[Libertés, Éthique, Citoyens comme seuls défenseurs possibles de la Démocratie] Julie Ponesse, professeur d’éthique : la covid révèle les dangers du conformisme, la banalité du mal, et la nécessité de l’héroïsme

17/11/2021 | 7 commentaires

Chers amis,
Je vous signale cet expo­sé (18 min) que je trouve important.
Je vous copie, en des­sous de la vidéo, une retrans­crip­tion com­plète, à lire le crayon à la main.
À connaître, et à faire connaître, il me semble.
Étienne.

 

Julie Ponesse, professeur d’éthique, sur la politique COVID : « La plus grande menace pour l’humanité à laquelle nous ayons jamais été confrontés »

Reve­nez quelques années en arrière, à l’au­tomne 2019, par exemple. Que fai­siez-vous alors ? À quoi res­sem­blait votre vie ? A quoi teniez-vous alors ? De quoi aviez-vous le plus peur ? Com­ment ima­gi­niez-vous l’avenir ?

Voi­là la per­sonne avec laquelle j’ai­me­rais par­ler pen­dant les 15 pro­chaines minutes, et je com­men­ce­rai par ma propre his­toire ; à la fin, j’au­rai une faveur à deman­der et un petit secret à partager.

À l’au­tomne 2019, j’é­tais pro­fes­seur d’é­thique et de phi­lo­so­phie antique ; j’en­sei­gnais aux étu­diants la pen­sée cri­tique et l’im­por­tance de la réflexion per­son­nelle, com­ment poser de bonnes ques­tions et éva­luer les preuves, com­ment apprendre du pas­sé et pour­quoi la démo­cra­tie exige la ver­tu civique.

Fai­sons un accé­lé­ré au 16 sep­tembre 2021, date à laquelle j’ai reçu une lettre de « licen­cie­ment avec motif » après avoir contes­té, et refu­sé de res­pec­ter, la vac­ci­na­tion obli­ga­toire impo­sée par mon employeur. J’ai été licen­ciée pour avoir fait exac­te­ment ce pour quoi j’a­vais été enga­gée. J’é­tais un pro­fes­seur d’é­thique qui remet­tait en ques­tion ce que je consi­dé­rais comme une exi­gence contraire à l’é­thique. Il ne faut pas cher­cher bien loin pour voir l’i­ro­nie de la chose.

Le Cana­da est régi par des lois qui sont fon­dées sur l’é­thique. On pour­rait dire que l’é­thique est le fon­de­ment de notre démocratie.
« Le droit de déter­mi­ner ce qui doit ou ne doit pas être fait avec son propre corps, et d’être libre vis-à-vis des trai­te­ments médi­caux non consen­suels, est un droit pro­fon­dé­ment ancré dans notre sys­tème de com­mon law. » Ces mots ne sont pas de moi ; ce sont ceux du juge Syd­ney Robins de la Cour d’ap­pel de l’Ontario.

À de très rares excep­tions près, le corps de chaque per­sonne est consi­dé­ré comme invio­lable dans le droit cana­dien, et c’est l’é­thique sous-jacente du Code de Nurem­berg, la pro­messe faite à l’hu­ma­ni­té que nous n’au­to­ri­se­rions plus jamais des prises de déci­sion médi­cale non infor­mée et non volon­taire, même pour le bien du patient, et même au nom du bien public.

Par défi­ni­tion, la vac­ci­na­tion obli­ga­toire est une stra­té­gie d’im­mu­ni­sa­tion coer­ci­tive : en l’ab­sence de coer­ci­tion – la menace de perdre son emploi, par exemple – les gens accep­te­raient volon­tai­re­ment de faire ce que l’o­bli­ga­tion tente de réaliser !

Aujourd’­hui, les employeurs prennent nos car­rières en otage et nous privent de notre par­ti­ci­pa­tion à l’é­co­no­mie et à la vie publique. Leur jus­ti­fi­ca­tion est sui­vante : « Nous sommes en pleine pan­dé­mie, et nous devons donc renon­cer à l’au­to­no­mie de notre corps au nom du bien public. »

Par­lons donc un peu d’au­to­no­mie et de bien public.

En cas d’ur­gence, le Par­le­ment et les légis­la­tures pro­vin­ciales dis­posent d’un pou­voir limi­té pour adop­ter des lois qui violent cer­tains droits de la Charte au nom du bien public. Mais, pour jus­ti­fier ces vio­la­tions, la vac­ci­na­tion obli­ga­toire devrait satis­faire à un seuil d’exi­gence très éle­vé : il fau­drait, par exemple, que le COVID-19, soit un agent patho­gène très viru­lent pour lequel il n’existe aucun trai­te­ment adé­quat, et l’ef­fi­ca­ci­té et la sécu­ri­té des vac­cins devraient être démontrées.

L’é­tat actuel des choses au Cana­da ne répond à aucun de ces critères.

Consi­dé­rons les faits suivants :

1) le COVID-19 a un taux de fata­li­té par rap­port à l’in­fec­tion qui ne repré­sente même pas 1 % de celui de la variole (et il pose encore moins de risque pour les enfants) ;

2) il existe un cer­tain nombre de pro­duits phar­ma­ceu­tiques sûrs et très effi­caces pour le trai­ter (notam­ment des anti­corps mono­clo­naux, l’I­ver­mec­tine, la flu­voxa­mine, la vita­mine D et le zinc) ;

3) Les vac­cins ont fait l’ob­jet de plus d’é­vé­ne­ments indé­si­rables (y com­pris d’in­nom­brables décès) que tous les autres vac­cins sur le mar­ché au cours des 30 der­nières années.

À la lumière de ces faits, je me pose de nom­breuses questions :

Pour­quoi les vac­ci­nés se voient-ils accor­der des pas­se­ports vac­ci­naux et l’ac­cès aux espaces publics, alors que le direc­teur du CDC a décla­ré que les vac­cins COVID-19 ne peuvent pas empê­cher la trans­mis­sion ?

Pour­quoi la vac­ci­na­tion est-elle la SEULE stra­té­gie d’at­té­nua­tion alors que les preuves émer­gentes (y com­pris une étude récente de Har­vard) ne mettent en évi­dence aucune rela­tion per­cep­tible entre le taux de vac­ci­na­tion et les nou­veaux cas ?

Pour­quoi notre gou­ver­ne­ment conti­nue-t-il de ne pas recom­man­der l’i­ver­mec­tine comme trai­te­ment, alors que les Natio­nal Ins­ti­tutes of Health des États-Unis le sou­tiennent et que l’É­tat d’Ut­tar Pra­desh, en Inde, l’a dis­tri­bué à ses 230 mil­lions d’ha­bi­tants, rédui­sant ain­si son taux de mor­ta­li­té liée au COVID à près de zéro ? Com­ment l’Inde a‑t-elle pu dépas­ser le Cana­da en matière de soins de santé ?

Pour­quoi sommes-nous sur le point de vac­ci­ner des enfants de 5 ans alors que le COVID pré­sente pour eux moins de risques que les réac­tions poten­tielles aux vac­cins ET alors qu’il n’existe AUCUN sys­tème de sur­veillance effi­cace des vaccins ?

Pour­quoi nous concen­trons-nous sur les avan­tages limi­tés de l’im­mu­ni­té induite par le vac­cin alors que des études dans le monde réel montrent que l’im­mu­ni­té natu­relle est plus pro­tec­trice, plus puis­sante et plus durable ?

Pour­quoi flé­tris­sons-nous ceux qui hésitent à se faire vac­ci­ner et non ceux qui veulent impo­ser le vac­cin à tout prix ?

« Pour­quoi, comme l’a récem­ment deman­dé une infir­mière, les per­sonnes pro­té­gées doivent-elles être pro­té­gées des per­sonnes non pro­té­gées en contrai­gnant les per­sonnes non pro­té­gées à uti­li­ser une pro­tec­tion qui de toute façon n’a pas pro­té­gé les per­sonnes protégées ? »

À tous les égards et sous tous les angles, ce châ­teau de cartes est sur le point de s’effondrer…

Mais la ques­tion qui m’in­té­resse est de savoir pour­quoi il ne s’est pas déjà effon­dré ? Pour­quoi ces ques­tions ne font-elles pas la une de tous les grands jour­naux du Cana­da chaque jour ?

Les bonnes per­sonnes n’ont-elles tout sim­ple­ment pas vu les bonnes don­nées ? S’a­git-il sim­ple­ment d’une erreur admi­nis­tra­tive… à l’é­chelle mondiale ?

Qu’est-il donc arri­vé à nos diri­geants ? Notre pre­mier ministre a lan­cé le cri de guerre : « Ne croyez pas que vous mon­te­rez dans un avion », a‑t-il mena­cé. Les pro­messes de cam­pagne sont deve­nues des poli­tiques publiques ségré­ga­tion­nistes. Notre gou­ver­ne­ment nous encou­rage quo­ti­dien­ne­ment à nous divi­ser et à être haineux.

Com­ment les choses ont-elles pu chan­ger si radi­ca­le­ment ? Com­ment nous, Cana­diens, avons-nous pu chan­ger aus­si radicalement ?

J’ob­serve que nous sommes confron­tés à une pan­dé­mie, non pas seule­ment d’un virus, mais d’une pan­dé­mie de confor­misme et de com­plai­sance, dans une culture du silence, de la cen­sure et de l’in­ti­mi­da­tion ins­ti­tu­tion­na­li­sée.

Les médias mains­tream aiment à dire que nous menons une « guerre de l’in­for­ma­tion » : que la dés­in­for­ma­tion, et même le ques­tion­ne­ment et le doute, ont été les fléaux de cette pandémie.

Mais ce n’est pas seule­ment l’in­for­ma­tion qui a été ins­tru­men­ta­li­sée comme arme, dans cette guerre ; c’est aus­si le droit d’une per­sonne à pen­ser par elle-même.

J’ai enten­du dire : « Eh bien, je n’y connais pas grand-chose en virus, donc je ne devrais pas vrai­ment avoir d’o­pi­nion », mais…
La ques­tion n’est pas de savoir si vous en savez plus sur la viro­lo­gie que nos res­pon­sables de la san­té publique ; la ques­tion est de savoir pour­quoi nous ne leur repro­chons pas tous de ne pas être prêts à s’en­ga­ger sur la voie des preuves et à débattre avec celui qui a une opi­nion différente.

Nous devrions deman­der non pas un résul­tat, mais le réta­blis­se­ment d’un pro­ces­sus.

Sans ce pro­ces­sus, nous n’a­vons pas de science, nous n’a­vons pas de démocratie.

Sans ce pro­ces­sus, nous sommes dans une espèce de guerre morale.

Mais, les guerres du pas­sé avaient des fron­tières claires et nettes : l’Est et l’Ouest, les patriotes et le gouvernement.

La guerre où nous nous trou­vons aujourd’­hui est une guerre d’in­fil­tra­tion et non d’in­va­sion, d’in­ti­mi­da­tion et non de libre choix, de forces psy­cho­lo­giques si insi­dieuses que nous en venons à croire que les idées sont les nôtres et que nous y fai­sons notre devoir en aban­don­nant nos droits.

Comme l’a dit récem­ment un sage col­lègue, « C’est une guerre qui porte sur le rôle du gou­ver­ne­ment. Il s’a­git de notre liber­té de pen­ser et de poser des ques­tions, et de savoir si l’au­to­no­mie indi­vi­duelle peut être réduite à un pri­vi­lège condi­tion­nel ou si elle demeure un droit. C’est une guerre qui vise à déter­mi­ner si vous devez res­ter un citoyen ou deve­nir un sujet. Il s’a­git de savoir à qui vous appar­te­nez… à vous-même ou à l’É­tat. »

Elle porte sur le point où nous éta­blis­sons la ligne de démarcation.

Il n’est pas ques­tion ici de libé­raux et de conser­va­teurs, de pro et d’an­ti-vaxx, d’ex­perts et de pro­fanes. Cha­cun a le devoir de se sou­cier de la véri­té, cha­cun devrait se sou­cier des pro­ces­sus scien­ti­fiques et démo­cra­tiques, cha­cun devrait se sou­cier des autres.

Je dirais qu’il n’y a pas grand-chose à faire pour assu­rer la sur­vie de notre nation si notre liber­té de débattre, de cri­ti­quer, d’exi­ger des preuves quant à ce que notre gou­ver­ne­ment nous demande, ne sur­vit pas avec elle.

En tant que per­sonne née dans les années 70, je n’ai jamais pen­sé que je devrais mener CE type de guerre ; que le droit à l’au­to­no­mie cor­po­relle, à l’é­change libre et trans­pa­rent d’in­for­ma­tions serait menacé.

Pen­sez un ins­tant aux hor­reurs les plus inima­gi­nables du siècle der­nier – la « solu­tion finale », l’a­par­theid sud-afri­cain, les géno­cides rwan­dais et cam­bod­giens. Ne sommes-nous pas cen­sés nous sou­ve­nir des atro­ci­tés du pas­sé pour ne pas les répé­ter ? Eh bien, la mémoire est courte, les chaînes fami­liales sont bri­sées, les nou­veaux sou­cis éclipsent les anciens, et les leçons du pas­sé se perdent dans l’his­toire ancienne pour être oubliées.

Aujourd’­hui, les vac­ci­nés semblent jouir de tous les droits et pri­vi­lèges d’une socié­té civi­li­sée : liber­té de mou­ve­ment, accès à l’é­du­ca­tion, appro­ba­tion des gou­ver­ne­ments, des légis­la­teurs, des jour­na­listes, des amis et de la famille. La vac­ci­na­tion est le ticket pour un retour CONDITIONNEL de notre droit à par­ti­ci­per à la socié­té canadienne.

Mais comme l’a dit John F Ken­ne­dy : « Les droits de chaque homme sont dimi­nués lorsque les droits d’un seul homme sont menacés. »

CONCLUSION

Je n’ai aucun doute sur le fait que COVID-19 est la plus grande menace pour l’hu­ma­ni­té à laquelle nous ayons jamais été confron­tés ; non pas à cause d’un virus ; celui-ci n’est qu’un cha­pitre d’une his­toire beau­coup plus longue et com­plexe ; mais à cause de notre réponse à ce virus.

Et cette réponse est en train, je crois, de gagner sa place dans tous les manuels d’é­thique médi­cale qui seront publiés au cours du siècle prochain.

Que pou­vons-nous faire ?

Comme l’a dit le chi­miste et auteur cana­dien Orlan­do Bat­tis­ta, « Une erreur ne devient une faute que lorsque vous refu­sez de la cor­ri­ger. »

Dans notre monde, la poli­tesse, « se débrouiller », « pas­ser sous le radar » semblent être deve­nus les seuls objec­tifs. Finis les révo­lu­tion­naires des années 60, finis les patriotes de l’A­mé­rique pri­mi­tive. Nous sommes les vic­times – et les sol­dats – d’une pan­dé­mie du conformisme.

Mais le confor­misme n’est pas une ver­tu, il n’est pas neutre, et il n’est cer­tai­ne­ment pas inoffensif.

Lorsque Han­nah Arendt a cou­vert le pro­cès d’A­dolf Eich­mann pour le New Yor­ker en 1961, elle s’at­ten­dait à trou­ver un homme com­plexe, arro­gant, dia­bo­lique, voire psy­cho­tique. Elle a trou­vé tout le contraire. Elle a été frap­pée par son « carac­tère très ordi­naire ». Il était « ter­ri­ble­ment nor­mal, ter­ri­fiant dans sa nor­ma­li­té », écrit-elle, un homme qui « ne fai­sait que suivre les ordres », comme il le répé­tait sans cesse. Ce qu’elle a décou­vert, c’est ce qu’elle a appe­lé la « bana­li­té du mal », la ten­dance irré­flé­chie des gens ordi­naires à obéir aux ordres afin de se confor­mer sans pen­ser par eux-mêmes.

Les mes­sages dédai­gneux et bien rodés de nos res­pon­sables de la san­té publique ont créé une machine très effi­cace qui ne publie pas ses preuves et ne s’en­gage pas dans un débat, mais émet des ordres que nous sui­vons avec empres­se­ment. Avec l’aide des médias, ses erreurs sont cachées, ses poli­tiques ne sont pas remises en ques­tion et ses dis­si­dents réduits au silence.

Com­ment bri­ser ce silence ? Com­ment retrou­ver la rai­son et recons­truire notre démo­cra­tie ? Il est peut-être temps de faire un peu de bruit. Des études ont prou­vé qu’une fois qu’une idée est adop­tée par seule­ment 10 % de la popu­la­tion, c’est le point de bas­cu­le­ment où les idées, opi­nions et croyances seront rapi­de­ment adop­tées par les autres. Un 10 % qui parle, un 10 % qui fait du bruit, il n’en faut pas plus.

La démo­cra­tie, « le règne du peuple », ne per­met pas seule­ment la liber­té d’ex­pres­sion et de recherche, elle l’exige.

Et le petit secret que je vous ai pro­mis au début ? Le voi­ci : vous n’êtes PAS une mau­vaise per­sonne parce que vous exi­gez des preuves, vous n’êtes pas une mau­vaise per­sonne parce que vous faites confiance à votre ins­tinct, et vous n’êtes pas une mau­vaise per­sonne parce que vous vou­lez pen­ser par vous-même. En réa­li­té, c’est le contraire qui est vrai.

Si la perte de la jus­tice vous inquiète, si le genre de vie que pour­ront mener nos enfants vous fait du sou­ci, si vous vou­lez retrou­ver votre pays – le pays qui était autre­fois l’en­vie du monde entier – c’est main­te­nant qu’il faut agir. Il n’y a pas de rai­son d’at­tendre, vous ne pou­vez pas vous offrir le luxe d’at­tendre, ou trou­ver des excuses. C’est main­te­nant que nous avons besoin de vous.

C’est main­te­nant qu’il faut appe­ler nos poli­ti­ciens et écrire à nos jour­naux. C’est le moment de pro­tes­ter, c’est le moment de contes­ter et même de déso­béir à notre gouvernement.

Comme l’a dit Mar­ga­ret Mead : « Ne dou­tez jamais qu’un petit groupe de citoyens réflé­chis et enga­gés puisse chan­ger le monde ; en fait, c’est la seule chose qui y soit jamais par­ve­nue. »

En d’autres termes, vous n’a­vez pas besoin d’une tri­bu de héros, d’une masse de héros, d’un pays de héros. Il ne vous en faut qu’un seul. Vous pou­vez appor­ter votre contri­bu­tion et vous POUVEZ faire la dif­fé­rence. Les pilotes de Sou­th­west Air­lines, la police mon­tée cana­dienne, les infir­mières du Uni­ver­si­ty Health Net­work font tous une différence.

Et cette faveur que je devais vous deman­der ? Nous avons besoin de héros main­te­nant plus que jamais. Notre démo­cra­tie demande des volon­taires… Serez-vous un héros, pour notre pays, pour nos enfants ? Ferez-vous par­tie des 10 % qui font du bruit ?

Dr Julie Ponesse, Dis­cours du 28 octobre 2021 pour « The Demo­cra­cy Fund »

Source de la retranscription

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Étienne

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7 Commentaires

  1. Étienne CHOUARD

    [REMARQUABLE] Une professeure d’éthique donne sa dernière leçon, un témoignage sur l’éthique de la vaccination forcée.

    Réponse
  2. joss

    Les états ne res­pectent plus le règle­ment de l’UE.

    RÈGLEMENT (UE) 2021953 DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 14 juin 2021
    rela­tif à un cadre pour la déli­vrance, la véri­fi­ca­tion et l’acceptation de cer­ti­fi­cats COVID-19
    inter­opé­rables de vac­ci­na­tion, de test et de réta­blis­se­ment (cer­ti­fi­cat COVID numé­rique de l’UE)
    afin de faci­li­ter la libre cir­cu­la­tion pen­dant la pan­dé­mie de COVID-19

    https://​eur​-lex​.euro​pa​.eu/​l​e​g​a​l​-​c​o​n​t​e​n​t​/​F​R​/​T​X​T​/​P​D​F​/​?​u​r​i​=​C​E​L​E​X​:​3​2​0​2​1​R​0​9​5​3​&​f​r​o​m​=EN

    (6) Les États membres peuvent, confor­mé­ment au droit de l’Union, limi­ter le droit fon­da­men­tal à la libre cir­cu­la­tion pour des motifs de san­té publique. Toute res­tric­tion à la libre cir­cu­la­tion des per­sonnes au sein de l’Union qui est mise en place pour limi­ter la pro­pa­ga­tion du SARS-CoV‑2 devrait être fon­dée sur des motifs d’intérêt public spé­ci­fiques et limi­tés, à savoir la pré­ser­va­tion de la san­té publique, comme le sou­ligne la recom­man­da­tion (UE) 20201475. Il est néces­saire que de telles limi­ta­tions soient appli­quées confor­mé­ment aux prin­cipes géné­raux du droit de l’Union, en par­ti­cu­lier les prin­cipes de pro­por­tion­na­li­té et de non-dis­cri­mi­na­tion. Toute mesure prise devrait dès lors être stric­te­ment limi­tée dans son champ d’application et dans le temps, confor­mé­ment aux efforts déployés pour réta­blir la libre cir­cu­la­tion au sein de l’Union, et
    ne devrait pas aller au-delà de ce qui est stric­te­ment néces­saire pour pré­ser­ver la san­té publique.

    …« prin­cipes de pro­por­tion­na­li­té et non-discrimination. »
    …« mesure limi­tée dans le champ d’ap­pli­ca­tion et dans le temps. »
    …« pas aller au-delà de ce qui est stric­te­ment néces­saire pour pré­ser­ver la san­té publique. »

    (7) Selon les preuves scien­ti­fiques actuelles, qui évo­luent constam­ment, les per­sonnes vac­ci­nées ou dont le résul­tat d’un test COVID-19 récent est néga­tif ou les per­sonnes qui se sont réta­blies de la COVID-19 au cours des six der­niers mois semblent pré­sen­ter un risque réduit d’infecter d’autres per­sonnes avec le SRAS-CoV‑2. La libre cir­cu­la­tion des per­sonnes qui, selon des preuves scien­ti­fiques solides, ne pré­sentent pas de risque impor­tant pour la san­té publique, par exemple parce qu’elles sont immu­ni­sées et ne peuvent pas trans­mettre le SARS-CoV‑2, ne devrait pas être
    sou­mise à des res­tric­tions, étant don­né que ces res­tric­tions ne seraient pas néces­saires pour atteindre l’objectif de pré­ser­va­tion de la san­té publique. Lorsque la situa­tion épi­dé­mio­lo­gique le per­met, ces per­sonnes ne devraient pas être sou­mises à des res­tric­tions sup­plé­men­taires à la libre cir­cu­la­tion liées à la pan­dé­mie de COVID-19, telles que des tests de dépis­tage de l’infection par le SARS-CoV‑2 liés aux voyages ou une qua­ran­taine ou un auto­con­fi­ne­ment liés aux voyages, à moins que ces res­tric­tions sup­plé­men­taires ne soient, sur la base des preuves scientifiques
    dis­po­nibles les plus récentes et confor­mé­ment au prin­cipe de pré­cau­tion, néces­saires et pro­por­tion­nées aux fins de pré­ser­ver la san­té publique, et non discriminatoires.

    …« selon les preuves scien­ti­fiques actuelles,…la libre cir­cu­la­tion des per­sonnes ne pré­sente pas de risque impor­tant pour la san­té publique, par exemple parce qu’elles ne peuvent pas trans­mettre le SARS-CoV‑2, ne devrait pas être sou­mise à des restrictions. »
    -> on sait actuel­le­ment que les per­sonnes vac­ci­nées trans­mettent le virus. Du coup, le vac­cin n’est plus un critère.

    (14) Le pré­sent règle­ment entend faci­li­ter l’application des prin­cipes de pro­por­tion­na­li­té et de non-dis­cri­mi­na­tion en ce qui concerne les res­tric­tions à la libre cir­cu­la­tion pen­dant la pan­dé­mie de COVID-19, tout en assu­rant un niveau éle­vé de pro­tec­tion de la san­té publique. Il ne devrait pas être inter­pré­té comme faci­li­tant ou encou­ra­geant l’adoption de res­tric­tions à la libre cir­cu­la­tion ou de res­tric­tions à d’autres droits fon­da­men­taux en réac­tion à la pan­dé­mie de COVID-19.

    (36) Il y a lieu d’empêcher toute dis­cri­mi­na­tion directe ou indi­recte à l’encontre des per­sonnes qui ne sont pas vac­ci­nées, par exemple pour des rai­sons médi­cales, parce qu’elles ne font pas par­tie du groupe cible auquel le vac­cin contre la COVID-19 est actuel­le­ment admi­nis­tré ou pour lequel il est actuel­le­ment auto­ri­sé, comme les enfants, ou parce qu’elles n’ont pas encore eu la pos­si­bi­li­té de se faire vac­ci­ner ou ne sou­haitent pas le faire. Par consé­quent, la pos­ses­sion d’un cer­ti­fi­cat de vac­ci­na­tion, ou la pos­ses­sion d’un cer­ti­fi­cat de vac­ci­na­tion men­tion­nant un vac­cin contre la COVID-19, ne devrait pas consti­tuer une condi­tion préa­lable à l’exercice du droit à la libre cir­cu­la­tion ou à l’utilisation de ser­vices de trans­port de voya­geurs trans­fron­ta­liers tels que les avions, les trains, les auto­cars ou les trans­bor­deurs ou tout autre moyen de trans­port. En outre, le pré­sent règle­ment ne peut être inter­pré­té comme éta­blis­sant un droit ou une obli­ga­tion d’être vacciné.

    …« Il y a lieu d’empêcher toute dis­cri­mi­na­tion directe ou indi­recte à l’encontre des per­sonnes qui ne sont pas vac­ci­nées, par exemple… parce qu’elles ne sou­haitent pas le faire.
    …« En outre, le pré­sent règle­ment ne peut être inter­pré­té comme éta­blis­sant un droit ou une obli­ga­tion d’être vacciné. »

    Réponse
    • raf cox

      Bon­jour,
      cette vidéo a l’air for­te­ment censurée.
      Retrou­vons la faci­le­ment sur la pla­te­forme « CROWDBUNKER » ou « ody­see » et non sur une des filiales de GGL

      https://crowdbunker.com/search?q=JULIE%20PONESSE

      Réponse
  3. joss

    Pho­ne­Gate, l’enquête sur un scan­dale sani­taire mon­dial – Nexus
    https://​www​.you​tube​.com/​w​a​t​c​h​?​v​=​E​4​o​r​X​M​g​-​gsQ

    Encore un « gate » ou quand on confond l’in­dus­trie avec la science…
    Quand la télé­vi­sion dit : « c’est la science qui l’a dit » il faut entendre « c’est l’in­dus­trie qui l’a dit », sur­tout s’il n’y a pas de débat per­mis. On le com­prend très bien actuel­le­ment avec la covid.

    Réponse

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JUSTICE CITOYENNE – Regards croisés – LIVE 4 novembre 2024, 19h45

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Bonjour à tous Pendant cette soirée dédiée au bilan de la période récente, où nous venons de vivre (le début d')une bascule totalitaire sous prétexte sanitaire, et demain sous prétexte de péril de guerre ou de catastrophe climatique, je parlerai de souveraineté...