httpv://www.youtube.com/watch?v=0Q66npBPWes
Mon commentaire de ce formidable graffiti 🙂 :
Pour avoir un président des pauvres, il faut changer la constitution.
Et, pour écrire une constitution digne de ce nom, il faut des Gilets jaunes qui se transforment en citoyens constituants.
On n’a pas besoin de maîtres qui se déguisent en représentants, il nous faut des représentants qui restent les serviteurs du bien commun : ce sont des PROCÉDURES (de désignation et de contrôle et de révocation et de punition) qui peuvent garantir cette fiabilité des représentants.
Et c’est complètement idiot de laisser écrire et modifier ces procédures fondatrices par les représentants eux-mêmes !…
Voilà l’impasse politique où est coincée l’Humanité depuis toujours et dont les Gilets Jaunes sont en train de sortir, en se caillant sur des péages et des ronds-points, et en devenant constituants débutants, loin de Paris mais la tête bien sur les épaules.
Étienne.
Salut Etienne
Bravo pour ton action !
Pour le time code de la video ci dessus, je pense que tu l’as réglé 5 ou 10 secondes trop tard :
on n’entend pas la question de Bob, mais seulement ta reponse… je pense que ce serait plus percutant d’avoire aussi la question
!
Bonjour Monsieur Chouard,
Je vous ai découvert un jour sur FB à travers un reportages et là, vous m’êtes apparu comme une révélation… tout ce vous avancez me parle, et m’apparaît comme une évidence pour que nous sortions du chaos social dans lequel nous nous trouvons aujourd’hui.
Juste pour vous dire, même si je sais que vous ne le voulez peut être pas, que c’est vous que je choisirais si je devais désigner l’homme qui représenterait les gilets jaunes.
En ce moment on peut voir des gilets jaunes débattre à la tv face aux membres du gouvernement dont les débats sont dirigés par des médias appartenant aux plus grands groupes. Les gilets jaunes se font complètement déstabiliser et contrer par manque de connaissances et de culture du monde politique.…et c’est là que je me dis à chaque fois que vous face à eux… ce serait le début de la fin de cette fausse démocratie dirigée par les ultras riches.
Je retiens de la 1ère partie du live sur BTLV que dans l’immédiat les Gilets-Jaunes ne doivent surtout pas abandonner :
– La comptabilisation du vote-blanc
(annulation des Européenne si majoritaire)
– le R.I.C et ses 4 volets
A étudier pour la Constitution future :
– plafonner salaire et patrimoine
– Securité Sociale pour tous
– Tirage au sort
– souveraineté monétaire
– protectionnisme
– sortie de l’U.E telle qu’elle est?…
Et une grande inquiétude pour les violences
à venir ce samedi (surtout s’il y a en même temps
la marche pour la bio-diversité…)
Dans leurs négociations avec nos maîtres « élus »,
les Gilets Jaunes feraient bien de se souvenir de
la tromperie de « la nuit du 4 août » 1789 (expliquée par Henri Guillemin) :
Attention manipulation ,
J’ai organisè les 1er jours ; donc le 17 novembre , l’occupation de l’èchangeur Est de Carcassonne (Trèbes) en gilet jaune.
Hier samedi 7 dècembre à 14h30 je me suis fait virè publiquement et manu militari ( par une dizaine de personnes du groupe organisateur des gilets jaune « Carcassonne en colère » qui m’ont hurlè et sautè dessus ) car je « parlais de manière informelle et privè aux participants » et ceci ne plaisait pas aux » organisateurs » de « Carcassonne en colère » .
Ils m’ont menacè physiquement , hurlè « d’appeler la police » et me donnent l’ordre « de ne plus revenir ».
Ne voulant pas me battre je suis donc parti sous les cris de cette horde d’une dizaines d’individus.
Les gouttes qui pour eux ètaient de trop, c’est quant visiblement j’ai dit que ;
« les partis politiques n’ètaient pas la solution mais le problème »
Quant j’ai èvoquè le TDN THOR fin 2019 à malvèsie et la pollution radioactive pour les terres et l’eau .…
Quant j’expliquais le fonctionement de la dèmocratie direct , votations et tirage au sort des reprèsentants .…
Que la seule solution ètait pour moi la sortie de l’UE de l’OTAN du FMI .…
Ce que je pense ; c’est que à Carcassonne, sur l’èchangeur de trèbes avec « Carcassonne en colère », le mouvement est tenu par des millitants politique organisès avec un gourou, voulant garder le contrôle sur la population locale et la situation en
faisant croire que le mouvement est spontanè
, en le manipulant discrètement de l’interrieur , distribuer des informations dèformès , interdire la parole libre, èliminer les empecheurs de tourmer en rond , , … mais on est clairement face à un groupe constituè qui fait de la politique politicienne , tout en disant et faisant croire le contraire. Ce groupe a trahi l’espris des gilets jaune et n’est pas lègitime.
De quel parti ?
Curieusement on peut y voir des chaises venant de la mairie de Trebes ou des tentes de l’aglomèration de Carcassonne. Nous savons que mr Philippe Fougères à ètè assesseurs en 2011 à Caunes-Minervois au primaires pour le PS ? On peut voir des personalitès politique locale proche du parti communiste dans certaines initiatives ?
Est-ce partout pareil ?
Lorsqu’Étienne dit qu’on va avoir la Constitution qu’on aura écrite, ça veut dire que l’Assemblée Constituante origine de la base et non du Gouvernement ?
Heureux d’entendre Jean LASSALLE identifier Pompidou, ancien banquier, comme l’origine de la dette auprès des banques et du marché.
Il est intéressant de savoir comment on en est arrivés aujourd’hui là… où l’on a voulu nous mener, c’est à dire à « la servitude volontaire » des États en faveur du « monde de la finance » !
Mais rappelons tout d’abord l’origine des temps qui nous concernent :
Lois du 24 juillet 1936 (Front populaire)
et du 2 décembre 1945 (De Gaulle) :
Elles font de la Banque de France un “service public” et prévoient que son capital sera transféré à l’État le 1er janvier 1946. De Gaulle nationalise par ailleurs le secteur du crédit des banques commerciales privées.
Commencent alors les « Trente Glorieuses », et le « Circuit du Trésor » mis au point par son Directeur Bloch-Lainé (1947−1952), ancien trésorier de la Résistance, qui prévoit :
– les prêts et avances directs de la Banque de France au Trésor
– la souscription obligatoire des banques aux bons du Trésor à taux fixe imposé, leur montant minimum constituant un « plancher » révisable chaque année.
Ces trente glorieuses vaudront à la France une croissance double de celle des États-Unis.
LA DETTE :
COMMENT ON EN EST ARRIVE LA …
Note en 1963 du Premier ministre Georges Pompidou, ancien fondé de pouvoir du Groupe Rothschild, à son ministre des Finances Valéry Giscard d’Estaing :
« Les émissions du Trésor à court, moyen et long terme doivent s’adapter, par des mécanismes appropriés, aux conditions existant sur le marché monétaire et le marché financier ».
La note recommande les émissions « réalisées par voie d’adjudication, au détriment de celles correspondant à des souscriptions obligatoires à taux fixe pour se rapprocher davantage des conditions du marché », traduisant déjà la volonté de son auteur de renvoyer l’ascenseur à ses anciens maîtres en rendant la main au lobby bancaire.
Loi du 3 janvier 1973 :
Après la disparition de De Gaulle, l’ancien banquier devenu Président de la République (ça nous rappelle des choses !) fait entrer la « City » dans le Marché Commun le 1er janvier 73 et fait inscrire deux jours après, avant de disparaître à son tour l’année suivante, la loi qui stipule notamment : « Le Trésor public ne peut être présentateur de ses propres effets à l’escompte de la Banque de France ».
Cet article (n° 25) ne faisait qu’interdire un certain type de financement de la part de Banque de France, tout en laissant la possibilité d’utiliser d’autres instruments, sous réserve d’approbation parlementaire. Mais ces encours furent désormais limités à un montant maximal de 20,5 milliards de francs qui n’a pas été réévalué malgré l’inflation qui a suivi, de sorte qu’il a fallu augmenter les appels aux marché avec des taux d’intérêts qui ont fini par devenir importants et fait croître la dette d’une façon exponentielle.
Mais la Banque de France a ainsi perdu son statut de service public et l’État doit emprunter désormais auprès des banques commerciales, encore nationalisées… pas pour longtemps ! Car on va bientôt inaugurer « Les Trente Piteuses » :
1976–1981, Raymond Barre “meilleur économiste de France”, selon Giscard d’Estaing :
Après le premier élargissement européen, il abandonne “la préférence européenne” sous la pression libérale du Royaume Uni, tout en s’engageant d’emblée à respecter « la discipline monétaire » à l’allemande… ; il fera connaître au pays une inflation record jusqu’à 16% !
Parallèlement, la croissance chute alors de moitié à 2,5% et ce, comme le montrera plus tard Maurice Allais , de façon indépendante du choc pétrolier, car la croissance américaine, elle, resta inchangée, repassant au-dessus de la notre jusqu’à la période actuelle.
1982⁄83 : Le “tournant de la rigueur”
Après les nationalisations de 1981, François Mitterrand et son premier ministre Pierre Mauroy étaient censés remettre en selle l’ordre keynésien au service du plus grand nombre. L’espoir est rapidement étouffé, sacrifié sur l’autel de la construction européenne et de la « convergence » de ses économies, notamment en vue de la monnaie unique, à terme.
Mais laissons parler Jean Peyrelevade qui, dans son ouvrage de 2008, est plus disert qu’à l’habitude sur son rôle de principal protagoniste de ce tournant auprès de Pierre Mauroy::
“En fait, les plans de redressement de 1982–1983 permirent à la fois de corriger les fantaisies des premiers mois de la gestion mitterrandienne et, plus structurellement, de terminer l’adaptation de l’économie française à la nouvelle donne internationale : il y eut dans notre action, pour une part significative, comme une sorte de reliquat de correction barriste… [On ne saurait mieux dire!]
Bien entendu, la brutalité de la thérapeutique, appliquée sur un temps relativement court, n’alla pas sans effets secondaires. De 1982 à 1984, le taux de croissance de l’économie française fut divisé [encore et toujours, comme pour Monsieur Barre!] par deux (de 2,4% à 1,2%) tout en restant positif, à un niveau que nous considérerions aujourd’hui comme médiocre mais acceptable. Simultanément, en 1983 et 1984, le pouvoir d’achat des ménages subit une légère diminution (-0,1% puis ‑1,1%), ce qui était conforme à la politique suivie” [sic] !
1986 : Acte unique européen (J. Delors)
« Le marché intérieur comporte un espace sans frontières intérieures dans lequel la libre circulation des marchandises, des personnes, des services et des capitaux est assurée [… Le Conseil] s’efforce d’atteindre le plus haut degré de libération possible. L’unanimité est nécessaire pour les mesures constituant un recul en matière de libération des mouvements de capitaux. »
1986 : Loi Bérégovoy sur la dérèglementation financière déréglementation, désintermédiation, décloisonnement, désinflation).
Le chef de Cabinet du ministre, le très libéral Jean-Charles Naouri,dépêché auprès de lui à cet effet, a été récompensé depuis par le système qui l’a nommé PDG du Groupe Casino. Bérégovoy, lui, s’est suicidé après l’échec mémorable de la gauche aux élections législatives.
1988 : la France accepte le principe de la fin du contrôle des changes et la liberté de circulation des capitaux – sans créer une harmonisation fiscale entre Etats. La directive Delors-Lamy prévoit la libéralisation complète du marché des capitaux pour 1990.
1990 : forte diminution de la fiscalité sur les revenus du capital
1992 : le traité de Maastricht institue l’Union économique européenne, prélude à la monnaie unique :
« toutes les restrictions aux mouvements de capitaux entre les États membres et entre les États membres et les pays tiers sont interdites »
L’article 104 du Traité de Maastricht (mis en application le 1 er janvier 1993) spécifiait :
« Il est interdit à la BCE et aux banques centrales des Etats membres, ci-après dénommées « banques centrales nationales », d’accorder des découverts ou tout autre type de crédits aux institutions ou organes de la Communauté, aux administrations centrales,aux autorités régionales ou locales, aux autres autorités publiques, aux autres organismes ou entreprises publics des États membres ; l’acquisition directe, auprès d’eux, par la BCE ou les banques centrales nationales, des instruments de leur dette est également interdite.
1993 : Emprunt Balladur (ancien chef de cabinet de l’ancien banquier Pompidou)
Celui-ci entreprend de vendre les « bijoux de famille » que De Gaulle et le Conseil National de la Résistance avaient nationalisés à la Libération, en commençant par le secteur bancaire.
Parallèlement, il réussit durant son mandat le tour de force de la plus forte augmentation de la dette publique… !
1998 (Chirac / Jospin / Strauss-Khan):
Achèvement des privatisations et création d’un régime fiscal avantageux pour les stock-options. Lorsqu’intervient l’introduction de l’euro en 1999, il ne reste plus aucune des grandes entreprises nationalisées à la Libération et en 1981.
Mai 2005, Référendum sur la Constitution européenne :
Adoubée par tous les notables et l’immense majorité des parlementaires, la constitution qui voulait graver cela dans la marbre est rejetée par les peuples français et hollandais. La Commission Européenne arrête les frais et interrompt la consultation originellement prévue dans le reste de l’Europe.
Décembre 2007, Traité de Lisbonne (Sarkozy et Merkel):
Les deux s’entendent pour faire voter aux seuls parlementaires, dans toute l’Europe, l’adoption des mesures économiques rejetées par voie référendaire, ceci par dessus la tête des peuples… et de notre Conseil Constitutionnel dont les membres éminents n’y voient rien à redire !
Son article 123, entérinant l’article 104 du traité de Maastricht, stipule notamment :
“Il est interdit à la BCE et aux banques centrales des Etats membres, ci-après dénommées banques centrales nationales, d’accorder des découverts ou tout autre type de crédit aux institutions ou organes de la Communauté, aux administrations centrales, aux autorités régionales ou locales, aux autres autorités publiques, aux autres organismes ou entreprises publics des états membres ; l’acquisition directe auprès d’eux, par la BCE, ou les banques centrales nationales, des instruments de leur dette est également interdite.”
On inaugure ainsi « Les Calamiteuses »
….. OU L’ON A VOULU NOUS MENER :
Maurice Allais, dès 1976 :
“En abandonnant au secteur bancaire le droit de créer de la monnaie, l’État s’est privé en moyenne d’un pouvoir d’achat annuel représentant environ 5,2% …”
Maurice Allais, Prix Nobel d’économie en 1988 :
“Dans son essence, la création de monnaie ex nihilo actuelle par le système bancaire est identique à la création de monnaie par des faux monnayeurs. Concrètement, elle aboutit aux mêmes résultats. La seule différence est que ceux qui en profitent sont différents.”
André-Jacques Holbecq, Philippe Derruder :
(La dette publique, une affaire rentable. A qui profite le système ? Editions Yves Michel, Mai 2008)
“Délibérément, l’État a transféré sur le système bancaire privé son droit régalien de création monétaire. Sans que cela ait donné lieu au moindre débat public, on a privatisé l’argent de sorte que nous, peuple soit-disant souverain, devons maintenant acheter notre propre monnaie auprès des banques…
Depuis, l’État, c’est à dire nous tous, doit payer un intérêt à ceux qui achètent des instruments de cette dette (40% de résidents, 60% de non-résidents). Au fil des années, cet argent distribué aux plus riches plombe les finances publiques et nous voila entraînés dans une spirale infernale : recourir sans cesse à de nouveaux emprunts pour couvrir le déficit qui, comme par hasard est toujours proche du montant des intérêts…
En réalité, le transfert, qu’il soit celui d’aujourd’hui ou de demain, ne se fait pas d’une génération aux suivantes, mais entre couches sociales : ce sont les contribuables d’aujourd’hui qui paient les rentes versées aujourd’hui à ceux qui en bénéficient ; ce seront les contribuables de demain qui verseront ce qui sera dû, demain aux héritiers des détenteurs de la dette… Le risque est que les travailleurs pauvres de la génération suivante soient obligés de payer ces intérêts (par leurs impôts indirects, par exemple) aux détenteurs déjà riches peu imposés sur leurs revenus du capital.”
Extrait de la préface d’Étienne Chouard :
« Tous les citoyens devraient parfaitement connaître les mécanismes élémentaires de la création monétaire et de la dette »
« On nique pas le système en voulant le détruire
on le nique en construisant sans lui »
Kenny Arkana
Citation telle quelle, c’est cru, c’est pas académique, mais c’est une excellente option de direction de penser l’avenir prochain.
Antoine
Le professeur Chang avait vu juste 😉
https://youtu.be/UOadagqruHg
…petit rappel
Apprendre en agissant.
Le message d’Hadrien ci dessus paragraphe de conclusion :
OÙ L’ON A VOULU NOUS MENER
Et bien Gérard Foucher dans ces deux vidéos ci-dessous nous explique parfaitement bien le « phénomène » de la monnaie. Comme il est répété ci-dessus, – tous les citoyens devraient parfaitement connaître les mécanismes élémentaires de la création monétaire et dette -.
Si on ne veut pas tourner en rond politiquement indéfiniment…
CETTE CONNAISSANCE MINIMUM DE LA MONNAIE EST INCONTOURNABLE !!
Entre autres, c’est pour ça que l’ Europe » et l’euro font partie des clés de cette prison économique et sociale dont il faut sortir :
Ci-dessous par Gérard Foucher :
Spécial Flash – 24 janvier 2017 (19 minutes)
https://youtu.be/AfQl_zZiN7Y
et
Y’A PLUS DE SOUS ! – 17 septembre 2014 (21 minutes)
https://youtu.be/MNmXH0G4cx0&t=65s
« 2019 en France selon les Rothschild – hypotheses »
https://youtu.be/PwEQ4mIq3jM
« Gilets jaunes Acte IV : Samedi il y aura des morts »
http://leschroniquesderorschach.blogspot.com/2018/12/gilets-jaunes-acte-iv-samedi-il-y-aura.html#more
⚠️ GILETS JAUNES ACTE 4 – Ce que vous devez savoir !
L’HEURE DE SE REVEILLER
https://www.youtube.com/watch?time_continue=14&v=J18zukKyDZs
Maxim Nicolle, que révèle ses révélations ? #giletsjaunes
https://www.youtube.com/watch?time_continue=23&v=K6D8–D8ApE
en com :
« Moi ce gars là il me rappelle le type dans la couverture the economist 2016 qui porte une casquette à l’envers et qui au dessus de sa casquette porte une petite licorne, licorne qui symbolise la vengeance et tout un tas d’autres choses et comme par hasard le mr Mystère n’est autre que Philippe Argilier un homme qui » veut se venger de l’élysé » et sur la couverture l’homme en casquette à l’envers à un fusil derrière la tête et Maxime ne cesse de répéter que sa vie est en danger, c’est peut être une coïncidence mais sa fait beaucoup je trouve »
argilier ami de jacques médecin – mafieux, ancien maire de Nice
Pas de porte-parole
non au pacte de Marrakech
Oui au RIC
On reste concentré 🙂
#15 des Tendances
Maxime Nicolle présente enfin le mystérieux Monsieur X
par La dissidente – Agoravox
vendredi 7 décembre 2018
https://www.agoravox.tv/tribune-libre/article/maxime-nicolle-presente-enfin-le-79596
Le front commun syndical active un préavis de grève à la police les 13 et 14 décembre
…syndical…ça sent le roussi… ???
https://francais.rt.com/france/56315-meme-combat-que-gilets-jaunes-syndicat-police-depose-preavis-greve
Insurrection : 8 Décembre, Pacte mondial des migrations, le chaos à nos portes – RDP 9/12/18
https://youtu.be/d6T8Rn_uhS0
…et si tout ça avait été fomenté de toute pièce…
Pierre Hillard nous a peut-être donné des pistes…
Actu au Scalpel #28 : #GiletsJaunes – Acte 4 et Charte des 25 revendications
Salim Laïbi Le Libre Penseur
https://youtu.be/11MlD8xAJUQ
Le mouvement des gilets jaunes vu par Monique Pinçon-Charlot
https://youtu.be/MV4Q-MJpb7o
J’SUIS PAS CONTENT ! #202 : En Marche VS GJ : Florilège d’incompétence !
https://youtu.be/xJrGBxjqACw