Chers amis,
Je vais encore vous parler de covid, mais pas du tout pour parler de santé : je vous parle d’abus de pouvoirs caractérisés contre les libertés. C’est pour ça que j’en parle sur ce site, ce n’est pas du tout hors sujet par rapport à mon travail depuis 2005, au contraire : je participe à une bagarre bien réelle et très concrète pour protéger les libertés des représentés contre l’arbitraire criminel de leurs représentants.
Comme vous le savez maintenant, tout le mécanisme liberticide de l’apartheid vaccinal (qui s’approche à toute vitesse) repose sur la prétendue absence totale de médicaments alternatifs aux « vaccins ».
Or il existe une foule de médicaments alternatifs, dont certains sont particulièrement efficaces et sans danger, et notamment l’ivermectine.
Et précisément, l’ANSM (on commence à pressentir un ennemi terrible dans cette institution totalement hors contrôle démocratique) s’oppose vigoureusement à l’ivermectine.
Le Dr Maudrux dresse ici un réquisitoire contre cet abus de pouvoir pseudo scientifique.
Et l’enjeu de cette lutte n’est pas qu’un enjeu de santé (soigner au lieu d’injecter des substances dangereuses), c’est surtout un enjeu de liberté (refuser de se laisser persécuter au nom de la science).
Bonne lecture, et faites passer.
Étienne.
Projet de recours gracieux à signer
Chères Consoeurs, chers Confrères,
Vous trouverez ci-dessous le projet de recours concernant le refus de l’ANSM de valider l’ivermectine (et plus largement les autres traitements précoces et la liberté de prescription). Je souhaiterais qu’un maximum de médecins puissent soutenir cette action.
Signez et faites signer vos consoeurs et confrères. Ouvert à tous les médecins qui défendent cette position, que vous soyez prescripteur ou non, spécialiste ou généraliste, salarié ou libéral, en activité ou non.
Merci de ne pas diffuser sur la place publique pendant le recueil des signatures, et tant que le destinataire ne l’a pas reçu. La liste des signataires ne comportera que le nom, code postal et ville.
Gérard Maudrux.
Monsieur le Ministre
L’Agence Nationale de Sécurité du Médicament a rejeté notre demande de Recommandation Temporaire d’Utilisation de l’ivermectine, en date du 31 mars 2021. Ce refus représente pour nous une menace grave pour la santé publique, et en application de l’article L.5322–2 du Code de la Santé Publique nous faisons appel à vous, en tant que Ministre de tutelle de cet établissement, mais également en tant que médecin, dans le cadre d’un recours gracieux contre cette décision, avant de nous tourner vers le Conseil d’Etat.
En effet l’ANSM, dans un dossier orienté uniquement à charge et à l’encontre des faits, estime qu’«il ne peut être présumé d’un rapport bénéfice/risque favorable de l’ivermectine en traitement curatif ou en prévention. » (1)
En ce qui concerne la prophylaxie :
Alors qu’il existe une douzaine de publications passées sous silence comme celle d’Hector Carvallo (2) en Argentine, avec 100% d’efficacité sur 1 200 soignants au contact de la covid dans 4 hôpitaux, ou l’expérience de GTFoods au Brésil, entreprise à risques (traitement des viandes) et en permanence touchée, qui a totalement éradiqué l’épidémie après traitement de ses 12 000 employés (3), l’ANSM n’en cite qu’une seule, l’étude monocentrique indienne de Bereha, portant sur 41 cas (4), pour dire qu’il n’y a pas d’effet en préventif.
Les conclusions de l’étude citée sont pourtant claires : « La prophylaxie à deux doses par l’ivermectine, a été associée à une réduction de 73% de l’infection par le SARS-CoV‑2 chez les travailleurs de la santé. La chimio prophylaxie est pertinente pour endiguer la pandémie ». L’ANSM ne retient que la réserve d’usage exprimée quasi systématiquement dans toutes les études : « ils ont souligné la nécessité d’obtenir confirmation par des études longitudinales ou interventionnelles ».
Aucune étude au monde n’est négative en ce qui concerne la prophylaxie par l’ivermectine, et l’ANSM prétend le contraire sans avancer une seule étude le démontrant.
En ce qui concerne le curatif :
L’OMS a demandé un rapport sur le sujet au Docteur Andrew Hill qui écrit dans sa conclusion : « Cette méta-analyse de 18 ECR portant sur 2 282 patients a montré une amélioration de 75% de la survie, un délai de récupération clinique plus rapide et des signes d’un effet dose-dépendant de la clairance virale chez les patients recevant l’ivermectine par rapport au traitement témoin. »
Pourtant, au lieu de se poser des questions en analysant des études comme en celle de la République Dominicaine (5), avec plus de 3 000 patients, 1 seul décès sur 2 706 patients traités précocement à domicile, 3 décès sur 300 patients traités plus tardivement et hospitalisés, l’ANSM, pour suggérer l’inefficacité de l’ivermectine, n’avance que 6 études, les plus discutables méthodologiquement sur plus de cinquante possibles, dont les 3 plus petites. Choix permettant de dire que le nombre de patients est trop petit et qu’il faut plus d’études ! 87 patients (+ 87 placebos) traités au total dans ces 3 études, contre 17 562 patients sur 52 études recensées. Le choix de l’ANSM pour orienter sa démonstration n’est pas anodin !
Le choix de la première étude, Rajter (6) aux Etats-Unis, n’est pas sérieux quand on prétend étudier l’efficacité de l’ivermectine et que l’on vante les études randomisées. 173 patients traités par ivermectine, versus 107 avec un « traitement standard ». La décision de prescrire était à la discrétion des médecins, qui ont donné de l’hydroxychloroquine, de l’azithromycine dans les 2 groupes ! Malgré tout, les auteurs signalent quand même un bénéfice significatif dans le groupe ivermectine, et l’ANSM ne le retient pas au profit de la formule d’usage « les auteurs préconisent la mise en place d’études randomisées avant d’émettre une conclusion ».
Pour les trois petites études, l’ANSM cite Podder au Bengladesh (7), avec 2 x 30 patients, Chachar au Pakistan (8), 2 x 25 patients, et Chaccour en Espagne (9), 2 x 12 patients ! Ridicule ! Ceci pour permettre à l’Agence de dire que c’est insuffisant et qu’il faut plus d’études, évitant au passage de dire que cela marche : réduction de 20% de la durée des troubles pour la première et réduction de la durée de l’anosmie divisée par 2 et de la toux réduite de 30% pour la troisième. Pour la seconde, il s’agit une population très jeune et peu symptomatique, comment le traitement pourrait-il faire mieux quand la maladie guérit toute seule ?
Ensuite c’est Ahmed au Bengladesh (10), avec 72 patients hospitalisés, 3 groupes, randomisés : ivermectine, ivermectine + doxycycline, placebo. « Une cure de 5 jours d’ivermectine a entraîné une clairance plus précoce du virus par rapport au placebo (p = 0,005), indiquant ainsi qu’une intervention précoce avec cet agent peut limiter la réplication virale chez l’hôte. Dans le groupe ivermectine de 5 jours, il y a eu une baisse significative de la CRP et de la LDH au jour 7, qui sont des indicateurs de la gravité de la maladie. Il est à noter que la charge virale a chuté de manière significative par rapport au groupe placebo aux jours 7 et 14. » L’ANSM ne retiendra pas le résultat, mais la « nécessité d’une étude plus large », formule d’usage utilisée par tous les auteurs.
Enfin cerise sur le gâteau, l’étude de Lopez Medina en Colombie (11). On est étonné de trouver mise en avant par l’ANSM cette étude peu sérieuse du niveau de Mehra dans The Lancet. Une population jeune, peu symptomatique, « consultée par sondage téléphonique ». Des patients du groupe témoin ont pu prendre de l’ivermectine depuis plus de 5 jours (molécule présente 3 semaines dans les tissus !), de l’Ivermectine a été donnée par erreur à la place du placebo (38 fois), il y a eu changement de protocole en cours d’étude n’arrivant pas à leurs fins, etc. Et on publie, et certains reprennent ! Il y a quand même 1 mort dans le groupe placebo, pas dans le groupe ivermectine. Des « chercheurs » de l’Inserm qui conseillent l’ANSM encensent cette étude, comme Mme Dominique Costagliola ou le Pr Frédéric Adnet, ce dernier parlant d’une « méthodologie de haut niveau”. On croit rêver devant de telles compétences en matière d’analyse de publications !
En ce qui concerne le risque :
L’ivermectine est un des médicaments les plus sûrs de la pharmacopée mondiale. Reconnu par l’OMS, en 2015, comme » sans danger, pouvant être utilisé à grande échelle ». Vigibase (12), recueillant les données de pharmacovigilance de plus de 130 pays adhérents à l’OMS, relève en 30 ans 16 décès et 4 700 effets indésirables pour l’Ivermectine (et pour 4 milliards de prescriptions).
L’ANSM évoque une inconnue concernant la posologie, qui n’a pas de raison d’être : c’est la même que dans les autres pathologies concernées par une AMM, et lorsque la prescription est renouvelée, aucune étude ne signale un quelconque problème. Des essais avaient par ailleurs été faits à 10 fois la dose en 2002 par Merck détenteur du brevet à l’époque, sans aucun inconvénient (10). Le laboratoire français Medincell, vient de publier une étude sur la prise prolongée du produit, sans aucun problème (13).
Agences, méta-analyses et scientifiques indépendants :
L’ANSM balaie d’un revers la demi-douzaine de méta-analyses que nous avions transmise, refusant de les lire et d’en tenir compte, au prétexte qu’elles n’ont pas fait l’objet d’une validation par un comité de lecture, et que certaines études comportent des insuffisances méthodologiques. Quelles sont les compétences des membres de l’Agence s’ils n’ont pas la capacité de lire et analyser ces études quand elles ne sont pas “relues” ? Et quand on voit les insuffisances méthodologiques des études avancées par l’ANSM, selon cette vieille expression française, n’est-ce pas l’hôpital qui se moque de la charité !
Pourquoi ces méta analyses sont-elles ainsi écartées ? Parce qu’elles arrivent toutes aux mêmes conclusions qui ne sont pas celles voulues par l’ANSM. Ce qu’elles disent est simple : l’utilisation de l’ivermectine divise par 4 à 5 la mortalité de la Covid, et dans 80% des cas les troubles disparaissent deux fois plus vite. Vous trouverez ci-joint la plupart de ces méta-analyses. Si on peut discuter du niveau d’efficacité selon comment on interprète ces différentes études, la présomption d’efficacité, elle, est indiscutable, et il est trop facile de faire semblant d’ignorer ces résultats en se cachant derrière une méthodologie.
L’ANSM cite ensuite la position de l’Agence Européenne du Médicament, position purement politique, puisqu’elle n’a pas statué : l’EMA reconnaît en effet dans un communiqué ne pas avoir été saisie du dossier et ne cite qu’une étude, in vitro, alors qu’ici il est question des études et de l’utilisation chez l’homme.
Nous avions également proposé à l’ANSM de contacter les spécialistes qui en France connaissaient le mieux l’ivermectine pour avoir travaillé le sujet. Le laboratoire Medincell qui prépare un dossier avec des études pour une AMM concernant une forme à action prolongée, avec une grosse publication sur la sécurité du médicament faite par Jacques Descotes, professeur émérite à l’Université Claude Bernard à Lyon, Jean-Pierre Changeux de l’Académie des Sciences, professeur honoraire au Collège de France et à l’Institut Pasteur, et Pierre-Jean Guillausseau de l’Université de Paris Sorbonne, auteur d’un gros travail d’analyse des études étrangères. Aucun n’a été consulté, pas plus qu’il n’est fait état des constatations très positives faites dans deux Ehpads en France (Seine et Marne et Hauts de Seine) en début d’épidémie et portées à la connaissance des autorités. Aucun médecin prescripteur n’a été contacté pour évoquer son expérience, alors que ce sont ces remontées de terrain qui ont permis au Baclofène d’avoir une RTU dans l’addiction alcoolique, sans aucune étude clinique, montrant qu’il existe d’autres moyens que les études étrangères pour évaluer l’efficacité d’un médicament.
De la procédure :
La révision de cette décision est d’autant plus nécessaire que la Loi ne semble pas avoir été respectée. La volonté d’indépendance et de transparence de ces décisions, ayant conduit à la création de l’Agence du Médicament suite à l’affaire du sang contaminé, devenue ANSM suite à l’affaire du Médiator, a été ignorée. Pour accéder à cette transparence, le Docteur Maraninchi, premier directeur de l’ANSM avait décidé que les commissions décisionnelles seraient enregistrées et disponibles au public, ce qui avait été transposé dans les textes : Article L1451‑1–1 du code de la Santé publique créé par la Loi n°2011–2012 du 29 décembre 2011 – art 1 (14). Nous avons donc demandé à l’ANSM de nous fournir ces documents afin de savoir ce qui a été défendu, par qui, dans quelles conditions, on nous a répondu que de tels documents n’existaient pas !
Le non-respect de cette procédure de transparence est susceptible d’être sanctionnée par le Conseil d’Etat.
Conclusions :
Pour accorder une RTU, la loi n’évoque que deux conditions : une présomption d’efficacité et un minimum d’effets indésirables afin d’établir un rapport bénéfice/risque favorable. Ces deux conditions sont totalement remplies pour l’ivermectine, et quand on voit dans quelles conditions ces critères ont été ignorés pour valider d’autres thérapeutiques ces derniers mois, on peut s’étonner des motifs conduisant à ce « deux poids deux mesures ».
Monsieur le Ministre, nous n’avons qu’une seule question à poser au médecin que vous êtes, et capable de juger de ces études par vous-même. Vous devez une réponse claire aux Français : sur le plan médical, au vu de toutes ces études, en votre âme et conscience, pensez-vous honnêtement et sincèrement qu’il n’y a aucune présomption d’efficacité comme le prétend l’ANSM ? Le Ministre en tirera ensuite les conclusions qui s’imposent pour la conduite à tenir concernant ce recours. Nous insistons sur le fait que tout retard apporté à une extension des indications se chiffrerait par un nombre conséquent de décès lié au SARS-Cov‑2 pouvant engager la responsabilité des acteurs de ce retard.
Entre le Doliprane, préconisé, et l’Ivermectine, qui ne l’est pas, bien que qu’elle soit bien moins toxique et avec une présomption d’efficacité que n’a pas le Doliprane, pourquoi ne pas laisser les médecins choisir librement, sans contraintes et menaces ?
Outre les requérants de l’action en Conseil d’Etat concernant la demande de RTU, vous trouverez ci-joint une liste de plus de 1 000 médecins signataires, qui vous demandent de revoir cette position, en vous basant uniquement sur des considérations médicales et non politiques ou financières. Ils réclament également, plus largement, que la liberté de prescription concernant les traitements précoces, l’ivermectine n’étant pas le seul pouvant venir compléter les vaccins, soit clarifiée et élargie, afin de réduire le nombre de passages à la phase inflammatoire conduisant aux hospitalisations et décès.
Veuillez agréer, Monsieur le Ministre et cher Confrère, l’expression de nos salutations respectueuses.
Source pour le recueil des signatures des médecins : https://blog-gerard.maudrux.fr/projet-de-recours-gracieux-a-signer/
Bon résumé de la situation mondiale :
Tweet correspondant à ce billet :
[Appel aux médecins] Projet de recours gracieux à signer, pour contester le blocage de l’ivermectine par l’ANSMhttps://t.co/x3zKSnxEky
L’enjeu n’est pas qu’un enjeu de santé (soigner), c’est surtout un enjeu de liberté (refuser de se laisser persécuter au nom de « la science »).
— Étienne Chouard (@Etienne_Chouard) April 22, 2021
Bravo pour cette initiative.
https://c19ivermectin.com/
Interview BAM ! de Paul Lannoye
‑Paul Lannoye est Docteur en sciences physiques et un homme politique belge francophone, ancien membre fondateur du parti Ecolo-
https://www.youtube.com/watch?v=RPiacUW2BDM
Extraits :
« Nous sommes dans une dictature hygiéniste avec des mesures de confinement aveugles et liberticides. Tout est axé sur le vaccin salvateur. »
Je suis contre tout blocage
Merci Joss 🙂
Une autre vidéo avec le même invité ici
« UNE SOCIÉTÉ SANS CONTACT ET DERRIÈRE ÉCRAN EST UNE SOCIÉTÉ INVIVABLE ET INHUMAINE »
par KAIROS
Paul Lannoye déconstruit l’idée que le progrès de nos sociétés passe inévitablement par le « tout au numérique ». Bien au contraire, la pandémie actuelle en révèle toutes les limites et les dangers. Cette assuétude contrainte aux écrans est gravissime en particulier pour la santé mentale et physique des enfants et doit nous faire réfléchir aux conséquences inégalitaires, chronophages et antisociales du télétravail. Face au bilan écologique et humain désastreux, Paul Lannoye se veut rester positif et appelle chacun de nous à ne pas rester tétanisé face à cette pandémie. SOUTENEZ UN MEDIA LIBRE – SOUTENEZ KAIROS https://fr.tipeee.com/kairos-presse https://www.kairospresse.be/abonnement https://www.kairospresse.be/don/
https://www.youtube.com/watch?v=4nx6UWZu0L0
https://www.kairospresse.be/lettre-du-grappe-adressee-aux-eurodeputes-concernant-le-passeport-vaccinal/
https://grappebelgique.org/
voici la lettre du grappe qu’évoquait le légiste ici
https://grappebelgique.org/2021/03/23/lettre-ouverte-au-conseil-national-de-lordre-des-medecins-de-belgique/
Qu’ils précisent donc leur protocole de soins imposé à toute l’UE concernant la maladie. Voir l’entretien avec Flavia Groșan dans Visegrad Post.
L’Eglise du vaccin était à l’OMS et à la CE en 2019
https://www.youtube.com/watch?v=rf9T5t1R3iw
https://www.youtube.com/watch?v=i1DUZdbwkZM
Quelle obstination, quel entrain, quelle motivation pour sauver des vies avec les vaccins, alors qu’ils pillent, qu’ils asservissent, qu’ils appauvrissent, qu’ils affaiblissent ces mêmes populations.
…dans la foulée on pourrait imaginer l’organisation de sommets internationaux pour promouvoir la confiance en l’aspirine à travers le monde.
Le pape actuel n’a plus rien à voir avec le catholicisme d’ailleurs il est prowax et jésuite donc rien à espérer de ce mondialiste. La renonciation de Benoît XVI est curieuse, pour le moins.
Bill and Melinda Gates Fund Global Ivermectin & Fluvoxamine Clinical Trial Targeting COVID-19 : Together COVID-19 Trial
https://trialsitenews.com/bill-and-melinda-gates-fund-global-ivermectin-fluvoxamine-clinical-trial-targeting-covid-19-together-covid-19-trial/
…Billy The Gates s’intéresse à l’ivermectine…
Bonjour,
Moi, j’ai eu un chien intoxiqué à la Moxidectine et c’était pas joli à voir. Il est mort ( il y a aucun antidote ; c’était un berger Shetland MDr1-/- de 1an) Connaissez-vous réellement la prévalence de ces intoxications chez l’homme ?
On peu lire « c’est très sûr » mais qu’en sait-on ? En Belgique par exemple, il n’y a pas de médicament « humains » enregistré avec ce principe actif… donc il n’est jamais prescrit.
je veux bien croire alors qu’il y a peu de rapport d’intoxication envoyer à l’AFMPS…
Pourquoi être tellement confiant sur l’Ivermectine et tellement méfiant sur les vaccins ? vous trouverez probablement plus de médecins qui conseils l’accélération de la vaccination que ceux qui conseils de l’arrêter pour donner médicaments.
Vous en trouverez aussi qui conseil un confinement plus stricte.…
Comment faites-vous pour leurs donner crédits à certains plutôt qu’à d’autres ?
En médecine vétérinaire, L’ivermectine (l’Ivomec de Pfizer tiens donc ;)…) est utilisée massivement surtout pour son spectre très large. Son impact sur l’environnement est d’ailleurs très critiqués (rémanence importante dans les selles qui tue les insectes « stercophage »,…) Aucun vétérinaires n’as jamais constaté, à ma connaissance, une efficacité sur les infections virales à coronavirus ( bovins par exemple).
Je ne dit pas que ça marche pas, je dis que c’est tellement à l’opposé des informations qu’on a jusque maintenant ( et rappelez-vous on c’était déjà emballer avec la chloroquine,…) que je comprend que, modestement et de manière bienveillante, les agences nationales ( qui son pas mieux ni pire que les autres scientifiques) sont obligées d’attendre des preuves plus solides.
Sinon j’espère qu’elle marche et j’espère qu’on aura vite l’information mais il faut pas vouloir aller plus vite que la musique.
En attendant : confinez-vous un max et vaccinez-vous un max !
ça on sait que ça marche ! (–>pour l’instant, parce qu’ a force de laisser circuler « la grippette inexistante » on aura toujours plus de variants (mais aussi des variants résistants à l’Ivermectine vous pouvez en êtres sùr : les microrganismes on toujours une longueur d’avance sur nous.)
Restons modeste, « la nature » ne s’intéresse guerre à nos querelles d’humains comme elle se moquait de celle des dinosaures il y a 65 millions d’années.
Démocratie et science ne font qu’un, ont n’aura pas l’un sans l’autre.
Je sais que c’est dur mais rester calme et garder votre raison. On couvre la démocratie directe de ridicule en crachant sur la science.
Bien à vous,
@Esteban
Vous êtes trop gentil, il ne faut pas se satisfaire d’attendre qu’une étude clinique digne de ce nom soit réalisée sur l’ivermectine en France (la France n’est pas le Pérou, nous avons d’excellents laboratoires, l’institut Pasteur étant réputé jusqu’à Wuhan). Nous sommes en guerre, en pleine vague covid, c’est maintenant qu’il faut agir si on veut réellement sauver des vies.
Oui,
mais comment choisir entre l’astrologie, les magnétiseurs, les ostéopathes, le cannabis thérapeutique, le vaccin, le confinement ou l’ivermectine??
Un médecin peu utilisé un traitement non-indiqué si il l’estime nécessaire en son âme et conscience, mais une autorité scientifique, elle, doit faire de la science, ne confondons pas les rôles.
Bien à vous,
Xavier Lemoine : « Nous sommes dans une forme d’humiliation et de soumission »
https://www.youtube.com/watch?v=pVznif8nsWQ
Il est possible que ces thérapies géniques empêchent le système immunitaire de fonctionner normalement.
Perso, j’ai l’impression que les maux s’emplifie au contact des vaccinés.
Mon avis est que tout ça a été exagérément monté en épingle, qu’il n’y a pas plus de décès qu’avec la grippe, ce que d’ailleurs, beaucoup de médecins disent.
Toute cette histoire m’a paru louche dès le premier confinement, le décalage entre les photos de mort en rue, en Chine et la panique indécente affichée au JT dans nos contrées, énumérant des chiffres comme à l’eurovision, me fait penser que seuls ceux qui attendaient de vivre un film de science-fiction en vrai, ont pu y adhérer complètement.
Sans jugement pour ceux-ci, juste une totale incompréhension face à un tel éloignement de la vraissemblance et de la décence (qu’elle soit de la protection psychologique ou économique et biensûr concernant la libre prescription empêchée).
Concernant les chefs religieux, je crois qu’il serait raisonnable comme dit l’autre, de ne jamais déléguer son pouvoir de décision, à aucun prix, fut-il un « sain« t.
Plus il y a d’incohérence et moins tout cela me rassure quant à l’avenir des dominés.
Moi, j’ai eu du mal depuis la 1ère minute à accepter la narration de nos médias nationaux tellement « le faux » suintait à travers l’écran. Je suis méfiant de nature, j’ai tout passé au crible. Ca me prend un temps fou… Mais quelque part ça nous empêche de réfléchir à l’essentiel, ça nous détourne de notre cause commune. Toute cette histoire sert à semer la confusion et la dispersion dans la population.
Oui et ici, il y a déjà la suite…
https://www.levilainpetitcanard.be/pandemie-prep-mentale/
comme sur la 43 ème capsule de « la croix du sud » (12 minutes d’écoute 😉
La division et la peur, c’est leur maître-mot
Oui vous avez raison tous les deux, ils nous tuent lentement depuis des années en volant notre force de travail au profit des ultra-milliardaires qui forment des mafias étatiques. Là, le processus s’accélère avec des refus de soins et piqures mortelles (attention, certains effets secondaires peuvent être à évolution lente).
Interview BAM ! de Michel Rosenzweig (avant la censure)
https://www.youtube.com/watch?v=t9FPX5C9Nk0
« Ce n’est pas à l’Etat de dire comment les gens doivent penser ni de dire comment les gens doivent disposer de leur corps, c’est une vraie dérive totalitaire », selon Michel Rosenzweig
Je suis vraiment désolé cher camarades, je déteste le capital et l’autorité autant que vous, Mais je ne comprend pas ce que vous dites.
La science, la connaissance de la vrai nature du monde, c’est l’objectif numéro un pour un démocrate, on peu remettre en question facilement des propos de journalistes, mais pas ceux d’agences scientifiques multinationales. le niveau de preuves n’est pas le même.
Si vous me permettez je vous citerais Tzvetan Todorov :
« Dans les pays totalitaire, la vérité est systématiquement sacrifiée à la lutte pour la victoire. Dans un Etat démocratique, le souci de vérité doit-être sacré »
Or je ne vois d’autre moyens que la science (malgré ses défauts) pour accéder à la vérité sur le monde.
En effet, il n’y a plus de science valable, elle est censurée.
Bonjour Esteban,
OK pour la science comme chemin (méthodique, le plus fiable possible) vers la vérité, bien sûr, outil irremplaçable pour éclairer l’opinion du démos.
OK.
Mais la science corrompue, ce n’est pas seulement « un défaut » (sic) : ce n’est absolument plus du tout la science.
N’est-ce pas ?
J’ai du mal à associer la science et la vérité, cela me rappelle Galilée et l’Eglise.
La science, c’est la fabrique de la connaissance, c’est un processus.
La science produit des vérités réfutables, contrairement à la religion. Ces vérités pour perdurer doivent résister à la critique.
De nos jours, la censure et la corruption font que la critique se réduit comme une peau de chagrin et du coup les vérités deviennent irréfutables. Cela ne s’appelle plus de la science mais de la religion. Il faut croire au dieu « vaccin » pour vous donner l’hostie sans confession 😉
On pourrait faire le rapprochement avec la culture. La culture serait également un processus, elle fabrique nos préjugés, nos liens sociaux,…
« La science est plus que de la connaissance, c’est une façon de penser »
Carl Sagan – scientifique et astronome américain (1934−1996)
https://www.youtube.com/watch?v=J1cNaFG1VII
Extrait :
« Si nous ne sommes pas capables de poser des questions pertinentes à ceux qui nous disent que quelque chose est vrai. D’être sceptique par rapport à nos responsables, qui détiennent l’autorité alors nous pouvons nous faire avoir par le prochain charlatan, qu’il soit politique ou religieux. C’est quelque chose qui tenait beaucoup à coeur à Jefferson. Ce n’est pas suffisant, disait-t-il, d’inscrire des droits dans une Constitution ou un « Bill of Rights ». Le peuple DOIT être éduqué, et ils (les gens) doivent mettre en pratique leur scepticisme et leur éducation. Sinon, nous ne dirigeons pas le gouvernement. C’est le gouvernement qui nous dirige. »
Le christianisme a bâti nos vies basées sur la bonté du Christ représentant Dieu sur Terre et la lutte perpétuelle contre satan.
Pourquoi n’y a‑t-il pas encore de traitement en UE ?
La réponse à cette question pourrait être liée à l’art. 4 du RÈGLEMENT (CE) No 507⁄2006 DE LA COMMISSION du 29 mars 2006 relatif à l’autorisation de mise sur le marché conditionnelle de médicaments :
1. Une autorisation de mise sur le marché conditionnelle peut être accordée lorsque le comité constate que, bien que des données cliniques complètes concernant la sécurité et l’efficacité du médicament n’aient pas été fournies, toutes les exigences ci-après sont satisfaites :
c) le médicament répond à des besoins médicaux non satisfaits ;
2. Aux fins du paragraphe 1, point c), on entend par « besoins médicaux non satisfaits » une affection pour laquelle il n’existe pas de méthode satisfaisante de diagnostic, de prévention ou de traitement.
Ce qui veut dire que s’il y avait mise sur le marché d’un quelconque traitement anti-covid, les autorisations de mise sur le marché conditionnelle des vaccins s’effondreraient comme un château de cartes !
Tout s’explique… en Italie il y a une affaire en cours au tribunal de la région de Lazio. Un groupe de médecins a porté plainte contre les lignes directrices données au début de la pandémie pour gérer les patients covid SANS UTILISE DE TRAITEMENT POTENTIEL. Car il ne pouvait y avoir de traitement avant la mise sur le marché des vaccins ! Cela a été similaire en Belgique et, je pense, en France aussi.
Le lien au règlement européen :
https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/PDF/?uri=CELEX:32006R0507&from=GA
Source de l’affaire en Italie (mettre traduction):
https://www.youtube.com/watch?v=kwi3QwW4628
Ce qui veut dire que s’il y avait mise sur le marché d’un quelconque traitement anti-covid, les autorisations de mise sur le marché conditionnelle des vaccins s’effondreraient comme un château de cartes !
Tout s’explique… en Italie il y a une affaire en cours au tribunal de la région de Lazio. Un groupe de médecins a porté plainte contre les lignes directrices données au début de la pandémie pour gérer les patients covid SANS UTILISE DE TRAITEMENT POTENTIEL. Car il ne pouvait y avoir de traitement avant la mise sur le marché des vaccins ! Cela a été similaire en Belgique et, je pense, en France aussi.
Le lien au règlement européen :
https://eur-lex.europa.eu/legal-content/FR/TXT/PDF/?uri=CELEX:32006R0507&from=GA
Source de l’affaire en Italie (mettre traduction):
https://www.youtube.com/watch?v=kwi3QwW4628
Flavia Groșan a détaillé le protocole de « soins » imposé dans toute l’UE dans le visegrad post de mars, qu’elle n’a évidemment jamais appliqué pour ne pas tuer ses malades. Ce qui était le but recherché comme pendant la canicule de 2003. Maintenant ils ont vendu la mèche : les vaccins n’empêchent pas d’attraper la maladie, il faut donc continuer à porter le masque (déclaré finalement inutile au moins en extérieur la semaine dernière !), respecter la distanciation et le couvre-feu (si si !), faire des tests coûtant quelques centimes et facturés 70 euros (!!!) en vue d’un passeport dit sanitaire. Pire, il est possible que les piqués doivent continuer à l’être toute leur vie car leur immunité n’est plus garantie ! Normal avec des piqures tueuses ou provoquant de graves effets secondaires.
Heureusement il n’y a plus aucun soutien sérieux pour les gouvernants maintenant.
Les petits secrets du miel industriel – par Trouble Fait
https://www.youtube.com/watch?v=BzWQQ5Z2ysA
…ce qui se passe dans l’industrie pharmaceutique ne doit pas nous occulter se qui se passe dans l’agroalimentaire.
A écouter avant de se faire vacciner 😉
Traitements génétiques anti-Covid : ce que vous devez savoir
– dr Vincent Reliquet pour REINFO COVID 03−05−21
https://www.youtube.com/watch?v=qINDpnHk5PE
Les vaccins contre les virus à couronne ne peuvent être efficaces vu leurs mutations, celui contre l’actuel semble séquencé sur celui d’il y a deux ans, qui n’existe plus. La parole se libère.
Corruption et gestion de la Covid-19, on y est – par l’AIMSIB
https://www.aimsib.org/2021/05/16/corruption-et-gestion-de-la-covid-19-on-y-est/
Tout ça est à relier avec la remise à zéro de K. Schwab qui vise à un maximum de victimes par piqures massives puis au contrôle complet des populations par puçage genre passeport intérieur dit sanitaire. Les comptes bancaires et les biens privés pourront être saisis.
REFLEXION SUR LE PASSPORT VACCINAL – par Loïc Chaigneau – IHT
https://www.youtube.com/watch?v=mrpkL40EvUs
Les vaccinés seraient bientôt interdits dans certains pays car plus contagieux.
Je pars d. un Constat : Le Gvr actuel francais est illegitime suite a de nombreuses violations de la Constitution . Ce Gvt soutient l appartenance a cet UE de gangsters .Il encourage les injections sans preuves d efficacite , de l argent change de mains . Tout cela pue la combine .Personnellement et ma famille nous ne nous laisserons empoisonner que en cas d impossibilite d y echapper
LES DÉBATS – Martin Blachier vs Idriss Aberkane
par Fabrice Di Vizio et Maximilien Delvallée
https://www.youtube.com/watch?v=K5CtlE9ILmE
En tant que médecin, et même fan du plan C, je ne peux pas prescrire de l’ivermectine au vu de tout ce que je lis. Je sais bien que certains sont des tricheurs, mais je ne suis pas sur du tout que la balance avantage risque soit en sa faveur pour autant.
Je pense que la balance est en faveur du vaccin, ce qui ne veut pas dire qu’il n’existe pas de risque bien sur.
Donc oui les recco de nos sociétés savantes sur le sujet me semblent pertinentes.
Mais oui pour le RIC, le constituante, le post keynesianisme.…
Covid-19 : le remdesivir, ce médicament controversé que les Indiens s’arrachent
https://www.lefigaro.fr/sciences/covid-19-le-remdesivir-ce-medicament-controverse-que-les-indiens-s-arrachent-20210429
…ou comment faire de l’argent sur le malheur des autres.
Et la liberté de prescription, Dr Saint Maurice, qu’en pensez-vous ?
Et l’interdiction soudaine, en mars 2020, de prescrire l’hydroxychloroquine, même associée ?
Interview de Reiner Fuellmich, nous avons une bonne chance de réussir
https://rumble.com/vhjw7x-interview-de-reiner-fuellmich-nous-avons-une-bonne-chance-de-russir.html