La théorie du complot de l’année dernière vient d’être adoptée en première lecture par l’Assemblée nationale. En douce, de nuit et pendant les fêtes, comme toutes les lois scélérates. Et les anticomplotistes veillent, en dénonçant les « complotistes » ce qui protège les comploteurs.

7/01/2022 | 3 commentaires


Véran Le Fourbe (déc. 2021) : « Le pass vaccinal est une forme déguisée de l’obligation vaccinale,
mais c’est plus efficace qu’une obligation vaccinale : empêcher des gens d’aller dans des bars, des restaurants, dans des lieux qui reçoivent du public, s’ils ne sont pas « vaccinés », c’est plus efficace que de leur mettre une amende de 100 € quand on les attrape dans la rue.
 »

Je vous invite tous à lire, imprimer ET AFFICHER PARTOUT les art. 312 et suivants du code pénal, qui incriminent L’EXTORSION de consentement :

https://​legi​france​.gouv​.fr/​c​o​d​e​s​/​s​e​c​t​i​o​n​_​l​c​/​L​E​G​I​T​E​X​T​0​0​0​0​0​6​0​7​0​7​1​9​/​L​E​G​I​S​C​T​A​0​0​0​0​0​6​1​6​5​3​2​7​/​#​L​E​G​I​S​C​T​A​0​0​0​0​0​6​1​6​5​327

#Nous­Na­vons­Pas­De­Cons­ti­tu­tion


La technique de domination du GOUVERNEMENT est la même que celle de la MAFIA : le mafieux terrorise ses victimes, puis il se présente lui-même comme le protecteur, en échange de leur docilité.
L’obligation vaccinale, c’est de l’EXTORSION (art 312 et suivants du code pénal)

Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux.

https://​twit​ter​.com/​E​t​i​e​n​n​e​_​C​h​o​u​a​r​d​/​s​t​a​t​u​s​/​1​4​7​3​5​8​9​8​9​6​8​9​1​8​4​2​5​6​1​?​s​=20

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Étienne

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3 Commentaires

  1. Étienne CHOUARD

    Des militaires lanceurs d’alerte donnent les chiffres [catastrophiques] des effets secondaires du « vaccin » dans l’armée étasunienne

    https://​lesa​ker​fran​co​phone​.fr/​d​e​s​-​m​i​l​i​t​a​i​r​e​s​-​l​a​n​c​e​u​r​s​-​d​a​l​e​r​t​e​-​d​o​n​n​e​n​t​-​l​e​s​-​c​h​i​f​f​r​e​s​-​d​e​s​-​e​f​f​e​t​s​-​s​e​c​o​n​d​a​i​r​e​s​-​d​u​-​v​a​c​c​i​n​-​d​a​n​s​-​l​a​r​m​e​e​-​e​t​a​s​u​n​i​e​nne

    Les poli­ti­ciens et les médias pro-phar­ma affirment que l’outil de phar­ma­co­sur­veillance du CDC, le VAERS, n’est pas assez per­for­mant pour déclen­cher des enquêtes sur les vac­cins, car n’importe qui peut soi-disant sou­mettre une entrée d’événement indé­si­rable lié à un vac­cin. Ain­si, tous les signaux de sécu­ri­té inquié­tants émis par le VAERS sont igno­rés, même si ce sys­tème a été mis en place pour conso­ler le public en exo­né­rant les fabri­cants de vac­cins de toute res­pon­sa­bi­li­té. Aujourd’hui, des dénon­cia­teurs mili­taires pré­sentent des don­nées qui, si elles sont véri­fiées, signalent des pro­blèmes de sécu­ri­té extrê­me­ment inquié­tants concer­nant le vac­cin, qui font pas­ser les don­nées du VAERS pour un jeu d’enfant.

    Lun­di, au cours de l’audition de cinq heures du séna­teur Ron John­son sur un « COVID-19 : Second Opi­nion » , l’avocat de l’Ohio Tho­mas Renz, qui repré­sente des clients pour­sui­vant les man­dats de vac­ci­na­tion, a pré­sen­té des don­nées de fac­tu­ra­tion médi­cale du DOD pro­ve­nant de la base de don­nées d’épidémiologie médi­cale de la défense (DMED) qui brosse un tableau cho­quant et inquié­tant de la san­té des membres de notre ser­vice en 2021.

    Selon l’armée, DMED est l’outil Web de la Direc­tion de la sur­veillance de la san­té des forces armées (AFHSB) qui per­met d’interroger à dis­tance les don­nées ano­ny­mi­sées sur le per­son­nel et les évé­ne­ments médi­caux des com­po­santes actives conte­nues dans le sys­tème de sur­veillance médi­cale de la défense (DMSS). En d’autres termes, il contient chaque code de fac­tu­ra­tion médi­cale CIM pour tout diag­nos­tic médi­cal dans l’armée sou­mis à la fac­tu­ra­tion de l’assurance médi­cale pen­dant une période don­née. Trois méde­cins mili­taires ont pré­sen­té à Renz des don­nées inter­ro­gées qui montrent un pic cho­quant et sou­dain dans presque tous les codes CIM pour les bles­sures cou­rantes liées aux vac­cins en 2021.

    Dans une décla­ra­tion sous peine de par­jure (NDLR : donc sous ser­ment) que Renz pré­voit d’utiliser devant un tri­bu­nal fédé­ral, les doc­teurs Samuel Sigo­loff, Peter Cham­bers et The­re­sa Long – trois méde­cins mili­taires – ont révé­lé qu’il y a eu une aug­men­ta­tion de 300% des codes DMED enre­gis­trés pour des fausses couches dans l’armée en 2021 par rap­port à la moyenne sur cinq ans. La moyenne sur cinq ans était de 1 499 codes pour des fausses couches par an. Au cours des 10 pre­miers mois de 2021, elle était de 4 182. Comme Renz me l’a expli­qué dans une inter­view avec The­Blaze, ces méde­cins ont inter­ro­gé les chiffres de cen­taines de codes de 2016 à 2020 pour éta­blir une moyenne de base sur cinq ans. Ces codes concer­naient géné­ra­le­ment des affec­tions et des bles­sures que la lit­té­ra­ture médi­cale a éta­blies comme étant des effets indé­si­rables poten­tiels des vaccins.

    M. Renz m’a dit que les chiffres ten­daient à être remar­qua­ble­ment simi­laires pour toutes ces années pré­cé­dentes, y com­pris en 2020, qui était la pre­mière année de la pan­dé­mie mais avant la dis­tri­bu­tion des vac­cins. Mais en 2021, les chiffres sont mon­tés en flèche, et les don­nées de 2021 ne com­prennent même pas les mois de novembre et décembre. Ain­si, cer­tains res­pon­sables de la san­té publique sup­posent que le COVID lui-même expose les femmes à un risque plus éle­vé de fausses couches. Mais le nombre de codes de fausses couches enre­gis­trés en 2020 était en fait légè­re­ment infé­rieur à la moyenne sur cinq ans (1 477). Cepen­dant, ils n’étaient pas radi­ca­le­ment infé­rieurs à la moyenne dans une caté­go­rie quel­conque, au point que l’on puisse sug­gé­rer qu’il s’agit d’un reflet de la dimi­nu­tion des consul­ta­tions médi­cales liée au confi­ne­ment, qui a en quelque sorte conduit à une aug­men­ta­tion des diag­nos­tics en 2021.

    La base de don­nées contient tous les codes CIM pour les visites à l’hôpital mili­taire et les visites ambu­la­toires. Les don­nées pré­sen­tées par Renz jusqu’à pré­sent pro­viennent toutes de l’interrogation des don­nées de diag­nos­tic ambulatoire.

    Outre le pic des diag­nos­tics de fausses couches (code CIM O03 pour les avor­te­ments spon­ta­nés), on constate une aug­men­ta­tion de près de 300 % des diag­nos­tics de can­cer (d’une moyenne de 38 700 par an sur cinq ans à 114 645 au cours des 11 pre­miers mois de 2021). Il y a éga­le­ment eu une aug­men­ta­tion de 1 000 % des codes de diag­nos­tic pour les pro­blèmes neu­ro­lo­giques, qui sont pas­sés d’une moyenne de base de 82 000 à 863 000 !

    Voi­ci d’autres chiffres qu’il n’a pas men­tion­nés lors de l’audition mais qu’il m’a don­nés lors de l’interview :

    infarc­tus du myo­carde. 269% d’augmentation
    para­ly­sie de Bell. 291 % d’augmentation
    mal­for­ma­tions congé­ni­tales (pour les enfants de mili­taires). 156 % d’augmentation
    infer­ti­li­té fémi­nine. aug­men­ta­tion de 471%
    embo­lies pul­mo­naires. aug­men­ta­tion de 467%
    Tous ces chiffres concernent les visites ambu­la­toires, car c’est là que se pro­duisent la plu­part des diag­nos­tics dans l’armée. Cepen­dant, Renz a dit que les aug­men­ta­tions étaient éga­le­ment indi­quées chez les patients hos­pi­ta­li­sés. J’ai vu l’une des décla­ra­tions sous ser­ment de l’un des méde­cins mili­taires, qui dit ceci : « C’est mon opi­nion pro­fes­sion­nelle que les aug­men­ta­tions majeures des inci­dences des cas de fausses couches, de can­cers et de mala­dies sus­men­tion­nés sont dues aux « vac­ci­na­tions » COVID-19″.

    Selon Renz, c’est l’expérience cli­nique réelle des trois méde­cins cités et de plu­sieurs méde­cins ano­nymes qui les a conduits à enquê­ter sur DMED, et leurs décou­vertes reflé­taient leur expé­rience du trai­te­ment de patients atteints de mala­dies extrê­me­ment inha­bi­tuelles chez de jeunes sol­dats en bonne san­té depuis le lan­ce­ment des vaccins.

    J’ai par­lé à l’un des dénon­cia­teurs qui affirme être gra­ve­ment pré­oc­cu­pé par le fait de voir de jeunes sol­dats atteints de can­cers méta­sta­tiques sou­dains, de mala­dies auto-immunes et de troubles car­diaques et cir­cu­la­toires qui ont pous­sé de nom­breux sol­dats à aban­don­ner divers pro­grammes de for­ma­tion. « Ces méde­cins ont été moti­vés à explo­rer les don­nées DMED en rai­son du nombre d’augmentations de cas qu’ils consta­taient de manière empi­rique », a décla­ré le dénon­cia­teur, qui a ser­vi dans l’armée pen­dant de nom­breuses années. « Cer­tains méde­cins de l’ensemble de la force (toutes branches confon­dues) ont été inti­mi­dés par les ordres de ne pas effec­tuer l’ensemble des tests et de ne pas adhé­rer aux règle­ments, qui ordonnent impli­ci­te­ment des bilans com­plets pour les effets indé­si­rables des vac­cins EUA. Il fau­dra que d’autres méde­cins mili­taires se mani­festent et par­tagent leurs expé­riences pour que l’énormité de ces allé­ga­tions soit plei­ne­ment éta­blie et qu’une enquête soit menée dans toute son ampleur. »

    Renz affirme qu’il dis­pose d’une vidéo avec deux témoins mon­trant l’ensemble du pro­ces­sus de télé­char­ge­ment de ces don­nées depuis la base de don­nées et qu’il est prêt à la pré­sen­ter au tri­bu­nal. Il m’a éga­le­ment dit que ce n’était que « la par­tie émer­gée de l’iceberg », car les codes ont aug­men­té de façon expo­nen­tielle dans de nom­breuses autres caté­go­ries de diag­nos­tics. M. Renz a décla­ré que sa feuille de cal­cul, qui com­prend plus de 100 caté­go­ries de diag­nos­tics médi­caux, a été com­mu­ni­quée au séna­teur John­son et à son per­son­nel avant l’audience de lundi.

    Il est impor­tant de noter que ces chiffres ne repré­sentent pas le nombre de per­sonnes indi­vi­duelles diag­nos­ti­quées pour diverses affec­tions, mais le nombre de codes de diag­nos­tic uti­li­sés dans leur tota­li­té à un moment don­né. Par exemple, une per­sonne vic­time d’un acci­dent vas­cu­laire céré­bral va évi­dem­ment accu­mu­ler de nom­breux codes CIM neu­ro­lo­giques au cours d’une année, avec de mul­tiples visites ambu­la­toires et hos­pi­ta­lières. Tou­te­fois, la com­pa­rai­son entre les courbes et les courbes des cinq années pré­cé­dentes montre clai­re­ment un pic incon­tes­table des affections.

    Si ces chiffres sont véri­fiés dans les pro­cès à venir, alors, en l’absence d’une fraude mas­sive à l’assurance mili­taire ou d’un pro­blème bizarre dans le sys­tème, cela pour­rait don­ner une image cho­quante des pro­blèmes de sécu­ri­té des vac­cins qui indi­que­rait que non seule­ment les signaux de sécu­ri­té du VAERS auraient dû être immé­dia­te­ment sui­vis, mais qu’ils sont en proie à une ter­rible sous-décla­ra­tion. L’armée est une popu­la­tion défi­nie, limi­tée, et étroi­te­ment contrô­lée et sur­veillée. Ils sont éga­le­ment très majo­ri­tai­re­ment jeunes et en bonne san­té. Si les allé­ga­tions de pro­blèmes neu­ro­lo­giques, car­diaques et de can­cer liés aux vac­cins sont effec­ti­ve­ment vraies, l’armée serait l’endroit le plus révé­la­teur pour le décou­vrir, et ses don­nées sont les plus fiables et les plus incontestables.

    Le DMED est lit­té­ra­le­ment un pro­gramme de sur­veillance épi­dé­mio­lo­gique conçu dans le but exprès de détec­ter les pous­sées de mala­dies et de bles­sures afin de s’assurer que l’armée est prête au com­bat. Il s’agit de sécu­ri­té natio­nale encore plus que de san­té publique. Pour­quoi l’armée n’aurait-elle pas tiré la son­nette d’alarme et pré­ve­nu immé­dia­te­ment le CDC au sujet de ces don­nées ? Sur le site Web du sys­tème de san­té mili­taire, la Divi­sion de sur­veillance de la san­té des forces armées (AFHSD) est décrite comme « la res­source épi­dé­mio­lo­gique cen­trale pour les forces armées des États-Unis, menant une sur­veillance médi­cale pour pro­té­ger ceux qui servent notre nation en uni­forme et les alliés qui sont essen­tiels à nos inté­rêts de sécu­ri­té nationale ».

    Com­ment l’Agence sani­taire de la défense (DHA) a‑t-elle pu igno­rer les signaux de sur­veillance criants et fla­grants d’une vie entière, et com­ment cela n’a‑t-il pas été com­mu­ni­qué au grand public ? La ques­tion est de savoir pour­quoi les ana­lystes de la san­té publique mili­taire n’ont pas com­mu­ni­qué avec les méde­cins mili­taires au sujet des pics cho­quants de diag­nos­tics cette année et pour­quoi ils n’ont pas publié d’analyse pour l’expliquer.

    Pour sa part, le séna­teur Ron John­son a décla­ré lors de l’audience de lun­di qu’il avait mis le minis­tère de la Défense en demeure de ne pas sup­pri­mer les don­nées. « Le minis­tère de la Défense, l’administration Biden sont aver­tis qu’ils doivent pré­ser­ver ces dos­siers et que cela doit faire l’objet d’une enquête », a décla­ré John­son. M. Renz a décla­ré lors de l’audience que cer­taines des don­nées rela­tives à la myo­car­dite avaient glis­sé vers l’arrière depuis que les méde­cins les avaient télé­char­gées l’année dernière.

    Même si, d’une manière ou d’une autre, ces aug­men­ta­tions fra­cas­santes n’ont rien à voir avec les vac­cins, n’est-il pas impor­tant que notre gou­ver­ne­ment enquête sur ce qui semble être un déclin catas­tro­phique de la san­té de notre force de com­bat en ser­vice actif ? Après tout, les don­nées du DMED ont été conçues dans ce but pré­cis. « Une per­sonne peut faire un tra­vail de recherche rien qu’avec ces don­nées », a décla­ré l’un des dénon­cia­teurs à qui j’ai par­lé. « Elles ont été conçues dans ce but pré­cis. La quan­ti­té de points de don­nées que vous pou­vez inter­ro­ger est presque illimitée. »

    L’essentiel, selon Renz, est que la charge de la preuve incombe au gou­ver­ne­ment, et non aux mili­taires et aux citoyens contraints de prendre les cli­chés. Si les fabri­cants sont exo­né­rés de toute res­pon­sa­bi­li­té en cas de coer­ci­tion gou­ver­ne­men­tale pour l’utilisation de leur pro­duit, et que les seules don­nées de sécu­ri­té phar­ma­co­lo­gique dont nous dis­po­sons sont com­plè­te­ment igno­rées, alors quel est le recours de la popu­la­tion pour remé­dier aux pro­blèmes de sécu­ri­té ? Selon l’avocat de l’Ohio, si les injec­tions sont sûres et effi­caces, alors le Penta­gone ne devrait avoir aucun pro­blème à expli­quer la source de ces aug­men­ta­tions gar­gan­tuesques de cas de nom­breuses mala­dies. La trans­pa­rence est le remède le plus effi­cace contre une pan­dé­mie de secret.

    Daniel Horo­witz

    Tra­duit par Actuintel

    Réponse
  2. Étienne CHOUARD

    Bar­ba­ra Stie­gler : les mots ont un sens. #Véran­Char­la­tan :

    Réponse

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