35 ans de promesses d’Europe sociale : vol de crapules au-dessus d’un nid de cocus. Ça fait 150 ans que les travailleurs sont roulés par des vendus d’extrême droite (escrocs politiciens au seul service des 1% privilégiés) fallacieusement autoproclamés « socialistes »

22/05/2014 | 18 commentaires

httpv://www.youtube.com/watch?v=qzV52nNCvB0

Après s’être remé­mo­ré ce tis­su de men­songes éhon­tés, y aura-t-il encore des gogos pour « voter socialiste » ?

Hen­ri Guille­min explique la genèse de l’es­cro­que­rie « répu­bli­caine », avec Thiers et son par­ti dit « centre gauche » : un faux « socia­lisme » pour endi­guer le vrai socialisme :

httpv://www.youtube.com/watch?v=OKNGtKi4Mfw&feature=player_detailpage

Marre de la gauche de droite, marre marre marre !

Pour m'aider et m'encourager à continuer, il est désormais possible de faire un don.
Un grand merci aux donatrices et donateurs : par ce geste, vous permettez à de beaux projets de voir le jour, pour notre cause commune.
Étienne

Catégorie(s) de l'article :

18 Commentaires

  1. J-Stéphane

    Por­tiques éco­taxe, comme un air de déjà vu ; les bar­rières de l’octroi.

    « Si le 14 juillet 1789 a une valeur sym­bo­lique dans la mémoire des Fran­çais, l’attaque, le pillage, la des­truc­tion et l’incendie des nom­breuses bar­rières de l’octroi qui cein­tu­raient Paris repré­sentent un épi­sode moins connu. Cette péri­pé­tie est relé­guée à un niveau moindre, comme si cette phase était la suite logique des ten­sions qui culmi­naient depuis le début du mois de juillet et dont l’aboutissement évident serait la prise de la Bas­tille, aven­ture qu’il est digne de racon­ter, car cette der­nière mar­que­rait le début du règne de la liber­té. De fait, peu de lignes, peu d’explications ont été écrites sur cet évé­ne­ment qui, pour­tant, pré­cède la prise de la Bastille.

    Dans son livre monu­men­tal sur le fau­bourg Saint-Mar­cel, Haïm Burs­tin consacre plu­sieurs pages aux bar­rières et aux consé­quences immé­diates et ulté­rieures qu’elles eurent auprès de la popu­la­tion et du pou­voir. Si l’auteur exa­mine plus atten­ti­ve­ment ce qui se passe dans les quar­tiers qu’il étu­die, il pointe du doigt un aspect… »

    http://​ahrf​.revues​.org/​1​2​765

    Réponse
  2. Gérard GILBERT

    « vol de cra­pules au-des­sus d’un nid de cocus ».
    J’a­dore cette expres­sion que j’au­rais aimé avoir trou­vée ! Puis-je la reprendre ?
    J’ai la même pas­sion que vous pour ce grand « bon­homme » qu’é­tait Hen­ri Guille­min. Ah si l’on nous avait ensei­gné l’His­toire de France comme il l’a fait !
    Mer­ci cher Etienne ! Le fait que des gens comme vous existent encore me récon­forte et m’empêche de déses­pé­rer com­plè­te­ment ! Bra­vo et conti­nuez votre com­bat, « notre » com­bat pour une socié­té enfin « juste » et une démo­cra­tie enfin « authentique » !

    Réponse
  3. mettra

    Très éclai­rante, votre vidéo sur les pro­messes d’Eu­rope sociale, évi­dem­ment non tenues. Et la répé­ti­tion, dans ce domaine, ne crée pas la satié­té ! On se demande si, en les lan­çant, ces pro­messes, leurs auteurs y croient même encore. Mais ce n’est pas le sujet…Ce que l’on peut trou­ver « désar­mant », c’est le cynisme de ces diri­geants, sui­vis par tous leurs affi­dés des par­tis offi­ciels. Le der­nier exemple en est la « dési­gna­tion/p­seu­do-élec­tion » du nou­veau Pré­sident de la Com­mis­sion euro­péenne, le grand réfor­ma­teur défen­seur entre autres de l’har­mo­ni­sa­tion sociale, M. Jun­cker. Cette ficelle-là, on aurait pu pen­ser que les scé­na­ristes hési­te­raient à l’u­ti­li­ser, vu l’é­nor­mi­té de l’imposture…Eh bien, non « ça » aus­si ça passe…Le pro­blème, c’est qu’a­vec l’im­pu­ni­té des for­faits, l’im­pu­dence de ceux qui les com­mettent, ou celle de leurs com­plices, s’ac­croît. Leurs pro­chains objec­tifs : le Trai­té Trans­at­lan­tique et l’ex­ten­sion de l’U.E. à une Ukraine certes réduite de sa part orien­tale, mais offrant de nou­velles pos­si­bi­li­tés de délo­ca­li­sa­tions d’in­dus­tries alle­mandes essen­tiel­le­ment. Voi­là les deux prio­ri­tés du pro­gramme quin­quen­nal de la nou­velle Commission.

    Réponse
    • 222

      Ce Jun­cker-là ( t’y parles d’un Joker !), lui aus­si, si quel­qu’un veut bien en faire un exemple et un pseu­do-mar­tyre, ce ne sera cer­tai­ne­ment pas une grosse perte, le moins qu’on puisse dire.

      MAXIMILIEN

      Réponse
  4. Katharina

    si tu veux mon avis, Atti­la a l’air d’un obsé­dé malade qui vient de regar­der pen­dant 4 heures par le trou de ser­rure dans la chambre de la femme de ménage. Ca y est, ils dégé­nèrent pour du bon…

    Réponse
    • Ana Sailland

      C’est vrai qu’au début,quand il se cure les dents, il a un petit air fri­pé qui auto­rise des hypo­thèses osées sur une déchéance prochaine. 

      Mais plu­tôt que sur l’as­pect, qui n’est peut être qu’une ruse de plus, je me penche sur le discours.

      Depuis quelques années, JA se la joue boud­dhiste, ou new age, ou pro­gam­ma­tion neu­ro lin­guis­tique (TNI), qui aurait conver­sé toute une nuit avec Kri­sh­na sur l’ac­tion dans le déta­che­ment épa­noui, ou serait membre actif d’une loge scien­to­logue tein­tée de méthode Coué :
      C’est grande per­ver­sion que de louer l’é­pa­nouis­se­ment au tra­vail (poten­tielle réa­li­té heu­reuse, c’est vrai, mais dans la civi­li­sa­tion du don acra­to­pège, et cer­tai­ne­ment pas dans celle du capi­ta­lisme anxio­gène) et dans le même temps de sou­te­nir un pro­jet poli­tique qui pro­pose de ren­for­cer l’a­vi­lis­se­ment au tra­vail, et de réduire les pro­tec­tions pro­mises par l’ar­ticle 23 de la DUDH, tout cela fleu­ri de grandes idées que je pour­rais sou­te­nir si elles n’é­taient pas le cache sexe d’un viol en bande organisée.

      L’an­ti-socia­lisme du par­ti pré­ten­du socia­liste prend l’as­pect du maquillage bla­fard d’une volon­té bar­bare, par la pour­tant noble phi­lo­so­phie de l’en­ga­ge­ment, mais ici réduite à cos­mé­tique mensonge.

      Ce type est un salo­pard car pour habiller le crime il use de la sainte espérance.

      Besan­ce­not tient la route, mais sans contes­ter le prin­cipe oli­gar­chique. Un ami inutile.

      Réponse
      • Katharina

        oui, jus­te­ment, ce n’est pas à cause de la curée des dents que j’ai dit cela. le tout, le tout : men­tir com­plè­te­ment sans gêne mais en même temps d’être tota­le­ment per­ver­ti dans le rap­port humain, c’est pour­quoi mon image. Il a joué là la comé­die du mec­ton à qui les pro­po­si­tions des non-élites sont hono­rables mais inutiles et c’est triste mais vrai que Besan­ce­not a été vache­ment trop poli et n’a pas pron­con­cé la vraie cause des causes : ce sont des salo­pards per­ver­tis. MAIS ils ne connaissent qu’une seule direc­tion, ils ne sont pas très habiles en fait, juste bru­taux, puisque trop sûrs d’eux, ils oublie­net de se cacher. Donc il faut bien regar­der leurs comportements.
        D’ailleurs Karad­zic l’as­sas­sin de la Ser­bie s’est caché dans un camp éso­thé­rique où il s’est fait pas­ser pour un grand méde­cin. Les gens l’ont cru, mais un jour il a été décou­vert et mis au pri­son. Ces gens-là n’ont pas la vie tran­quille. Ils savent qu’en fait il suf­fit par­fois d’un coup d’al­lu­mette. Mais là il joue encore sa comé­die. Ils sont vache­ment trop gen­tils les gens ! pour­quoi ne pas dire la véri­té brute devant les télé­spec­ta­teur en direct ? Une occa­sion unique ! Arrê­tez de res­ter polis !
        Conseil de film : « Le jour­nal d’une femme de chambre » de Luis Bunuel ! Ana­lyse brute, mais enjouée. Regard blas­phé­mique et humain. Génial. Régal.

        Réponse
        • 222

          Je m’en tiens à cette seule image de la vidéo en lieu, étant dans l’im­pos­si­bi­li­té actuel­le­ment de vision­ner la moindre vidéo.
          Besan­ce­not nou­veau look, loin du fac­teur et de cette image moins léchée, moins consen­suelle… quant à ATTILA, que dire, qu’es­pé­rer d’un tel per­son­nage sinon l’in­vi­ter à vite chan­ger son fusil d’é­paule sous peine d’y lais­ser les quelques plumes qu’il lui reste.

          LE GÉNÉRAL

          Réponse
        • 222

          de la vidéo en ‘lien’…

          Réponse
        • Ana Sailland

          Katha­ri­na, tu as l’air d’ai­mer Bunuel puisque tu nous l’as déjà suggéré.
          Il y a 31 ans à Lau­sanne nous avons eu droit à la ciné­ma­thèque à une inté­grale. Un vrai régal. N’ai rien loupé.
          Mais en ce temps là je n’en per­ce­vais la por­tée qu’à demi, dans le plai­sir de se voir bous­cu­lée dans l’i­ro­nie gron­çante et décalée.
          Mais il y a plus, n’est ce pas 🙂

          Réponse
          • Katharina

            « se voir bous­cu­lée dans l’ironie gron­çante et décalée. »
            ah, c’est com­plè­te­ment faux. Et puis j’aime les artistes clairs, pleins d’es­prit et lucides. Voi­là Bunuel. Va revoir avec ton oeil d’au­jourd’­hui les grands films que tu as vu il y a 20 ans – ils ont tout pré­vu ET ana­ly­sé. Réduire Bunuel à l’i­ro­nie gron­cante et déca­lée est un peu boof – c#est ce qu’on nous a dit à l’é­cole , mais cela ne veut pas dire que c’est juste.
            Donc je vais conti­nuer à pos­ter ce que je trouve utile aujourd’­hui, Ana.

          • Ana Sailland

            Mais il y a plus, n’est ce pas 🙂 , disais-je

        • Jacques

          (Pos­si­bi­li­té de sous-titres en francais.)

          Réponse
        • Ana Sailland

          Nous étions par­tis sur la loi Macron.
          Il me semble qu’il sera dif­fi­cile à l’ar­tiste d’être le spec­ta­teur heu­reux de sa créa­tion s’il est cais­sier à Car­re­four ou Lidl le dimanche matin, et sans défense et sans droit.

          Cepen­dant j’ai vu dans les vil­las mise­rias (bidon­villes) des enfants mal­nu­tris, voire dénu­tris, mais plus heu­reux que cer­tains de nos ados en Nike. Cela parce qu’ils vivaient dans l’in­ten­si­té (et dans un contexte de vraie rela­tion humaine)

          Si le mal­heur et la souf­france sont faciles à expli­quer, la loca­li­sa­tion du bon­heur est plus mys­té­rieuse. Sa source.
          Et c’est tout l’in­té­rêt de cette vidéo 🙂

          Savons nous mal­gré les cir­cons­tances choi­sir entre deux états de perception ?
          Est ce natu­rel ou apprentissage ?

          Nous pouvons/devons nous y intéresser.

          Une cer­taine façon de voir entendre goû­ter et sen­tir, dans l’in­ten­si­té non cris­pée, peut être.
          Ou bien une éco­lo­gie de l’at­ten­tion qui fait s’ou­vrir le regard sur un autre pay­sage que le tout venant.

          Inté­res­sante est l’al­lu­sion du confé­ren­cier au nombre maxi­mum de bits que le cer­veau peut trai­ter. Dans cette optique scien­ti­fique, il me semble qu’une par­tie de notre maigre débit doit être en per­ma­nence consa­crée à l’ob­ser­va­tion neutre de ce qui est vécu, ceci afin que ce qui est vécu soit per­çu dans toute sa splen­deur conti­nue. Sans ce choix déli­bé­ré d’af­fec­ta­tion d’une par­tie consé­quente de nos capa­ci­tés à la veille atten­tive, le bon­heur sera inexis­tant car mas­qué par toutes les sol­li­ci­ta­tions, dési­rs, peurs, frus­tra­tions, et même jouissances.

          Dans les Upa­ni­shad on voit deux oiseaux jumeaux côte à côte, l’un picore et l’autre regarde.
          Nous pou­vons y voir celui qui vit et celui qui se voit vivre.
          Ou le robot bio­lo­gique qui sans la conscience n’est rien.

          (le texte upa­ni­shad est facile à trou­ver avec moteur de recherche)

          Réponse
        • Jacques

          En fait, il y a plu­sieurs élé­ments qui en fait une vidéo utile :
          Déjà c’est un vrai psy­cho­logue, donc la mon­tagne Atta­li se voit dépas­sé par une mon­tagne plus haute dans un domaine qui n’est pas le sien.
          À un moment, il montre qu’une hausse de salaire n’aug­mente pas le bon­heur res­sen­ti, donc preuves à l’ap­pui l’hu­bris est mesu­rable et dénon­çable (non pas pour une chasse aux sor­cières, il ne s’a­git pas de sor­tir les guillo­tines, mais bien d’y voir une cause struc­tu­relle dans la faillite du sys­tème consu­mé­riste global).
          Je vois sur­tout un argu­ment pour le reve­nu de base /salaire à vie / divi­dende uni­ver­sel = non, les gens ne feraient pas rien, l’é­man­ci­pa­tion du « flow » pour tous vien­drait en contre­par­tie d’une par­ti­ci­pa­tion dans la vie com­mune, qu’elle soit prag­ma­tique & pra­tique de tout les jours ou en réfé­rence à l’art, à l’in­tel­lect, et autres biens com­muns qui devraient être tota­le­ment gra­tuits et tota­le­ment accessibles.
          Et pour le tra­vail (celui de l’ar­ti­san, qui passe des années à per­fec­tion­ner son art), l’ar­gu­ment « ce sont les livres qui nous appellent » est équi­valent ici, encore fau­drait-il avoir des for­ma­tions acces­sibles pour tous (et gra­tuites, pos­si­ble­ment nour­ri, loger, blan­chi… sans retom­ber chez les com­pa­gnons non plus… plu­tôt la convi­via­li­té de l’ar­ti­san qui est retri­bué par l’é­tat pour la for­ma­tion qu’il dis­pense), mais là je donne presque rai­son à Atta­li, sauf qu’i­ci « maître » devient « arti­san de son oeuvre » sur qui on s’ins­pire par neu­rones miroirs inter­po­sés, dans une com­mu­ni­ca­tion bien réelle et sur quelque chose de bien concret, loin de l’é­co­no­misme divinatoire. 

          Ensuite il est clair que pour les tra­vaux pénibles, l’u­sine, la robo­ti­sa­tion comme Jorion l’ap­pré­hende peut être la solu­tion : tout robot qui rem­place le tra­vail de l’homme doit payer les salaires des ouvriers (ie pour tout type de robots = future caisse natio­nale des salaires, soyons opti­mistes!) et non le capi­tal (ou inver­ser les pour­cen­tages si l’in­ves­tis­se­ment n’est pas natio­na­li­sé mais on reste dans la logique de la guerre du capi­tal destructo-anti-créatrice.)
          J’a­vais eut une idée, je ne sais pas les tenants & about­tis­sants, mais on voit dans l’in­dus­trie deux types de com­por­te­ments : soit le financier/manager décide en amont et rend les choses en aval absurde au sens pra­tique, ou inhu­maine dans l’es­cla­vage mon­dia­li­sé, soit l’ingénieur/manager vient impo­ser sa nou­velle méthode comme un petit chef du haut de son jeune diplôme dans une équipe poten­tiel­le­ment déjà bien rôdée (pro­cé­dé machia­vel). Pour y remé­dier, il fau­drait qu’à chaque niveau de responsbilité/salaire, on ait connut et tra­vaillé sur cha­cun des postes qu’on dirige, avec tous les tenants & abou­tis­sants que cela implique (j’ai bien rit quand Mon­te­bourg a prit des cours à l’In­seed…). Et si l’in­ves­tis­se­ment reste pri­vé, peut-on impo­ser que l’ac­tion­naire mette la main à la pâte et connaisse les tenants et abou­tis­sants de cha­cun des postes dont il a besoin pour se faire du pro­fit ? (Variante au pro­fit du capi­tal indexé sur temps d’in­ves­tis­se­ment, sans tom­ber dans l’an­ti-intel­lec­tua­lisme / anti-bour­geoi­sisme pri­maire type maoïste, mais « direc­tion » vers des entre­prises à échelle humaine. )

          Enfin la ques­tion internationale :
          1) Déjà, comme Lor­don, on peut dire que c’est la mon­naie et l’in­ves­tis­se­ment qui sont à la fois le pro­blème et la solu­tion, mais, tout type de sou­ve­rai­ne­té confon­due, c’est bien au niveau natio­nal que l’on peut reprendre les manettes. Reste au citoyen à se prendre en main et au peuple à vou­loir écrire une nou­velle consi­tu­tion. Et si les autres peuples font de même, alors on peut recon­si­dé­rer l’eu­rope, le monde.
          2) Pré­sen­te­ment, il s’a­git de faire des liens avec des vrais gens qui veulent une vraie jus­tice dans leur propre pays, on échange nos visions locales, inter­po­sés, mon­diales pour mettre à plat les média-men­songes (d’ailleurs il fau­drait tra­dui­re/­sous-titrer en un maxi­mum de langues toutes les ini­tia­tives éman­ci­pa­trices)… il faut que les euro­péens et a for­tio­ri les humains se disent des fran­çais : « ils l’ont fait ! », ou du moins, « ils sont prêts à le faire ! »… « et nous ? »
          3) Le pro­blème avec la misère et en par­ti­cu­lier celle à l’é­tran­ger (par l’exo­tisme por­teur de sté­réo­types), c’est qu’elle nous porte entre com­pas­sion et altruisme : dans l’un on donne notre empa­thie et en échange on reçoit des images de souf­france, donc on se « dés­éner­gise » en voyant les mal­heurs de toutes parts ; dans l’autre, l’empathie est vue comme néces­saire à l’ap­pren­tis­sage et sine equa non pour se remettre d’un trau­mas (la misère étant un trau­ma), mais ici on donne les moyens pour que l’autre se remette : ce qu’on donne nous reviens en voyant le bien qui s’est déve­lop­pé. Donc altruisme glo­bal et empa­thie dans l’ac­com­pa­gne­ment ponctuel&local.
          4) Entre ingé­rence, trans­pa­rence, RG, monar­chie mili­ta­ro-déci­sio-pré­si­den­tiel, géo-poli­tic0-éco-stra­té­gie… il fau­drait faire redes­cendre les débats de la ques­tion inte­na­tio­nale au niveau du peuple, que se soit au par­le­ment ou dans une chambre tout ou par­tie tirée au sort = mul­ti­na­tio­nales au pre­mier rang des accu­sés ; inco­hé­rence diplo­ma­tique fran­çaise, qui se veut éthique, au second (col­lu­sion Ota­nesque, pas­sé colo­nial et j’en passe).

          Du reste, je suis tou­jours assez d’ac­cord avec vos commentaires !

          Réponse

Laisser un commentaire

Derniers articles

[Dérive du pouvoir scolaire] Le préparateur – Alain, 25 août 1906

[Dérive du pouvoir scolaire] Le préparateur – Alain, 25 août 1906

[LE PRÉPARATEUR] Un nouvel examen vient d'être institué, à la suite duquel on pourra recevoir un certificat d'aptitude aux fonctions de magistrat. Il en sera de cet examen comme de tous les autres, il donnera de bons résultats au commencement, et de mauvais ensuite....