Une comparaison des taux de mortalité toutes causes ajustés selon l’âge en Angleterre, par Norman Fenton et Martin Neil : le taux de mortalité est actuellement plus élevé chez les vaccinés que chez les non vaccinés

8/10/2021 | 18 commentaires

Chers amis,

L’ex­pé­rience d’a­bus de pou­voir chi­mi­que­ment pur que nous sommes en train de vivre me contraint (lit­té­ra­le­ment) à ne plus pen­ser qu’à ça, en toute pre­mière urgence. Il me semble que la prise de conscience (par toutes les popu­la­tions du monde) que la pré­ten­due « crise sani­taire » est en fait une agres­sion jamais vue dans toute l’his­toire de l’hu­ma­ni­té, cette prise de conscience popu­laire est la seule façon de conduire le peuple à résis­ter et d’empêcher phy­si­que­ment les cri­mi­nels de per­pé­trer leur for­fait. C’est la rai­son qui explique mon obses­sion du moment, qui n’est, selon moi, pas du tout hors-sujet par rap­port à mes tra­vaux (sur les pou­voirs abu­sifs et les ins­ti­tu­tions démo­cra­tiques) depuis 2005 : la toute pre­mière urgence est d’empêcher que l’ir­ré­pa­rable soit com­mis. Or les effets des « vac­cins » sont irréversibles.

Je vous signale ici un tra­vail anglais inté­res­sant. Ces auteurs observent en Angle­terre que le taux de mor­ta­li­té est actuel­le­ment plus éle­vé chez les vac­ci­nés que chez les non vac­ci­nés. Vous ver­rez que ce tra­vail com­plète uti­le­ment les tra­vaux de Pierre Chaillot (Déco­der l’é­co) pour pro­duire des sta­tis­tiques hon­nêtes et fiables contre l’o­bli­ga­tion qui nous est faite de nous injec­ter de force des pro­duits toxiques (dont 20% de la com­po­si­tion est tenue secrète).

Fra­ter­nel­le­ment.

Étienne.


Une comparaison des taux de mortalité toutes causes ajustés selon l’âge en Angleterre entre vaccinés et non vaccinés

Nor­man Fen­ton et Mar­tin Neil

(tra­duc­tion auto­ma­tique par Google)

Les propres don­nées du gou­ver­ne­ment bri­tan­nique ne cor­ro­borent pas les affir­ma­tions concer­nant l’efficacité/l’innocuité du vaccin. 

Dans un pré­cé­dent post, nous avons fait valoir que la mesure à long terme la plus fiable de l’efficacité/de l’in­no­cui­té du vac­cin Covid-19 est le taux de mor­ta­li­té toutes causes confon­dues ajus­té en fonc­tion de l’âge. Si, sur une période rai­son­na­ble­ment pro­lon­gée, moins de per­sonnes vac­ci­nées meurent, quelle qu’en soit la cause, y com­pris Covid-19, que les per­sonnes non vac­ci­nées, alors nous pour­rions conclure que les avan­tages du vac­cin l’emportent sur les risques. Nous avons éga­le­ment sou­li­gné que, pour évi­ter l’ef­fet de confu­sion de l’âge, il est essen­tiel que les don­nées pour chaque caté­go­rie d’âge soient dis­po­nibles, plu­tôt que les don­nées agré­gées car, de toute évi­dence, les don­nées agré­gées pour­raient exa­gé­rer les taux de mor­ta­li­té vac­ci­nale si plus de per­sonnes âgées, avec des pré­vi­sions plus courtes mor­ta­li­té, sont inclus. Le déploie­ment du vac­cin au Royaume-Uni a été effec­tué par ordre d’âge décrois­sant, du plus âgé au plus jeune, sauf très tôt dans le pro­gramme de vac­ci­na­tion lorsque les jeunes vul­né­rables ont été vac­ci­nés avec les per­sonnes très âgées. Au fur et à mesure que le pro­gramme pro­gres­sait, les per­sonnes vac­ci­nées étaient, en moyenne, plus âgées que celles qui n’a­vaient pas été vac­ci­nées et au fur et à mesure du déploie­ment, une pro­por­tion pro­gres­si­ve­ment plus éle­vée de la popu­la­tion non vac­ci­née rési­duelle est plus jeune.

Le  der­nier rap­port de l’Of­fice for Natio­nal Sta­tis­tics sur les taux de mor­ta­li­té par sta­tut de vac­ci­na­tion Covid four­nit des don­nées sur tous les décès – liés à Covid et non liés à Covid pour la période jan­vier-juillet 2021 pour les non vac­ci­nés et les dif­fé­rentes caté­go­ries de vac­ci­nés (‘dans les 21 jours sui­vant le pre­mier dose », « 21 jours ou plus après la pre­mière dose », « deuxième dose »). Les don­nées de l’ONS pour la mor­ta­li­té Covid-19, sont pré­sen­tées dans le tableau 4 du tableur ONS et les don­nées ONS pour la mor­ta­li­té toutes causes hors Covid-19, sont pré­sen­tées dans le tableau 5 du même tableur . Les deux tableaux sont repro­duits au bas de cet article.

Nous pen­sons qu’il existe de graves fai­blesses et des erreurs pos­sibles dans les don­nées de l’ONS (voir foo­note**). Mais sur­tout, bien qu’il ne four­nisse pas les don­nées brutes clas­sées par âge, il four­nit des taux de mor­ta­li­té « stan­dar­di­sés selon l’âge »*** (voir éga­le­ment la vidéo expli­ca­tive). Cela signi­fie que l’ONS a cal­cu­lé le taux de mor­ta­li­té glo­bal d’une manière qui (selon eux) s’a­juste à l’ef­fet confu­sion­nel de l’âge, et cela est « inté­gré » dans les taux de mor­ta­li­té qu’ils ont publiés. Cepen­dant, alors qu’ils déclarent ce taux de mor­ta­li­té ajus­té en fonc­tion de l’âge pour cha­cune des trois caté­go­ries dis­tinctes de per­sonnes vac­ci­nées, ils ne le déclarent pas pour l’en­semble com­bi­né de per­sonnes vac­ci­nées. Dans notre ana­lyse, et en l’ab­sence de don­nées stra­ti­fiées sur l’âge réel, nous cal­cu­lons un taux de mor­ta­li­té toutes causes ajus­té en fonc­tion de l’âge en uti­li­sant les tailles de popu­la­tion publiées par l’ONS pour cha­cune des trois caté­go­ries de vac­ci­nés. Ce n’est pas idéal car les taux ajus­tés en fonc­tion de l’âge de l’ONS sont si opaques et ne sont pas des « chiffres abso­lus ». Cepen­dant, en l’ab­sence de don­nées détaillées, cela devrait four­nir une esti­ma­tion rai­son­nable de ce que serait le taux de mor­ta­li­té toutes causes de l’ONS ajus­té en fonc­tion de l’âge pour tous les non vac­ci­nés s’ils avaient pris la peine de le décla­rer. Nous appel­le­rons cela le « taux de mor­ta­li­té vac­ci­né pon­dé­ré ». Le tableau de don­nées déri­vé des don­nées de l’ONS et uti­li­sé pour cal­cu­ler ce taux est don­né à la fin de cet article.

Il s’avère que, même en utilisant ce taux de mortalité ajusté selon l’âge, le taux de mortalité est actuellement plus élevé chez les vaccinés que chez les non vaccinés.  

Les taux de mor­ta­li­té ajus­tés selon l’âge pour les vac­ci­nés contre les non vac­ci­nés pour les semaines 1 à 26 de 2021 sont pré­sen­tés ci-des­sous. Dans l’en­semble, le gra­phique montre qu’au fil du temps, le taux de mor­ta­li­té pon­dé­ré des vac­ci­nés a régu­liè­re­ment aug­men­té et qu’à la semaine 16 (23 avril 2021), il a dépas­sé celui des non vaccinés.

La semaine 1 se ter­mine le 6 jan­vier 2021, la semaine 26 se ter­mine le 2 juillet 2021

 

Le gra­phique sug­gère une ten­dance de mor­ta­li­té sai­son­nière nor­male pour les non vac­ci­nés, avec un pic hiver­nal la semaine 6, le 12 février 2021, et une baisse constante vers l’é­té. En revanche, le sché­ma pour les vac­ci­nés est com­plè­te­ment dif­fé­rent. À par­tir de la semaine 24, les taux de mor­ta­li­té des vac­ci­nés et des non vac­ci­nés semblent conver­ger au début de l’été.

Comme les don­nées de l’ONS décom­posent les don­nées au fil du temps pour les trois caté­go­ries de vac­ci­nés (ceux dans les 21 jours sui­vant la pre­mière dose, ceux dans les 21 jours après la pre­mière dose et ceux après deux doses), nous pou­vons éga­le­ment tra­cer des gra­phiques de mor­ta­li­té pour cha­cune de ces caté­go­ries. . Le taux de mor­ta­li­té, pour la semaine 26, jus­qu’au 2 juillet, pour les non vac­ci­nés est d’en­vi­ron 25 décès pour 100 000. Mais il existe de grandes dif­fé­rences entre les taux de mor­ta­li­té pour les dif­fé­rentes caté­go­ries de décès vac­ci­nés. Par exemple, pour ceux après 21 jours de pre­mière dose, la mor­ta­li­té com­pa­rable est d’en­vi­ron 89 décès pour 100 000 per­sonnes (un nombre qui a consi­dé­ra­ble­ment aug­men­té depuis jan­vier), tan­dis que pour les per­sonnes vac­ci­nées avec deux doses, il y a eu envi­ron 15 décès pour 100 000 dans le même Période de juillet.


Mor­ta­li­té « toutes causes » par­mi les vac­ci­nés en Angleterre

Les ten­dances des dif­fé­rentes caté­go­ries de vac­ci­na­tion sont éga­le­ment pré­oc­cu­pantes. Contrai­re­ment aux non vac­ci­nés, les taux de mor­ta­li­té des vac­ci­nés ont d’a­bord aug­men­té à par­tir de valeurs ini­tiales très faibles, mais ont ensuite aug­men­té, tan­dis que celui des non vac­ci­nés a dimi­nué. Les gra­phiques ci-des­sous montrent ces modèles.

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Depuis le 19 mars, le taux de mor­ta­li­té par vac­ci­na­tion à double dose a aug­men­té d’une semaine à l’autre de manière plus ou moins constante. Le taux de mor­ta­li­té chez les per­sonnes plus de 21 jours après la pre­mière dose a aug­men­té consi­dé­ra­ble­ment au prin­temps (à la semaine 14) et est res­té éle­vé par la suite. La mor­ta­li­té dans les 21 jours sui­vant la vac­ci­na­tion a ini­tia­le­ment aug­men­té, mais semble s’être sta­bi­li­sée, quoique avec un peu de bruit. Nous lais­se­rons à nos col­lègues cli­ni­ciens le soin d’ex­pli­quer pour­quoi il existe des modèles si différents.

En rai­son des limites et des erreurs pos­sibles dans les don­nées de l’ONS**, de nom­breuses mises en garde doivent être appli­quées à notre ana­lyse brute (y com­pris cer­taines qui sont cou­vertes dans le post pré­cé­dent ). Mais nous pou­vons conclure que les propres don­nées de l’ONS ne cor­ro­borent pas les affir­ma­tions concer­nant l’efficacité/l’innocuité du vac­cin.  

Il est éga­le­ment impor­tant de noter que la popu­la­tion de per­sonnes vac­ci­nées devient suf­fi­sam­ment impor­tante et repré­sen­ta­tive pour que la cri­ti­ci­té de l’a­jus­te­ment de l’âge dimi­nue consi­dé­ra­ble­ment. Nous ferons une ana­lyse de sui­vi qui en tien­dra compte.

* Pour ceux qui ont répon­du à cet article en disant qu’ils ne com­pre­naient pas pour­quoi nous nous concen­trons sur la mor­ta­li­té toutes causes :

Pour­quoi la mor­ta­li­té « toutes causes » est la mesure plus appro­priée pour une ana­lyse glo­bale des béné­fices-risques des vac­cins anti-Covid

  • Si le Covid était aus­si dan­ge­reux que pro­cla­mé —et si les vac­cins étaient aus­si effi­caces que pro­cla­més — nous devrions main­te­nant avoir consta­té beau­coup plus de morts Covid par­mi les non vac­ci­nés que par­mi les vac­ci­nés (dans chaque groupe d’âge).
  • Si le vac­cin était aus­si sûr que pro­cla­mé, alors il aurait dû y avoir très peu de décès sup­plé­men­taires dus à des causes non Covid par­mi les vac­ci­nés que par­mi les non vac­ci­nés (dans chaque groupe d’âge).
  • Ain­si, le nombre de morts « toutes causes » devrait être plus éle­vé par­mi les non vac­ci­nés que par­mi les vac­ci­nés (dans chaque groupe d’âge), confir­mant que les béné­fices de la vac­ci­na­tion dépas­se­raient les risques.
  • Comp­ter les morts « toutes causes » neu­tra­lise le pro­blème de la défi­ni­tion des « cas Covid » ou des « morts Covid » (défi­ni­tions qui peuvent être faci­le­ment mani­pu­lées pour sou­te­nir les dif­fé­rentes narrations).
  • Nous défi­nis­sons une per­sonne comme « vac­ci­née » si elle a reçu au moins une dose. Comme nous ne sommes pas inté­res­sés à savoir si une per­sonne est deve­nue un « cas Covid », toute autre défi­ni­tion est erro­née car elle ne recon­naî­tra pas que les effets indé­si­rables (y com­pris la mort) des vac­cins sont très sus­cep­tibles de se pro­duire peu de temps après la vaccination.
  • Le fait que le CDC compte main­te­nant comme « non vac­ci­née » une per­sonne qui meurt moins de 14 jours après la seconde injec­tion, ou juste après la pre­mière dose, pour­rait être inté­res­sant si nous nous inté­res­sions uni­que­ment à l’aptitude du vac­cin à stop­per l’infection. Mais dans le contexte de notre recherche des causes de la mort, uti­li­ser cette façon de comp­ter serait par­fai­te­ment frauduleux.

 

** Limi­ta­tions et erreurs poten­tielles dans les don­nées de l’ONS (mer­ci à Clare Craig pour en avoir iden­ti­fié certaines)

  • Ne four­nit pas les don­nées brutes clas­sées par âge.
  • Le score stan­dar­di­sé selon l’âge uti­li­sé par l’ONS s’ap­puie sur les don­nées du recen­se­ment de 2011 pour déter­mi­ner les pro­por­tions de popu­la­tion dans chaque caté­go­rie d’âge. Ces pro­por­tions ont chan­gé depuis 2011 et, comme nous l’a­vons noté dans cet article , ces dif­fé­rences peuvent modi­fier consi­dé­ra­ble­ment les résultats.
  • Il existe des inco­hé­rences dans les chiffres de vac­ci­na­tion entre les don­nées de l’ONS et les don­nées du Natio­nal Immu­ni­za­tion Mana­ge­ment Ser­vice (NIMS). Par exemple, à la semaine 26, le NIMS compte 28,1 mil­lions de per­sonnes de plus de 18 ans qui ont eu une deuxième dose, mais l’ONS n’en compte que 23,3 millions.
  • La popu­la­tion totale de l’ONS est de 16,6 mil­lions de moins que l’en­semble de la popu­la­tion. Seuls 12,6 mil­lions ont moins de 18 ans, les 4 mil­lions res­tants sont donc omis pour une autre raison.
  • Les taux des non vac­ci­nés au 8 jan­vier sont infé­rieurs à ceux des doubles vac­ci­nés en été. De plus, le 8 jan­vier, seuls 12% des plus de 65 ans avaient été vac­ci­nés, de sorte que la popu­la­tion non vac­ci­née aurait dû avoir un taux de mor­ta­li­té très simi­laire aux niveaux de base.
  • Les taux de mor­ta­li­té heb­do­ma­daires ajus­tés en fonc­tion de l’âge (pour les décès non liés à Covid) en forte aug­men­ta­tion pour les 38 mil­lions de per­sonnes non vac­ci­nées en jan­vier sont tota­le­ment incom­pa­tibles avec les chan­ge­ments heb­do­ma­daires des années pré­cé­dentes. Bien que cette popu­la­tion exclut les moins de 18 ans et les 1,2 mil­lion (prin­ci­pa­le­ment les plus de 65 ans) qui avaient alors reçu leur pre­mière dose, nous ne nous atten­drions pas à ce que le taux de mor­ta­li­té de cette popu­la­tion soit radi­ca­le­ment dif­fé­rent du taux de mor­ta­li­té de l’An­gle­terre obser­vé ces der­nières années comme rap­por­té dans un autre rap­port de l’ONS .
  • En fin de compte, nous devons exclure les décès non natu­rels tels que les meurtres, les acci­dents et les sui­cides, car ils peuvent intro­duire un biais entre les cohortes, en par­ti­cu­lier dans les caté­go­ries d’âge jeunes où le nombre total de décès est faible.

Voi­ci les don­nées du tableau 4, les don­nées brutes, pour les décès de Covid-19, telles que four­nies par l’ONS :

Voi­ci les don­nées du tableau 5, les don­nées brutes, pour les décès toutes causes confon­dues à l’ex­cep­tion du Covid-19, telles que four­nies par l’ONS :

Enfin, voi­ci les don­nées que nous avons uti­li­sées pour cal­cu­ler les taux de mor­ta­li­té com­bi­nés toutes causes ajus­tées selon l’âge et le taux de mor­ta­li­té vac­ci­né pondéré.

***


La défi­ni­tion de l’ONS des taux de mor­ta­li­té stan­dar­di­sés selon l’âge (cli­quez pour agrandir)

Source : https://​pro​ba​bi​li​tyand​law​.blog​spot​.com/​2​0​2​1​/​0​9​/​a​l​l​-​c​a​u​s​e​-​m​o​r​t​a​l​i​t​y​-​r​a​t​e​s​-​i​n​-​e​n​g​l​a​n​d​.​h​tml

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18 Commentaires

  1. Jiff

    Dans la même veine, l’in­ter­view de Pierre de la chaîne YT « Déco­der l’é­co » : https://​www​.you​tube​.com/​w​a​t​c​h​?​v​=​E​B​K​P​Y​p​m​5​k94 est tout à fait révé­la­trice (ça risque même d’en faire sur­sau­ter certains).


     
    C’est un peu long (1h44, mais vu ce qu’il n’y a pas à la TV…) mais ça vaut vrai­ment le détour, car Pierre réveille cer­taines vieilles connais­sances que la plu­part d’entre nous ont enfoui, sim­ple­ment parce que nous ne les uti­li­sons pas au jour le jour, et au fil de ses vidéos, il met au jour toutes les pièces du puzzle (ouais, j’suis fan (et admi­ra­tif du tra­vail comme du rai­son­ne­ment logique;-)).
     
    Pour ceux qui n’ont vrai­ment pas le temps, vision­nez au mini­mum de 36′ à 43′, sachant qu’il y com­pare les pays d’eu­rope en les aillant rap­por­té à la popu­la­tion fran­çaise (c’est très clai­re­ment expli­qué dans les minutes d’avant).

    Réponse
  2. joss

    Et ça se dit scientifique…
    Coro­na­vi­rus : les vac­cins effi­caces à 90% contre les formes graves, selon une étude française
    https://​www​.rtbf​.be/​i​n​f​o​/​s​o​c​i​e​t​e​/​d​e​t​a​i​l​_​c​o​r​o​n​a​v​i​r​u​s​-​l​e​s​-​v​a​c​c​i​n​s​-​e​f​f​i​c​a​c​e​s​-​a​-​9​0​-​c​o​n​t​r​e​-​l​e​s​-​f​o​r​m​e​s​-​g​r​a​v​e​s​-​s​e​l​o​n​-​u​n​e​-​e​t​u​d​e​-​f​r​a​n​c​a​i​s​e​?​i​d​=​1​0​8​5​7​875

    Avant la France, une étude de ce type a été réa­li­sée en Bel­gique et aux USA. En Bel­gique nos médias ont pu dire : « 98% des hos­pi­ta­li­sés covid en Bel­gique n’étaient pas vaccinés ».
    https://www.ln24.be/2021–08-19/98-des-hospitalises-covid-en-belgique-netaient-pas-vaccines
    Le résul­tat de l’étude belge :
    https://​www​.scien​sa​no​.be/​f​r​/​c​o​i​n​-​p​r​e​s​s​e​/​l​e​s​-​i​n​f​e​c​t​i​o​n​s​-​e​t​-​h​o​s​p​i​t​a​l​i​s​a​t​i​o​n​s​-​c​o​v​i​d​-​1​9​-​a​p​r​e​s​-​u​n​e​-​v​a​c​c​i​n​a​t​i​o​n​-​c​o​m​p​l​e​t​e​-​s​o​n​t​-​p​e​u​-​n​o​m​b​r​e​u​ses

    Je vous laisse devi­ner l’arnaque…

    Réponse
      • joss

        Oui, tout-à-fait, et puis sur la période ana­ly­sée le pic de la 3ème vague arrive en avril lorsque les vac­ci­nés dans la popu­la­tion fran­çaise comp­taient pour 4%. Et puis, les non-vac­ci­nés sont beau­coup plus tes­tés et donc, sujet à être PCR+. Un détail qui a aus­si son impor­tance est : quand est-on consi­dé­ré comme vac­ci­né ? De manière géné­rale, 2 semaines après la 2ème dose. C’est jus­te­ment la période la plus déli­cate pour un vac­ci­né ! S’il est PCR+ durant cette période, dans les stats c’est un non-vac­ci­né posi­tif en plus !
        Si après tout ce maquillage, ils n’ar­rivent pas à embel­lir la mariée…
        En Bel­gique, ils ne publient pas les chiffres vax/no vax (ou alors un reliquat).

        Je ne suis pas sur les réseaux sociaux, mais je lis cer­tains mes­sages pos­tés sur twit­ter. J’ai l’im­pres­sion quelques fois d’as­sis­ter à un match de boxe vir­tuel. On manque ter­ri­ble­ment de débat entre experts d’ho­ri­zon dif­fé­rent sur les sujets de dis­corde. Des débats qui doivent être jus­ti­fiés par ana­lyse des sources citées. Pour les quelques débats sui­vis, les argu­ments but­taient à chaque fois sur les sources de cha­cun. Le diable se cache dans le détail (des sources). Quelques fois il suf­fit de lire les pre­mières lignes pour com­prendre qu’une étude ne peut pas être uti­li­sée comme jus­ti­fi­ca­tif, car on essaye de lui faire dire ce qu’elle ne peut pas. Les médias choi­sissent celles qui inté­ressent l’in­dus­trie et aujourd’­hui après presque 2 ans de covid on se retrouve avec un bric-à-brac d’i­dées fausses dans la tête de la majo­ri­té des gens.

        Réponse
        • Jiff

          Les pro­blème des vrais experts (tel Pano­raoul­tix, notre druide;-), c’est que pra­ti­que­ment tous sont des cher­cheurs et qu’ils bossent – il n’ont donc pas le temps de venir se mêler à des « débats » com­plè­te­ment sté­riles dans les­quels, la plu­part du temps, dès que la ques­tion devient sérieuse et que les argu­ments se situent à un niveau plus haut que le sol et s’ex­priment dans le jar­gon médi­cal consa­cré, il n’y a pra­ti­que­ment plus per­sonne capable de suivre (ce qui d’ailleurs, jus­ti­fie qu’ils ne viennent pas perdre leur temps dans ces tri­bu­naux d’ignares).

          Quant’aux zétudes, vous-avez far­pai­te­ment rai­son et d’ailleurs, il n’y a qu’à voir le mal que celle du Lan­cet a fait à la (vraie) science et qui est tou­jours plus ou moins uti­li­sée comme jus­ti­fi­ca­tion de l’in­jus­ti­fiable : ne pas soi­gner les patients.

          Réponse
      • Jiff

        Il y a aus­si ça : https://​www​.fran​ce​soir​.fr/​v​i​d​e​o​s​-​l​e​s​-​d​e​b​r​i​e​f​i​n​g​s​/​s​t​e​v​e​-​k​i​r​s​c​h​-​s​o​u​s​-​d​e​c​l​a​r​a​t​i​o​n​-​v​a​ers
         
        C’est un chef d’en­tre­prise amé­ri­cain lamb­da, qui croyait au sys­tème et ne le remet­tait jamais en cause (selon ses propres termes), jus­qu’à ce que quatre per­sonnes passent l’arme à gauche dans son entou­rage après leur injec­tion de thé­ra­pie génique expé­ri­men­tale – par­tant de là, il s’est posé les bonnes ques­tions et a com­men­cé à creuser.
         
        Aujourd’­hui, per­sonne n’a contes­té ses trou­vailles fron­ta­le­ment, ni son appli­ca­tion d’un autre prin­cipe de phar­ma­co-vigi­lance que celui uti­li­sé, qui est inadé­quat, puis­qu’il lui faut un sui­vi sur le médi­ca­ment chez la même per­sonne pour en tirer une conclu­sion, évi­dem­ment impos­sible à obte­nir dans le cas d’une injec­tion ponctuelle.
         
        Il est éga­le­ment notable que _tous_ les méde­cins à qui il a pro­po­sé un débat TV avaient poney, pis­cine ou cours de macramé…

        Réponse
      • ève

        Com­ment allez – vous , vous et votre famille ?
        En fait je ne sais pas quoi dire tant je suis effa­rée de ce que je lis , écoute , visionne depuis des mois !
        Chaque jour on apprend les nou­velles mesures à rendre les gens un peu plus tenaillés , soit par les effets secon­daires , soit par les dif­fi­cul­tés à venir , des moyens reti­rés de « cir­cu­la­tion urbaine » et d’au­to­ri­sa­tion à lever le pied ! Pas vac­ci­née , et pas for­cée par mon méde­cin , navi­guer dans ces condi­tions reste assez pos­sible ! Je truan­de­rais si j’y suis obligée !
        Ce qui m’in­quiète le plus , c’est la san­té des plus jeunes , des petits et celles de mes amis ies , comme les membres de ma famille ! Je suis très consciente du nombre incal­cu­lable de gens qui doivent être dans mon cas !
        Je remer­cie toutes les per­sonnes qui tra­vaille pen­dant des heures pour nous four­nir ces données !
        Le Dr Raoult donne un bul­le­tin de ce genre de don­nées toutes les semaines !
        J’au­rais une sup­plique à for­mu­ler ici , j’ai­me­rais infi­ni­ment que la vac­ci­na­tion soit close ce soir pour vous tous ! Je me fais un sang d’encre depuis qu’elle a commencé !
        Je revien­drais finir de lire votre article ! Pre­nez soin de vous tous

        Réponse
  3. laurent Dx

    Bon­jour Etienne,

    La méthode et les conclu­sions de cet article sont non-rigou­reuses et biaisées :

    -il est mal­hon­nête de consi­dé­rer que les per­sonnes meurent « vac­ci­nées » quand elles meurent le len­de­main de la pre­mière dose du vac­cin ou même dans les 3 semaines après ou avant la seconde dose, et d’en déduire que le vac­cin ne pro­tège pas : per­sonne n’a jamais dit qu’on était pro­té­gé dès le jour de la pre­mière dose. Il serait plus rigou­reux de com­pa­rer les non-vac­ci­nés et les vac­ci­nés com­plè­te­ment, ce serait des caté­go­ries beau­coup plus nettes et des effets beau­coup plus dis­cri­mi­nés. Quand on regarde ces don­nées qui sont visibles dans l’ar­ticle, on voit clai­re­ment la forte effi­ca­ci­té du vaccin.

    -dans un deuxième temps, on peut aller véri­fier les don­nées pour les « vac­ci­nés par­tiel­le­ment », don­nées que les auteurs mêmes consi­dèrent étranges. Ils listent de grosses limi­ta­tions et erreurs poten­tielles dans les don­nées, qui réduisent for­te­ment la valeur de leur article. Il n’est donc pas très sérieux de don­ner une forte impor­tante à cet article, de le dif­fu­ser et de le tra­duire, sans avoir réso­lu ces poten­tiels défauts signi­fi­ca­tifs. Il pour­rait même y avoir des expli­ca­tions ration­nelles : per­sonnes fra­giles étant res­tées long­temps (12 semaines) avec une seule dose durant un pic épidémique,…

    Je suis habi­tué à ta grande rigueur et pré­ci­sion en ce qui concerne la défense de la démo­cra­tie (réelle), et je suis déçu de ces articles erro­nés ou très fra­giles que tu publies concer­nant la poli­tique sani­taire. Comme l’ont mon­tré Oli­vier Ber­ruyer ou Michel Col­lon, il y a suf­fi­sam­ment de tra­hi­sons et men­songes irré­fu­tables de nos gou­ver­nants concer­nant cette poli­tique sani­taire, ce n’est pas la peine d’en cher­cher d’autres de manière aus­si for­ce­née, car cela se révèle sou­vent fra­gile ou erroné.

    J’en pro­fite ici comme je ne te l’ai jamais dit mal­gré le fait que je te suives depuis 2005 : mer­ci éter­nel­le­ment pour la pro­mo­tion du RIC.

    Cor­dia­le­ment

    Réponse
    • RV

      mer­ci

      Réponse
    • Étienne CHOUARD

      Cher Laurent,

      Vous avez rai­son quand vous dites « il est mal­hon­nête de consi­dé­rer que les per­sonnes meurent « vac­ci­nées » quand elles meurent le len­de­main de la pre­mière dose du vac­cin ou même dans les 3 semaines après ou avant la seconde dose, et d’en déduire que le vac­cin ne pro­tège pas ».

      Vous avez rai­son, cette déduc­tion est fausse (mais ce n’est pas la mienne) : ce qu’il faut déduire logi­que­ment du fait que les per­sonnes meurent le len­de­main de la pre­mière dose du vac­cin ou même dans les 3 semaines après ou avant la seconde dose, c’est que les « vac­cins » tuent.

      Il me semble peu rigou­reux, et peu pré­cis, de n’é­tu­dier que l’ef­fi­ca­ci­té des « vac­cins » (donc, seule­ment plus de 15 jours après l’in­jec­tion), et pas du tout leur dan­ge­ro­si­té (rapi­de­ment après l’injection).

      Appe­ler men­songe un erreur est un pro­cès d’in­ten­tion. On peut le faire, parce que c’est évident, pour ceux qui gagnent des mil­liards avec leurs « erreurs ». C’est moins légi­time avec tous ceux qui cherchent de façon dés­in­té­res­sée à com­prendre (comme ils le peuvent, dans un nuage de men­songes crasses) les déci­sions arbi­traires qui les frappent tous les jours depuis 18 mois au nom de « la science ».

      Réponse
  4. joss

    Le pro­blème de cette ana­lyse est que dans le groupe vac­ci­né il y a une pro­por­tion plus éle­vée de per­sonnes ayant des comor­bi­di­tés que dans le groupe non vac­ci­né. Et la mort toutes causes confon­dues peut venir prin­ci­pa­le­ment de ces comor­bi­di­tés et non du vac­cin ou du covid.

    Mais il n’en reste pas moins que le dis­cours mar­te­lé par nos gou­ver­ne­ments et nos experts de l’in­dus­trie sur l’ef­fi­ca­ci­té et l’in­no­cui­té de ces vac­cins res­semble de plus en plus à un énorme châ­teau de cartes…
    Le passe sani­taire est à ban­nir, il ne per­met en rien le res­pect des liber­tés indi­vi­duelles et l’é­ga­li­té des droits de chacun.
    Vive­ment un passe RIC, celui qui est pour le RIC retrou­ve­rait ses libertés 😉

    -Une autre ana­lyse ci-des­sous des don­nées du Royaume-Uni qui ne va pas dans le sens de l’ef­fi­ca­ci­té vaccinale :
    Au Royaume-Uni du 01/02/21 au 16/09/21 :
    Sur 2542 décès du variant Del­ta, 1779 (70%) per­sonnes étaient vac­ci­nées et 722 (28.4%) per­sonnes étaient non vaccinées.
    Site gou­ver­ne­men­tal du Royaume-Uni et don­nées (pages 19–20):
    https://​assets​.publi​shing​.ser​vice​.gov​.uk/​g​o​v​e​r​n​m​e​n​t​/​u​p​l​o​a​d​s​/​s​y​s​t​e​m​/​u​p​l​o​a​d​s​/​a​t​t​a​c​h​m​e​n​t​_​d​a​t​a​/​f​i​l​e​/​1​0​1​8​5​4​7​/​T​e​c​h​n​i​c​a​l​_​B​r​i​e​f​i​n​g​_​2​3​_​2​1​_​0​9​_​1​6​.​pdf

    Réponse
  5. Joh

    La vac­ci­na­tion n’est plus une piste de recherche actuelle, les der­niers sont tous des échecs. Pour les virus à cou­ronne, c’est plus grave car face à un agent beau­coup plus muta­gène que la grippe, il ne peut qu’être inopérant.

    Réponse
  6. Gaudefroy

    Une autre infor­ma­tion très sur­pre­nante révé­lée dans un rap­port déni­ché par le lan­ceur d’alerte cana­dien Denis Rain­court :

    Résu­mé : Nous cher­chons à savoir pour­quoi les États-Unis, contrai­re­ment au Cana­da et aux pays d’Europe de l’Ouest, ont une mor­ta­li­té sou­te­nue et exces­si­ve­ment éle­vée dans la “période COVID” qui s’étend de mars 2020 à aujourd’hui (octobre 2021).

    La mor­ta­li­té toutes causes confon­dues dans le temps est la don­née la plus fiable pour détec­ter les véri­tables évé­ne­ments catas­tro­phiques à l’origine des décès, et pour éva­luer l’impact au niveau de la popu­la­tion de toute aug­men­ta­tion des décès, toutes causes confondues. 

    Le com­por­te­ment de la mor­ta­li­té toutes causes confon­dues aux Etats-Unis par temps (semaine, année), par groupe d’âge, par sexe et par état est contraire au com­por­te­ment pan­dé­mique cau­sé par un nou­veau virus de mala­die res­pi­ra­toire pour lequel il n’existe pas d’immunité natu­relle préa­lable dans la popu­la­tion. Sa struc­ture sai­son­nière (maxi­ma esti­vaux), sa dis­tri­bu­tion par groupe d’âge (jeunes rési­dents) et sa grande hété­ro­gé­néi­té par état sont sans pré­cé­dent et sont contraires au com­por­te­ment des mala­dies res­pi­ra­toires virales, pan­dé­miques ou non. 

    Nous concluons qu’il n’y a pas eu de pan­dé­mie.

    Nous en dédui­sons que le stress psy­cho­lo­gique chro­nique per­sis­tant induit par les trans­for­ma­tions socié­tales et éco­no­miques de longue durée impo­sées par le gou­ver­ne­ment au cours de l’ère COVID a conver­ti les fac­teurs de risque socié­taux (pau­vre­té), de san­té publique (obé­si­té) et de cli­mat chaud exis­tants en agents mor­tels, agis­sant en grande par­tie ensemble, avec des consé­quences dévas­ta­trices au niveau de la popu­la­tion sur de grands groupes de rési­dents vul­né­rables et défa­vo­ri­sés des États-Unis, bien au-delà de la mor­ta­li­té pré­exis­tante à l’ère COVID dans ces groupes. 

    Nous consta­tons éga­le­ment une vaste épi­dé­mie de pneu­mo­nie aux Etats-Unis à l’époque de COVID, qui n’est pas men­tion­née dans les médias ou de manière signi­fi­ca­tive dans la lit­té­ra­ture scien­ti­fique, et qui n’a pas été trai­tée de manière adé­quate. De nom­breux décès attri­bués à COVID-19 pour­raient être des décès par pneu­mo­nie bac­té­rienne mal diag­nos­ti­qués.

    La cam­pagne de vac­ci­na­tion mas­sive (380 M de doses admi­nis­trées, février-juillet 2021) n’a eu aucun effet atté­nuant détec­table, et a peut-être contri­bué à rendre la popu­la­tion plus jeune plus vul­né­rable (35−64 ans, mor­ta­li­té de l’été 2021).

    Donc la mor­ta­li­té exces­sive consta­tée aux USA en période COVID est due essen­tiel­le­ment à la cha­leur (pics d’été), l’obésité et la pauvreté…

    https://​denis​ran​court​.ca/​e​n​t​r​i​e​s​.​p​h​p​?​i​d​=​107

    Réponse
  7. joss
  8. joss

    Vont-ils ouvrir les yeux ? On ne pour­ra pas nous dénon­cer pour non assis­tance à per­sonne en dan­ger, cela fait main­te­nant presque 2 ans qu’on alerte avec « les moyens du bord ».

    BOMBE -> dr. Kris­tiaan Deckers, méde­cin-chef GZA Antwerpen
    « Il y a trois semaines, 25% des per­sonnes en soins inten­sifs étaient vac­ci­nées. Aujourd’­hui, c’est 100 pour cent. En moyenne, ce sont des per­sonnes dans la soixan­taine, dont la majo­ri­té ont des condi­tions sous-jacentes. » (05÷11÷2021)
    Article (acti­ver la tra­duc­tion google):
    https://www.pzc.nl/antwerpen/geen-absolute-voorrang-voor-coronapatienten-in-antwerpse-ziekenhuizen-we-laten-geen-enkel-bed-zomaar-leegstaan~a352d9d25/

    Sur Twit­ter (trad. en EN):
    https://​twit​ter​.com/​F​a​t​E​m​p​e​r​o​r​/​s​t​a​t​u​s​/​1​4​5​7​4​8​4​2​5​2​9​1​2​7​5​8​786

    La source de l’in­fo (en NL): ATV Antwerpen
    https://​atv​.be/​n​i​e​u​w​s​/​g​z​a​-​z​i​e​k​e​n​h​u​i​z​e​n​-​l​a​t​e​n​-​g​e​e​n​-​b​e​d​d​e​n​-​m​e​e​r​-​p​e​r​m​a​n​e​n​t​-​v​r​i​j​-​v​o​o​r​-​c​o​v​i​d​-​p​a​t​i​e​n​t​e​n​-​1​2​8​526

    Réponse
  9. joss

    En ce qui concerne Pfi­zer et son direc­teur, pour ceux qui aiment les petits fours, il vient de rece­voir un prix à l’Atlantic Coun­cil (think tank amé­ri­cain) des mains de celle qui lui a com­man­dé des mil­liards de doses…
    https://​you​tu​.be/​U​s​A​a​P​I​Q​f​a​i​g​?​t​=​3​607

    Pour Bion­tech c’est ici :
    https://​you​tu​.be/​U​s​A​a​P​I​Q​f​a​i​g​?​t​=​8​696

    - Les spon­sors défilent au début de la céré­mo­nie durant 25min, c’est déci­dé­ment des pôles poli­ti­co-mili­ta­ro-indus­triels qui gou­vernent le monde.

    - Vous aurez remar­qué que le masque est deve­nu un signe exté­rieur de sou­mis­sion (tech­ni­ciens, pho­to­graphes portent le masque).

    Réponse
    • joss

      ->petite cor­rec­tion, c’est Bion­tech à la place de Moderna

      Réponse

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