désas­treux – les Jacobins…

[Corruption de l’action publique en matière de santé] Cancer : l’art de ne pas regarder une épidémie, par Celia Izoard

[Corruption de l’action publique en matière de santé] Cancer : l’art de ne pas regarder une épidémie, par Celia Izoard

Com­ment se fait-il que, dans une socié­té fon­dée sur le trai­te­ment de l’information et la col­lecte de don­nées, il soit si dif­fi­cile d’expliquer la mul­ti­pli­ca­tion effré­née de cer­tains can­cers ? Célia Izoard en appelle à une refonte des méthodes épi­dé­mio­lo­giques pour enfin recon­naître l’impact de la pol­lu­tion sur la san­té. Voi­là un fait éton­nant : on ne sait pas com­bien de can­cers sur­viennent en France chaque année. Ce chiffre n’existe pas, il n’a pas été pro­duit. On ne sait pas exac­te­ment com­bien de can­cers sur­viennent, on ne sait pas où ils sur­viennent. Quand San­té publique France, l’agence de veille sani­taire, annonce, par exemple…