Wikipédia, outil de calomnie et de mensonge pour ses parties politiques (et économiques), comme tous les autres médias vendus : l’Affaire Philip Cross, par Craig Murray

29/05/2018 | 8 commentaires

Pour sim­pli­fier l’ac­cès aux savoirs SCIENTIFIQUES ET HISTORIQUE, Wiki­pé­dia est un outil péda­go­gique sou­vent très utile, évi­dem­ment ; mais dans les domaines POLITIQUES ET ÉCONOMIQUES, où les voleurs de pou­voir (et les voleurs tout court, comme les indus­triels et les ban­quiers) ont beau­coup à gagner ou à perdre — et où il y a donc de puis­santes rai­sons pour men­tir —, Wiki­pé­dia est un outil de mani­pu­la­tion et de men­songe, exac­te­ment comme les autres médias ache­tés par les riches pour dés­in­for­mer les citoyens, en dis­cré­di­tant fal­la­cieu­se­ment les oppo­sants et en flat­tant per­ni­cieu­se­ment les dominants.

Pour preuve, par exemple, l’ar­ticle pas­sion­nant ci-des­sous, de Craig Murray.

C’est ain­si que ma propre page Wiki­pé­dia est pro­gres­si­ve­ment deve­nue un outil de calom­nie mal­veillante chi­mi­que­ment pure — avec inter­dic­tion de m’y défendre moi-même…

Étienne.

Est-ce que le fait d’être libre n’offre pas for­cé­ment l’ob­jet libre aux plus riches (le pri­vant rapi­de­ment de réelle liberté) ?


L’Affaire Philip Cross par Craig Murray [Trad.]

Note Sove­rain : Cet article de Craig Mur­ray met en évi­dence les liens entre Wiki­pé­dia, géné­ra­le­ment répu­tée pour être une ency­clo­pé­die libre et par­ti­ci­pa­tive (et donc une réfé­rence dans le domaine de l’information), et la manière dont elle est uti­li­sée à des fins (géo)politiques avec la com­pli­ci­té sup­po­sée de son fon­da­teur et de cer­tains rédac­teurs. Cet article traite de l’affaire « Phi­lip Cross », un uti­li­sa­teur de Wiki­pé­dia qui a un grand nombre de révi­sions à son actif, toutes en faveur des médias néo-conser­va­teurs bri­tan­niques et en défa­veur des médias indé­pen­dants et alter­na­tifs. Cet article apporte des élé­ments de réponse pour juger de la neu­tra­li­té de Wiki­pé­dia, et per­met d’avoir un aper­çu des dif­fi­cul­tés ren­con­trées par d’autres per­sonnes phy­siques ou morales (par­tis poli­tiques, asso­cia­tions), même en France, pour dis­po­ser d’une page objective.

Craig Mur­ray : « Phi­lip Cross » n’a pas eu un seul jour de répit sur sa page Wiki­pe­dia depuis presque cinq ans. « Il » a édi­té tous les jours du 29 août 2013 au 14 mai 2018. Y com­pris cinq jours de Noël. Ça fait 1 721 jours consé­cu­tifs de révisions.

133 612 modi­fi­ca­tions ont été appor­tées à Wiki­pé­dia au nom de « Phi­lip Cross » sur une période de 14 ans. C’est plus de 30 édi­tions par jour, sept jours sur sept. Et je ne l’utilise pas au sens figu­ré : Les révi­sions Wiki­pe­dia sont enre­gis­trées dans le temps, et si vous les tra­cez, la carte de temps pour l’activité Wiki­pe­dia de « Phi­lip Cross » est éton­nante si il s’agit d’un seul individu :

L’activité se déroule comme une hor­loge, sept jours sur sept, toutes les heures de la jour­née, sans varia­tion signi­fi­ca­tive. Si « Phi­lip Cross » est vrai­ment un indi­vi­du, on ne peut nier qu’il soit mala­di­ve­ment obsé­dé. Je ne suis pas psy­chiatre, mais à mes yeux tout à fait inex­pé­ri­men­tés, cela res­semble au com­por­te­ment d’un psy­cho­tique déran­gé sans acti­vi­tés sociales en dehors de son domi­cile, sans tra­vail (ou un patron incroya­ble­ment tolé­rant), vivant sa vie à tra­vers un écran. Je dirige ce qui est sans doute le blog poli­tique le plus lu au Royaume-Uni, et je ne passe pas autant de temps sur Inter­net que « Phi­lip Cross ». Ma « time­card » montre les endroits où je regarde le foot­ball le same­di, je vais boire le ven­dre­di, je vais au super­mar­ché et me pro­me­ner ou sor­tir en famille le dimanche, et en géné­ral, je me détends beau­coup plus et je lis des livres le soir. Cross n’a pas les sché­mas d’activité d’un être humain nor­mal et par­fai­te­ment équilibré.

Il y a trois options. « Phi­lip Cross » est soit une per­sonne très étrange en effet, soit une fausse per­sonne dégui­sant une acti­vi­té payante pour contrô­ler le conte­nu de wiki­pe­dia, soit une vraie per­sonne de façade pour une telle opé­ra­tion en son nom.

Pour­quoi cette qua­li­fi­ca­tion d’obsessionnel com­pul­sif sans amis – pour prendre l’explication offi­cielle – est justifiée ?

Parce que le but de l’opération « Phi­lip Cross » est de sys­té­ma­ti­que­ment atta­quer et de miner la répu­ta­tion de ceux qui jouent un rôle de pre­mier plan dans la remise en cause du dis­cours domi­nant des entre­prises et des médias d’Etat, en par­ti­cu­lier dans les affaires étran­gères. « Phi­lip Cross » cherche aus­si sys­té­ma­ti­que­ment à faire briller la répu­ta­tion des jour­na­listes des médias grand public et d’autres per­son­na­li­tés qui jouent un rôle de pre­mier plan dans la pro­mo­tion de la pro­pa­gande néo­con­ser­va­trice et dans la pro­mo­tion des inté­rêts d’Israël.

C’est impor­tant parce qu’un lec­teur ordi­naire qui tombe sur un article ques­tion­nant (disons le comme ça) le récit offi­ciel sur les Skri­pals, est très sus­cep­tible de se tour­ner vers Wiki­pe­dia pour obte­nir des infor­ma­tions sur l’auteur de l’article. En termes simples, le but de l’opération « Phi­lip Cross » est de s’assurer que si ce lec­teur recherche une per­sonne anti­mi­li­ta­riste comme John Pil­ger, ils conclu­ront qu’ils ne sont pas du tout fiables et peu dignes de confiance, alors que s’ils recherchent un jour­na­liste MSM de droite, ils conclu­ront qu’ils sont un modèle de ver­tu et qu’il faut leur faire plei­ne­ment confiance.

Le trai­te­ment « Phi­lip Cross » est réser­vé non seule­ment aux par­ti­sans de l’aile gauche, mais à tous les scep­tiques du néo-conser­va­tisme et qui s’opposent aux « guerres d’intervention ». La liste des vic­times de Cross com­prend Alex Sal­mond, Peter Oborne, John Pil­ger, Owen Jones, Jere­my Cor­byn, Tim Hay­ward, Diane Abbott, Neil Clark, Lind­sey Ger­man, Vanes­sa Bee­ley et George Gal­lo­way. Comme on peut s’y attendre, « Phi­lip Cross » est par­ti­cu­liè­re­ment actif dans la modi­fi­ca­tion des articles de Wiki­pe­dia des médias alter­na­tifs et des sites de cri­tique MSM. « Phi­lip Cross » a fait 36 révi­sions à la page Wiki­pe­dia de The Cana­ry et, de façon stu­pé­fiante, plus de 800 révi­sions sur Media Lens. George Gal­lo­way reste la cible favo­rite de l’opération « Phi­lip Cross » avec un nombre incroyable de 1 800 révisions.

Tout aus­si révé­la­teurs sont les gens que « Phi­lip Cross » cherche à pro­té­ger et à pro­mou­voir. Sarah Smith, l’uber-syndicaliste de la BBC Scot­land, a deman­dé à « Phi­lip Cross » de sup­pri­mer les réfé­rences de son entrée sur Wiki­pe­dia aux liens fami­liaux qui (ahem) ont pu l’aider dans sa car­rière. La dépu­tée Ruth Smeeth, de Labour Friends of Israel, a fait réfé­rence au câble diplo­ma­tique amé­ri­cain Wiki­leaks qui a mon­tré qu’elle était une infor­ma­trice à l’ambassade des États-Unis sur les secrets du Par­ti tra­vailliste, sup­pri­mé par « Phi­lip Cross ». La chro­ni­queuse de droite Mela­nie Phil­lips et son déni du chan­ge­ment cli­ma­tique s’est fait exci­ser par Cross.

« Phi­lip Cross » ne se contente pas de veiller et pro­tè­ger soi­gneu­se­ment la page Wiki­pe­dia de l’éditrice du Guar­dian Kathe­rine Viner, qui a chan­gé sa plume pour le camp néo-con, mais Phi­lip Cross a aus­si rédi­gé la page hagio­gra­phique (NDLT : écri­ture de la vie des saints) ori­gi­nale. Le contact MI6 du Guar­dian, Luke Har­ding, est par­ti­cu­liè­re­ment pris en charge par Cross, de même que leurs obses­sifs anti-cor­byn Nick Cohen et Jona­thon Freed­land. Il en va de même pour Mur­doch, David Aaro­no­vitch et Oli­ver Kamm.

Il ne fait aucun doute que Kamm, chef de file du Murdoch’s Times, est en lien avec l’opération « Phi­lip Cross ». Beau­coup de gens croient que Kamm et Cross sont la même per­sonne, ou que Kamm fait par­tie d’une per­sonne mul­tiple. Six fois j’ai eu per­son­nel­le­ment des modi­fi­ca­tions hos­tiles à ma page Wiki­pe­dia par « Phi­lip Cross » faites en liai­son directe avec des attaques de Kamm, soit sur Twit­ter, dans un édi­to­rial du Times ou dans le maga­zine Pros­pect. Au total, « Phi­lip Cross » a effec­tué 275 modi­fi­ca­tions sur ma page Wiki­pe­dia. Il s’agit notam­ment d’appeler ma femme strip-tea­seuse, de sup­pri­mer ma pho­to, de sup­pri­mer ma réponse aux attaques lan­cées contre moi par Kamm et Har­ding, entre autres, et de sup­pri­mer mon refus de tous les hon­neurs alors que j’étais diplo­mate britannique.

Neil Clark et Peter Oborne sont unes des nom­breuses vic­times de Phi­lip Cross sur Wiki­pe­dia en même temps que les attaques de Kamm sur d’autres médias. Clark pour­suit Kamm en jus­tice pour har­cè­le­ment cri­mi­nel – et « Phi­lip Cross » a sup­pri­mé toute réfé­rence à ce fait de la page Wiki­pe­dia de Kamm.

Ce qui est clair, c’est que Kamm et Cross ont des opi­nions poli­tiques extrê­me­ment simi­laires, et que la ligne de démar­ca­tion entre ceux qu’ils attaquent et ceux qu’ils défendent est basée clai­re­ment sur les prin­cipes du Mani­feste d’Euston (NDLT : une décla­ra­tion de prin­cipes d’un groupe de jour­na­listes et acti­vistes libé­raux basés au Royaume-Uni). C’est peut-être un peu flou, mais il s’agit en fait d’une impor­tante décla­ra­tion blai­rite de sou­tien à Israël et aux guerres néo-conser­va­trices d’intervention, et elle était liée à la fon­da­tion de la Hen­ry Jack­son Socie­ty. Qui est res­pon­sable de l’édition de la page Wiki­pe­dia du Mani­feste d’Euston ? « Phi­lip Cross ».

Ce qui est par­ti­cu­liè­re­ment inté­res­sant, c’est que les posi­tions de « Phi­lip Cross » sont exac­te­ment les mêmes que celles de Jim­my Wales, le fon­da­teur de Wiki­pe­dia. Jim­my Wales a été sur Twit­ter ces trois der­niers jours extrê­me­ment gros­sier et désa­gréable pour qui­conque remet­tait en ques­tion les acti­vi­tés de Phi­lip Cross. Son enga­ge­ment en faveur de la liber­té de Cross d’opérer sur Wiki­pe­dia serait bien plus impres­sion­nant si l’opération Cross ne fai­sait pas la pro­mo­tion des propres opi­nions de Wales. Jim­my Wales s’est acti­ve­ment pro­non­cé contre Jere­my Cor­byn, sou­tient le bom­bar­de­ment de la Syrie, sou­tient Israël, est tel­le­ment blai­rite qu’il a épou­sé la secré­taire de Blair, et siège au conseil d’administration de Guar­dian Media Group Ltd aux côtés de Kathe­rine Viner.

L’attitude extrê­me­ment défen­sive et le carac­tère sur­na­tu­rel des réponses twit­ter de Wales sur l’opération « Phi­lip Cross » est très révé­la­teur. Pour­quoi pen­sez-vous qu’il réagit ain­si ? C’est assez inté­res­sant. Le bras men­diant de Wiki­pe­dia UK, Wiki­me­dia UK, les a rejoint avec des réponses hos­tiles iden­tiques à tous ceux qui remettent en ques­tion Cross.

En réponse, de nom­breuses per­sonnes ont envoyé des preuves à Jim­my Wales, qu’il a igno­rées, tan­dis que sa  » fon­da­tion  » s’est fâchée contre ceux qui remettent en ques­tion les acti­vi­tés de Phi­lip Cross.

Wiki­me­dia est arri­vé sans y être invi­té dans un fil twit­ter dis­cu­tant des acti­vi­tés « Phi­lip Cross » et a immé­dia­te­ment com­men­cé à atta­quer les gens qui remettent en ques­tion la légi­ti­mi­té de Cross. Quelqu’un voit-il quelque chose d’insultant dans mon tweet ?

Je le répète, la coïn­ci­dence des opi­nions poli­tiques de Phi­lip Cross avec celles de Jim­my Wales, alliée à l’hostilité immé­diate de Wales et de Wiki­me­dia à l’égard de qui­conque remet en ques­tion les acti­vi­tés de Cross – sans avoir besoin d’examiner des preuves – sou­lève un grand nombre de questions.

Phi­lip Cross ne cherche pas à cacher son mobile ou sa haine de ceux dont il attaque les pages de Wiki­pe­dia. Il les raille ouver­te­ment sur Twit­ter. La mal­hon­nê­te­té évi­dente de ses révi­sions est évi­dente pour tout le monde.

Dans le pas­sé, j’ai échan­gé des mes­sages avec « Phi­lip Cross ». Il dit qu’il est une per­sonne, et qu’il édite en lien avec les tweets d’Oliver Kamm parce qu’il suit Kamm et que ses tweets l’inspirent à édi­ter. Il dit qu’il a ren­con­tré Kamm et admet être en contact élec­tro­nique avec lui. Cet échange que j’ai eu avec Cross, c’était il y a quelques années. Com­mu­ni­ca­tion plus récente avec Cross (qui a main­te­nant chan­gé son ID Twit­ter en « Julian »).

a été moins coopé­ra­tif et il n’a pas répondu :

George Gal­lo­way offre une récom­pense de £1,000 pour le nom et l’adresse de « Cross » afin qu’il puisse éga­le­ment inten­ter une action en justice.

Je pense que Phi­lip Cross est pro­ba­ble­ment une per­sonne phy­sique, mais qu’il fait la cou­ver­ture d’un groupe agis­sant sous son nom. Il est incon­tes­table, en fait le gou­ver­ne­ment s’en est van­té, que le MOD et le GCHQ ont tous deux des opé­ra­tions de « cyber­guerre » visant à défendre le récit « offi­ciel » contre les médias alter­na­tifs, et c’est pré­ci­sé­ment le but de l’opération « Phi­lip Cross » sur Wiki­pe­dia. L’extrême régu­la­ri­té de la pro­duc­tion plaide contre le fait que « Phi­lip Cross » soit une opé­ra­tion à un seul homme ou béné­vole. Je n’exclus cepen­dant pas la pos­si­bi­li­té qu’il ne soit vrai­ment qu’un seul fana­tique extrê­me­ment obsé­dé par la droite.

Enfin, il convient de noter que sur Wiki­pe­dia, une cam­pagne visant à ren­for­cer la nar­ra­tion des médias grand public et à déni­grer les sources alter­na­tives pré­sente l’énorme avan­tage que seule l’information pro­ve­nant des médias grand public est auto­ri­sée dans les articles politiques.

En conclu­sion, quelques images des pages de révi­sion des articles de Wiki­pe­dia pour don­ner un petit aper­çu de ce dont je parle :

Je m’inquiète un peu, de peur de deve­nir moi-même obsé­dé. Trou­vez-vous cela aus­si fas­ci­nant que moi ?

Craig Mur­ray.

Source ori­gi­nale : https://​www​.craig​mur​ray​.org​.uk/​a​r​c​h​i​v​e​s​/​2​0​1​8​/​0​5​/​t​h​e​-​p​h​i​l​i​p​-​c​r​o​s​s​-​a​f​f​a​ir/

Source en fran­çais : https://​www​.sove​rain​.fr/​l​a​f​f​a​i​r​e​-​p​h​i​l​i​p​-​c​r​o​ss/

 

Fil Face­book cor­res­pon­dant à ce billet :

Pour m'aider et m'encourager à continuer, il est désormais possible de faire un don.
Un grand merci aux donatrices et donateurs : par ce geste, vous permettez à de beaux projets de voir le jour, pour notre cause commune.
Étienne

Catégorie(s) de l'article :

8 Commentaires

  1. etienne

    Le côté obscur de Wikipédia. VF Version intégrale

    Réponse
  2. alainr

    Le pire est à venir ?
    https://​www​.les​-crises​.fr/​l​e​r​e​-​d​e​s​-​f​a​u​s​s​e​s​-​v​i​d​e​o​s​-​c​o​m​m​e​n​c​e​-​p​a​r​-​f​r​a​n​k​l​i​n​-​f​o​er/

    Ou peut-être une majo­ri­té en aura-t-elle marre, un jour, de se lais­ser ber­ner et ira-t-elle voir à la source ce qu’il en est ? 

    Dans ton cas, Étienne, pas­ser du temps sur ton blog ou dans tes innom­brables archives ne par­ti­cipe pas du tout à la même réflexion que de lire les accu­sa­tions super­fi­cielles et déli­rantes te concer­nant, dont on se demande à la longue si les auteurs ne feraient pas bien de faire psy­cha­na­ly­ser leurs obses­sions projectives …

    Réponse
  3. BlueMan

    La très grande majo­ri­té des inter­nautes n’a pas la moindre idée du tra­vail de sabor­dage et des luttes qui ont lieu concer­nant cer­tains articles de Wiki­pé­dia. C’est effarant.

    Si vous n’êtes pas au cou­rant de cette pro­blé­ma­tique, je vous invite plus que for­te­ment à regar­der les vidéos concer­nant Wiki­pé­dia dans le lien ci-dessous :

    http://www.blueman.name/Des_Videos_Remarquables.php?titre=Wikip%E9dia&mode=liste

    Réponse
  4. majax

    Salut, j’ai vu que cer­tains publiaient ici et là le vote des dépu­tés. Savez-vous com­ment on peut y avoir accès ? Car après le gly­pho­sate, il y a encore eu des perles…

    Réponse
  5. BA

    Liste des par­ti­ci­pants fran­çais au Groupe Bil­der­berg 2018 :

    Liste des caniches de l’Em­pire américain :

    Azou­lay, Audrey, proche du Par­ti Socia­liste, ancienne ministre de la Culture de Fran­çois Hollande

    Bar­bi­zet, Patri­cia, direc­trice géné­rale d’Ar­té­mis, ancienne Young Lea­der, pro­mo­tion 1994

    Blan­quer, Jean-Michel, ministre de l’E­du­ca­tion Nationale

    Bou­ve­rot, Anne, entre­prise Mor­pho (entre­prise fran­çaise de sécu­ri­té numé­rique spé­cia­li­sée dans la bio­mé­trie, l’i­den­ti­fi­ca­tion et l’authentification, la sécu­ri­té digi­tale, l’analyse de don­nées et de vidéos) 

    Cas­tries, Hen­ri de, Ins­ti­tut Mon­taigne, ancien Young Lea­der, pro­mo­tion 1994

    Caze­neuve, Ber­nard, Par­ti Socia­liste, ancien Pre­mier ministre

    Émié, Ber­nard, direc­teur de la DGSE

    Pati­no, Bru­no, ancien vice-pré­sident du groupe Le Monde, ancien direc­teur géné­ral de France Télé­vi­sions, direc­teur édi­to­rial d’Arte 

    Pouyan­né, Patrick, ancien direc­teur de cabi­net de Fran­çois Fillon, patron de Total

    En tout, il y a 9 caniches de l’Em­pire amé­ri­cain de natio­na­li­té fran­çaise. La réunion de Bil­der­berg 2018 a lieu en ce moment même, à Turin.

    http://​www​.bil​der​berg​mee​tings​.org/​p​a​r​t​i​c​i​p​a​n​t​s​2​0​1​8​.​h​tml

    Une cita­tion très importante :

    « Je pense que vous pour­riez dire, décla­ra un jour le diplo­mate amé­ri­cain George McGhee, que le trai­té de Rome, qui a créé le Mar­ché com­mun, a été mûri pen­dant ces réunions de Bil­der­berg et aidé par le flot de nos discussions. »

    Source :

    « L’Europe sociale n’aura pas lieu », de Fran­çois Denord et Antoine Schwartz, édi­tion Rai­sons d’agir, page 40.

    Réponse
  6. Pierre

    Étienne,

    Je viens de lire l’ar­ticle sur Wiki­pé­dia vous concer­nant. Il me parait rela­ti­ve­ment neutre.

    Bien-sur, il relate les pro­pos de vos oppo­sants, comme les vôtres. Et cer­tains de vos oppo­sants uti­lisent la calom­nie. Mais le fait que cela soit rela­té de manière neutre en cita­tion, ne vous met pas for­ce­ment en cause, mais peut mettre en cause l’a­gres­si­vi­té et la mal­hon­nê­te­té de ceux qui sont cité. Selon le point de vue…

    Quelle par­tie vous parait pro­blé­ma­tique dans l’article ?

    Pierre.

    Réponse
  7. FRANC SERRES

    C’est que tu aborde ces élé­ments, c’est exac­te­ment ce qu’il se passe avec les réa­li­tés éco­no­miques en France.
    Je tra­vaille à l’in­for­ma­tique natio­nale de Pôle emploi et je suis lan­ceur d’a­lertes (ingé­rence dans nos direc­tion des groupes finan­ciers grâce aux cabi­net conseil comme Cap­gé­mi­ni de Paul Her­me­lin bras droit de Hol­lande infil­trés de l’é­lite PS, et d’autres cabi­nets pour LR, Modem, FN, avec des lea­ders de syn­di­cats d’employeurs et de sala­riés comme le MEDEF, la CFDT, CFTC, CGC, etc. corrompus)
    Donc je par­ti­cipe à infor­mer sur les don­nées des ins­crits deman­deurs d’emploi que nous avons en archive comme https://upload.wikimedia.org/wikipedia/commons/d/dc/2019–01_InscritsDemandeursEmploi_01-96%C3%A012-2018_ParCat%C3%A9gories.png et https://​upload​.wiki​me​dia​.org/​w​i​k​i​p​e​d​i​a​/​c​o​m​m​o​n​s​/​7​/​7​c​/​N​b​r​D​e​m​a​n​d​e​u​r​s​E​m​p​l​o​i​2​0​1​8​.​png
    J’a­vais fait un dos­sier très détaillé avec les réfé­rences sur les divers réseaux de cor­rom­pus et les réa­li­tés des don­nées internes de Pole emploi sur https://lemedia.wiki/wiki/Demandeurs_d%27emploi_en_France mais étran­ge­ment le site est inaccessible…

    Réponse

Laisser un commentaire

Derniers articles

Essai pour un contrôle populaire des institutions – DÉFINITION, FORCE ET ENJEUX DE LA CONSTITUTION : pourquoi nous sommes complètement fous de ne pas nous y intéresser en priorité absolue (3 vidéos intégrales et texte)

Essai pour un contrôle populaire des institutions – DÉFINITION, FORCE ET ENJEUX DE LA CONSTITUTION : pourquoi nous sommes complètement fous de ne pas nous y intéresser en priorité absolue (3 vidéos intégrales et texte)

Chers amis, Je récapitule, sur ma chaîne et dans ce billet, les vidéos que j'ai conçues et publiées pour Une Nôtre Histoire pour faire le point sur la démocratie et les institutions, en insistant évidemment sur l'importance prioritaire d'un processus constituant...