DEMOKRATIA, un projet

10/12/2014 | 139 commentaires

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Etienne Chouard – Extrait de « Demo­kra­tia » par docu­to­pie

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Étienne

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139 Commentaires

  1. J-Stéphane

    Élire ce n’est pas voter pour une idée, c’est renon­cer à ses idées.

    Comme l’ex­pli­quait très bien Éli­sée Reclus au sujet du vote élec­to­ral ( on ne le dira jamais assez ), « Voter, c’est abdi­quer ; […] c’est renon­cer à sa propre souveraineté ».

    Cla­rens, Vaud, 26 sep­tembre 1885.

    Compagnons,

    Vous deman­dez à un homme de bonne volon­té, qui n’est ni votant ni can­di­dat, de vous expo­ser quelles sont ses idées sur l’exer­cice du droit de suffrage.

    Le délai que vous m’ac­cor­dez est bien court, mais ayant, au sujet du vote élec­to­ral, des convic­tions bien nettes, ce que j’ai à vous dire peut se for­mu­ler en quelques mots.

    Voter, c’est abdi­quer ; nom­mer un ou plu­sieurs maîtres pour une période courte ou longue, c’est renon­cer à sa propre sou­ve­rai­ne­té. Qu’il devienne monarque abso­lu, prince consti­tu­tion­nel ou sim­ple­ment man­da­taire muni d’une petite part de royau­té, le can­di­dat que vous por­tez au trône ou au fau­teuil sera votre supé­rieur. Vous nom­mez des hommes qui sont au-des­sus des lois, puis­qu’ils se chargent de les rédi­ger et que leur mis­sion est de vous faire obéir.

    Voter, c’est être dupe ; c’est croire que des hommes comme vous acquer­ront sou­dain, au tin­te­ment d’une son­nette, la ver­tu de tout savoir et de tout com­prendre. Vos man­da­taires ayant à légi­fé­rer sur toutes choses, des allu­mettes aux vais­seaux de guerre, de l’é­che­nillage des arbres à l’ex­ter­mi­na­tion des peu­plades rouges ou noires, il vous semble que leur intel­li­gence gran­disse en rai­son même de l’im­men­si­té de la tâche. L’his­toire vous enseigne que le contraire a lieu. Le pou­voir a tou­jours affo­lé, le par­lo­tage a tou­jours abê­ti. Dans les assem­blées sou­ve­raines, la médio­cri­té pré­vaut fatalement.

    Voter c’est évo­quer la tra­hi­son. Sans doute, les votants croient à l’hon­nê­te­té de ceux aux­quels ils accordent leurs suf­frages — et peut-être ont-il rai­son le pre­mier jour, quand les can­di­dats sont encore dans la fer­veur du pre­mier amour. Mais chaque jour a son len­de­main. Dès que le milieu change, l’homme change avec lui. Aujourd’­hui, le can­di­dat s’in­cline devant vous, et peut-être trop bas ; demain, il se redres­se­ra et peut-être trop haut. Il men­diait les votes, il vous don­ne­ra des ordres. L’ou­vrier, deve­nu contre-maître, peut-il res­ter ce qu’il était avant d’a­voir obte­nu la faveur du patron ? Le fou­gueux démo­crate n’ap­prend-il pas à cour­ber l’é­chine quand le ban­quier daigne l’in­vi­ter à son bureau, quand les valets des rois lui font l’hon­neur de l’en­tre­te­nir dans les anti­chambres ? L’at­mo­sphère de ces corps légis­la­tifs est mal­sain à res­pi­rer, vous envoyez vos man­da­taires dans un milieu de cor­rup­tion ; ne vous éton­nez pas s’ils en sortent corrompus.

    N’ab­di­quez donc pas, ne remet­tez donc pas vos des­ti­nées à des hommes for­cé­ment inca­pables et à des traîtres futurs. Ne votez pas ! Au lieu de confier vos inté­rêts à d’autres, défen­dez-les vous-mêmes ; au lieu de prendre des avo­cats pour pro­po­ser un mode d’ac­tion futur, agis­sez ! Les occa­sions ne manquent pas aux hommes de bon vou­loir. Reje­ter sur les autres la res­pon­sa­bi­li­té de sa conduite, c’est man­quer de vaillance.

    Je vous salue de tout cœur, compagnons .

    Éli­sée Reclus.

    Réponse
    • PATRIE

      C’est pas l’ac­tion de voter qui importe, c’est de savoir pour qui et pour quelle démo­cra­tie : la démo­cra­tie bour­geoise, de mar­ché, ou une véri­table démo­cra­tie – qui reste encore à concevoir !
      M. Reclus par­lait ici de la pre­mière : cette fausse démo­cra­tie maçon­nique aux ordre des ban­quiers qui nous conduit à la ruine et à la ser­vi­tude, voi­là pour­quoi il ne fal­lait pas et qu’il ne faut tou­jours pas voter, le sys­tème est verrouillé !
      A ce titre, on peut aus­si lire le court ouvrage de Simone Weil « Note sur la sup­pres­sion des par­tis poli­tiques », très édifiant.

      Réponse
      • J-Stéphane

        La seule élec­tion qui peut avoir un sens démo­cra­tique est celle qui est locale, quand l’é­lu reste local et fidèle à son poste de serviteur.

        Réponse
        • Zut
      • 222

        Sub­si­dia­ri­té et Tirage au Sort, telles sont les mamelles et les fon­de­ments (ces fon­da­men­taux chouar­diens) de toute Démo­cra­tie digne et res­pec­tueuse de ce mot, réelle, effec­tive et vivante… tout le reste n’est que lit­té­ra­ture et conflit d’intérêts.

        EFFAB

        Réponse
      • J-Stéphane

        Il est peut-être néces­saire pour une démo­cra­tie de recou­rir à des élus, mais leur sta­tut doit être stric­te­ment défi­ni dans la consti­tu­tion, et la pre­mière de ces règles serait qu’au­cun élu n’est le droit de modi­fier la consti­tu­tion, ni même d’en faire la demande.
        Ensuite, qu’il soit défi­ni comme haute tra­hi­son, tout contact avec les lob­bys, qu’il a l’obligation de trans­pa­rence abso­lue, d’in­for­mer le peuple avant toute déci­sion, de ne pas exer­cer sont poste d’é­lu comme pro­fes­sion lucrative…

        Réponse
        • Ana Sailland

          Le mot « élu » est désor­mais « char­gé », atta­ché au concept de pou­voir incontrôlé.
          On peut choi­sir de ne pas construire sa mai­son et de confier cette tâche à un maçon. Ain­si le man­da­té est il utile, voire néces­saire. Et ce qui se conçoit dans le bâti­ment peut se conce­voir ailleurs.
          Ain­si ne devons nous pas nous cabrer dans une volon­té inté­griste de prise en main par tous du gâchage du plâtre et ain­si pou­vons accep­ter de délé­guer pour une tâche pré­cise, mais refu­ser qu’une oli­gar­chie soit consi­dé­rée légi­time à four­rer son nez par­tout et à se consi­dé­rer comme maî­tresse de tout et en toute décision.

          Au cahier des charges ébau­ché par J‑Stéphane n’ou­blions donc pas d’ajouter
          qu’il est hors de ques­tion de tout délé­guer en peu de mains : Si on conserve le prin­cipe de l’é­lec­tion en démo­cra­tie, les man­da­tés choi­sis ne doivent être assi­gnés qu’à une tache précise
          et non pas comme au pré­sent à l’en­semble de toute la ges­tion de la cité. Car dans le pre­mier cas, l’é­lu est notre employé tan­dis que dans le second cas, nous sommes ses vassaux.

          Réponse
          • J-Stéphane

            Un jour en entrant chez moi, j’ai trou­vé trois ouvriers assis dans mon cana­pé, regar­dant un match de ten­nis sur ma TV avec mes bières à la main, tout cela parce que j’a­vais délé­gué ma gar­dienne à avoir un double des clés de chez moi pour per­mettre d’in­ter­ve­nir en mon absence. J’ai pris la bière qui res­tait, me suis assis sur la place qui res­tait, et j’ai regar­dé le reste du match avec eux. Ça ne méri­tait pas de perdre un emploi, et ils m’ont lais­sé un pour­boire en partant. 😉

      • 222

        … yes, entiè­re­ment d’accord !

        Réponse
      • Momo

        Non non Reclus par­lait de ne pas voter stric­te­ment, car voter c’est remettre son pou­voir à un autre Homme, donc c’est aban­don­ner sa liberté.
        A l’é­poque la finance avait beau­coup moins de pou­voir qu’au­jourd’­hui, et les francs maçons ne sont pas plus aux ordres des ban­quiers que les autres. C’est juste que la Répu­blique est bour­geoise et est sur­tout une vaste blague : Liber­té, Ega­li­té, Fraternité.

        Réponse
  2. J-Stéphane

    Extrait du film, De la ser­vi­tude moderne :

    Réponse
    • 222

      La pré­ten­tion de ces majus­cules et de cette EFFAB ne sont que l’ex­pres­sion de cette liber­té indi­vi­duelle, boé­tienne (de La Boé­tie…) et l’af­fir­ma­tion, la volon­té, cette conscience aiguë de cette sou­ve­rai­ne­té com­mune à tous et à cha­cun, ni plus ni moins, notre puis­sance par­ta­gée ne pou­vant nuire à aucun en particulier.

      Réponse
  3. Florence
  4. J-Stéphane
    • Ana Sailland

      Vrai­ment contente de cette courte vidéo qui selon moi pré­fi­gure une prise de conscience dont j’es­quisse plus loin un peu de substance.

      La par­tie 1 pour­rait être prise pour de l’humour.
      En fait non, ce n’est pas une cari­ca­ture, c’est exac­te­ment ce qui se trame :
      La prise de pou­voir au niveau pla­né­taire par des enti­tés qui ne sont pas nous.

      Peut être avez vous lu cer­tains les mes­sages épars que j’ai lais­sé sur la vision cha­ma­nique de la poli­tique mon­diale. Ou vision jun­gienne si on se méfie de l’é­so­té­risme 😉 (concept d’égrégore).
      En voca­bu­laire plus rece­vable : La dyna­mique de groupe telle qu’elle se per­çoit à petite échelle ( classe d’é­cole, équipe de foot etc) génère à grande échelle des phé­no­mènes d’une ampleur impor­tan­tis­sime bien que peu per­çue : L’hu­main, en se coa­li­sant (entre­prise, par­ti, état etc) sécrète des enti­tés auto­nomes douées d’une volon­té propre qui finit par sup­plan­ter et écra­ser celle de ses créateurs.

      Les mul­ti­na­tio­nales et le TAFTA en sont la par­faite illus­tra­tion, à l’ins­tant ou l’hu­main ins­ti­tue son impuis­sance, je dis bien : l’hu­main ins­ti­tue son impuissance,
      non pas seule­ment vis a vis de ses hié­rarques mais encore vis a vis de ses propres créations.

      Il y va de la sur­vie de la conscience, rien de moins.

      Le tis­sage de la nasse s’i­ni­tie à l’ins­tant de l’His­toire où les « per­sonnes morales » ou autres « socié­tés ano­nymes » se voient attri­buer , par nous !, la capa­ci­té juridique. 

      Le remède sera donc de revoir cette bévue ( et ce peut être un bon sujet d’atelier 😉 )

      Quand nous ou cer­tains disent « l’hu­main d’a­bord », ce peut être clas­si­que­ment com­pris comme un slo­gan anti­ca­pi­ta­liste, légi­time, mais à mon sens, c’est plus que ça : « l’hu­main d’a­bord », c’est l’ex­pres­sion de notre volon­té de res­ti­tu­tion au citoyen ( l’in­di­vi­du, l’hu­main, la per­sonne, le por­teur de vie et de conscience) de sa capa­ci­té juri­dique pleine et entière, qu’il ne doit par­ta­ger qu’a­vec d’autres citoyens et en aucun cas avec des coa­li­tions, des clubs, des par­tis, des asso­cia­tions, des états.
      (La démo­cra­tie sans ce réajus­te­ment est de l’ordre de l’impossible)

      🙂 pro­pos sub­ver­sif s’il en est puisque la notion d’é­tat est dans mon collimateur 🙂

      Réponse
      • Zut

        « Le remède sera donc de revoir cette bévue ( et ce peut être un bon sujet d’atelier ) »
        Et si la science s’en mèle, alors…


        Har­ry pot­ter viens de se faire des copains.

        Abra­ca­da­bra.

        Réponse
        • Ana Sailland

          mer­ci 🙂

          La syn­chro­ni­ci­té chère à Jung est le fer de lance du lan­gage de l’insolite.

          Plus on s’ouvre à lui plus l’in­so­lite devient prolixe.

          Le nier rend sourd.

          Mais expri­mer des théo­ries est en l’é­tat risqué.

          Des res­sen­tis, par contre, peuvent, par­ta­gés, aider à entrevoir.

          Main­te­nir le pou­voir voir au delà de l’op­por­tu­ni­té fugace néces­site une volon­té. Sur­tout en ce monde « civi­li­sé » qui tend à ne rey-son­ner qu’en terme de puis­sance matérielle.

          Suis athée, dieu merci.

          Si le monde est comme sug­gé­ré dans la vidéo construit d’in­for­ma­tion, il y aura un capi­ta­lisme de la pen­sée comme il y a un capi­ta­lisme de l’argent.

          Avec des guerres.

          Et c’est bien ce que nous vivons en ce moment, non ?

          Bonne réflexion 🙂

          Réponse
          • 222

            « Suis athée, dieu merci. » ^^

          • Zut

            Ana Sailland | 22 novembre 2014 at 08:17
            Dans cer­taines obé­diences spi­ri­tua­listes on parle de l’idéosphère comme étant un espace impal­pable entou­rant la Terre et bai­gnant nos âmes.
            Toutes idée émise y vit éternellement.
            Oui, les idées sont vivantes. Les pires comme les meilleures.
            D’où l’importance qu’il y a ou qu’il y aurait à pen­ser noble et à ne pas dire nim­porte quoi.
            Res­pon­sa­bi­li­té cos­mique dont peu ont conscience.
            Méfions nous de l’indignation qui nous fait pol­luer l’idéosphère (et les blogs hihi) d’une gros­siè­re­té par­fois égale à celle que nous dénonçons.

            Et la science est sur le point de confir­mer que nos pen­sées influencent et construisent notre futur.

            Phi­lippe Guillemant
            Par contre une chose dont je suis abso­lu­ment cer­tain, c’est que cette théo­rie si elle est véri­fié, aura des consé­quences sociales fon­da­men­tales, a méditer !
            Les valeurs morales et spi­ri­tuelles telles que le déta­che­ment, le don de soi, l’au­ten­ti­ci­té, la confiance, la foi et l’in­tiu­tion sont des consé­quences de la com­pré­hen­sion de la nature du temps et de l’in­for­ma­tion pro­po­sée par la T.D.C

            .

            Ana Sailland | 22 novembre 2014 at 08:17
            Et si la pro­vi­dence fait se croi­ser une idée, même ancienne ou mil­lé­naire, avec un être accor­dé sur la même fré­quence que cette idée, alors cet être en devien­dra le relais ou l’amplificateur.
            C’est dit poé­ti­que­ment méta­pho­ri­que­ment cha­ma­ni­que­ment naï­ve­ment le prin­cipe de la pro­pa­gande sans haut par­leur ni organe de presse qui du citoyen-indi­vi­du fait le plus puis­sant des agents révo­lu­tion­naires, pour­vu qu’il décide de s’inscrire dans la constance nécessaire.

            Ne négli­geons pas nos pen­sées, nos inten­tions et la force de l’a­mour qui n’a pas de limite. Et si cette théo­rie ne se véri­fie jamais, ben on aura pas pris beau­coup de risque contre soi, les autres et la pla­nète avec le déta­che­ment, le don de soi, l’au­ten­ti­ci­té, la confiance, la foi et l’intiution.

            La cause des causes est en cha­cun de nous.

            Je sais que tu le sais mais on peu nous lire et je crois scin­cé­re­ment naï­ve­ment cha­ma­ni­que­ment que nous devons tous prendre conscience de nôtre poten­tiel créa­teur, du meilleur comme du pire.

            Fra­ter­nel­le­ment

          • Ana Sailland

            L’in­tros­pec­tion étant un outil scientifique … 🙂

          • Zut

            Inter­view de Phi­lippe Guillemant

            Usez l’u­su­rier

            Mar­chez sur l’eau,
            et que ne durent que les moments doux.

          • Ana Sailland

            Au cœur de la Terre gisait une cité
            Au cœur de la cité vivait un réverbère
            Au cœur du réver­bère vivait une allumeuse
            Palot fanal entre­vu un soir d’orage

            Et quand le réver­bère fut allumé
            Il res­ta raide comme un piquet
            Seul Sous son âme fumeuse

            Non loin de la cité vivait une montagne
            Notre triste can­dé­labre y grim­pa donc
            S’al­lon­gea sur l’herbe et se mit à prier

            Il n’a­vait pas la foi => Ce fut inefficace
            Com­ment un bec de gaz connaî­trait il donc la grâce ?!?

            Se tour­nant alors vers l’u­ni­vers concret
            Il le mit en demeure de s’expliquer

            Silence royal …
            Ou silence radio, c’est selon …
            Car ce monde peu banal
            Désire conser­ver ses arcanes

            Et le pauvre lumi­naire dut retour­ner à son triste métier :
            Por­teur de lumière

      • 222

        Oui, sub­si­dia­ri­té par le bas, j’en­tends bien, les choses se décident, en pre­mier lieu, au niveau du plus petit déno­mi­na­teur, c’est-à-dire l’hu­main, l’in­di­vi­du, les citoyens qui agissent en fonc­tion de leurs inté­rêts, le leur comme celui de la com­mu­nau­té, les deux étant inti­me­ment liés… chaque éche­lon supé­rieur (quar­tier, com­mune, dépar­te­ment, région, national_oui, cette notion d’E­tat étant à recon­si­dé­rer très sérieu­se­ment) entrant en action quand besoin est : il est évident que la créa­tion d’une nou­velle uni­ver­si­té ou d’une auto­route exige le consen­te­ment d’un plus grand nombre.
        Eh oui, ce n’est plus l’E­tat ici (et les lob­bies) qui décide des orien­ta­tions poli­tiques et socié­taires mais bien les indi­vi­dus, les citoyens, tel ou tel ensemble géo­gra­phique voire la Nation dans son ensemble. Il n’y a là rien de très com­pli­qué, faci­li­tons-nous la vie donc et soyons enfin à la hau­teur des pré­ten­tions et des grands sen­ti­ments dont cer­tains aiment à se parer au détri­ment d’au­trui, mais de façon plus humble et plus équi­table… est-ce trop deman­der ? ou la nature humaine est ain­si sujette à Satan tout en se pre­nant pour Dieu ? C’est pour­quoi, igno­rons-les ces deux-là et soyons au moins dignes faute d’être par­faits, ce sera déjà pas mal ^^

        EFFAB

        Réponse
  5. joss

    Une belle parenthèse :
    un nou­veau mou­ve­ment citoyen vient de voir le jour en Bel­gique fran­co­phone, « Tout autre chose ». Ce mou­ve­ment vient à la suite de son frère néer­lan­do­phone, « Hart boven hard » et plus ancien, du mou­ve­ment de David van Rey­brouck « G1000 ».
    Les virus se propagent…

    Réponse
  6. zedav

    Pro­li­fique chère Ana, pas prolixe.
    Un mot pour un autre. Cette erreur a été intro­duite il y a une quin­zaine d’an­née par les journalopes…et comme sou­vent, elle passe alors dans le lan­gage courant.

    Réponse
  7. Ana Sailland

    « trop bavard » 😉

    Réponse
  8. Lysbeth Levy

    bon­soir ,

    ..une vidéo pour Mr Chouard, sur les liens consan­guins et les banques lors des deux guerres mon­diales, sont avé­rés… Jean Jacques Pau­wels, his­to­rien cana­dien, en parle dans ces deux livres…

    .Faire du busi­ness avec Hit­ler et le mythe de la bonne guerre… loin de l’his­toire que l’on nous a ensei­gnée à l’école :

    La vidéo d’une enquête sur les liens entre l’Al­le­magne nazie, les camps de tra­vail et les « avoirs juifs » ou « biens arya­ni­sés » que ces mêmes banques n’ont pas hési­té à voler et accu­mu­ler ; où l’on voit que l« argent de l’ho­lo­causte a ser­vi à celles-ci de s’enrichir :

    Voi­là com­ment « les bailleurs de fonds » de toutes les guerres sont depuis le début ceux qui sont der­rière tous les géno­cides. Les banques…
    Triste mais réel…

    Bonne soi­rée et Bon Noël à tous et toutes..

    Bien à vous…

    Réponse
  9. Eliade Guy

    Je suis entrain de regar­der les défi­ni­tions du vocable « sou­ve­rai­ne­té » sur inter­net… hé ben .. la page wiki­pé­dia est fort docu­men­tée mais j’ y ai vu des conclu­sions pour le moins tirées par les che­veux comme au cha­pitre de la « typo­lo­gie clas­sique » des sou­ve­rai­ne­tés après la sou­ve­rai­ne­té popu­laire et la sou­ve­rai­ne­té natio­nale on voit dans « mélange des deux notions » :
    « Selon l’ar­ticle 3 de la Consti­tu­tion du 4 octobre 1958, « la sou­ve­rai­ne­té natio­nale appar­tient au peuple qui l’exerce par ses repré­sen­tants et par la voie du réfé­ren­dum. » De plus, l’ar­ticle 27 dis­pose que « Tout man­dat impé­ra­tif est nul. » Ain­si, en fai­sant coexis­ter un régime repré­sen­ta­tif avec des pro­cé­dures de démo­cra­tie directe, la Ve Répu­blique mêle donc les deux notions. »
    Nous aurions ain­si des pro­cé­dures de démo­cra­tie directe. Peut-être que quel­qu’ un pour­rait aider à cor­ri­ger cette fiche ? pas moi pas assez pointu !
    Ailleurs je trouve dans ( http://​www​.vie​-publique​.fr/​d​e​c​o​u​v​e​r​t​e​-​i​n​s​t​i​t​u​t​i​o​n​s​/​i​n​s​t​i​t​u​t​i​o​n​s​/​a​p​p​r​o​f​o​n​d​i​s​s​e​m​e​n​t​s​/​s​o​u​v​e​r​a​i​n​e​t​e​-​n​a​t​i​o​n​a​l​e​.​h​tml ) « Les consé­quences du prin­cipe de sou­ve­rai­ne­té nationale » :
    « La sou­ve­rai­ne­té natio­nale implique l’existence d’un régime repré­sen­ta­tif, c’est-à-dire d’un sys­tème poli­tique dans lequel le pou­voir légis­la­tif est déte­nu par une assem­blée par­le­men­taire élue par le peuple consti­tué en corps poli­tique. La sou­ve­rai­ne­té natio­nale s’oppose à la notion de sou­ve­rai­ne­té popu­laire, qui implique pour sa part des méca­nismes de démo­cra­tie directe, comme les assem­blées de citoyens, le man­dat impé­ra­tif ou les réfé­ren­dums. La notion de sou­ve­rai­ne­té natio­nale légi­time la repré­sen­ta­tion du peuple par un corps légis­la­tif élu par lui, tout en étant doté d’une véri­table auto­no­mie dans la prise de décision. »
    Donc oui .. trois fois oui à la sou­ve­rai­ne­té popu­laire : La sou­ve­rai­ne­té se défi­nit, en droit, comme la déten­tion de l’autorité suprême, c’est-à-dire d’un pou­voir abso­lu (dont tous dépendent) et incon­di­tion­né (qui ne dépend de qui que ce soit).
    Cepen­dant en réflé­chis­sant à ce que le mot veut dire pour moi, je me dis que 1) contre le dar­wi­nisme social (celui qui pré­tend que l’ homme est un loup pour l’ homme et que seuls les puis­sants sur­vivent), je suis un être social et que l’ Entraide (comme le dit Kro­pot­kine) est sûre­ment plus effi­cace que la compétition
    2) que la sou­ve­rai­ne­té com­mence par moi en tant qu’ elle est vraie pour les autres … c’ est comme ça que je fais société
    Mais je me trompe peut-être
    3) de moi à la com­mune comme ter­ri­to­ria­li­té où la sou­ve­rai­ne­té s’ exprime
    4) à la fédé­ra­tion de com­munes et à la nation (lieu d’ expres­sion du bien com­mun et de l’ inté­rêt général)
    Bonne nuit

    Réponse
    • Eliade Guy

      … je relis :
      « La sou­ve­rai­ne­té se défi­nit, en droit, comme la déten­tion de l’autorité suprême, c’est-à-dire d’un pou­voir abso­lu (dont tous dépendent) et incon­di­tion­né (qui ne dépend de qui que ce soit). »
      La deuxième par­tie de la phrase me pose pro­blème : .. un pou­voir abso­lu dont tous dépendent .. je dirais plu­tôt un pou­voir expres­sion de tous et qui dépend de tous .. il est condi­tion­né à tous les contrôles dont on l’ assorti
      Bref pas top

      Réponse
  10. Le Boulanger

    Bon­soir,

    Amicalement,

    Réponse
  11. Le Boulanger

    Nos silences et les com­bats des autres :

    Ken­ny Arka­na : « La terre mère n’est pas à vendre. »

    Réponse
    • Le Boulanger
      • Le Boulanger

        Der­nier Troll Amicalement,

        Réponse
        • Eliade Guy

          Mer­ci .. je ne connais­sais pas

          Réponse
  12. Eric

    Dans une Démo­cra­tie il n’y a pas de repré­sen­tants, mais des com­mis­saires tirés au sort, c’est-à-dire des citoyens char­gés d’une mis­sion tem­po­raire. Leur man­dat est court, non renou­ve­lable, non cumu­lable, impé­ra­tif et révo­cable et ces com­mis­saires sont tenus à la red­di­tion des comptes.

    Les repré­sen­tants élus (ou tirés au sort) et les nom­més appar­tiennent au para­digme répu­bli­cain qui est le contraire du para­digme démocratique.

    A bas las élec­tions, les par­tis poli­tiques et la Répu­blique ! Vive les tirages au sort, les vota­tions et la Démocratie !

    Réponse
  13. Ana Sailland

    Angels in hell
    Un pho­to­graphe cap­ture le tra­vail des enfants au Bangladesh

    http://​www​.ufunk​.net/​p​h​o​t​o​s​/​a​n​g​e​l​s​-​i​n​-​h​e​l​l​/​a​t​t​a​c​h​m​e​n​t​/​g​m​b​-​a​k​a​s​h​-​a​n​g​e​l​s​-​i​n​-​h​e​l​l​-​14/

    C’est loin, c’est ailleurs, mais c’est ici qu’on en pro­fite, mais c’est ici qu’on doit refuser.

    Réponse
    • Eliade Guy

      .. c’ est la consé­quence direct de l’ éco­no­mie auto­no­mi­sée capi­ta­liste et de son corol­laire la valeur travail :
      le tra­vail, cette plaie, est :
      – ne pas pou­voir dis­po­ser de son temps, de soi comme vivant (… indignité)
      – ne pas pou­voir déci­der ce que l’ on pro­duit (… indignité)
      – subir des hié­rar­chies (… indignité)
      – subir des com­pé­ti­tions (… indignité)
      – se confron­ter à la valeur c.a.d à la mesure du temps de tra­vail, néces­saire à la pro­duc­tion de la mar­chan­dise, incor­po­rée à la marchandise
      – deve­nir soi même une marchandise

      Réponse
      • Eliade Guy

        encore faut il par­ler du sym­bole de tout ça, ce qui sert de mesure coer­ci­tive à tout cela .. l’ argent

        Réponse
        • Ana Sailland

          L’argent comme outil de chan­tage sert à démon­trer que le petit maigre nu a accep­té de souf­frir une heure et que de ce fait il a droit à une carotte, quand bien même nous savons pro­duire plus de carottes que le néces­saire. Cela c’est ce qui est.

          L’argent pour­rait au contraire être per­çu comme un ! cer­ti­fi­cat d’ho­no­ra­bi­li­té !, mais unique et non plus ponc­tuel, témoi­gnant de notre bonne volon­té pas­sée à contri­buer, qui laisse augu­rer d’un ave­nir indi­vi­duel contri­bu­tif plus que pares­seux ou oisif, cer­ti­fi­cat qui per­met­trait donc de se ser­vir au super­mar­ché du vital.

          A creu­ser 😉

          Il s’a­git un peu du salaire à vie mais vu autrement.

          Réponse
        • Ana Sailland

          Une bonne nou­velle : le groupe mon­naie locale d’An­ne­cy était décé­dé il y a 3 ans à cause du PFH (ndlr : p… de fac­teur humain). Dimanche il s’est réincarné .….…..

          Réponse
    • Ana Sailland

      Quand vous ache­tez un télé­phone por­table, il y a de la souf­france infan­tile dedans.
      Je n’ai pas de télé­phone portable.

      Un ordi c’est pareil, mais j’en ai un.
      Car il est néces­saire pour défendre les idées qui défendent l’enfant.
      Cercle vicieux dont nous devons être conscients, en l’é­tat de l’or­ga­ni­sa­tion mon­diale les outils de la liber­té sont alié­nants et se fondent sur l’esclavage.

      Tout comme la vio­lence révo­lu­tion­naire dégrade autant qu’elle libère.
      Où pla­cer le cur­seur, là est la ques­tion, entre le repos et l’acte, et que nomme-t-on acte. 

      Plus géné­ra­le­ment, avoir pris conscience ne per­met plus de bailler aux corneilles.
      Bien que cette acti­vi­té de poète en cale sèche au radoub soit nécessaire.

      Réponse
      • Eliade Guy

        La Vic­toire sera pour ceux qui auront su faire le désordre sans l’ aimer !
        Raoul Vaneigem

        Réponse
  14. Eliade Guy

    Il y a une insulte pré­fé­rée des agi­ta­teurs du faux débat publique, c’ est « vous êtes un adepte de la théo­rie du com­plot ». Dont acte il n’ y a pas com­plot, pas d’ entente secrète … par contre de plus en plus il appa­raît qu’ il y a des stra­té­gies de défense d’ inté­rêts pri­vées … on voit la nuance … (stra­té­gies qui peuvent être secrètes comme pour le TAFTA … la boucle est bou­clée donc il n’ y a pas de com­plot secret mais des stra­té­gies secrètes ou non) On voit dans des articles sérieux des termes comme « diri­geants de l’ éco­no­mie » ou impo­ser « un tour­nant mili­ta­riste dans la poli­tique étran­gère » .. de l’ Alle­magne : citation :
    « Dans son dis­cours d’ouverture pro­non­cé au som­met éco­no­mique SZ, le ministre alle­mand des Affaires étran­gères, Frank-Wal­ter Stein­meier, a appe­lé les diri­geants de l’ éco­no­mie à sou­te­nir l’ ascen­sion de l’ Alle­magne au rang de puis­sance mondiale.

    La réunion n’avait pas lieu au Par­kho­tel de Düs­sel­dorf mais à l’Hôtel Adlon de Ber­lin. Dans l’auditoire, ce n’étaient pas Fritz Thys­sen et Gus­tav Krupp von Boh­len und Hal­bach, mais le PDG de Thys­sen-Krupp, Hein­rich Hie­sin­ger et d’autres poids lourds du patro­nat alle­mand. Et, bien sûr, le ministre social-démo­crate des Affaires étran­gères Frank-Wal­ter Stein­meier n’est pas Hitler.

    Et pour­tant, le dis­cours de Stein­meier rap­pe­lait celui tenu le 26 jan­vier 1932 par Hit­ler devant le Club des indus­triels à Düs­sel­dorf. Comme jadis le futur Füh­rer, Stein­meier a lan­cé un appel direct au patro­nat alle­mand pour qu’il sou­tienne l’accession de l’Allemagne au rang de puis­sance mon­diale. Il a expli­ci­te­ment fait appel au grand patro­nat pour qu’il le sou­tienne, lui et son gou­ver­ne­ment, dans leur impo­si­tion d’un tour­nant mili­ta­riste dans la poli­tique étran­gère, contre la volon­té de la population. »

    httpv://www.mondialisation.ca/le-discours-du-ministr…/5419591

    Qui a dit complot ?

    Réponse
  15. J-Stéphane

    L’URSSAF et ses patrouilles de chas­seurs de démo­cra­tie, tueuses de civismes.

    Réponse
  16. J-Stéphane
    • Ronald

      C’est dire si mani­fes­ter ne sert à rien pour faire chan­ger les choses .… 😉

      Réponse
    • 222

      Très bel article, entre juste milieu, choix assu­més, cette liber­té qu’on se donne et toutes ces belles pro­messes d’a­ve­nir sinon ce poten­tiel, ici et main­te­nant, si telle est notre volon­té, si telle est notre vérité…

      … « Jus­qu’à la fin de ta vie, tu ver­ras les gens tels qu’ils sont et non comme ils font sem­blant d’être. » – Le Troi­sième Œil, T. Lob­sang RAMPA

      Réponse
  17. Eliade Guy

    Tout le pou­voir aux soviets
    G

    Réponse
  18. Eliade Guy

    plai­doyer pour la réécri­ture citoyenne de la constitution :

    Nous lan­ceurs d’ alerte décla­rons notre consti­tu­tion actuelle irre­ce­vable et contradictoire
    en effet elle pro­clame dans son article 2 :
    le gou­ver­ne­ment du peuple, par le peuple et pour le peuple,

    atten­du que le sys­tème repré­sen­ta­tif actuel ne per­met pas au peuple de choi­sir ses élus car ce sont les elus des par­tis politiques,
    atten­du que le peuple n’ est pas ins­truit par voix de médias des débats légis­la­tifs et autres grands débats natio­naux, euro­péens et
    inter­na­tio­naux et que donc il ne peut pas se faire un avis objectif,
    atten­du que le peuple ne peut révo­quer un élu qui ne tient pas ses pro­messes ou qui tra­hi les inté­rêts de tout ou par­tie du dit peuple
    atten­du que le peuple ne peut s’ oppo­ser à une loi ou en pro­po­ser une

    il nous devient évident que le peuple n’ a pas les moyens de gou­ver­ner par lui-même et pour lui-même

    Et nous deman­dons la tenue d’ une consti­tuante tirée au sort par­mi le peuple souverain

    Les citoyens.

    PS : déve­lop­per le non-sens de la phrase (article 3) : La sou­ve­rai­ne­té natio­nale appar­tient au peuple
    Soit le peuple est sou­ve­rain et fait « nation », soit la sou­ve­rai­ne­té natio­nale est une expres­sion abs­traite auquel cas elle ne serait appar­te­nir à quiconque

    Réponse
    • Eliade Guy

      le gou­ver­ne­ment par le peuple n’ est pas le gou­ver­ne­ment par des élus

      Réponse
      • Ana Sailland

        yesssssssssssssss 🙂 🙂 🙂

        Réponse
    • 222

      Oui, qu’est-ce qui pour­rait légi­ti­mer et rendre le plus com­pré­hen­sible à tous cette volon­té de refor­mu­ler la donne poli­ti­co-éco­no­mique ? Par exemple, ras­sem­bler dans une décla­ra­tion d’in­ten­tion socié­taire ces fon­da­men­taux démo­cra­tiques, socié­taux mais sur­tout ces prio­ri­tés exis­ten­tielles, liber­taires, éco­lo­giques, « éco­no­miques » (accep­tion pre­mière : éco­no­mie de moyens, de res­sources, ce rap­port étroit qu’il y a entre res­pect du vivant, éco­lo­gie et bonne mesure), éthiques et spi­ri­tuelles, cette Conscience des choses et de soi au-delà de toutes consi­dé­ra­tions morales, idéo­lo­giques et reli­gieuses, puis­qu’il n’y a pas trente six mille façons, en véri­té, de bien agir mais tant et tant de divi­ser à des­sein et à volonté.

      EFFAB

      Réponse
    • 222

      Et éga­le­ment pour la Com­mu­nau­té du Jar­din d’E­den, au Texas, à en lire ce même article, les per­sonnes menot­tés et poin­tées par les armes… je pense qu’a­près ça cer­tains pren­dront toute la mesure des pro­pos d’E­TIENNE quand il dit que recher­cher l’au­to­no­mie, se mon­trer le plus éco­lo­gique c’est bien mais que la pro­blé­ma­tique n’en reste pas moins bien pré­sente : le sys­tème peut à tout moment frap­per là où bon lui semble_mais le Tibet lui-même n’est pas la Démo­cra­tie, cet idéal à inven­ter et si ins­pi­rant, si nova­teur… si exi­geant ! là est tout le défi.

      ILLUMINATION

      Réponse
    • Zut


      Sinon, sur inter­net, la révo­lu­tion ça avance ?

      Réponse
      • 222

        Si quel­qu’un peut me décrire cette vidéo, briè­ve­ment j’en­tends, j’ai pas l’im­pres­sion qu’on parle beau­coup de Sivens ces der­niers jours dans les jour­naux, excep­té peut-être sur le Net, avec ou sans Révolution ^^

        Réponse
  19. Eliade Guy

    il faut revoir tout le droit sur la pro­prié­té de la décla­ra­tion de 1793 … exclure toute pro­prié­té qui implique la pro­prié­té des humains ou de par­tie de leur pré­ro­ga­tive .. y com­pris le libre usage de son temps

    Réponse
  20. Eliade Guy

    … un truc qui m’ est cher l’ auto­no­mie des enfants dans les familles d’ un point de vue finan­cier, cultu­rel et sexuel

    Réponse
  21. Eliade Guy

    … nul n’ est cen­sé igno­ré la loi … sauf que la cen­sure orga­nise notre impuis­sance et notre ignorance

    Réponse
    • 222
      • Zut



        #t=104

        Copains copines on tambourine ^^

        Réponse
  22. Zut

    Je le fait chez vous mais bien évi­de­ment ce n’est pas à vous que je « m’a­gresse » Etienne.

    El pelut.

    Réponse
  23. J-Stéphane
  24. Vitorge Romain

    L’in­for­ma­tion est pra­ti­que­ment pas­sée sous silence, mais elle méri­te­rait pour­tant qu’on s’y arrête quelques ins­tants. En effet, à par­tir de jan­vier 2015, un groupe de neuf chefs d’en­tre­prises sera char­gé d’é­va­luer toute nou­velle loi impac­tant les entre­prises avant même que les par­le­men­taires en soient saisis.
    http://​www​.ugict​.cgt​.fr/​a​r​t​i​c​l​e​s​/​b​i​l​l​e​t​/​m​e​d​e​f​-​l​o​i​-​c​o​r​r​e​c​t​ion
    +++++++++++++++++++++++++
    belle illus­tra­tion de votre thèse sur le rôle du suf­frage universel …

    Réponse
    • Eliade Guy

      .. neuf chefs d’ entre­prise .. tiré au sort ?

      Réponse
    • 222

      9 hommes (ou femmes) à abattre, donc, au propre comme au figu­ré ! Des volon­taires pour cela ?  » faire un peu le ménage » et valeur d’exemple, ce qu’il en coûte de prendre les indi­vi­dus et les citoyens sou­ve­rains en otage…

      LE GÉNÉRAL

      Réponse
  25. Eliade Guy

    Stop the war and we will dance the boogie

    Réponse
  26. Ana Sailland

    jol­ly good

    Réponse
  27. pparent

    « Il ne nous faut pas une 6ème répu­blique, mais une pre­mière démo­cra­tie ». C’est mar­rant je me dis ça depuis longtemps !

    Réponse
    • 222

      Oui, et le fait que le terme « répu­blique » soit choi­sie et non celui de « démo­cra­tie » n’est cer­tai­ne­ment pas ano­din ^^ la puis­sance des mots/du Verbe enfer­mant des véri­tés qu’il n’est pas très oppor­tun pour cer­taine élite de cla­mer haut et fort sur la place publique… comme il est hors de ques­tion, éga­le­ment, d’en­vi­sa­ger une pre­mière puis une seconde, etc., etc., Démo­cra­tie, un tel Contrat Social ne jouant plus aux dés mais se construi­sant au quo­ti­dien, s’é­la­borent et s’a­mé­lio­rant sans cesse, tou­jours ouvert et pareille­ment exigent : ce bien com­mun comme cette liberté/dignité de tous.

      Réponse
      • Ana Sailland

        Res publi­ca, la chose publique ;;;; c’est peut être aus­si un mot mis à l’en­vers … mais déjà à Rome il y a 2000 ans ou plus.

        Car si la chose est publique, com­ment pour­rait elle ne pas être gérée par le kra­tos du demos ?

        Et notons qu’une répu­blique qui pri­va­tise, c’est bizarre, non ?

        Réponse
  28. Ana Sailland

    infos pas for­cé­ment utiles

    kra­tos peut être vu comme le géni­tif de kras qui désigne tête ou sommet.

    akra­tos ( alpha pri­va­tif sui­vi de kra­tos) signi­fie pur, ce qui pour­rait inté­res­ser les anarchistes

    Réponse
    • Jacques

      Pas très utile non plus, mais révé­la­teur : Tous les hexa­grammes ont six traits, sauf no. 1&2, qui en ont 7… donc pas besoin de cher­cher très long­temps où se situe la « 7ème vertu » :
      17 (lire hexa 1, trait 7) « Appar­ti­tion d’un vol de dra­gons, pas un n’est en tête, ouver­ture » et sa dia­lo­gique néces­saire (car seul une stra­té­gie yin peut tenir en res­pect un bouillon­ne­ment yang) :
      27 « Pro­fi­table de dura­ble­ment tenir bon » (et res­pec­ti­ve­ment besoin de yang pour ne pas tom­ber au degré zér‑o/a Kelvin).

      Il est remar­quable qu’en 25 on puisse lire « robe jaune » => il s’a­git de la place de l’empereur, qui applique le pré­cepte don­né au juge­ment : 2/J (…qui pré­cède s’é­gare, qui suit trouve le prin­cipe du pro­fi­table…) => seule fois men­tion­né dans tout le Yi-Jing, le « prin­cipe du pro­fi­table » signi­fie « ne rien impo­ser, lais­ser les lignes de force de la situa­tion appa­raître d’elles-mêmes » => être (/se pla­cer dans) le vide de l’es­sieux qui rend la roue opérationnelle !?

      Réponse
      • 222

        « le vide de l’es­sieu qui rend la roue opé­ra­tion­nelle »… ^^… cela me laisse songeur_ou cette phi­lo­so­phie abou­tie qui sau­rait qua­si­ment tout ou le pressent du moins, mais s’abs­tient ou/et s’o­blige à n’en point faire trop, car l’é­qui­libre est bien dans ce tout en com­mun, cette inter­dé­pen­dance aux autres, ce res­pect mutuel, cette rete­nue en soi autant que cette juste mesure de cha­cun, la véri­table richesse rési­dant dans cette par­faite équa­tion du ‘un’ asso­cié à l’en­semble, cet ensemble ne pre­nant sa puis­sance et sa sou­ve­rai­ne­té que dans cette décli­nai­son inter­ac­tive, ce déno­mi­na­teur com­mun à tous et à cha­cun… je m’é­gards peut-être ^^

        Réponse
        • Jacques

          Houps, je n’a­vais pas vu votre réponse. Non, vous ne vous éga­rez pas… petit extrait p.15–16 : « Le texte offi­ciel de Yi Jing compte exac­te­ment 4082 carac­tères et ce chiffre résumme magni­fi­que­ment le mélange de méti­cu­lo­si­té et de sou­plesse, de per­fec­tion­nisme et d’hu­mour dans lequel les Chi­nois de l’An­ti­qui­té aimaient à nicher leurs grands textes clas­siques. […] Qu’on en juge : 4096 est le pro­duit de 64 par 64. Autre­ment dit, à [14] uni­tés près, le livre des chan­ge­ments est com­po­sé de [64] cha­pitres com­por­tant cha­cun en moyenne [64] idéo­grammes. […] Ces [14] carac­tères ne sont pas man­quants par inad­ver­tance mais par exi­gence phi­lo­so­phique, pour pro­cla­mer avec déli­ca­tesse que le Yi Jing n’est ni par­fait, ce qui lui enlè­ve­rait sa qua­li­té humaine, ni par­fai­te­ment ache­vé, ce qui le ren­drait infi­dèle à lui-même. Mais ce nombre en dit encore d’a­van­tage. Il montre aus­si dans la rela­tion que chaque par­tie de l’en­semble entre­tient avec le tout, l’ap­pli­ca­tion de la grande règle d’a­dé­qua­tion […] : la cir­cons­tance pré­vaut tou­jours sur le prin­cipe, la par­ti­cu­la­ri­té du moment sur la géné­ra­li­té du règle­ment. Confu­cius le disait lui-même : « Dans les affaires du monde, L’Être Accom­pli n’a pas une atti­tude rigide de refus ou d’ac­cep­ta­tion, le juste est sa seule règle. » […] »

          Réponse
          • 222

            JACQUES, si je puis me per­mettre, vous êtes éton­nant ! et tout féru de juste milieu que je puis l’être moi-même mais à des années-lumière de cette culture ‘sidé­rante’ ^^ je me demande si Jacques ne rime­rait pas avec Jus­tesse voire peut-être Jus­tice, ce recul et cet inté­rêt qui nous poussent tout à la fois à consi­dé­rer les choses, la vie et toute pro­blé­ma­tique avec sérieux et bien­veillance. Accom­plis­sons-nous, donc, si j’ai bien compris…

            CHOUAR­Dament !

          • Jacques

            … Vous savez, après quelques années pas­sées à la fac d’é­co­no­mie, le fait même qu’au­cun (ou presque) prof ne s’in­té­resse (ou pire ne com­prenne) la métho­do­lo­gie éco­no­mique, a été un véri­table vac­cin. Mark Blaug nous apprend qu’il y a des infir­ma­tion­nistes (qui réfutent les modèles sur simple base théo­rique) et des confir­ma­tion­nistes (qui créent des modèles et cherchent à mon­trer leur vali­di­té)… donc je suis un infir­ma­tion­niste ama­teur qui réfute les sciences éco­no­miques dans leur ensemble sur une base bio­lo­gique… donc non-infir­mable par leur pseu­do-science. Bon Noël à tous !

      • Jacques

        Je m’ex­prime mal… déjà c’est « Appa­ri­tion » d’un vol de dra­gons… ensuite la dia­lo­gique réside dans leur trait res­pec­tif : « vol de dra­gons » = un grand ras­sem­ble­ment de force yang qui condui­rait à un excès d’au­to­ri­ta­risme, mais stra­té­gie yin don­nant « aucun n’est en tête » (=> voi­là pour­quoi je peux pas sap­per Soral… ou plu­tôt voi­là ce qu’il ne com­pren­dra jamais ; mais ça s’ap­plique à d’autres… un cer­tain comi­té d’i­ni­tia­tive qui rejette le TAS ? Un peu d’i­ro­nie ne fait pas de mal !) Et « pro­fi­table de dura­ble­ment tenir bon » est la stra­té­gie yang face au risque d’é­par­pille­ment d’un grand ras­sem­ble­ment de force yin.

        Réponse
  29. J-Stéphane
    • Eliade Guy
    • J-Stéphane

      Si l’ex­pro­pria­tion ne touche que les petits pro­prié­taires, c’est que l’é­tat est la pro­prié­té des grands propriétaires.

      Si la pri­va­ti­sa­tion d’un bien com­mun se fait sans la consul­ta­tion et le consen­te­ment des citoyens, c’est que l’é­tat est la pro­prié­té des grands propriétaires.

      Quand prendre aux grands pro­prié­taires c’est de la spo­lia­tion, et que prendre aux petits pro­prié­taires c’est de l’ex­pro­pria­tion, il faut vrai­ment s’in­ter­ro­ger sur les moti­va­tions de notre devise nationale…













      Réponse
      • J-Stéphane

        Expro­prions une bonne foi pour toutes, tous les grands pro­prié­taires pour qu’en­fin les petits pro­prié­taires ne soient plus jamais spoliés.

        Réponse
      • J-Stéphane
      • Ana Sailland

        Eloge de la folie

        La source du drame actuel, outre la cor­rup­ti­bi­li­té, est le désar­me­ment concep­tuel des « élites ».
        Ce désar­me­ment va avec celui des foules.

        On ne pense plus mais on est pensé.
        Par l’empire médiatique.
        Par les écoles (l’E­NA par exemple).
        Le dog­ma­tisme et le neu­rone télé­com­man­dé sont la règle.
        La conscience s’ef­face devant le cer­veau et la liber­té se noie entre les berges d’un tor­rent insipide.

        On ne pense plus par soi-même, mais on se réfère à une pen­sée en vue.

        Ce drame fut très fran­co fran­çais lors­qu’au potache qui dis­ser­tait on impo­sait plus de réfé­rence, plus de cita­tion, comme si l’au­to­no­mie était impos­sible, ou pire un vice, une lacune.

        Mais main­te­nant ce drame s’est éten­du au pla­né­taire et au quotidien.
        Qu’on visionne ou qu’on lise, on suit, et rare est celui qui s’ar­rête sur un son, une image, un mot, pour écrire seul sur l’é­cran de son ima­gi­naire sa propre liber­té intel­lec­tuelle, la rêve­rie qui le crée­ra, lui, être libre et capable d’invention.

        Alors oui, quand ce sont les « élites diri­geantes » qui se trans­forment en ligo­tés du sens, la poli­tique devient débile, et bien avant la cor­rup­tion, c’est cette débi­li­té qui sévit.

        Sou­ve­nons nous pour jus­ti­fier mon pro­pos bizarre de Gis­card inter­ro­gé sur le pour­quoi de la loi de 73 : « c’é­tait dans l’air du temps »

        « Ils » sont tous dans ce sché­ma d’a­lié­na­tion, et nous, dis­si­dents devons être atten­tifs à ne pas en créer un autre dont nous serions les suiveurs.

        Soyons fous 🙂

        réponse sublime qui explique tout.

        Réponse
        • Ana Sailland

          fichu trai­te­ment de texte : la der­nière ligne allait plus haut : le sublime, c’est Gis­card, pas moi 🙂

          Réponse
        • Katharina

          je dirais même soyons libres et ne confon­dons plus folie avec ima­gi­na­tion, viva­ci­té et esprit.
          Mais c’est sûr que d’être plein de viva­ci­té, d’i­ma­gi­na­tion et de liber­té peut pas­ser déjà de folie en ces temps-ci.
          Amitiés !

          Réponse
  30. Eliade Guy

    le méca­nisme et la ten­dance his­to­rique des crises ..Robert Kurz ..(Lire Marx)
    … Il paraît donc évident de devoir attri­buer la théo­rie de la crise mar­xiste pro­pre­ment plus au Marx éso­té­rique qu’au Marx exo­té­rique. Ce qui est par­ti­cu­liè­re­ment net, quand on com­prend que la théo­rie de la crise de Marx appuie son argu­men­ta­tion sur la dis­pa­ri­tion même du « travail ».
    Comme nous venons de le mon­trer, c’est jus­te­ment sur ce point que les
    deux Marx s’opposent tout par­ti­cu­liè­re­ment : tan­dis que le Marx exo­té­rique voit le « tra­vail » comme une néces­si­té natu­relle supra-his­to­rique, anthro­po­lo­gique et onto­lo­gique, pour le Marx éso­té­rique, le tra­vail consti­tue la forme d’activité abs­traite spé­ci­fi­que­ment capi­ta­liste – en
    même temps que la sub­stance du capital.
    Cela dit, une crise n’est autre que la perte de sub­stance objec­tive du capi­tal pro­vo­quée par le méca­nisme interne propre de celui-ci : le tra­vail s’échappe comme le sable s’échappe du sac par un trou ou l’eau par une fuite dans le réser­voir. Le capi­tal se vide et s’affaiblit et sa vie ali­men­tée par le tra­vail s’arrête. Quand l’un des com­po­sants du sujet auto­ma­tique, c’est-à-
    dire le tra­vail, tarit, l’autre, l’argent, est obli­gé de décroître – il perd de sa sub­stance, donc de sa valeur et devient lui-même obso­lète. Il y a inter­rup­tion du rap­port ou de la forme de cir­cu­la­tion sociale géné­rale du triple élé­ment : tra­vail abs­trait, reve­nu moné­taire et consom­ma­tion de mar­chan­dises. Tout le mode de vie appa­rem­ment natu­rel et repo­sant sur ces rela­tions féti­chistes se délabre et devient pra­ti­que­ment impos­sible. On se retrouve alors devant
    l’absurdité sui­vante : tous les moyens et capa­ci­tés d’une riche repro­duc­tion abondent, mais les hommes para­ly­sés par la « main invi­sible » du capi­tal ne peuvent plus mettre en œuvre leurs propres pos­si­bi­li­tés, parce qu’elles ne satis­font plus à l’irrationnelle fin en soi du sujet auto­ma­tique. Cette inquié­tante immo­bi­li­sa­tion de l’ensemble des rouages est cau­sée non pas
    par le « bras puis­sant » de la classe ouvrière, mais par une sorte de grip­page de la machine capi­tal. L’état social qui en résulte res­semble au sup­plice de Tan­tale ; c’est-à-dire que bien qu’ayant à leurs pieds toute la richesse du monde, les hommes affa­més et assoif­fés la voient recu­ler devant eux.
    Alors que, dans le cadre de sa cri­tique du tra­vail, Marx avait expo­sé de façon claire et sans ambi­guï­tés cette fin logique de la crise, dans sa théo­rie de la crise, il déve­loppe le méca­nisme interne et contra­dic­toire du capi­tal, en mon­trant l’effet concret de cette contra­dic­tion qu’il ne for­mule d’abord que de façon géné­rale. Par­tant des notions de plus-value abso­lue et rela­tive, il écha­faude pièce par pièce la logique et le méca­nisme de la crise
    capi­ta­liste ; il montre com­ment, de la trans­for­ma­tion de la com­po­si­tion orga­nique du capi­tal pous­sée par le mode de concur­rence, on abou­tit à la chute (rela­tive) du taux de pro­fit et fina­le­ment, du moins en tant que pos­si­bi­li­té abs­traite, à la chute (abso­lue) de la masse du pro­fit ; il montre, par consé­quent, com­ment la repro­duc­tion et l’accumulation capitalistes
    arri­ve­raient au blo­cage total.
    Texte com­plet :Lire Marx. Les textes les plus impor­tants de Karl Marx pour le
    XXIe siècle. Choi­sis et com­men­tés par Robert Kurz, La balus­trade, 2002, aujourd’hui épuisé.
    J’ en ai un extrait de 4 pages pdf

    Réponse
    • Eliade Guy

      Alors capi­ta­lisme ou socia­lisme ou bar­ba­rie .. ou reprise en main poli­tique citoyenne ?

      Réponse
    • Eliade Guy

      .…Ces contra­dic­tions, Marx n’est plus arri­vé à les démê­ler lui-même. Mais son
      déve­lop­pe­ment de la théo­rie de la crise conduit aus­si clai­re­ment que sa cri­tique du capi­ta­lisme en tant que « socié­té du tra­vail », à un modèle dépas­sant le mar­xisme de la moder­ni­sa­tion imma­nente. Non pas que la stricte objec­ti­vi­té de la crise doive impli­quer quelque chose comme un auto­ma­tisme objec­tif de l’émancipation sociale. La crise déclenche l’obsolescence du capi­ta­lisme, mais sans ins­tau­rer d’autre ordre social. Cela, les hommes doivent l’accomplir eux-mêmes.

      Réponse
    • Eliade Guy

      .. et face à cette (der­nière ?) crise sys­té­mique les amou­reux du pou­voir nous enfument avec les mon­tées des fon­da­men­ta­lismes de tout poil et nous pré­parent une bar­ba­rie (contrô­lée ?)

      Réponse
  31. Eliade Guy
    Cita­tion de Mur­ray Book­chin (1921−2006)
    pen­seur anar­chiste de l’ eco­lo­gie poli­tique aux Etats Unis :

    « […] un pré­cepte liber­taire fon­da­men­tal : tout être humain est com­pé­tent pour gérer les affaires de la socié­té, et plus par­ti­cu­liè­re­ment de la com­mu­nau­té dont il est membre.
    Aucune poli­tique n’a de légi­ti­mi­té démo­cra­tique si elle n’a été pro­po­sée, dis­cu­tée et déci­dée direc­te­ment par le peuple, et non par de quel­conques repré­sen­tants ou substituts.

    C’est seule­ment l’ad­mi­nis­tra­tion de ces direc­tives poli­tiques qui peut être confiée à des conseils, des com­mis­sions ou des col­lec­tifs d’in­di­vi­dus qua­li­fiés, éven­tuel­le­ment élus, qui exé­cu­te­raient le man­dat popu­laire sous contrôle public et en ren­dant des comptes aux assem­blées qui prennent les décisions.… »

    (Une socié­té à refaire, édi­tion Eco­so­cié­té 1993, p. 255–256)

    Réponse
  32. Jacques

    https://​www​.dai​ly​mo​tion​.com/​v​i​d​e​o​/​x​2​7​w​f​6​b​_​c​o​n​t​r​e​-​c​o​u​r​a​n​t​-​l​e​-​d​e​b​a​t​-​b​a​d​i​o​u​-​p​i​k​e​t​t​y​_​n​ews

    Piket­ty : petit rappel…


    « Contre-Cou­rant » : le débat Badiou-Piket­ty par Media­part

    Piket­ty, de 38:03 à 41:25
    « Moi je pense que c’est beau­coup plus radi­cal de faire l’impôt pro­gres­sif sur le capi­tal pri­vé que je décris que toutes les répu­dia­tions de la dette publique du monde, c’est beau­coup plus radi­cal, et c’est beau­coup plus dan­ge­reux pour la pro­prié­té pri­vée, et là je pense se serait une erreur de pers­pec­tive com­plète de s’imaginer que voi­là… la répu­dia­tion de la dette c’est très bien, sauf que les patri­moines impor­tants, LES MILLIARDAIRES QUI DIRIGENT L’ÉCONOMIE NE POSSÈDENT PAS DE DETTES PUBLIQUES, ils pos­sèdent des actions, ils pos­sèdent par­fois de l’immobilier, ils pos­sèdent des entre­prises mais la dette publique ne les concernent pas.

    Donc s’imaginer qu’on va remettre en cause leur pou­voir et qu’on va aller vers une socié­té (moderne) meilleure comme ça en répu­diant la dette, je pense que pour le coup c’est vrai­ment une illu­sion. Donc je crois que là il y a une erreur de pers­pec­tive qui est peut-être com­mise par la gauche radi­cale qui ne prend pas suf­fi­sam­ment l’impôt au sérieux, c’est-à-dire qu’on a besoin de repen­ser cette forme de façon radi­cale, cette forme d’action de redis­tri­bu­tion qui est l’impôt.

    Main­te­nant il y a plein d’autres formes, l’inflation peut-être redou­ta­ble­ment puis­sante comme mode de redis­tri­bu­tion des richesses… bon avec, à la fin, un ciblage social de qui en fait les frais et de qui en béné­fi­cie, qui peut être, par­fois… enfin, pas for­cé­ment dans le sens qu’on sou­hai­tait au départ.

    Après, sur les formes d’actions natio­nales, inter­na­tio­nales, pai­sibles ou pas pai­sibles, fran­che­ment moi le fond de ma pen­sée, c’est que c’est dif­fi­cile d’imaginer un sce­na­rio d’une union démo­cra­tique euro­péenne… moi je crois que LES INSTITUTIONS EUROPÉENNES ACTUELLES SONT TOTALEMENT INCAPABLES DE CONDUIRE LA MOINDRE POLITIQUE DE PROGRÈS SOCIAL OU FISCAL DANS LE SENS OÙ JE L’ENVISAGE, c’est-à-dire je pense qu’on est dans une confron­ta­tion d’intérêts natio­naux, à tra­vers les chefs d’états, avec le règne de l’unanimité qui inter­dit de faire quoi que se soit : on aurait besoin d’un par­le­ment démo­cra­tique pour un plus petit nombre de pays où la règle de la majo­ri­té s’applique et où on peut espé­rer convaincre les uns les autres d’appliquer des poli­tiques justes et radi­cales s’il le faut. Les ins­ti­tu­tions actuelles ne le per­mettent abso­lu­ment pas.

    C’est très dif­fi­cile d’imaginer un che­min condui­sant à des ins­ti­tu­tions plus démo­cra­tiques et sociales qui soit un che­min tota­le­ment apai­sé. Je veux dire, on aime­rait y croire mais on n’imagine pas, je pense en par­ti­cu­lier, un des pro­blèmes c’est qu’on s’est vrai­ment habi­tué pen­dant trop long­temps au sein de l’union euro­péenne et des pays euro­péens en géné­ral, y com­pris pour ceux qui n’en font pas par­tie comme la Suisse, à avoir le libre échange et la libre cir­cu­la­tion des capi­taux en échange de rien du tout, en échange d’aucune régu­la­tion col­lec­tive et fis­cale et sociale, et je pense qu’il fau­dra for­cé­ment pas­ser par une phase où des sanc­tions com­mer­ciales et cer­taines fer­me­tures sur la cir­cu­la­tion des capi­taux et des biens et ser­vices seront néces­saires. C’est-à-dire je ne peux pas ima­gi­ner que si les sanc­tions ne sont pas mise à exé­cu­tion… Alors c’est pas exac­te­ment la bombe nucléaire sur la Suisse, mais c’est quand même des formes de sanc­tions éco­no­miques, sociales fortes et c’est très dif­fi­cile d’imaginer un scé­na­rio où tout ça se passe tran­quille­ment… hein… »

    Réponse
  33. thierry

    Bon­jour à tous,

    Et si on pro­fi­tait de cette fin d’an­née et du renou­veau atten­du (astro­no­mi­que­ment) pour arrê­ter un moment d’a­li­men­ter la machine à réflexion dans le sens du mou­li­nage de méninges qui lasse un peu (auto­sa­tis­fac­tion d’être ensemble mais allure de parti/secte ;-)) et de faire un petit état des lieux, par exemple. On arrête, on souffle, on re-réflé­chit. Connais-toi toi-même, début de la sagesse…

    Posons des ques­tions, plein de questions…
    Quel est l’é­tat de la socié­té au jour d’aujourd’hui ?
    Quels sont les gens les plus à même d’être convaincus ?
    Quels sont ceux qui n’y vien­dront pas, même en ali­gnant les meilleurs arguments ?
    Sont-ce les argu­ments qui pêchent où sont-ils impos­sibles à comprendre/intégrer en l’état actuel ?
    Qui sont les gen­tils virus et com­ment sont-ils arri­vés là, d’où viennent-ils ?
    Pour­quoi tolé­rer les crèches dans le domaine public (zut, je m’é­gare aussi…quoique ) ?
    d’autres questions ?

    Une réflexion qui n’en­gage que moi bien sûr.
    Les « gens de gauche » qui sont/­de­vraient-être à prio­ri les mieux pla­cés pour com­prendre ne sont-ils pas dans les faits les plus réticents ?
    voir par exemple :
    http://​www​.gau​che​re​pu​bli​caine​.org/​c​h​r​o​n​i​q​u​e​-​d​e​v​a​r​i​s​t​e​/​b​i​l​a​n​-​2​0​1​4​-​l​e​s​-​g​a​u​c​h​e​s​-​o​n​t​-​r​o​m​p​u​-​a​v​e​c​-​l​e​s​-​c​o​u​c​h​e​s​-​p​o​p​u​l​a​i​r​e​s​-​l​a​-​d​r​o​i​t​e​-​e​t​-​l​e​x​t​r​e​m​e​-​d​r​o​i​t​e​-​s​e​n​v​o​i​e​n​t​-​e​n​-​l​a​i​r​/​7​3​9​1​9​5​1​#​m​o​r​e​-​7​3​9​1​951
    avec cette réflexion définitive :
    « Ce n’est pas la pro­li­fé­ra­tion des nou­veaux Jésus-Christ qui don­ne­ra une solu­tion à la crise glo­bale sys­té­mique que nous connais­sons. Ceux-là pro­posent de reje­ter tous les apports du mou­ve­ment ouvrier et de la Répu­blique sociale par une idée sim­pliste, une simple mesure qua­li­fiée de bon sens cen­sée régler tous les pro­blèmes de notre temps : sup­pres­sion de la démo­cra­tie repré­sen­ta­tive et de la démo­cra­tie directe au pro­fit d’un tirage au sort, sup­pres­sion des poli­tiques sociales au pro­fit d’un reve­nu à vie, etc. »
    Ont-ils vrai­ment com­pris que leur espoir de regrou­per les « forces de gauche » est vain ?
    L’extrême droite a récu­pé­ré nombre d’idées de gauche et toute une frange des couches popu­laires dont ils se reven­diquent encore. Ce n’est pas du tout pour appli­quer ces idées/revendications mais pour tout sim­ple­ment accé­der au pou­voir, comme l’a fait F.Hollande et ses aco­lytes lors de l’é­lec­tion pré­si­den­tielle, le pou­voir pour le pou­voir quitte à conti­nuer la poli­tique libé­rale du précédent.
    L’his­toire de la gauche et des luttes ouvrières empêche les mili­tants et les sym­pa­thi­sants de revoir leur croyances/postulats sous peine de se culpa­bi­li­ser ou pire d’être excom­mu­niés. Ils pour­raient se rendre compte que la lutte a tou­jours été menée dans le sys­tème exis­tant et non réel­le­ment contre lui, des gens sont morts pour obte­nir que le sys­tème lâche (dif­fi­ci­le­ment) du lest tout en res­tant le même.
    Ce n’est pas dire que c’é­tait négli­geable qu’il ne fal­lait pas, que les gens ont lut­té pour rien (des tas de choses ont été obte­nues, le temps gagné sur le tra­vail, l’é­man­ci­pa­tion des femmes…mais le sys­tème est tou­jours là, plus fort que jamais), pou­vait-on faire autre­ment dans une socié­té où une mino­ri­té (sou­te­nue par sou­vent une majo­ri­té) tient les rênes quoiqu’on fasse. La révo­lu­tion n’a jamais été envi­sa­gée à gauche, sinon en paroles. Tout cela met en port à faux le mili­tant. S’il pense autre­ment il lui parait mini­mi­ser ces luttes qui durent depuis plus d’un siècle. Suivre des idées qui ne pro­viennent pas direc­te­ment de leurs rangs/partis, c’est une démarche inen­vi­sa­geable. Rap­pe­ler que la gauche s’éloigne de ses bases ouvrières et qu’il fau­drait les retrou­ver est un sou­hait qui confine au vœu pieux. On ne revien­dra pas en arrière, il faut trou­ver autre chose pour se retrou­ver en phase avec cette popu­la­tion qu’on ne com­prend plus. Il n’est pas ques­tion de leur jeter la pierre, ni aux mili­tants, ni à la popu­la­tion, ce serait absurde, lut­ter pour défendre les autres ou sim­ple­ment les aider à vivre est néces­saire mais il faut juste consta­ter qu’on peut se leur­rer pour conser­ver à tout pris des convic­tions bien enracinées.
    C’est à gauche qu’on aura la plus grande résis­tance à une véri­table vision révo­lu­tion­naire (=remise en cause de ses propres idéaux) pour éta­blir une démocratie.
    Quant à la droite, il est impos­sible d’en­vi­sa­ger une quel­conque prise de conscience tel­le­ment elle est confite dans la réac­tion, dans la jus­ti­fi­ca­tion des inéga­li­tés et main­te­nant de plus en plus dans la religion.
    Alors qu’en pensez-vous ?

    Réponse
    • Jacques

      Bon­soir,
      Je par­tage votre vision des choses, mais je réponds plu­tôt sur le lien que sur vos ques­tions, par ailleurs légitimes :

      1) Ou bien les fran­cais doivent ré-apprendre le francais :
      http://fr.wikipedia.org/wiki/%C3%89tymologie_de_religion

      Il a trois éty­mo­lo­gies du mot reli­gion : Rele­gere = relire ; Rele­gare = relier ; et la « légère trans­for­ma­tion éty­mo­lo­gique » de Saint-Augus­tin, re-eli­gere = ré-élire…
      Donc pour moi, dans les trois cas, idéo­lo­gie = reli­gion , ou plu­tôt, idéo­lo­gie (les trois barres de l’i­den­ti­té mathé­ma­tique) religion… 

      2) Ou bien les gens de gauche devraient écou­ter les pen­seurs de gauche : 1h20 sur « Weber & Marx » par Michael Löwy :

      http://​vimeo​.com/​1​1​3​2​1​4​876

      Réponse
  34. J-Stéphane

    La poli­tique ce n’est pas une acti­vi­té ou une pro­fes­sion à laquelle on daigne accor­der un moment de sa vie. 

    La poli­tique c’est un mode de vie en socié­té, le citoyen fait de la poli­tique du matin jus­qu’au soir de sa vie, à la mai­son, à l’é­cole, dans la rue, au tra­vail, chaque choix de sa vie en socié­té est politique.

    La poli­tique est démo­cra­tique quand le peuple est à l’i­ni­tia­tive de ses choix, elle est oli­gar­chique quand il se fait impo­ser des choix.

    La poli­tique sera démo­cra­tique quand le plus grand nombre de citoyen pren­dra conscience de son pou­voir poli­tique au quo­ti­dien et qu’il se l’im­po­se­ra mal­gré l’adversité.

    Réponse
  35. Eliade Guy

    Ana­lyse claire, nette et pré­cise. Ça fait plai­sir de voir ce Mon­sieur en cra­vate défendre l’ huma­nisme de l’ expé­rience démo­cra­tique zadiste. Il est vrai qu’ il fait du ciné­ma expé­ri­men­tal (je dis cela sans en savoir plus) Ça change des dis­cours des idéo­logues de « la voix de son maître »
    Ça fait plai­sir qu’ il réaf­firme le droit des peuples à vivre comme ils le sou­haitent en dehors (autant que faire se peut) de la loi du mar­ché libre et faus­sé (je dis faus­sé car en effet il l’ est, c’ est quand même le riche qui fixe les prix .. ils me font rire jaune les néo-libé­raux qui ne tiennent pas compte de l’ accu­mu­la­tion du capi­tal quand ils parlent d’ un mar­ché non-faus­sé )… oui la liber­té des peuples, des com­mu­nau­tés et l’ ingé­rence pour fausse rai­son huma­ni­taire … savez vous que le Mali regorge d’ uranium ?
    Quel­qu’ un qui dit de quel droit mettre à genoux la rus­sie .. bravo
    En tout cas l’ angle d’ attaque fait exemple … c’ est pour notre com­bat, l’ angle de la sou­ve­rai­ne­té … ça et l’ autre angle est que nous ne sommes que des simples élec­teurs .. on se la pête comme dit Etienne mais nous ne sommes rien … car en plus nous sommes des élec­teurs contin­gents puis­qu’il n’y a ni quo­rum ni comp­ta­bi­li­té des votes blancs
    Bon par­don je me suis éloi­gné du sujet …

    Réponse
    • Eliade Guy
  36. Katharina

    Bonne année à tous et toutes !

    Réponse
  37. etienne

    La sur­veillance sur Internet
    Fabrice Epelboin
    Web2day 2014

    Réponse
    • Ana Sailland

      Big Bro­ther en construc­tion, ça a du sens.

      Réponse
  38. jeremie

    Salut Etienne,

    J’ai­me­rais vrai­ment que tu répondes à celle-là. Pre­mière fois que je poste, je suis du genre dis­cret, je creuse, je creuse, je creuse, dix ans s’il faut avant de me faire une idée.
    Je suis séduit par tes idées mais voi­là une colle : quand on lit la consti­tu­tion de la corée du nord (facile à trou­ver sur gogol) on est dans un monde par­fait ! ce qui me fait pen­ser que la consi­tu­tion fina­le­ment n’est pas la solu­tion. Le pro­blème de la consti­tu­tion est de la faire appli­quer ! Que réponds-tu à cela ?

    Réponse
  39. richard30

    Bon­jour Jérémie.
    Après avoir vision­né le docu­ment sur la « très nette » sur­veillance sur inter­net, j’ai lu votre com­men­taire : il me semble que vous man­quez de confiance dans les autres mais éga­le­ment dans vous-même.
    Les régles de contrôle et d’u­ti­li­sa­tion de la Consti­tu­tion doivent y être ins­crites impérativement.
    Ain­si, au sein de la Consti­tu­tion pour la 6ème Répu­blique, celle écrite par les citoyens et pour les citoyens, doivent impé­ra­ti­ve­ment y être écrites clai­re­ment et sans ambi­gûi­té, les règles déter­mi­nant l’im­pu­ta­tion des pou­voirs aux citoyens, dans leur ensemble et leur per­met­tant d’en péren­ni­ser le fonc­tion­ne­ment et le contrôle.

    Réponse
  40. J-Stéphane
  41. Wikicrate

    Pierre Carles et la télévision
    Chers amis contributeurs,
    Un deuxième extrait du film est désor­mais visible :
    http://​1n5o​.mj​.am/​l​i​n​k​/​1​n​5​o​/​g​w​7​x​w​s​2​/​3​/​h​i​h​9​B​v​p​K​8​k​S​j​g​5​K​Q​6​y​3​C​7​w​/​a​H​R​0​c​D​o​v​L​3​d​3​d​y​5​k​Y​W​l​s​e​W​1​v​d​G​l​v​b​i​5​j​b​2​0​v​d​m​l​k​Z​W​8​v​e​D​J​k​d​2​Q​z​O​V​9​w​a​W​V​y​c​m​U​t​Y​2​F​y​b​G​V​z​L​W​V​4​d​H​J​h​a​X​Q​t​Z​G​U​t​Z​G​V​t​b​2​t​y​Y​X​R​p​Y​V​9​z​a​G​9​y​d​G​Z​p​b​G1z
    Nous avons fran­chi la barre des 50% le 1er jan­vier et il nous reste 28 jours pour col­lec­ter le res­tant de la somme à atteindre. C’est main­te­nant que tout se joue, il ne faut rien lâcher ! Nous vous convions à faire une nou­velle fois la pro­mo­tion de notre lien de finan­ce­ment auprès de vos amis et contacts, sans oublier de leur pré­ci­ser que tous les contri­bu­teurs seront rem­bour­sés de leur par­ti­ci­pa­tion si le finan­ce­ment n’at­teint pas les 100%. Nous comp­tons sur vous.
    Mer­ci à tous, et vive le ciné­ma libre !
    Pablo Girault & Thier­ry Kruger

    Réponse
    • nlescan

      Fran­che­ment J Ste­phane quel est l’Intérêt de relayer de telles inep­ties ? La sois disant dou­zaine d’his­to­riens auraient aus­si écrit tous les ouvrages trai­tant de l’an­ti­qui­té grecque écris au cours de l’his­toire ? Ils ont pro­ba­ble­ment fabri­qué les ruines aus­si, et puis google « Gene Hadd­le­be­ry » : ça donne 5 reponses (à la mords moi l’noeud), le mec n’existe même pas… Tu por­rais au moins grat­ter un peu avnt de pos­ter un lien ou bien si c’é­tait pour se taper un bonne tranche de rigo­lade, je suis tout a fait pour, mais pré­cise parque pos­té comme ça on croi­rait que tu nous met une super info.

      Réponse
      • J-Stéphane

        Fran­che­ment, c’est ce type de dis­cours qui nous englue dans la discorde.
        Si je mets ici ce lien, c’est pour infor­mer de ce qui se dit, ici et là, il n’y avait là aucune infor­ma­tion sur ce que j’en pense (parce que le feu est pas­sé au vert).
        Par contre, toi, tu révèles une sérieuse ten­dance à la dis­corde, moi je pré­fère la concorde, donc ne comptes pas sur moi pour te suivre dans des débats ad homi­nem pué­rils, il y a des spé­cia­listes pour trai­ter ce type de pathologie…

        Réponse
        • nlescan

          Ce lien n’a rien d’une infor­ma­tion, c’est exac­te­ment le contraire et je ne t’ai pas atta­qué, j’ai émis un avis cri­tique au sujet de ton post… C’est mar­rant quand même comme un cer­tain grou­pus­cule de « regu­lars » locaux c’est c’est consti­tué en déten­teurs de la bien-pen­sance (ultra locale), se per­met d’u­ti­li­ser l’in­sulte allè­gre­ment mais ne souffre aucun retour de baton (par­fai­te­ment sym­tho­ma­tique de leur hypo­cry­sie ram­pante), qua­li­fie d’at­taques ad homi­nem le moindre ques­tion­ne­ment de leur atti­tude et se drape dans une pos­ture de déten­teur de la bienséance.

          Ce qui englue dans la dis­corde c’est de ne sup­por­ter aucune cri­tique et plu­tôt que d’ex­pli­quer sa démarche avec des argu­ments objec­tifs, quitte a admettre une erreur de temps en temps, on en fait tous. Ce qui englue dans la dis­corde c’est de trai­ter de fou son inter­lo­cu­teur (insulte encore et tou­jours) quand celui-ci vous oppose un contro­verse argumentée.

          Le niveau des com­men­ta­teurs régu­liers de ce site devient chaque jour plus faible et très éton­nam­ment extrê­me­ment éloi­gné, tant sur le fond que sur la forme, de la qua­li­té des inter­ven­tions de l’au­teur du blog.

          Par­fois je me demande si vous com­pre­nez ce que Etienne écrit et relaie, franchement.

          Et oui je suis méchant et soupe au lait, si tu veux, mais en fait pas tant que ça… c’est sur­tout que je suis un miroir mul­ti­pli­ca­teur : au départ je donne un avis et si l’in­ter­lo­cu­teur n’est pas capable de répondre et part dans l’in­sulte, la effec­ti­ve­ment ça se gâte.

          ça me fait quand même super rire les sois disant défen­seurs de la démo­cra­tie qui rejettent toute forme de débat.

          Réponse
          • J-Stéphane

            Qu’est-ce que j’t’ai dit, je ne suis pas psy, alors tu consultes ou tu vas dans ta chambre !

          • nlescan

            Tu n’as rien a répondre alors tu m’in­sultes, c’est pitoyable, allez je te laisse dans tes cherches de blogs à conte­nu délirants…

          • J-Stéphane

            Bilan, trouves-tu que ton com­men­taire avait plus d’in­té­rêt que mon lien ? Si oui, explique ta défi­ni­tion d’intérêt com­mun, puis­qu’il s’a­git ici de communiquer.

          • nlescan

            En effet, mon com avait pour objec­tif de résu­mer mon ana­lyse (rapide mais en même temps vu le niveau du conte­nu je n’a­vais pas besoin d’y consa­crer plus de temps) du conte­nu de ton lien et de pré­ve­nir que celui ci col­porte des men­songes (on est même plus dans la théo­rie dis­cu­table, c’est direc­te­ment du mytho, un enfant s’en ren­drait compte). 

            Au delà de cet aspect mon second objec­tif était de te faire com­prendre qu’il est sou­hai­table de véri­fier le sérieux de liens que l’on poste ici car E.C. est déjà suf­fi­sam­ment atta­qué pour qu’on vienne jouer les bou­lets per­met­tant de l’a­mal­ga­mer a des sites col­por­tant des conte­nus qui sont au delà du ridicule.

            Si la démarche est humo­ris­tique ou qu’elle consiste à signa­ler au faux par­fait, mais signale le, une fois de plus afin de ne pas don­ner de matière aux adeptes de l’amalgame.

            A ce niveau la d’ailleurs je ne suis pas content de moi lorsque je dérape car je sais que ça peut éga­le­ment contri­buer a des amal­games, en même temps si les régu­lars de ce blog ces­saient de s’of­fus­quer au moindre trait d’hu­mour et de m’in­sul­ter à la moindre contro­verse ça n’ar­ri­ve­rait plus.

            Sinon je n’ai pas de défi­ni­tion abso­lue de l’intérêt com­mun, déso­lé, j’es­time qu’il convient d’en débattre et cela peut don­ner lieu à d’é­ven­tuelles contro­verse si les avis divergent?. Ces contro­verses ont pour moi un carac­tère posi­tif si elles par­viennent à débou­cher sur un sou­hai­table consen­sus (la concorde se construit, elle ne se décrète pas) et même si ce n’est pas le cas leur inté­rêt est d’ex­po­ser et d’ex­pli­ci­ter les avis divergents. 

            Ci ces éven­tuelles contro­verses peuvent, d’après moi, conte­nir quelques images dro­la­tiques, raille­ries potaches et bou­tades, elles ne devraient pas aller dans l’in­sulte. A par­tir du moment ou on traite quel­qu’un de fou ou autres quo­li­bets il ne faut pas s’é­ton­ner d’a­voir un retour de flamme…D’ailleurs c’est pro­ba­ble­ment ce que cer­tains recherchent afin de se poser en victime.

          • J-Stéphane

            C’est bien parce que je trou­vais ça exces­sif que je ne trou­vais pas néces­saire de le com­men­ter sur le moment.
            Cela n’empêche qu’il ne faut pas pour autant faire l’au­truche face à une pro­pa­gande, il faut démon­ter la pro­pa­gande, ne pas la lais­ser s’im­mis­cer dans les esprits fra­giles, com­bien d’ab­sur­di­tés sont ren­trées dans la nor­ma­li­té parce que l’on n’a pas osé en par­ler, nous en sommes, aujourd’­hui plus qu’­hier dans cet état de cen­sure, et pire, d’au­to­cen­sure qui per­mettent au pire d’ad­ve­nir. Mer­ci de bien vou­loir excu­ser mon agressivité.

          • nlescan

            Pas de pro­blème et main­te­nant que tu l’ex­plique je com­prends pour­quoi tu as pos­té ce lien, c’est beau­coup plus clair et là ça ne laisse pas de place à l’a­mal­game. Tu as bien fait de nous signa­ler ce faux gros­sier puisque c’est pré­ci­sé­ment à ce genre de délires que l’on essaie de nous amalgamer.

  42. EFFAB

    « You can­not trust any politicians »…
    (un ami internaut)

    Réponse
  43. EFFAB

    Tri­bu­nal popu­laire ver­sus DSK, enfin, dscouille !…

    Réponse
    • Mic El

      j’ai du mal à croire, Effab, que tu te retrouve dans ce ‘vomi’?

      Réponse
    • EFFAB

      Pri­mo, c’est une mise en scène, il joue là un per­son­nage ; dans la vraie vie, il est beau­coup plus posé et poli.
      Secon­do, ce qu’il lui fait dire, à son per­son­nage, n’en reste pas moins en grande par­tie des bons coups de gueules qui font du bien à entendre, et qu’il ne me déplai­rait pas, dans cer­tains cas, d’ap­puyer de façon plus sen­tie à l’en­contre de ces tronches de cake ano­nymes ou gros CONNARDS de l’es­ta­blish­ment qui le méritent bien !
      Voilli voi­lou, mon idéa­lisme n’en est pas moins chose des plus concrètes et des plus pragmatiques_mais, pour cela, nous nous devons d’être un tan­tin­net plus nombreux.

      Réponse
    • Ana Sailland

      Et on fait quoi le 16 ?

      Réponse
    • EFFAB

      Cer­tains tra­vaille­ront quand d’autres pro­fi­te­ront comme d’ha­bi­tude de leurs vacances, j’imagine…

      (9h58, mer 25)

      Réponse

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