Dr Martin au Parlement européen – 20 minutes essentielles : le Covid et sa longue préparation criminelle

31/05/2023 | 3 commentaires

Notre espèce humaine a vrai­ment un sacré pro­blème avec le contrôle des pou­voirs, par­tout sur terre.
Ici, c’est la suc­ces­sion d’in­vrai­sem­blables abus de pou­voir scien­ti­fiques, depuis 1965 jus­qu’au « covid-19 », qui laisse pantois.

Nous avons besoin de bonnes ins­ti­tu­tions pour que tous ces déci­deurs « au nom de la science » aient peur de quelque chose et ne puissent jamais deve­nir comme ici des cri­mi­nels pla­né­taires à l’a­bri de toute sanction.

Si vous avez des idées d’ar­ticles uni­ver­sels pour rendre dura­ble­ment impos­sibles de telles tra­gé­dies, je suis preneur.

Bon vision­nage et bon revisionnage 🙂
Étienne.
PS : mer­ci à Exca­li­bur tra­duc­tion pour son tra­vail d’in­té­rêt général.


Fil Tele­gram à suivre : https://t.me/ExcaliburTraduction/196


On avait décou­vert ce spé­cia­liste des bre­vets (David E Mar­tin) — et son entre­prise M Camen 2021, dans cette pre­mière vidéo (avec Rei­ner Fuell­mich) qui avait beau­coup tour­né :


Et j’ai aus­si trou­vé ici un long réca­pi­tu­la­tif de la car­rière de David E Mar­tin et de sa pre­mière vidéo :

Dr David Mar­tin et son travail :

  • Pré­sident de M‑CAM Inter­na­tio­nal Risk Management
  • Le plus grand sous­crip­teur mon­dial d’ac­tifs incor­po­rels uti­li­sés en finance dans 168 pays
  • Leurs sys­tèmes de sous­crip­tion com­prennent l’en­semble du cor­pus de tous les bre­vets, demandes de bre­vets, sub­ven­tions fédé­rales, dos­siers d’ap­pro­vi­sion­ne­ment, dos­siers d’ad­mi­nis­tra­tion en ligne
  • Ils suivent ce qui se passe, qui est impli­qué dans ce qui se passe et sur­veillent les inté­rêts thé­ma­tiques des clients et leur propre uti­li­sa­tion commerciale
  • Ils main­tiennent trois indices d’ac­tions mon­diales qui sont les indices d’ac­tions à grande et moyenne capi­ta­li­sa­tion les plus per­for­mants au monde
  • Leur métier est de sur­veiller l’in­no­va­tion dans le monde, notam­ment son impor­tance économique

Sur le coro­na­vi­rus du SRAS :

  • Ils ont exa­mi­né plus de 4 000 bre­vets déli­vrés autour du coro­na­vi­rus du SRAS
  • Fait un exa­men com­plet du finan­ce­ment des mani­pu­la­tions de coro­na­vi­rus qui ont don­né lieu au SRAS
  • Ils ont pris la séquence de gènes signa­lée qui aurait été iso­lée en tant que nou­veau coro­na­vi­rus, comme indi­qué par le Comi­té inter­na­tio­nal sur la taxo­no­mie des virus de l’OMS, et les a exa­mi­nés par rap­port aux dos­siers de bre­vets dis­po­nibles au prin­temps 2020.
  • Ils ont trou­vé plus de 120 élé­ments de preuve bre­ve­tés sug­gé­rant que la décla­ra­tion d’un nou­veau coro­na­vi­rus est entiè­re­ment fausse. Il n’y avait pas de nou­veau coro­na­vi­rus, il existe d’in­nom­brables modi­fi­ca­tions très sub­tiles des séquences de coro­na­vi­rus qui ont été télé­char­gées. Mais il n’y avait pas un seul nou­veau coro­na­vi­rus identifié
  • Ils ont trou­vé des enre­gis­tre­ments de bre­vets de séquences attri­buées à la nou­veau­té allant à des bre­vets qui ont été deman­dés dès 1999

Pre­mières recherches :

  • Jus­qu’en 1999, l’ac­ti­vi­té bre­vet autour du coro­na­vi­rus était uni­que­ment appli­quée aux sciences vétérinaires
  • Le pre­mier vac­cin jamais bre­ve­té contre le coro­na­vi­rus a été recher­ché par Pfi­zer et com­pre­nait spé­ci­fi­que­ment la pro­téine de pointe « S » – la même chose que nous nous sommes pré­ten­du­ment pré­ci­pi­tés dans l’in­ven­tion. La pre­mière demande a été dépo­sée le 28 jan­vier 2000
  • L’i­dée que nous sommes mys­té­rieu­se­ment tom­bés sur la manière d’in­ter­ve­nir sur les vac­cins n’est pas seule­ment ridi­cule, elle est incré­dule. Timo­thy Mil­ler, Sha­ron Klep­fer, Albert Paul Reed et Elaine Jones, le 28 jan­vier 2000, ont dépo­sé ce qui a fina­le­ment été déli­vré sous le nom de bre­vet amé­ri­cain 6372224, qui était le vac­cin contre le virus de la pro­téine de pointe pour le coro­na­vi­rus canin.
  • Les pre­miers tra­vaux jus­qu’en 1999 étaient lar­ge­ment axés sur les vac­cins pour ani­maux. Les deux qui ont reçu le plus d’at­ten­tion étaient pro­ba­ble­ment les tra­vaux de Ralph Baric sur les lapins et la car­dio­myo­pa­thie du lapin qui était asso­ciée à des pro­blèmes impor­tants chez les éle­veurs de lapins ; et le coro­na­vi­rus canin dans les tra­vaux de Pfi­zer pour déve­lop­per des can­di­dats cibles de vac­cins « S » et à pro­téines de pointe
  • Des preuves évi­dentes indiquent que ni le concept de coro­na­vi­rus du vac­cin, ni le prin­cipe du coro­na­vi­rus lui-même en tant qu’agent patho­gène d’in­té­rêt en ce qui concerne le com­por­te­ment de la pro­téine de pointe, n’ont rien de nou­veau du tout, en fait, il a 22 ans sur la base des dépôts de brevets
  • Antho­ny Fau­ci et le NIAID ont décou­vert que la mal­léa­bi­li­té du coro­na­vi­rus était un can­di­dat poten­tiel pour les vac­cins contre le VIH
  • Le SRAS n’est pas une pro­gres­sion natu­relle d’une modi­fi­ca­tion zoo­né­tique du coro­na­vi­rus. En 1999, Antho­ny Fau­ci a finan­cé des recherches à l’U­ni­ver­si­té de Caro­line du Nord à Cha­pel Hill. À par­tir de la demande de bre­vet dépo­sée le 19 avril 2002, le NIAID a construit un coro­na­vi­rus infec­tieux à répli­ca­tion défec­tueuse ciblé sur l’é­pi­thé­lium pul­mo­naire humain. En d’autres termes, nous avons créé le SRAS et nous l’a­vons bre­ve­té avant qu’il n’y ait jamais eu une pré­ten­due épi­dé­mie en Asie, qui a sui­vi cela de plu­sieurs mois. Ce bre­vet amé­ri­cain 7279327 énonce clai­re­ment dans le séquen­çage très spé­ci­fique des gènes que nous connais­sions le récep­teur ACE, le domaine de liai­son ACE‑2, la pro­téine de pointe S1 et d’autres élé­ments de Covid-19
  • Cela a été conçu et pour­rait être syn­thé­ti­que­ment modi­fié dans un labo­ra­toire en uti­li­sant des tech­no­lo­gies de séquen­çage de gènes, en pre­nant un code infor­ma­tique et en le trans­for­mant en un agent patho­gène, ou un inter­mé­diaire de l’agent pathogène
  • Au début, cette tech­no­lo­gie était finan­cée exclu­si­ve­ment comme un moyen par lequel nous pou­vions exploi­ter le coro­na­vi­rus comme vec­teur pour dis­tri­buer le vac­cin contre le VIH

Épi­dé­mie de SRAS 2002 – 2003 :

  • L’or­ga­ni­sa­tion de Mar­tin a été invi­tée à sur­veiller les vio­la­tions du trai­té sur les armes bio­lo­giques et chi­miques au début des années 2000
  • Évé­ne­ments liés à l’an­thrax en sep­tembre 2001 – L’or­ga­ni­sa­tion de Mar­tin fai­sait par­tie d’une enquête qui a don­né lieu à une enquête du Congrès sur les ori­gines de l’an­thrax et le com­por­te­ment inha­bi­tuel autour du médi­ca­ment cipro­floxa­cine de Bayer, qui était uti­li­sé comme trai­te­ment poten­tiel de l’empoisonnement à l’an­thrax. Tout au long de l’au­tomne 2001, ils ont com­men­cé à sur­veiller un nombre énorme d’a­gents patho­gènes bac­té­riens et viraux qui étaient bre­ve­tés par le NIH, le NIAID, l’U­SAM­RIID et d’autres agences inter­na­tio­nales. Leur pré­oc­cu­pa­tion était que le coro­na­vi­rus était consi­dé­ré non seule­ment comme un agent mani­pu­lable poten­tiel à uti­li­ser comme vec­teur de vac­cin, mais aus­si comme un can­di­dat d’arme biologique.
  • Le pre­mier rap­port public de M‑CAM à ce sujet a eu lieu avant l’é­pi­dé­mie de SRAS à la fin de 2001
  • Déçu d’être assis ici 20 ans plus tard, après avoir sou­li­gné 20 ans plus tôt qu’il y avait un pro­blème qui se pro­fi­lait à l’ho­ri­zon en ce qui concerne le coronavirus
  • L’é­pi­dé­mie de SRAS est « pré­su­mée » : le coro­na­vi­rus n’est pas nou­veau dans la condi­tion humaine ni dans les 2 der­nières décennies
  • L’é­pi­dé­mie pré­su­mée de SRAS qui a eu lieu en Chine en 2002–2003 a don­né lieu à un dépôt pro­blé­ma­tique en avril 2003 par le CDC américain
  • Ils ont dépo­sé un bre­vet sur l’in­té­gra­li­té de la séquence géné­tique de ce qui est deve­nu le coro­na­vi­rus du SRAS, une vio­la­tion de la sec­tion 101 de l’ar­ticle 35 USC – vous ne pou­vez pas bre­ve­ter une sub­stance naturelle
  • Il s’a­gis­sait du bre­vet 7220852, avec des bre­vets déri­vés dont 46592703p, 7776521
  • Ces bre­vets cou­vraient éga­le­ment les moyens de détec­tion du coro­na­vi­rus par RT-PCR
  • Ceci est pro­blé­ma­tique car si vous pos­sé­dez à la fois le bre­vet sur le gène lui-même, et sur sa détec­tion, vous avez un avan­tage astu­cieux pour pou­voir contrô­ler à 100% la pro­ve­nance non seule­ment du virus lui-même et de sa détec­tion. Vous avez un contrôle scien­ti­fique et des mes­sages complet
  • Ce bre­vet recher­ché par le CDC aurait été jus­ti­fié par leur équipe de rela­tions publiques comme étant recher­ché pour que cha­cun soit libre de recher­cher le coro­na­vi­rus. C’est un men­songe car l’of­fice des bre­vets a reje­té à deux reprises le bre­vet sur la séquence du gène comme non bre­ve­table – l’of­fice des bre­vets a trou­vé 99,9% d’i­den­ti­té avec le coro­na­vi­rus déjà exis­tant dans le domaine public. Suite au rejet de l’exa­mi­na­teur des bre­vets, et après avoir dû payer une amende d’ap­pel en 2006 et 2007, le CDC a annu­lé le rejet de l’of­fice des bre­vets et a fina­le­ment obte­nu en 2007 le bre­vet sur le coro­na­vi­rus du SRAS
  • Chaque décla­ra­tion que le CDC a faite selon laquelle cela était dans l’in­té­rêt public est fal­si­fiable par leur propre pot-de-vin ver­sé à l’of­fice des bre­vets. Ils ont payé des frais sup­plé­men­taires pour gar­der leur appli­ca­tion privée
  • Tout cela est dis­po­nible dans les archives publiques des bre­vets que tout membre du public peut consulter

Véri­fi­ca­teurs de faits :

  • Les véri­fi­ca­teurs des faits ont décla­ré à plu­sieurs reprises que le nou­veau coro­na­vi­rus SARS-CoV‑2 est dis­tinct du bre­vet CDC
  • La séquence du gène dépo­sée par le CDC en 2003, 2005 et 2006, a une iden­ti­té dans 89 à 99 % de la séquence che­vau­chant le SARS-CoV‑2
  • La dési­gna­tion prin­ci­pale du coro­na­vi­rus du SRAS et la sous-clade SARS-CoV‑2 doivent se che­vau­cher d’un point de vue taxonomique

Motifs pour RICO :

  • Le 28 avril 2003, Sequoia Phar­ma­ceu­ti­cals dans le Mary­land a dépo­sé le bre­vet amé­ri­cain 7151163 sur des agents anti­vi­raux de trai­te­ment et de contrôle des infec­tions par le coro­na­vi­rus. C’é­tait 3 jours après que le CDC a dépo­sé le bre­vet sur le coro­na­vi­rus du SRAS
  • Sequoia Phar­ma­ceu­ti­cals et fina­le­ment Ablynx Phar­ma­ceu­ti­cals sont deve­nus des par­ti­ci­pa­tions exclu­sives de Pfi­zer, Cru­cell et John­son & Johnson
  • Com­ment aurait-on un bre­vet sur un trai­te­ment pour une chose qui a été inven­tée 3 jours plus tôt ?
  • Le bre­vet Sequoia sur le trai­te­ment des coro­na­vi­rus a été déli­vré et publié avant que le bre­vet CDC sur le coro­na­vi­rus ne soit auto­ri­sé. La seule façon dont Sequoia pou­vait connaître les infor­ma­tions conte­nues dans le bre­vet CDC est par des moyens d’i­ni­tiés, car CDC avait payé pour le gar­der secret. C’est la défi­ni­tion de l’as­so­cia­tion de mal­fai­teurs, du racket et de la col­lu­sion. Ce n’est pas une théo­rie, c’est une preuve. Ceci est un cas RICO
  • Le sché­ma RICO éta­bli en avril 2003 pour le pre­mier coro­na­vi­rus s’est dérou­lé selon le même calen­drier avec le SARS-CoV‑2. Moder­na a obte­nu la séquence de la pro­téine de pointe par télé­phone auprès du centre de recherche sur les vac­cins du NIAID avant la défi­ni­tion de la nou­velle sous-clade. Com­ment trai­tez-vous une chose avant de l’a­voir réellement ?

73 bre­vets cou­vrant tous les nou­veaux aspects du SRAS-CoV‑2 ultérieur :

  • Le 5 juin 2008 – à peu près au moment où la DARPA s’in­té­res­sait acti­ve­ment au coro­na­vi­rus en tant qu’arme bio­lo­gique – Ablynx, qui fait main­te­nant par­tie de Sano­fi, a dépo­sé une série de bre­vets ciblant ce qu’on nous a dit être de nou­velles carac­té­ris­tiques du SARS-CoV ‑2. Ils ont ciblé le site de cli­vage poly­ba­sique du SRAS-CoV, la nou­velle pro­téine de pointe et le domaine de liai­son au récep­teur ACE‑2. Ceux-ci sont pré­ten­du­ment nou­veaux pour le SRAS-CoV‑2, et tous ont été bre­ve­tés le 5 juin 2008. Les bre­vets ont été déli­vrés entre le 24 novembre 2015 (bre­vet amé­ri­cain 9193780 ; il est sor­ti après le mora­toire sur la recherche sur le gain de fonc­tion , après l’é­pi­dé­mie de MERS au Moyen-Orient), sui­vie en 2016, 2017, 2019 par une série de bre­vets cou­vrant non seule­ment des brins d’ARN mais aus­si des sous-com­po­sants de brins de gènes, tous déli­vrés à Ablynx et Sanofi.
  • Cru­cell, Rubius The­ra­peu­tics, Chil­dren’s Medi­cal Cor­po­ra­tion et de nom­breux autres, dont Lud­wig Maxi­mi­lian’s Uni­ver­sität à Munich, Pro­tein Science Cor­po­ra­tion, Dana Far­ber Can­cer Ins­ti­tute, Uni­ver­si­ty of Iowa, Uni­ver­si­ty of Hong Kong, Chi­nese Natio­nal Human Genome Cen­ter à Shan­ghai, tous iden­ti­fiés dans les dépôts de bre­vet allant de 2008 à 2017, chaque attri­but qui aurait été publié de manière unique par la publi­ca­tion de réfé­rence unique « The Novel Bat Coro­na­vi­rus », l’ar­ticle qui a été régu­liè­re­ment uti­li­sé pour iden­ti­fier le nou­veau virus.
  • Si vous consi­dé­rez réel­le­ment ce qu’ils rap­portent comme étant nou­veau, vous trou­vez 73 bre­vets déli­vrés entre 2008 et 2019 qui contiennent les élé­ments pré­ten­du­ment nou­veaux dans le SRAS-CoV‑2. Plus pré­ci­sé­ment, le site de cli­vage poly­ba­sique, le domaine de liai­son au récep­teur ACE‑2 et la pro­téine de pointe.
  • Il n’y a pas eu d’é­pi­dé­mie de SRAS parce que nous en avions conçu tous les élé­ments. En 2016, un article de Ralph Baric a été finan­cé pen­dant le mora­toire sur le gain de fonc­tion, affir­mant que le coro­na­vi­rus du SRAS était sur le point d’é­mer­ger chez l’homme. À cette époque, non seule­ment il était prêt pour l’é­mer­gence humaine, mais il a été bre­ve­té pour une exploi­ta­tion com­mer­ciale 73 fois.
  • Fuell­mich : Ralph Baric a don­né un clip vidéo dans lequel il a dit au public qu’on pou­vait gagner beau­coup d’argent avec ça. Mar­tin : Oui, nous le pou­vons, et il a gagné beau­coup d’argent en fai­sant cela.
  • La cita­tion pré­fé­rée de Mar­tin sur la pan­dé­mie de Covid-19 – décla­ra­tion faite en 2015 par Peter Das­zak ; d’E­co­Health Alliance, qui a relayé le finan­ce­ment du NIAID au labo­ra­toire de Wuhan, plus tard le seul Amé­ri­cain envoyé avec l’OMS pour enquê­ter sur le même labo­ra­toire ; décla­ra­tion rap­por­tée dans une publi­ca­tion de la Natio­nal Aca­de­mies Press le 12 février 2016 : « Nous devons accroître la com­pré­hen­sion du public sur la néces­si­té de contre-mesures médi­cales telles qu’un vac­cin pan-coro­na­vi­rus. Un moteur clé est les médias et l’é­co­no­mie sui­vra le bat­tage média­tique. Nous avons besoin uti­li­ser ce bat­tage média­tique à notre avan­tage pour abor­der les vrais pro­blèmes. Les inves­tis­seurs réagi­ront s’ils voient un pro­fit à la fin du processus.
  • Peter Das­zak, la per­sonne qui cor­ro­bo­rait de manière indé­pen­dante la non-théo­rie chi­noise de non-fuite de labo­ra­toire parce qu’il n’y avait pas de fuite de labo­ra­toire, il s’a­gis­sait d’une mili­ta­ri­sa­tion inten­tion­nelle de pro­téines de pointe à injec­ter aux gens pour les rendre accro à un pan- vac­cin contre le coro­na virus. Cela n’a rien à voir avec un agent patho­gène qui a été libé­ré et chaque étude lan­cée pour essayer de véri­fier une fuite de labo­ra­toire est un faux-fuyant
  • Il n’y a rien de nou­veau ; zéro. 73 bre­vets sur tout ce qui est cli­ni­que­ment nou­veau, tous déli­vrés avant 2019
  • Le bre­vet 7279327 sur la nature recom­bi­nante du coro­na­vi­rus ciblant les pou­mons a été trans­fé­ré de l’UNC Cha­pel Hill au NIH en 2018. En ver­tu de la loi Bayh-Dole, le gou­ver­ne­ment amé­ri­cain a déjà un droit d’en­trée : si le gou­ver­ne­ment amé­ri­cain a payé pour la recherche, ils sont en droit d’en béné­fi­cier. Alors pour­quoi, en 2017 et 2018, le NIH a‑t-il dû s’ap­pro­prier le bre­vet sur lequel il avait déjà des droits, déte­nu par l’UNC Cha­pel Hill ? Pour­quoi dépo­ser un cer­ti­fi­cat de cor­rec­tion pour s’as­su­rer qu’il était juri­di­que­ment exé­cu­toire, cor­ri­geant une erreur typo­gra­phique ? Sur le bre­vet unique requis pour déve­lop­per le man­dat du NIH par­ta­gé entre l’UNC Cha­pel Hill et Moder­na en novembre 2019, lorsque l’UNC Cha­pel Hill, le NIAID et Moder­na ont com­men­cé le séquen­çage d’un vac­cin à pro­téine de pointe – un mois avant qu’une épi­dé­mie ne se produise ?
  • Nous connais­sons 117 bre­vets avec le méca­nisme de ciblage des récep­teurs ACE‑2 pour le coro­na­vi­rus du SRAS. C’est dans des publi­ca­tions remon­tant à 2008, dans des confé­rences sur la mili­ta­ri­sa­tion qui ont eu lieu en Slo­vé­nie, dans toute l’Eu­rope et dans l’in­fra­struc­ture de la DARPA. On le sait depuis 2013, son iso­le­ment et son amplification.

Nou­velle normalité :

  • Le scé­na­rio a été écrit pour la pre­mière fois le 6 jan­vier 2004 par Merck, lors d’une confé­rence inti­tu­lée « SRAS et bioterrorisme »
  • Merck a intro­duit la notion de ce qu’ils ont appe­lé « la nou­velle nor­ma­li­té », qui est deve­nue une cam­pagne de marque adop­tée par l’OMS, le Conseil mon­dial de sur­veillance de la pré­pa­ra­tion, qui était le conseil d’ad­mi­nis­tra­tion au sein duquel le direc­teur chi­nois de (leur ?) Centre de contrôle des mala­dies, le Dr Elias de la Fon­da­tion Gates et Antho­ny Fau­ci se sont assis ensemble. La pre­mière intro­duc­tion de la cam­pagne « nou­velle nor­ma­li­té », qui visait à ame­ner les gens à accep­ter un vac­cin uni­ver­sel pan-grippe, pan-coro­na­vi­rus, a été adop­tée le 6 jan­vier 2004.

Évé­ne­ments anté­rieurs au Covid-19 :

  • Moder­na savait qu’elle allait être pla­cée en tête de file en ce qui concerne le déve­lop­pe­ment d’un vac­cin en mars 2019. À ce moment-là, pour des rai­sons qui ne sont pas trans­pa­rentes, ils ont modi­fié une série de dépôts de bre­vets reje­tés pour faire spé­ci­fi­que­ment réfé­rence à un libé­ra­tion volon­taire ou acci­den­telle de coro­na­vi­rus. Ils ont modi­fié 4 demandes de bre­vet échouées pour com­men­cer le pro­ces­sus de déve­lop­pe­ment d’un vac­cin contre le coro­na­vi­rus. Ils ont com­men­cé à faire face à un pro­blème qu’ils avaient, à savoir qu’ils s’ap­puyaient sur une tech­no­lo­gie qu’ils ne pos­sé­daient pas. Deux socié­tés cana­diennes, Arbu­tus et Acui­tas, détiennent en fait le bre­vet sur l’en­ve­loppe de nano­par­ti­cules lipi­diques néces­saire pour admi­nis­trer l’in­jec­tion du frag­ment d’ARNm. Ces bre­vets ont été déli­vrés au Cana­da, aux États-Unis et par­tout dans le monde. Moder­na savait qu’elle ne déte­nait pas les droits et a com­men­cé à négo­cier avec Arbu­tus et Acui­tas pour obte­nir une réso­lu­tion de la tech­no­lo­gie LNP dis­po­nible à mettre dans un vac­cin. En novembre, ils ont conclu un accord coopé­ra­tif de R&D avec l’UNC Cha­pel Hill concer­nant l’in­tro­duc­tion de la pro­téine de pointe à l’in­té­rieur du LNP, de sorte qu’ils avaient en fait un vac­cin can­di­dat avant qu’un agent patho­gène ne se promène.
  • Leur pro­cé­dure régu­lière est simi­laire à celle d’autres socié­tés phar­ma­ceu­tiques où elles conservent les demandes et modi­fient conti­nuel­le­ment les demandes pour pro­fi­ter des pre­mières dates de prio­ri­té disponibles.
  • De 2016 à 2019, à cha­cune des réunions du conseil consul­ta­tif du NIAID, Antho­ny Fau­ci a déplo­ré qu’il ne pou­vait pas trou­ver un moyen de faire accep­ter le vac­cin uni­ver­sel contre la grippe, qui était sa cible pré­fé­rée pour ame­ner la popu­la­tion à s’en­ga­ger dans ce processus.
  • En mars 2019, dans les dépôts de bre­vet modi­fiés de Moder­na, nous voyons qu’il y a une épi­pha­nie qui dit « Et s’il y avait une libé­ra­tion acci­den­telle ou inten­tion­nelle d’un patho­gène res­pi­ra­toire ? » La phrase est exac­te­ment réci­tée dans le livre A World at Risk , qui est le scé­na­rio éla­bo­ré par l’OMS en sep­tembre 2019 – des mois avant qu’il y ait un patho­gène pré­su­mé – qui dit « Nous avons besoin d’une expé­rience mon­diale coor­don­née d’une libé­ra­tion d’agent patho­gène res­pi­ra­toire, qui d’i­ci sep­tembre 2020 doit mettre en place une capa­ci­té uni­ver­selle de ges­tion des rela­tions publiques, de contrôle des foules et d’ac­cep­ta­tion d’un man­dat uni­ver­sel pour les vac­cins. » Le lan­gage d’une libé­ra­tion inten­tion­nelle d’un agent patho­gène res­pi­ra­toire a été écrit dans le scé­na­rio qui « doit être ache­vé d’i­ci sep­tembre 2020 ».
  • Ceci est la décla­ra­tion uni­fiée du Glo­bal Pre­pa­red­ness Moni­to­ring Board. Il y a un cer­tain nombre de per­sonnes qui s’en sont attri­bué le mérite, puis se sont reti­rées du mérite.

Pas un vaccin :

  • Toute affir­ma­tion selon laquelle ce patho­gène est d’une manière ou d’une autre unique ou nou­veau s’ef­fondre sur les séquences de gènes réelles qui sont publiées dans le dos­sier de bre­vet. Plus fla­grant, nous avons Peter Das­zak lui-même décla­rant que nous devons créer un bat­tage média­tique public pour ame­ner le public à accep­ter la contre-mesure médi­cale d’un vac­cin pan-coro­na­vi­rus. Ce qui rend cela le plus ridi­cule, c’est que l’OMS a décla­ré que le coro­na­vi­rus était un inté­rêt mort – que nous avions éra­di­qué le coro­na­vi­rus en tant que pré­oc­cu­pa­tion. Alors pour­quoi, après l’a­voir éra­di­qué en 2007 et 2008, avons-nous com­men­cé à dépen­ser des mil­liards de dol­lars dans le monde pour un vac­cin contre une chose qui avait été éra­di­quée par décla­ra­tion en 2008 ?
  • Cela a été consi­dé­ré comme une arme bio­lo­gique très mal­léable. En 2005, c’é­tait incon­tes­ta­ble­ment une arme de choix. L’illu­sion dans laquelle nous conti­nuons de voir des per­sonnes bien inten­tion­nées se faire pié­ger, ce sont des conver­sa­tions sur la ques­tion de savoir si nous avons un vac­cin contre un virus. N’é­taient pas. Nous injec­tons une séquence d’ARNm de pro­téine de pointe qui est le résul­tat d’une simu­la­tion infor­ma­tique, non déri­vée de la nature, d’une séquence connue et bre­ve­tée depuis des années.
  • La nature ridi­cule de l’his­toire selon laquelle c’est en quelque sorte pro­phy­lac­tique ou pré­ven­tif va à l’en­contre de 100% des preuves. Les preuves montrent à 100 % qu’au­cune entre­prise phar­ma­ceu­tique n’a fait d’ef­forts pour com­battre le virus. Il s’a­git d’in­jec­ter aux gens la pro­téine de pointe S1 connue pour être nocive.
  • L’his­toire de cou­ver­ture est que si vous obte­nez une expres­sion de pro­téine de pointe, vous allez avoir un sou­la­ge­ment symp­to­ma­tique géné­ral. Mais il n’y a jamais eu d’in­ten­tion de vac­ci­ner une popu­la­tion telle que défi­nie par l’u­ni­vers de la vac­ci­na­tion. Lors­qu’An­tho­ny Fau­ci a déses­pé­ré­ment ten­té de faire publier cer­tains de ses vac­cins à « ARN syn­thé­tique », ses propres bre­vets ont été reje­tés par l’Of­fice des bre­vets. Cita­tion de l’Of­fice des bre­vets :« Ces argu­ments sont convain­cants dans la mesure où un pep­tide anti­gé­nique sti­mule une réponse immu­ni­taire qui peut pro­duire des anti­corps qui se lient à un pep­tide ou à une pro­téine spé­ci­fique, mais ils ne sont pas convain­cants en ce qui concerne un vac­cin. La réponse immu­ni­taire pro­duite par un vac­cin doit être plus qu’une simple réponse immu­ni­taire, mais doit éga­le­ment être pro­tec­teur. Comme indi­qué dans l’ac­tion du bureau pré­cé­dente, l’art recon­naît le terme « vac­cin » comme un com­po­sé qui pré­vient l’in­fec­tion. Le deman­deur n’a pas démon­tré que le vac­cin ins­tan­ta­né­ment reven­di­qué répond même aux normes les plus basses énon­cée dans la spé­ci­fi­ca­tion, sans par­ler de la défi­ni­tion tech­nique stan­dard pour être opé­ra­tion­nelle en ce qui concerne. Par consé­quent, les reven­di­ca­tions 5, 7 et 9 ne sont pas opé­ra­tion­nelles car le vac­cin anti-VIH [sur lequel il tra­vaillait] n’est pas une uti­li­té brevetable.
  • Antho­ny Fau­ci lui-même s’est fait dire par l’Of­fice des bre­vets lui-même que ce qu’il pro­po­sait comme vac­cin ne répon­dait pas à la norme bre­ve­table, à la norme juri­dique ou à la norme clinique.
  • Le Dr Mar­tin a sou­le­vé ces ques­tions à par­tir de 2002, après la peur de l’an­thrax, et la tra­gé­die est que nous sommes main­te­nant assis dans un monde où nous avons des cen­taines de mil­lions de per­sonnes à qui on injecte une séquence infor­ma­tique sti­mu­lant les agents patho­gènes, qui est ven­du sous ce que l’Of­fice des bre­vets, la pro­fes­sion médi­cale et la FDA dans ses propres normes cli­niques ne sug­gé­re­raient pas comme un vac­cin. Mais en uti­li­sant ce terme, nous sou­met­tons main­te­nant des cen­taines de mil­lions de per­sonnes à ce qui était connu pour être en 2005 une arme biologique

Pro­blèmes de détection :

  • Il n’existe pas de variante alpha, bêta, gam­ma ou del­ta. Ce qui est déses­pé­ré­ment recher­ché, c’est un degré auquel les indi­vi­dus peuvent être contraints d’ac­cep­ter quelque chose qu’ils n’ac­cep­te­raient pas autre­ment. Il n’y a eu, dans aucune des études publiées sur ce qui aurait été la variante del­ta, une popu­la­tion R0 cal­cu­lée, qui est le taux de répli­ca­tion réel. Ce qui a été esti­mé, ce sont des simu­la­tions infor­ma­tiques. Si vous regar­dez GISAID, la source publique de télé­char­ge­ment de l’une des nom­breuses varia­tions, il n’y a eu aucune capa­ci­té à iden­ti­fier une séquence de gènes cli­ni­que­ment alté­rée qui a ensuite une varia­tion expri­mée cliniquement.
  • Cela a été un pro­blème tout au long de la pré­ten­due pan­dé­mie : nous n’a­vons aucune preuve qu’une alté­ra­tion de la séquence géné­tique ait eu une quel­conque signi­fi­ca­tion cli­nique. Il n’y a pas eu un seul article publié par qui que ce soit qui ait éta­bli que tout ce qui est nou­veau depuis novembre 2019 se dis­tingue cli­ni­que­ment de tout ce qui est anté­rieur à novembre 2019.
  • Le pro­blème avec les 73 bre­vets décrits pré­cé­dem­ment est qu’ils contiennent tous ce qui a été signa­lé comme étant nou­veau en décembre 2019 et jan­vier 2020. Même si nous devions accep­ter qu’il existe des pneu­mo­nies idio­pa­thiques, qu’il existe un ensemble de symp­tômes induits par des agents patho­gènes, nous ne pas un seul élé­ment de preuve publié qui nous indique que tout ce qui concerne la sous-clade SARS-CoV‑2 se dis­tingue cli­ni­que­ment de tout ce qui était connu et publié avant novembre 2019, dans 73 bre­vets datant de 2008.
  • Il n’y a aucune preuve que la « variante Del­ta » soit en quelque sorte dis­tincte de toute autre chose sur GISAID. Le fait que nous recher­chions une chose ne veut pas dire qu’il y a une chose, parce que nous regar­dons des frag­ments de choses. Si nous choi­sis­sons n’im­porte quel frag­ment, je pour­rais dire que je regarde ce sous-brin d’ADN ou d’ARN, ou même une pro­téine, et je pour­rais par­cou­rir le monde en disant « Oh mon Dieu ! Crai­gnez la variante Oméga ! »
  • La façon dont nous séquen­çons actuel­le­ment les génomes est un pro­ces­sus de com­po­si­tion, un entre­la­ce­ment. Pour cette rai­son, nous n’a­vons aucun point de réfé­rence pour savoir si oui ou non la chose que nous recher­chons est en fait dis­tincte, même au sens cli­nique ou génomique.
  • Si vous regar­dez les articles qui ont iso­lé la variante Del­ta et posez la ques­tion « La variante Del­ta est-elle autre chose que la sélec­tion d’une séquence dans un chan­ge­ment sys­té­ma­tique d’une autre séquence déjà divul­guée ? » – la réponse est qu’il s’a­git sim­ple­ment d’une modi­fi­ca­tion du moment où vous démar­rez et arrê­tez ce que vous appe­lez un cadre de lec­ture. Il n’y a rien de roman.
  • Nous exa­mi­nons en fait les séquences publiées et réa­li­sons que selon l’en­droit où vous cou­pez la chaîne de séquence, vous aurez la même chose ou une chose dif­fé­rente, basée sur rien de plus que sur l’en­droit où vous déci­dez d’a­na­ly­ser le clip.
  • Dans la demande de bre­vet [pour le bre­vet amé­ri­cain 7279327], lors­qu’ils parlent des brins d’ADN qu’ils appellent des numé­ros d’i­den­ti­fi­ca­tion de séquence, ils disent spé­ci­fi­que­ment que l’or­ga­nisme est une séquence arti­fi­cielle, ce qui signi­fie que ce n’est pas une séquence qui a une règle basée sur la nature, pas mani­feste pour une pro­téine déri­vée natu­relle par­ti­cu­lière ou une séquence d’ARNm qui a été iso­lée. Cha­cun d’eux est en fait une séquence syn­thé­tique arti­fi­cielle. Si vous regar­dez cha­cune d’elles, les séquences sont conti­guës dans de nom­breux cas mais se che­vauchent dans d’autres, où il s’a­git sim­ple­ment d’une déter­mi­na­tion capri­cieuse qui dit que quelque chose fait ou ne fait pas par­tie d’un cadre de lec­ture ouvert, ou fait par­tie d’une séquence oli­go­nu­cléo­ti­dique particulière.
  • C’est impor­tant parce que si nous allons exa­mi­ner ce qui est injec­té à des indi­vi­dus, nous avons besoin de la séquence exacte – pas d’une sorte de simi­laire à. Si vous regar­dez les envi­ron­ne­ments régle­men­taires de la FDA, de l’Eu­rope et du reste du monde, pour des rai­sons qui ne peuvent être expli­quées, la séquence exacte à l’in­té­rieur des injec­tions d’ARNm semble insai­sis­sable. Même si on peut nous dire qu’il y a des essais cli­niques et d’autres choses en cours, nous n’a­vons aucun moyen de véri­fier qu’une séquence com­plète est, a été ou pour­rait être fabri­quée dans l’en­ve­loppe LNP qui est injec­tée. Dès 2002, tout au long des dépôts de bre­vets en 2003 et des dépôts de mili­ta­ri­sa­tion qui ont com­men­cé en 2008, des frag­ments sont iden­ti­fiés, mais sans spé­ci­fi­ci­té, nous n’a­vons donc pas d’ex­tré­mi­tés ter­mi­nales directes des frag­ments. Nous avons des frag­ments avec des vides hypo­thé­qués, dans les­quels n’im­porte quoi pour­rait être placé.
  • L’une des rai­sons pour les­quelles les véri­fi­ca­teurs de faits ne véri­fient pas réel­le­ment les faits en matière de bre­vets est que les séquences réelles ne sont pas repré­sen­tées sous une forme numé­rique qui faci­lite cette com­pa­rai­son. Le groupe de Mar­tin a dû prendre des images du papier dac­ty­lo­gra­phié sou­mis et les coder pour faire sa propre éva­lua­tion. Vous devez recons­truire manuel­le­ment les séquences de gènes et les com­pa­rer à ce qui est télé­char­gé. C’est là que vous décou­vrez que la ques­tion de la nou­veau­té était quelque chose qui n’a pas été abor­dé – c’é­tait une illu­sion fabriquée.
  • Si ce que nous recher­chons est quelque chose que nous avons déci­dé qu’il vaut la peine de recher­cher, alors nous le trou­ve­rons dans un tas d’en­droits. Et si nous avons déci­dé que nous ne cher­chons plus une chose, alors nous ne la trou­vons pas, parce que nous ne la cher­chons pas.
  • Mar­tin a exa­mi­né cha­cune des sou­mis­sions régle­men­taires à la FDA pour déter­mi­ner quel était l’é­ta­lon-or pour obte­nir l’au­to­ri­sa­tion d’u­ti­li­sa­tion d’ur­gence, et quel frag­ment de SARS-CoV‑2 était le frag­ment offi­ciel qui était la norme com­pa­ra­tive. Le pro­blème est que vous ne pou­vez pas obte­nir une seule norme. Alors qu’est-ce que tu trouves réel­le­ment ? Si je cherche CCACGCTTTG, est-ce que j’a­joute le brin G sui­vant, ou est-ce que je vais – non non, le bit sui­vant est GTTTAGTTCG ? Là où je choi­sis de com­men­cer et de m’ar­rê­ter, je peux dire « Je l’ai trou­vé ! » ou « Je ne l’ai pas trou­vé », et je n’ai pas trou­vé de cor­res­pon­dance que j’ai pro­je­tée sur les don­nées, car j’ai choi­si de regar­der les don­nées d’une manière que je ne pou­vais pas trou­ver de correspondance.

Ten­ta­tives précédentes :

  • La grippe n’a pas quit­té la popu­la­tion humaine. La grippe était un man­dat de vac­cin pan-grip­pal raté d’une décen­nie qui a été déses­pé­ré­ment pro­mu par les gou­ver­ne­ments du monde entier. Ils ont échoué et ils ont déci­dé que si la grippe ne tenait pas la pro­messe publique de faire en sorte que tout le monde reçoive une injec­tion, chan­geons l’agent pathogène.
  • Vous devez créer l’illu­sion de la demande, et il n’y a rien en ce moment qui crée mieux l’illu­sion de la demande que l’ur­gence d’un évé­ne­ment que vous avez fabriqué.
  • Une par­tie de la rai­son pour laquelle il était si facile pour Mar­tin de sur­veiller et de suivre cette cam­pagne par­ti­cu­lière de coer­ci­tion et de ter­reur est qu’ils l’ont déjà fait aupa­ra­vant. Lors de la réso­lu­tion de l’é­pi­dé­mie d’an­thrax, il y avait des cen­taines de mil­liers de mili­taires au Moyen-Orient, soi-disant même pour les évé­ne­ments du 11 sep­tembre 2001, nous avions deux ins­pec­teurs des postes enquê­tant sur l’an­thrax. La plus grande attaque aux armes bio­lo­giques sur le sol amé­ri­cain, et nous avions deux ins­pec­teurs des postes. Vous ne pou­vez pas vrai­ment croire que deux ins­pec­teurs des postes sont les indi­vi­dus les plus puis­sants et les plus puis­sants de l’u­ni­vers pour arrê­ter le crime. Je n’ai rien contre les ins­pec­teurs des postes, mais je peux garan­tir que si j’en­quê­tais sur une attaque bio­ter­ro­riste, je n’au­rais pas que la Poste ait deux ins­pec­teurs des postes comme équipe d’é­lite char­gée de l’en­quête. C’é­tait mal­hon­nête, et le Congrès le savait.
  • Le groupe de Mar­tin a publié une note d’in­for­ma­tion sur chaque vio­la­tion des trai­tés sur les armes bio­lo­giques et chi­miques que les gens ont signés dans le monde. Il dit où, qui, qui finance. Donc pour eux, il n’é­tait pas dif­fi­cile de com­prendre qu’il ne s’a­gis­sait pas d’une crise de san­té publique. Il s’a­gis­sait d’une cam­pagne de mar­ke­ting oppor­tu­niste visant à atteindre un objec­tif déclaré.
  • L’ex­pli­ca­tion la plus simple est sug­gé­rée par le rasoir d’Oc­cam. Les auteurs eux-mêmes ont décla­ré qu’ils devaient ame­ner le public à accep­ter une contre-mesure contre le vac­cin pan-coro­na­vi­rus, et qu’ils avaient besoin des médias pour créer le bat­tage média­tique, et les inves­tis­seurs sui­vraient là où ils voyaient un profit.

Source, en juillet 2021 : https://​blog​.denis​bi​der​.com/​2​0​2​1​/​0​7​/​d​r​-​d​a​v​i​d​-​m​a​r​t​i​n​-​w​i​t​h​-​r​e​i​n​e​r​-​f​u​e​l​l​m​i​c​h​.​h​tml


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3 Commentaires

  1. ASTF11

    Cest goe­ring( ministre de la pro­pa­gande d hit­ler , qui a dit PLUS LE MENSONGE EST GROS …mieux il « marche » !!!

    Réponse
  2. Étienne CHOUARD

    Des vaccinés produisent encore de la protéine spike après deux ans


    https://​www​.covid​hub​.ch/​v​a​c​c​i​n​e​s​-​p​r​o​d​u​i​s​e​n​t​-​p​r​o​t​e​i​n​e​-​s​p​i​k​e​-​a​p​r​e​s​-​2​-​a​ns/

    De nou­velles recherches montrent que les vac­cins Covid contiennent des pro­por­tions consi­dé­rables de rési­dus d’ADN capables de s’intégrer en per­ma­nence dans le génome humain, cau­sant mala­dies chro­niques et can­cers. Ceci pour­rait aus­si expli­quer les excès de mor­ta­li­té obser­vés depuis le début des cam­pagnes de vaccination.

    Acte 1 : des ana­lyses san­guines troublantes

    L’enquête que nous vous pré­sen­tons a débu­té par une intri­gante publi­ca­tion de l’ancien ban­quier suisse Pas­cal Naja­di. L’auteur d’une plainte pénale pour abus de pou­voir contre le pré­sident de la Confé­dé­ra­tion Alain Ber­set est tri­ple­ment vac­ci­né et autant de fois remon­té contre les auto­ri­tés sani­taires depuis qu’une ana­lyse de son sang lui a révé­lé que son corps conti­nue de pro­duire de la pro­téine spike vac­ci­nale plus de 18 mois après sa der­nière injec­tion Pfizer/BioNTech.

    Contac­té, l’intéressé nous a four­ni les résul­tats du labo­ra­toire ain­si qu’une lettre du Prof. Sucha­rid Bhak­di confir­mant que « les résul­tats des tests indiquent clai­re­ment que M. Naja­di souffre d’effets irré­pa­rables à long terme pro­vo­qués par le pro­duit ARNm injec­té fabri­qué par Pfi­zer­Bion­tech » (voir les res­sources en fin d’article).

    Une pro­téine toxique

    Les ana­lyses san­guines du ban­quier révèlent la pré­sence de pro­téine de pointe mais pas de cap­sules nano­li­pi­diques que l’on trouve dans les injec­tions. Pour le scien­ti­fique, ceci indique qu’il ne s’agit pas de pro­téine de pointe résul­tant de l’administration d’un « vac­cin » mais qu’elle a été pro­duite récem­ment par le corps du vacciné.

    Quelques recherches plus tard, nous trou­vons un avo­cat alle­mand, Me Tobias Ulbrich, repré­sen­tant plu­sieurs clients qui ont éga­le­ment fait ana­ly­ser leur sang pour arri­ver aux mêmes conclu­sions que Pas­cal Naja­di : leur corps pro­duit en per­ma­nence de la pro­téine de pointe, une sub­stance toxique, et per­sonne ne peut leur dire si et quand ça s’arrêtera.

    Auto­ri­tés sani­taires inca­pables d’expliquer

    L’ex-banquier avait sol­li­ci­té l’Office fédé­ral de la san­té publique en Suisse à ce sujet. Ce der­nier a été inca­pable de lui don­ner des réponses, arguant qu’il ne pou­vait pas se pro­non­cer sur un cas indi­vi­duel. Pas­cal Naja­di en avait déduit que l’office ne maî­tri­sait en fait rien concer­nant ces nou­velles tech­no­lo­gies vaccinales.

    La per­sis­tance de la pré­sence de pro­téine de pointe détec­tée chez Naja­di et d’autres injec­tés reste offi­ciel­le­ment inex­pli­quée et se situe bien au-delà des 14 jours com­mu­ni­qués lors du lan­ce­ment des cam­pagnes de vac­ci­na­tion Covid.

    Acte 2 : le rôle de l’ARN

    Tout le monde connaît l’ADN, repré­sen­té par une double hélice et conte­nant notre code géné­tique. L’ARN lui n’est consti­tué que d’un seul brin. La cel­lule en fabrique au besoin en lisant une par­tie de l’ADN qui lui ser­vi­ra ensuite de cahier des charges pour pro­duire une protéine.

    Une dose de « vac­cin » Covid à ARN mes­sa­ger contient des mil­liards de brins d’ARN mes­sa­ger, qui vont déclen­cher la pro­duc­tion d’autant de pro­téines de pointe du virus SARS-CoV‑2 dans les cel­lules où ils par­viennent. Ces pro­téines de pointe vont acti­ver une réponse du sys­tème immunitaire.

    En théo­rie et offi­ciel­le­ment – toutes les auto­ri­tés sani­taires ont bien insis­té là-des­sus pour ras­su­rer les futurs vac­ci­nés – les « vac­cins » Covid ne contiennent pas d’ADN et il n’y a pas d’altération per­ma­nente de nos cellules.

    Comme on va le voir, de sérieux doutes écornent mal­heu­reu­se­ment les affir­ma­tions officielles.

    La pro­téine de pointe a de plus été pré­sen­tée comme une sub­stance inof­fen­sive lors des cam­pagnes de vac­ci­na­tion alors que l’on sait qu’elle est toxique pour le corps humain et cause la plu­part des com­pli­ca­tions du Covid, dont les réac­tions inflam­ma­toires et allergiques.

    Acte 3 : com­ment sont fabri­qués les brins d’ARN mes­sa­ger que l’on retrouve dans les « vac­cins » Covid ?

    Pour com­mu­ni­quer, les bac­té­ries s’échangent des ‘mes­sages’ géné­tiques impor­tants à l’aide de ce qu’on appelle des plas­mides. Par exemple si une bac­té­rie trouve un nou­veau méca­nisme qui aug­mente sa résis­tance face à des anti­bio­tiques, elle va encap­su­ler cette infor­ma­tion dans des plas­mides, qui vont être pro­duits et ‘dif­fu­sés’ aux autres bactéries.

    Le pro­ces­sus de fabri­ca­tion des brins d’ARN des vac­cins Covid requiert jus­te­ment de pas­ser par la mani­pu­la­tion géné­tique de bac­té­ries en uti­li­sant des plas­mides, dans les­quels on aura préa­la­ble­ment intro­duit la séquence d’ADN cor­res­pon­dant à la pro­téine de pointe du SARS-CoV‑2.

    Le plas­mide est mul­ti­plié dans des bac­té­ries et uti­li­sé comme modèle pour pro­duire en masse de l’ARN mes­sa­ger qui sera capable de déclen­cher la pro­duc­tion de pro­téine de pointe dans les cel­lules des vac­ci­nés. L’ADN doit ensuite être éli­mi­né et l’ARN mes­sa­ger est alors mélan­gé à des lipides pour pro­duire des nano­par­ti­cules capables de faire entrer l’ARNm dans nos cel­lules. Nous allons voir que ce n’est pas le cas.

    Acte 4 : le bug dans la matrice

    Il faut savoir que les auto­ri­tés sani­taires ne contrôlent pas elles-mêmes les dif­fé­rents lots pour s’assurer de la qua­li­té des vac­cins. Seuls les fabri­cants sont res­pon­sables de l’assurance qua­li­té des pro­duits qu’ils commercialisent.

    Dans le cadre de l’autorisation de mise sur le mar­ché du vac­cin de Pfi­zer, l’Agence euro­péenne des médi­ca­ments (AEM) a ain­si dû se conten­ter de consul­ter les don­nées four­nies par le fabri­cant. L’AEM s’est éton­née auprès du fabri­cant que le pro­duit final n’avait pas été séquen­cé géné­ti­que­ment pour s’assurer que l’on y retrou­vait bien que de l’ARN mes­sa­ger et pas d’ADN ou d’autres rési­dus, nous apprend le scien­ti­fique alle­mand Flo­rian Schil­ling dans une pré­sen­ta­tion (voir les ressources).

    Pfi­zer a répon­du qu’il avait volon­tai­re­ment renon­cé au séquen­çage en avouant que ce n’était certes pas opti­mal, mais que cela se jus­ti­fiait pour réduire les coûts. Les autres fabri­cants ont éga­le­ment renon­cé à ce séquen­çage géné­tique dans le cadre de leur assurance-qualité.

    Par­mi les tech­niques alter­na­tives d’évaluation du pro­duit uti­li­sées par Pfi­zer figure l’électrophorèse, qui per­met de décomp­ter les élé­ments pré­sents dans une solu­tion en fonc­tion de leur taille.

    Dans les docu­ments four­nis par Pfi­zer à l’AEM, dont nous repro­dui­sons un sché­ma ci-des­sous, l’ARN mes­sa­ger de la pro­téine de pointe vac­ci­nale est repré­sen­té par un pic cen­tral éle­vé. L’anomalie, ce sont les « pentes » des deux côtés du pic, qui repré­sentent de mys­té­rieux ‘objets’ géné­tiques dont la taille ne cor­res­pond pas à celle de l’ARN mes­sa­ger et qui ne devraient pas être pré­sents dans une solu­tion purifiée.

    L’AEM avait d’ailleurs vou­lu en savoir plus et avait deman­dé les don­nées brutes à Pfi­zer. Le fabri­cant s’était enga­gé à les four­nir mais jusqu’à ce jour, elles n’ont tou­jours pas été livrées.

    Acte 5 : des cher­cheurs indé­pen­dants entrent en jeu

    Un groupe de cher­cheurs, inquiets notam­ment des consé­quences des injec­tions Covid chez les jeunes, a déci­dé début 2023 de prendre les choses en main et de séquen­cer des lots de « vac­cins » de Pfi­zer et de Moder­na. Toute leur démarche est expli­quée en détails dans un pre­mier article et son com­plé­ment rédi­gés par Kevin McKer­nan, bio­lo­giste molé­cu­laire, spé­cia­liste des mani­pu­la­tions géné­tiques et du séquen­çage, qui a par­ti­ci­pé à l’analyse.

    Leurs décou­vertes sont de nature inquiétante :

    Quan­ti­té d’ADN anor­ma­le­ment éle­vée – La pré­sence de plas­mides conte­nant de l’ADN de pro­téine de pointe a été confir­mée dans des pro­por­tions consi­dé­rables pour les « vac­cins » de Pfi­zer et Moder­na : entre 20 et 35%, soit bien au-delà des limites de conta­mi­na­tion fixées par l’AEM (0.033%). Une seule dose contient donc plu­sieurs mil­liards de ces plas­mides qui ont ser­vi à pro­duire l’ARN mes­sa­ger et auraient dû ensuite être éli­mi­nés. Cette infor­ma­tion est déjà une preuve de la non-confor­mi­té de ces pro­duits par rap­port à la régle­men­ta­tion en vigueur.
    Accé­lé­ra­tion de l’antiobiorésistance – Fait inquié­tant, l’ADN de ces plas­mides contient des gènes qui les rendent résis­tants à deux anti­bio­tiques : le néo­my­cine et le kana­my­cine. L’introduction de mil­liards de gènes de résis­tance aux anti­bio­tiques dans des plas­mides à forte capa­ci­té de répli­ca­tion, en per­met­tant une sélec­tion de bac­té­ries résis­tantes à ces trai­te­ments dans le micro­biome, devrait sus­ci­ter des inquié­tudes quant à l’accélération de la résis­tance aux anti­bio­tiques à l’échelle mon­diale. Cer­tains experts esti­maient déjà avant la crise du Covid qu’à l’horizon 2050 nous n’aurions plus d’antibiotiques efficaces.
    Haut fac­teur d’erreur de copie – Les scien­ti­fiques affirment que la pré­sence d’un nucléo­tide appe­lé pseu­dou­ri­dine est très inquié­tante car il est répu­té pour avoir un taux d’erreur de copie d’un nucléo­tide sur 4000. Ce qui repré­sente entre 5 et 8.5 mil­lions d’erreurs de copie pos­sibles par dose de vac­cin. Et per­sonne ne peut dire à quoi ces erreurs cor­res­pondent vu qu’elles sont imprévisibles.
    Inté­gra­tion per­ma­nente et trans­gé­né­ra­tion­nelle – Les plas­mides vac­ci­naux peuvent atteindre une bac­té­rie ou une cel­lule humaine. Ce der­nier cas est consi­dé­ré comme pro­blé­ma­tique car il est pos­sible que le brin d’ADN conte­nu dans le plas­mide soit inté­gré au code géné­tique de la cel­lule humaine de manière per­ma­nente, lui per­met­tant à tout moment de pro­duire de la pro­téine de pointe vac­ci­nale de manière auto­nome, toute sa vie. Selon toute vrai­sem­blance, c’est ce qui arrive à Pas­cal Naja­di et aux clients de Me Ulbrich en Alle­magne. Le Prof. Bhak­di a rap­pe­lé à ce pro­pos que chaque divi­sion de cel­lule est l’occasion pour cet ADN impor­té de modi­fier le génome de l’hôte. Si cette inté­gra­tion se passe dans une cel­lule souche, un ovule ou un sper­ma­to­zoïde, la modi­fi­ca­tion géné­tique sera trans­mise aux géné­ra­tions sui­vantes. C’est grave car aujourd’hui la science ne pro­pose pas d’outil pour enle­ver un gène.
    Plus incom­pré­hen­sible, l’ADN du plas­mide uti­li­sé par Pfi­zer contient une séquence (SV 40) qui lui per­met d’être trans­fé­ré dans le noyau même lorsque la cel­lule ne se divise pas et affec­ter ain­si des cel­lules. Sa pré­sence est pour­tant inutile pour la pro­duc­tion d’ARN mes­sa­ger dans les bac­té­ries. Cette séquence est absente des plas­mides uti­li­sés par Moderna.

    Le vac­cin Covid de Johnson&Johnson pose lui un risque d’intégration encore plus grand car il base sur un virus à ADN et uti­lise un pro­mo­teur beau­coup plus puis­sant que SV 40, appe­lé CMV. Ceci débouche sur un risque d’oncogénèse et de pro­duc­tion conti­nue de pro­téine de pointe bien plus éle­vés qu’avec les ARN mes­sa­gers, affirme Marc Wathe­let, un bio­lo­giste molé­cu­laire et spé­cia­liste des coro­na­vi­rus que nous avons consul­té (voir entre­tien en fin d’article).

    Comme l’ADN de la pro­téine de pointe du plas­mide vise les cel­lules de mam­mi­fères, il y a très peu de chance que l’intégration se fasse de manière per­ma­nente dans le génome d’une bac­té­rie intes­ti­nale. À défaut de deve­nir des usines à pro­téine de pointe, ces bac­té­ries – qui ne sont pas des cel­lules humaines – pour­raient par contre mul­ti­plier les plas­mides vac­ci­naux et ain­si contri­buer à aug­men­ter le risque de conta­mi­na­tion à des cel­lules humaines, appe­lée « bac­to­fec­tion » ou « transfection ».

    Acte 6 : les consé­quences – risques de cancers

    Marc Wathe­let confirme que si « le risque de conta­mi­na­tion des bac­té­ries du micro­biome reste faible, ce sont les risques d’inflammation et sur­tout de can­cers liés à la conta­mi­na­tion des cel­lules du corps des vac­ci­nés par de l’ADN qui sont plus inquié­tants ». L’expert sou­ligne qu’il est « impos­sible de quan­ti­fier ce risque ». Il constate « une aug­men­ta­tion de cer­tains can­cers, mais on ne sait pas si c’est dû à l’ADN, à l’ARNm, au sys­tème immu­ni­taire qui s’affaiblit, aux lipides pré­sents dans les nano­par­ti­cules, ou à une com­bi­nai­son de ces facteurs ».

    L’intégration d’ADN de pro­téine de pointe peut expli­quer que les effets ne soient pas immé­diats après la vac­ci­na­tion mais se déve­loppent au fil du temps. Cer­tains scien­ti­fiques lient ain­si l’excès de mor­ta­li­té obser­vé en 2022 dans tous les pays vac­ci­nés avec une pro­duc­tion per­ma­nente de pro­téine de pointe. Une ana­lyse de Jarle Aars­tad va dans ce sens et démontre une cor­ré­la­tion inquié­tante : pour chaque pourcent de taux de vac­ci­na­tion, on observe +0.1% de mor­ta­li­té en excès l’année suivante.

    Acte 7 : et que faire maintenant ?

    Si on avait aver­tit les futurs vac­ci­nés qu’on allait leur injec­ter du maté­riel géné­tique qui allait pro­ba­ble­ment s’intégrer à leur propre génome, com­bien auraient encore accep­té la piqûre ?

    Il fau­drait que les auto­ri­tés sani­taires prennent conscience du pro­blème et qu’elles fassent des ana­lyses géné­tiques chez des vac­ci­nés pour voir dans quelle mesure cet ADN vac­ci­nal est inté­gré dans les cel­lules humaines et dans quels types de cellules.

    Le Prof. Sucha­rit Bhak­di a récem­ment affir­mé que les vac­cins à ARN mes­sa­ger sont en fait des thé­ra­pies géniques qui devraient être reti­rées du mar­ché. Ceci est d’autant plus impor­tant que, boos­tée par des béné­fices énormes, l’industrie vac­ci­nale inves­tit actuel­le­ment dans le déve­lop­pe­ment de cen­taines de nou­veaux vac­cins à ARN messager.

    On est tou­jours au stade expérimental

    Quoi qu’en disent les médias grand public et les auto­ri­tés, la science conti­nue d’affirmer que ces thé­ra­pies géniques n’en sont tou­jours qu’au stade expé­ri­men­tal, comme en atteste cet extrait paru dans Nature en juillet 2022 :

    « Bien qu’elles pré­sentent plu­sieurs avan­tages par rap­port aux approches conven­tion­nelles basées sur les pro­téines, les thé­ra­pies basées sur l’ARNm en sont encore aux pre­miers stades de déve­lop­pe­ment. L’instabilité des ARNm syn­thé­tiques et les réponses immu­ni­taires géné­rées contre ces molé­cules syn­thé­tiques ont été les prin­ci­paux obs­tacles à l’adaptation de cette tech­no­lo­gie. » Nature, Scien­ti­fic Reports, juillet 2022

    Pour les per­sonnes concer­nées par cette pro­duc­tion per­ma­nente de pro­téine de pointe, comme Pas­cal Naja­di, elles sont contraintes pour l’instant à prendre à vie des trai­te­ments pour dimi­nuer sa concen­tra­tion. Leur sys­tème immu­ni­taire est constam­ment occu­pé à éli­mi­ner leurs propres cel­lules qui pro­duisent de la pro­téine de pointe, mais celles-ci conti­nuent de se mul­ti­plier avec la modi­fi­ca­tion géné­tique, ren­dant ce com­bat per­ma­nent et épui­sant pour le corps.

    Prou­vé pour les cel­lules can­cé­reuses de foie humain

    Une étude, Alden et al., a démon­tré que des cel­lules can­cé­reuses de foie humain pou­vaient inté­grer de manière per­ma­nente le maté­riel géné­tique des vac­cins de Pfi­zer. Les cri­tiques ont affir­mé qu’on ne pou­vait pas tirer de conclu­sions pour les cel­lules saines. Ces résul­tats auraient par contre dû remettre en ques­tion le fait d’injecter ces pro­duits à des patients atteints de cancer.

    Com­pa­rai­son avec les tests PCR

    Le silence sur la conta­mi­na­tion des injec­tions Covid par de l’ADN est d’autant plus frap­pant lorsque l’on se rap­pelle qu’à l’époque des tests PCR, il suf­fi­sait de détec­ter dans notre nez quelques débris viraux inca­pables de se repro­duire, avec un nombre de cycles de tra­vail (CT, ampli­fi­ca­tion) proche de 40, pour être décla­ré posi­tif et mis en quarantaine.

    La conta­mi­na­tion par l’ADN dont nous par­lons ici dans les vac­cins se détecte déjà à un CT de 20. Il s’agit d’une concen­tra­tion un mil­lion de fois plus éle­vée que ce qui était consi­dé­ré comme cri­tique pour le SARS-CoV‑2 et cet ADN capable d’intégration est injec­té au-delà des défenses de nos muqueuses.

    Si les tests PCR avaient aus­si été réa­li­sés avec un CT de 20, le nombre de cas Covid posi­tifs aurait été qua­si nul et il n’y aurait pas eu autant de panique autour de cette pandémie.

    Res­sources […]

    Réponse
  3. Étienne CHOUARD

    Steve Kirsch : « Nous ne pou­vons pas trou­ver un enfant autiste qui n’a pas été vacciné. »

    « Les Amish sont un exemple par­fait d’un grand groupe de per­sonnes qui ne sont en grande par­tie pas vac­ci­nées », a décla­ré @stkirsch au Sénat de l’É­tat de Pennsylvanie.

    « Vous ne trou­ve­rez pas d’en­fants atteints de TDA, de mala­dies auto-immunes, de PANDAS, de PANS, d’é­pi­lep­sie. Vous ne trou­vez aucune de ces mala­dies chro­niques chez les Amish.

    « Le gou­ver­ne­ment amé­ri­cain étu­die les Amish depuis des décen­nies, mais il n’y a jamais eu de rap­port ren­du public », a noté @stkirsch.

    « Après des décen­nies d’é­tude des Amish, il n’y a pas de rap­port parce que le rap­port serait dévas­ta­teur pour le récit. Cela mon­tre­rait que le CDC nuit au public depuis des décen­nies, ne dit rien et enterre toutes les données. »

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