[Pulvérisation des États nations] APPEL DES GRECS pour l’indépendance, la paix et l’intégrité territoriale des États

15/03/2018 | 7 commentaires

L’ap­pel des Grecs aux autres nations, que je repro­duis ci-des­sous, vient de me par­ve­nir par l’in­ter­mé­diaire de Chris­ti­na Komi, une femme for­mi­dable, fran­co-grecque, qui nous a fait récem­ment (en novembre à Nice) une bonne syn­thèse sur les révol­tantes souf­frances impo­sées aux Grecs au pré­texte de « dette publique » (vidéo à la fin de ce billet).

Voi­ci cet appel :

Fête de l’indépendance :
Appel de la Grèce aux autres nations

À l’oc­ca­sion de la fête d’in­dé­pen­dance de la Grèce sur l’Em­pire Otto­man, le 25/3/1821, fai­sant écho aux grandes mani­fes­ta­tions des citoyens grecs à Thes­sa­lo­nique (28÷1÷2018 ; 500.000), à Athènes (4÷2÷2018 ; 1.500.000), à Patras (à venir, le 4/3/2018), à New York devant le siège de l’O­NU (à venir, le 18/4/2018),

les orga­ni­sa­tions grecques ΠΛΑΤΦΟΡΜΑ ΠΟΛΙΤΙΚΟΣ ΔΙΑΛΟΓΟΣ (Plate-forme Dia­logue Poli­tique), METΩΠΟ ΓΙΑ ΜΙΑ ΕΛΕΥΘΕΡΗ ΕΛΛΑΔΑ (Front pour une Grèce libre), et ΔΕΠΟΛ (Union Démo­cra­tique de citoyens) ont le plai­sir de vous invi­ter à une MANIFESTATION POUR L’INDÉPENDANCE, LA PAIX ET L’INTÉGRITÉ TERRITORIALE DES ÉTATS, à Paris, PLACE DE LA NATION, le dimanche 25 mars 2018, 10 h – 14 h.

Mani­fes­ta­tion à Thes­sa­lo­nique le 21 jan­vier 2018

* * *

À l’ère où le capi­ta­lisme sans fron­tières écrase tout sur son pas­sage, et où nos diri­geants optent pour une « mon­dia­li­sa­tion » au béné­fice unique des banques et des mul­ti­na­tio­nales, on nous pré­sente l’é­cla­te­ment de nos États comme un phé­no­mène natu­rel et iné­luc­table. Au même moment, on nous mar­tèle que les « mino­ri­tés » (eth­niques, raciales ou reli­gieuses) de l’Eu­rope « se réveillent », que leurs reven­di­ca­tions iden­ti­taires sont légi­times entraî­nant le mor­cel­le­ment et l’affaiblissement de l’É­tat sou­ve­rain dont elles font partie.

Est-ce vrai­ment cela que nous voulons ?

Une nou­velle fois, les Bal­kans sont au bord d’une guerre dont l’Allemagne réuni­fiée est le moteur.

Dans le but d’as­phyxier la Rus­sie, l’O­TAN avance ses pions reniant ain­si l’engagement fait à Gor­bat­chev lors de la réuni­fi­ca­tion des deux Alle­magnes. Les der­niers bouts de l’ex-You­go­sla­vie intègrent un à un l’OTAN.

L’u­sage du nom « Macé­doine » qui appar­tient à la Grèce depuis 3.000 ans et qui désigne le nord de la Grèce — la terre des rois macé­do­niens Phi­lippe et Alexandre — est deve­nu, depuis Tito, mais sur­tout depuis ces 35 der­nières années, un objet de mar­chan­dage aux mains des uns et des autres : en pre­mier lieu l’OTAN ; ensuite la classe poli­ti­cienne grecque asser­vie et ven­due, sans oublier les fal­si­fi­ca­teurs de l’His­toire qui depuis des « Centres de recherche » alle­mands (tel l’ECMI « Centre pour la pro­tec­tion des Mino­ri­tés » à Flens­bourg) incitent les popu­la­tions de la Sla­vie du sud à croire qu’ils sont les des­cen­dants d’A­lexandre le Grand…

Der­rière la pres­sion exer­cée aujourd’­hui sur le gou­ver­ne­ment d’A­thènes — celui qui finit le sale bou­lot de ses pré­dé­ces­seurs, le bra­dage du pays, l’hu­mi­lia­tion, la tra­hi­son et le géno­cide du peuple grec — pour céder le nom « Macé­doine » à nos voi­sins du nord, il y a l’ex­pan­sion conti­nue de l’OTAN.

Le peuple grec, plus affai­bli que jamais, est aujourd’­hui som­mé de se défaire de son his­toire et de son ter­ri­toire natio­nal. La seule ces­sion du nom d’une région grecque à un pays étran­ger ouvre ain­si la porte à l’ir­ré­den­tisme du nou­veau pays, menant en toute vitesse à l’am­pu­ta­tion de la région grecque limi­trophe, qui porte le nom de Macé­doine, sous le pré­texte de l’unification d’un sup­po­sé peuple macé­do­nien en une seule et grande Macé­doine qui n’aura plus rien à voir avec la Grèce…

Dans tout cela la Tur­quie ne reste pas en retrait. Elle sou­tient acti­ve­ment l’ir­ré­den­tisme de Skop­jie. Pour com­plé­ter le tableau, les der­nières pro­vo­ca­tions de la Tur­quie dans la mer Égée (12 février), res­tées sans réponse de la part du régime grec actuel, exposent le pays, dont le sort est à pré­sent livré aux mains de l’Em­pire Nord-Atlan­tique et des cha­ro­gnards spé­cu­la­teurs, à un déchi­re­ment très violent. Il faut tenir compte aus­si des actes de pira­tage com­mis par la flotte navale turc qui a empê­ché le der­rick Ita­lien d’arriver à la zone éco­no­mique exclu­sive de la Répu­blique de Chypre pour explo­rer les gise­ments de gaz.

Est-ce que la France, l’Italie, l’Es­pagne et les autres pays seront épar­gnés par ce mor­cel­le­ment pla­ni­fié et volon­taire ? Le « Centre Euro­péen des Mino­ri­tés » (ECMI), fon­dé en Alle­magne en 1996, auto-pro­cla­mé pro­tec­teur des « mino­ri­tés » s’en occupe dûment.

Bour­gui­gnons, Alsa­ciens, Occi­tans, Cata­lans… l’i­mage d’une carte euro­péenne d’É­tats écla­tés, en une cen­taine de petits can­tons « indé­pen­dants » autour d’une grande Alle­magne unie et forte n’est autre que le rêve alle­mand qui est de retour.

RESTERONS-NOUS PASSIFS ?
LE LAISSERONS-NOUS PASSER ?
NON ! LES ÉNORMES MANIFESTATIONS DE THESSALONIQUE (21÷1÷2018) ET D’ATHÈNES (04÷2÷2018) NOUS ONT OUVERT LA VOIE.
CONTINUONS !
REJOIGNEZ-NOUS LE 25 MARS À PARIS, PLACE DE LA NATION !
On fini­ra cette jour­née fes­tive par un syr­ta­ki géant !

 


Chris­ti­na m’a éga­le­ment trans­mis deux textes à la fois éton­nants et inquié­tants, de Ioan­nis Mazis, pro­fes­seur de géo­gra­phie à l’U­ni­ver­si­té d’A­thènes, textes que je publie ici avec son autorisation :

Affaiblissement des États Nations dans les Balkans via la « découverte » d’ethnies par les Allemands

Affai­blis­se­ment-des-Etats-Nations

Docu­ment télé­char­geable ici.


Qui se cache derrière Skopje ?

Qui se cache derrière Skopje ?

Docu­ment télé­char­geable ici.


Tout ça me rap­pelle évi­dem­ment ce que dénonce Fran­çois Asse­li­neau avec cou­rage depuis long­temps, l’Eu­rope des régions eth­niques :

https://​www​.upr​.fr/​t​a​g​/​e​u​r​o​p​e​-​d​e​s​-​r​e​g​i​o​n​s​-​e​t​h​n​i​q​ues


Enfin, je vous signale ci-des­sous l’en­re­gis­tre­ment vidéo de notre récente ren­contre à Nice (le 3 novembre 2017) ; Chris­ti­na avait pré­pa­ré une inter­ven­tion très inté­res­sante, je trouve :

QUI VEUT LA PEAU DE LA FRANCE ?

https://​you​tu​.be/​J​q​L​E​z​v​Y​S​V78

J’é­voque à la minute 40:46 un docu­ment révol­tant qui dénonce le scan­dale abso­lu du mar­tyr des Grecs ; le voici :

Informations venant de Grèce (Stathis Kouvelakis, juin 2016)

Informations_venant_de_Grece_Stathis_Kouvelakis_juin_2016.pdf

Le docu­ment ci-des­sus (très impor­tant) est la retrans­crip­tion de l’in­ter­ven­tion sui­vante, à connaître et à faire connaître : c’est notre propre ave­nir qui se déroule dans le labo­ra­toire grec de la tyran­nie qui vient :

Voi­ci aus­si le DÉBAT qui a sui­vi, avec la salle, le 3 novembre 2017 à Nice :

Voi­ci enfin le texte de l’in­ter­ven­tion de Chris­ti­na Komi, DETTE ET INDÉPENDANCE, ana­lyse du labo­ra­toire de dévas­ta­tion oli­gar­chique qu’est la Grèce depuis quelques années, aver­tis­se­ment et alarme pour les autres nations européennes :

DETTE ET INDÉPENDANCE, inter­ven­tion de Chris­ti­na Komi, CLAJ 3 novembre 2017, à Nice

Texte télé­char­geable ici.


Si vous avez des pré­ci­sions ou des nou­velles sur ce pro­jet oli­gar­chique d’a­to­mi­sa­tion des uni­tés poli­tiques euro­péennes, je suis pre­neur, bien sûr.

Bien à vous tous.

Étienne.

Fil Face­book cor­res­pon­dant à ce billet :
https://​www​.face​book​.com/​e​t​i​e​n​n​e​.​c​h​o​u​a​r​d​/​p​o​s​t​s​/​1​0​1​5​6​1​1​0​7​4​2​4​4​7​317

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Étienne

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7 Commentaires

  1. Alus

    Mer­ci pour ttes vos lumières sur ces sujets,on pas tjrs le tps de se tenir infor­mer ou alors on ne ns tiens pas infor­mé non plus.. ?Bin oui effec­ti­ve­ment ça sen­tait au moins ça. ..les pauvre grecs ‚bien­siure que ns aus­si aus­si comme l’Es­pagne l’I­ta­lie et les autres on est sur 1 liste des pays a englou­tir. ..bon en tt cas merci.

    Réponse
  2. Baptiste

    Bon­jour
    Tout cela est pré­vu et pla­ni­fié en effet
    Ça s’ap­pelle la poli­tique des euro régions
    Tout est expli­qué ici :

    Réponse
  3. nomdenom

    Salut, sans rela­tion avec cet article, je viens de voir une inter­view d’E­lon Musk qui pour­rait t’in­té­res­ser, cela com­mence à 52min 17sec, le lien You­Tube devrait nor­ma­le­ment t’amener auto­ma­ti­que­ment à ce point dans l’interview :
    https://​you​tu​.be/​D​a​h​R​y​p​E​o​e​M​4​?​t​=​5​2​m​17s

    La ques­tion (qui serait la plus posée, donc mani­fes­te­ment cela inté­resse les gens) porte sur un hypo­thé­tique futur gou­ver­ne­ment sur Mars et, s’il devait y en avoir un, la voix de Musk serait évi­de­ment très impor­tante pour en décider. 

    Tu devrais être content d’ap­prendre qu’il est pour un gou­ver­ne­ment direct avec vote de tous sur chaque ques­tion (il ne rentre pas dans les détails, mais il men­tionne aus­si l’im­por­tance des lois courtes, des lois com­pré­hen­sibles).

    Il men­tionne une autre idée : il fau­drait qu’il soit plus facile de sup­pri­mer une loi que de l’ap­prou­ver : pour illus­trer, il fau­drait 60% des votes pour mettre une loi en place mais seule­ment 40% seraient néces­saires pour la supprimer. 

    Il dit aus­si que les lois devrait être accom­pa­gnées d’une date d’ex­pi­ra­tion, moment auquel elle serait sup­pri­mée à moins, bien sûr, que les citoyens choi­sissent de la reconduire.

    C’est assez court, la paren­thèse ne dure que 3 minutes.

    Peut-être que tu devrais t’es­sayer à écrire une consti­tu­tion pour Mars : il est peut être pos­sible de faire un peu de « buzz ».

    Réponse
  4. etienne

    Lu sur Face­book :

    « Tout à fait d’accord sur le fond. Par contre, on ne peut pas affir­mer que la Macé­doine était grecque depuis 3000 ans pour la simple rai­son qu’il n’y avait pas de Grèce il y a 3000 ans. Pre­mière Olym­piade orga­ni­sée en 776 av-JC, mais une docu­men­ta­tion conti­nue existe que depuis l’Athènes de Péri­clès. => Pas de Grèce à cette époque.

    Alexandre le Grand était aus­si dit « Le Macé­doine » et non pas « le Grec », donc cela prouve l’existence de la Macé­doine avant la créa­tion de la Grèce. 

    La nation grecque com­mence jus­te­ment avec la libé­ra­tion en 1821. Révolte orga­ni­sée finan­cée et diri­gée par les puis­sances euro­péennes de l’époque pour mettre hors des Bal­kans l’empire Otto­man. En fait après la libé­ra­tion des Otto­mans, le pays a été gou­ver­né par les Alle­mands avec le Roi Othon 1°, prince bava­rois et pre­mier roi de Grèce (https://fr.wikipedia.org/wiki/Othon_Ier_(roi_de_Gr%C3%A8ce)) et cela pen­dant 7 géné­ra­tions jusqu’en 1973. : https://fr.wikipedia.org/wiki/Liste_des_souverains_et_pr%C3%A9tendants_au_tr%C3%B4ne_de_Gr%C3%A8ce

    Donc, la Grèce d’aujourd’hui est une nation construite à par­tir d’une feuille blanche par les Alle­mands. Une quan­ti­té impres­sion­nante de moyens finan­ciers et humains ont été néces­saires pour recons­truire une nation qui avait tota­le­ment dis­pa­ru sous la domi­na­tion otto­mane. On par­lait alba­nais dans les rues d’Athènes il y a 200 ans. La langue grecque était une langue admi­nis­tra­tive, comme le latin l’a été pour les Ita­liens. Les ter­ri­toires du nord-ouest grec, ce sont des terres (et hommes et femmes) alba­naises qui ont été don­nées à cette nation nais­sante. Pra­tique appli­quée encore aujourd’hui : voir la créa­tion d’Israël.

    Donc, on peut affir­mer que la Grèce d’aujourd’hui est le résul­tat d’une opé­ra­tion géo­po­li­tique dans des buts stra­té­giques des grandes puis­sances euro­péennes, les Alle­mands en tête. 

    Donc il faut pas s’étonner si aujourd’hui ils ont déci­dé de défaire ce qu’ils ont fait dans le passé. »

    Réponse
  5. Dominique Filatre

    Adhé­rent de DIEM25, je ne suis pas du tout prêt à suivre « l’ap­pel des grecs pour l’indépendance, la paix et l’intégrité ter­ri­to­riale des États ».
    Il y a eu des nations en Europe, leur his­toire est com­plexe : les unes ont réus­si à consti­tuer des états, les autres ont été sou­mises. Les his­toires natio­nales sont sou­vent lar­ge­ment tein­tées de pro­pa­gande, voire de gros men­songes. Dans l’his­toire de France, Du Gues­clin est un héros, dans l’his­toire bre­tonne un chef d’une bande de voyous à la solde du roi de France…
    La ques­tion impor­tante est de savoir s’il faut défendre les états ou non. Il me semble que ceux qui veulent défendre l’É­tat en géné­ral sont dans une logique de pré­ser­va­tion du sec­teur public face aux inté­rêts pri­vés, et notam­ment face aux inté­rêts pri­vés des grands capi­ta­listes mul­ti­na­tio­naux. D’autres pensent que les états et le capi­ta­lisme sont plus asso­ciés que rivaux, et qu’il faut plu­tôt miser sur un pou­voir dis­tri­bué et favo­ri­ser des gou­ver­nances auto­nomes avec des com­muns (sou­vent infra ou supra-natio­naux), ce qui les rap­prochent spon­ta­né­ment plu­tôt de l’his­toire des répu­bliques urbaines que de celles des ter­ri­toires natio­naux. L’u­ni­ver­sa­li­té des états-natio­naux n’est pas toute l’his­toire, loin de là.
    Je crois qu’il est utile d’ap­pro­fon­dir notre désac­cord, de le pré­ci­ser et de com­prendre les rai­sons des autres. L’hu­bris capi­ta­liste qui détruit les états faibles, tout le monde peut le consta­ter. De là à défendre le prin­cipe des états natio­naux, c’est autre chose. Je n’ai rien contre le fédé­ra­lisme ger­ma­nique, je n’aime pas beau­coup le jaco­bi­nisme (même pas du tout), et je trouve regret­table de ren­voyer par sous-enten­du ou par liens indi­rects au nazisme… Atten­tion, à ce genre d’arguments.

    Réponse
  6. Linda Bablewad

    Il est bien ques­tion du nazisme et une fois encore d’im­pé­ria­lisme hit­lé­rien, celui qui rêvit d’une grande Europe tiens comme aujourd’­hui et qui dicte ses lois, ses réformes, etc Aujourd’­hui, on ne peut que par­ler de la revanches des col­la­bos. Pire l’UE n’est ni plus ni moins qu’une sacrée des élites euro­péennes et inter­na­tio­nales. Cri de guerre « Tous pour un un pour tous – Riches unis­sez vous ». Domage que les peuples n’aient pas com­pris la force de ces mot « L’u­nion fait la force ». Nous somme en guerre, non pas contre les musul­mans, mais celle des riches contre les pauvres.

    A nous de riposter …

    Réponse
  7. etienne

    Le modèle allemand, antisocial : leader européen de la précarité :

    Réponse

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