[Appel aux médecins du pays] Projet de recours gracieux à signer, pour contester le blocage de l’ivermectine par l’ANSM

22/04/2021 | 45 commentaires

Chers amis,

Je vais encore vous par­ler de covid, mais pas du tout pour par­ler de san­té : je vous parle d’a­bus de pou­voirs carac­té­ri­sés contre les liber­tés. C’est pour ça que j’en parle sur ce site, ce n’est pas du tout hors sujet par rap­port à mon tra­vail depuis 2005, au contraire : je par­ti­cipe à une bagarre bien réelle et très concrète pour pro­té­ger les liber­tés des repré­sen­tés contre l’ar­bi­traire cri­mi­nel de leurs représentants.

Comme vous le savez main­te­nant, tout le méca­nisme liber­ti­cide de l’a­par­theid vac­ci­nal (qui s’ap­proche à toute vitesse) repose sur la pré­ten­due absence totale de médi­ca­ments alter­na­tifs aux « vaccins ».

Or il existe une foule de médi­ca­ments alter­na­tifs, dont cer­tains sont par­ti­cu­liè­re­ment effi­caces et sans dan­ger, et notam­ment l’ivermectine.

Et pré­ci­sé­ment, l’ANSM (on com­mence à pres­sen­tir un enne­mi ter­rible dans cette ins­ti­tu­tion tota­le­ment hors contrôle démo­cra­tique) s’op­pose vigou­reu­se­ment à l’ivermectine.

Le Dr Mau­drux dresse ici un réqui­si­toire contre cet abus de pou­voir pseu­do scientifique.

Et l’en­jeu de cette lutte n’est pas qu’un enjeu de san­té (soi­gner au lieu d’in­jec­ter des sub­stances dan­ge­reuses), c’est sur­tout un enjeu de liber­té (refu­ser de se lais­ser per­sé­cu­ter au nom de la science).

Bonne lec­ture, et faites passer.

Étienne.


Projet de recours gracieux à signer

 

Source : https://​blog​-gerard​.mau​drux​.fr/​p​r​o​j​e​t​-​d​e​-​r​e​c​o​u​r​s​-​g​r​a​c​i​e​u​x​-​a​-​s​i​g​n​er/

Chères Consoeurs, chers Confrères,

Vous trou­ve­rez ci-des­sous le pro­jet de recours concer­nant le refus de l’ANSM de vali­der l’ivermectine (et plus lar­ge­ment les autres trai­te­ments pré­coces et la liber­té de pres­crip­tion). Je sou­hai­te­rais qu’un maxi­mum de méde­cins puissent sou­te­nir cette action.

Signez et faites signer vos consoeurs et confrères. Ouvert à tous les méde­cins qui défendent cette posi­tion, que vous soyez pres­crip­teur ou non, spé­cia­liste ou géné­ra­liste, sala­rié ou libé­ral, en acti­vi­té ou non.

Mer­ci de ne pas dif­fu­ser sur la place publique pen­dant le recueil des signa­tures, et tant que le des­ti­na­taire ne l’a pas reçu. La liste des signa­taires ne com­por­te­ra que le nom, code pos­tal et ville.

Gérard Mau­drux.


Mon­sieur le Ministre

L’Agence Natio­nale de Sécu­ri­té du Médi­ca­ment a reje­té notre demande de Recom­man­da­tion Tem­po­raire d’Utilisation de l’ivermectine, en date du 31 mars 2021. Ce refus repré­sente pour nous une menace grave pour la san­té publique, et en appli­ca­tion de l’article L.5322–2 du Code de la San­té Publique nous fai­sons appel à vous, en tant que Ministre de tutelle de cet éta­blis­se­ment, mais éga­le­ment en tant que méde­cin, dans le cadre d’un recours gra­cieux contre cette déci­sion, avant de nous tour­ner vers le Conseil d’Etat.

En effet l’ANSM, dans un dos­sier orien­té uni­que­ment à charge et à l’encontre des faits, estime qu’«il ne peut être pré­su­mé d’un rap­port bénéfice/risque favo­rable de l’ivermectine en trai­te­ment cura­tif ou en pré­ven­tion. » (1)

En ce qui concerne la pro­phy­laxie :

Alors qu’il existe une dou­zaine de publi­ca­tions pas­sées sous silence comme celle d’Hec­tor Car­val­lo (2) en Argen­tine, avec 100% d’efficacité sur 1 200 soi­gnants au contact de la covid dans 4 hôpi­taux, ou l’expérience de GTFoods au Bré­sil, entre­prise à risques (trai­te­ment des viandes) et en per­ma­nence tou­chée, qui a tota­le­ment éra­di­qué l’épidémie après trai­te­ment de ses 12 000 employés (3), l’ANSM n’en cite qu’une seule, l’étude mono­cen­trique indienne de Bere­ha, por­tant sur 41 cas (4), pour dire qu’il n’y a pas d’effet en préventif.

Les conclu­sions de l’étude citée sont pour­tant claires : « La pro­phy­laxie à deux doses par l’ivermectine, a été asso­ciée à une réduc­tion de 73% de l’infection par le SARS-CoV‑2 chez les tra­vailleurs de la san­té. La chi­mio pro­phy­laxie est per­ti­nente pour endi­guer la pan­dé­mie ». L’ANSM ne retient que la réserve d’usage expri­mée qua­si sys­té­ma­ti­que­ment dans toutes les études : « ils ont sou­li­gné la néces­si­té d’obtenir confir­ma­tion par des études lon­gi­tu­di­nales ou interventionnelles ».

Aucune étude au monde n’est néga­tive en ce qui concerne la pro­phy­laxie par l’ivermectine, et l’ANSM pré­tend le contraire sans avan­cer une seule étude le démontrant.

En ce qui concerne le curatif :

L’OMS a deman­dé un rap­port sur le sujet au Doc­teur Andrew Hill qui écrit dans sa conclu­sion : « Cette méta-ana­lyse de 18 ECR por­tant sur 2 282 patients a mon­tré une amé­lio­ra­tion de 75% de la sur­vie, un délai de récu­pé­ra­tion cli­nique plus rapide et des signes d’un effet dose-dépen­dant de la clai­rance virale chez les patients rece­vant l’ivermectine par rap­port au trai­te­ment témoin. »

Pour­tant, au lieu de se poser des ques­tions en ana­ly­sant des études comme en celle de la Répu­blique Domi­ni­caine (5), avec plus de 3 000 patients, 1 seul décès sur 2 706 patients trai­tés pré­co­ce­ment à domi­cile, 3 décès sur 300 patients trai­tés plus tar­di­ve­ment et hos­pi­ta­li­sés, l’ANSM, pour sug­gé­rer l’inefficacité de l’ivermectine, n’avance que 6 études, les plus dis­cu­tables métho­do­lo­gi­que­ment sur plus de cin­quante pos­sibles, dont les 3 plus petites.  Choix per­met­tant de dire que le nombre de patients est trop petit et qu’il faut plus d’études ! 87 patients (+ 87 pla­ce­bos) trai­tés au total dans ces 3 études, contre 17 562 patients sur 52 études recen­sées. Le choix de l’ANSM pour orien­ter sa démons­tra­tion n’est pas anodin !

Le choix de la pre­mière étude, Raj­ter (6) aux Etats-Unis, n’est pas sérieux quand on pré­tend étu­dier l’efficacité de l’ivermectine et que l’on vante les études ran­do­mi­sées. 173 patients trai­tés par iver­mec­tine, ver­sus 107 avec un « trai­te­ment stan­dard ». La déci­sion de pres­crire était à la dis­cré­tion des méde­cins, qui ont don­né de l’hydroxychloroquine, de l’azithromycine dans les 2 groupes ! Mal­gré tout, les auteurs signalent quand même un béné­fice signi­fi­ca­tif dans le groupe iver­mec­tine, et l’ANSM ne le retient pas au pro­fit de la for­mule d’usage « les auteurs pré­co­nisent la mise en place d’études ran­do­mi­sées avant d’émettre une conclusion ».

Pour les trois petites étudesl’ANSM cite Pod­der au Ben­gla­desh (7), avec 2 x 30 patientsCha­char au Pakis­tan (8), 2 x 25 patients, et Chac­cour en Espagne (9), 2 x 12 patients ! Ridi­cule ! Ceci pour per­mettre à l’Agence de dire que c’est insuf­fi­sant et qu’il faut plus d’études, évi­tant au pas­sage de dire que cela marche : réduc­tion de 20% de la durée des troubles pour la pre­mière et réduc­tion de la durée de l’anosmie divi­sée par 2 et de la toux réduite de 30% pour la troi­sième. Pour la seconde, il s’agit une popu­la­tion très jeune et peu symp­to­ma­tique, com­ment le trai­te­ment pour­rait-il faire mieux quand la mala­die gué­rit toute seule ?

Ensuite c’est Ahmed au Ben­gla­desh (10), avec 72 patients hos­pi­ta­li­sés, 3 groupes, ran­do­mi­sés : iver­mec­tine, iver­mec­tine + doxy­cy­cline, pla­ce­bo. « Une cure de 5 jours d’ivermectine a entraî­né une clai­rance plus pré­coce du virus par rap­port au pla­ce­bo (p = 0,005), indi­quant ain­si qu’une inter­ven­tion pré­coce avec cet agent peut limi­ter la répli­ca­tion virale chez l’hôte. Dans le groupe iver­mec­tine de 5 jours, il y a eu une baisse signi­fi­ca­tive de la CRP et de la LDH au jour 7, qui sont des indi­ca­teurs de la gra­vi­té de la mala­die. Il est à noter que la charge virale a chu­té de manière signi­fi­ca­tive par rap­port au groupe pla­ce­bo aux jours 7 et 14. » L’ANSM ne retien­dra pas le résul­tat, mais la « néces­si­té d’une étude plus large », for­mule d’usage uti­li­sée par tous les auteurs.

Enfin cerise sur le gâteau, l’étude de Lopez Medi­na en Colom­bie (11). On est éton­né de trou­ver mise en avant par l’ANSM cette étude peu sérieuse du niveau de Meh­ra dans The Lan­cet. Une popu­la­tion jeune, peu symp­to­ma­tique, « consul­tée par son­dage télé­pho­nique ». Des patients du groupe témoin ont pu prendre de l’ivermectine depuis plus de 5 jours (molé­cule pré­sente 3 semaines dans les tis­sus !), de l’Ivermectine a été don­née par erreur à la place du pla­ce­bo (38 fois), il y a eu chan­ge­ment de pro­to­cole en cours d’étude n’arrivant pas à leurs fins, etc. Et on publie, et cer­tains reprennent ! Il y a quand même 1 mort dans le groupe pla­ce­bo, pas dans le groupe iver­mec­tine. Des « cher­cheurs » de l’Inserm qui conseillent l’ANSM encensent cette étude, comme Mme Domi­nique Cos­ta­glio­la ou le Pr Fré­dé­ric Adnet, ce der­nier par­lant d’une « métho­do­lo­gie de haut niveau”. On croit rêver devant de telles com­pé­tences en matière d’analyse de publications !

En ce qui concerne le risque :

L’ivermectine est un des médi­ca­ments les plus sûrs de la phar­ma­co­pée mon­diale. Recon­nu par l’OMS, en 2015, comme » sans dan­ger, pou­vant être uti­li­sé à grande échelle ». Vigi­base (12), recueillant les don­nées de phar­ma­co­vi­gi­lance de plus de 130 pays adhé­rents à l’OMS, relève en 30 ans 16 décès et 4 700 effets indé­si­rables pour l’Ivermectine (et pour 4 mil­liards de prescriptions).

L’ANSM évoque une incon­nue concer­nant la poso­lo­gie, qui n’a pas de rai­son d’être : c’est la même que dans les autres patho­lo­gies concer­nées par une AMM, et lorsque la pres­crip­tion est renou­ve­lée, aucune étude ne signale un quel­conque pro­blème. Des essais avaient par ailleurs été faits à 10 fois la dose en 2002 par Merck déten­teur du bre­vet à l’époque, sans aucun incon­vé­nient (10). Le labo­ra­toire fran­çais Medin­cell, vient de publier une étude sur la prise pro­lon­gée du pro­duit, sans aucun pro­blème (13).

Agences, méta-ana­lyses et scien­ti­fiques indépendants :

L’ANSM balaie d’un revers la demi-dou­zaine de méta-ana­lyses que nous avions trans­mise, refu­sant de les lire et d’en tenir compte, au pré­texte qu’elles n’ont pas fait l’objet d’une vali­da­tion par un comi­té de lec­ture, et que cer­taines études com­portent des insuf­fi­sances métho­do­lo­giques. Quelles sont les com­pé­tences des membres de l’Agence s’ils n’ont pas la capa­ci­té de lire et ana­ly­ser ces études quand elles ne sont pas “relues” ? Et quand on voit les insuf­fi­sances métho­do­lo­giques des études avan­cées par l’ANSM, selon cette vieille expres­sion fran­çaise, n’est-ce pas l’hôpital qui se moque de la charité !

Pour­quoi ces méta ana­lyses sont-elles ain­si écar­tées ? Parce qu’elles arrivent toutes aux mêmes conclu­sions qui ne sont pas celles vou­lues par l’ANSM. Ce qu’elles disent est simple : l’utilisation de l’ivermectine divise par 4 à 5 la mor­ta­li­té de la Covid, et dans 80% des cas les troubles dis­pa­raissent deux fois plus vite. Vous trou­ve­rez ci-joint la plu­part de ces méta-ana­lyses. Si on peut dis­cu­ter du niveau d’efficacité selon com­ment on inter­prète ces dif­fé­rentes études, la pré­somp­tion d’efficacité, elle, est indis­cu­table, et il est trop facile de faire sem­blant d’ignorer ces résul­tats en se cachant der­rière une méthodologie.

L’ANSM cite ensuite la posi­tion de l’Agence Euro­péenne du Médi­ca­ment, posi­tion pure­ment poli­tique, puisqu’elle n’a pas sta­tué : l’EMA recon­naît en effet dans un com­mu­ni­qué ne pas avoir été sai­sie du dos­sier et ne cite qu’une étude, in vitro, alors qu’ici il est ques­tion des études et de l’utilisation chez l’homme.

Nous avions éga­le­ment pro­po­sé à l’ANSM de contac­ter les spé­cia­listes qui en France connais­saient le mieux l’ivermectine pour avoir tra­vaillé le sujet. Le labo­ra­toire Medin­cell qui pré­pare un dos­sier avec des études pour une AMM concer­nant une forme à action pro­lon­gée, avec une grosse publi­ca­tion sur la sécu­ri­té du médi­ca­ment faite par Jacques Des­cotes, pro­fes­seur émé­rite à l’Université Claude Ber­nard à Lyon, Jean-Pierre Chan­geux de l’Académie des Sciences, pro­fes­seur hono­raire au Col­lège de France et à l’Institut Pas­teur, et Pierre-Jean Guillaus­seau de l’Université de Paris Sor­bonne, auteur d’un gros tra­vail d’analyse des études étran­gères. Aucun n’a été consul­té, pas plus qu’il n’est fait état des consta­ta­tions très posi­tives faites dans deux Ehpads en France (Seine et Marne et Hauts de Seine) en début d’épidémie et por­tées à la connais­sance des auto­ri­tés. Aucun méde­cin pres­crip­teur n’a été contac­té pour évo­quer son expé­rience, alors que ce sont ces remon­tées de ter­rain qui ont per­mis au Baclo­fène d’avoir une RTU dans l’addiction alcoo­lique, sans aucune étude cli­nique, mon­trant qu’il existe d’autres moyens que les études étran­gères pour éva­luer l’efficacité d’un médicament.

De la procédure :

La révi­sion de cette déci­sion est d’autant plus néces­saire que la Loi ne semble pas avoir été res­pec­tée. La volon­té d’indépendance et de trans­pa­rence de ces déci­sions, ayant conduit à la créa­tion de l’Agence du Médi­ca­ment suite à l’affaire du sang conta­mi­né, deve­nue ANSM suite à l’affaire du Média­tor, a été igno­rée. Pour accé­der à cette trans­pa­rence, le Doc­teur Mara­nin­chi, pre­mier direc­teur de l’ANSM avait déci­dé que les com­mis­sions déci­sion­nelles seraient enre­gis­trées et dis­po­nibles au public, ce qui avait été trans­po­sé dans les textes : Article L1451‑1–1 du code de la San­té publique créé par la Loi n°2011–2012 du 29 décembre 2011 – art 1 (14). Nous avons donc deman­dé à l’ANSM de nous four­nir ces docu­ments afin de savoir ce qui a été défen­du, par qui, dans quelles condi­tions, on nous a répon­du que de tels docu­ments n’existaient pas !

Le non-res­pect de cette pro­cé­dure de trans­pa­rence est sus­cep­tible d’être sanc­tion­née par le Conseil d’Etat.

Conclu­sions :

Pour accor­der une RTU, la loi n’évoque que deux condi­tions : une pré­somp­tion d’efficacité et un mini­mum d’effets indé­si­rables afin d’établir un rap­port bénéfice/risque favo­rable. Ces deux condi­tions sont tota­le­ment rem­plies pour l’ivermectine, et quand on voit dans quelles condi­tions ces cri­tères ont été igno­rés pour vali­der d’autres thé­ra­peu­tiques ces der­niers mois, on peut s’étonner des motifs condui­sant à ce « deux poids deux mesures ».

Mon­sieur le Ministre, nous n’avons qu’une seule ques­tion à poser au méde­cin que vous êtes, et capable de juger de ces études par vous-même. Vous devez une réponse claire aux Fran­çais : sur le plan médi­cal, au vu de toutes ces études, en votre âme et conscience, pen­sez-vous hon­nê­te­ment et sin­cè­re­ment qu’il n’y a aucune pré­somp­tion d’efficacité comme le pré­tend l’ANSM ? Le Ministre en tire­ra ensuite les conclu­sions qui s’imposent pour la conduite à tenir concer­nant ce recours. Nous insis­tons sur le fait que tout retard appor­té à une exten­sion des indi­ca­tions se chif­fre­rait par un nombre consé­quent de décès lié au SARS-Cov‑2 pou­vant enga­ger la res­pon­sa­bi­li­té des acteurs de ce retard.

Entre le Doli­prane, pré­co­ni­sé, et l’Ivermectine, qui ne l’est pas, bien que qu’elle soit bien moins toxique et avec une pré­somp­tion d’efficacité que n’a pas le Doli­prane, pour­quoi ne pas lais­ser les méde­cins choi­sir libre­ment, sans contraintes et menaces ?

Outre les requé­rants de l’action en Conseil d’Etat concer­nant la demande de RTU, vous trou­ve­rez ci-joint une liste de plus de 1 000 méde­cins signa­taires, qui vous demandent de revoir cette posi­tion, en vous basant uni­que­ment sur des consi­dé­ra­tions médi­cales et non poli­tiques ou finan­cières. Ils réclament éga­le­ment, plus lar­ge­ment, que la liber­té de pres­crip­tion concer­nant les trai­te­ments pré­coces, l’ivermectine n’étant pas le seul pou­vant venir com­plé­ter les vac­cins, soit cla­ri­fiée et élar­gie, afin de réduire le nombre de pas­sages à la phase inflam­ma­toire condui­sant aux hos­pi­ta­li­sa­tions et décès.

Veuillez agréer, Mon­sieur le Ministre et cher Confrère, l’expression de nos salu­ta­tions respectueuses.

Source pour le recueil des signa­tures des méde­cins : https://​blog​-gerard​.mau​drux​.fr/​p​r​o​j​e​t​-​d​e​-​r​e​c​o​u​r​s​-​g​r​a​c​i​e​u​x​-​a​-​s​i​g​n​er/


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Étienne

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45 Commentaires

  1. Pierre-Louis Garnier

    Bra­vo pour cette initiative.

    Réponse
  2. joss

    Inter­view BAM ! de Paul Lannoye
    ‑Paul Lan­noye est Doc­teur en sciences phy­siques et un homme poli­tique belge fran­co­phone, ancien membre fon­da­teur du par­ti Ecolo-
    https://​www​.you​tube​.com/​w​a​t​c​h​?​v​=​R​P​i​a​c​U​W​2​BDM

    Extraits :
    « Nous sommes dans une dic­ta­ture hygié­niste avec des mesures de confi­ne­ment aveugles et liber­ti­cides. Tout est axé sur le vac­cin salvateur. »

    Réponse
  3. Gayde

    Je suis contre tout blocage

    Réponse
  4. Berberis

    Mer­ci Joss 🙂
    Une autre vidéo avec le même invi­té ici
    « UNE SOCIÉTÉ SANS CONTACT ET DERRIÈRE ÉCRAN EST UNE SOCIÉTÉ INVIVABLE ET INHUMAINE »
    par KAIROS

    Paul Lan­noye décons­truit l’idée que le pro­grès de nos socié­tés passe inévi­ta­ble­ment par le « tout au numé­rique ». Bien au contraire, la pan­dé­mie actuelle en révèle toutes les limites et les dan­gers. Cette assué­tude contrainte aux écrans est gra­vis­sime en par­ti­cu­lier pour la san­té men­tale et phy­sique des enfants et doit nous faire réflé­chir aux consé­quences inéga­li­taires, chro­no­phages et anti­so­ciales du télé­tra­vail. Face au bilan éco­lo­gique et humain désas­treux, Paul Lan­noye se veut res­ter posi­tif et appelle cha­cun de nous à ne pas res­ter téta­ni­sé face à cette pan­dé­mie. SOUTENEZ UN MEDIA LIBRE – SOUTENEZ KAIROS https://​fr​.tipeee​.com/​k​a​i​r​o​s​-​p​r​e​sse https://​www​.kai​ros​presse​.be/​a​b​o​n​n​e​m​ent https://​www​.kai​ros​presse​.be/​d​on/

    https://​www​.you​tube​.com/​w​a​t​c​h​?​v​=​4​n​x​6​U​W​Z​u​0L0

    https://​www​.kai​ros​presse​.be/​l​e​t​t​r​e​-​d​u​-​g​r​a​p​p​e​-​a​d​r​e​s​s​e​e​-​a​u​x​-​e​u​r​o​d​e​p​u​t​e​s​-​c​o​n​c​e​r​n​a​n​t​-​l​e​-​p​a​s​s​e​p​o​r​t​-​v​a​c​c​i​n​al/

    https://​grap​pe​bel​gique​.org/

    Réponse
  5. Joh

    Qu’ils pré­cisent donc leur pro­to­cole de soins impo­sé à toute l’UE concer­nant la mala­die. Voir l’en­tre­tien avec Fla­via Groșan dans Vise­grad Post.

    Réponse
  6. joss

    L’E­glise du vac­cin était à l’OMS et à la CE en 2019
    https://​www​.you​tube​.com/​w​a​t​c​h​?​v​=​r​f​9​T​5​t​1​R​3iw
    https://​www​.you​tube​.com/​w​a​t​c​h​?​v​=​i​1​D​U​Z​d​b​w​kZM

    Quelle obs­ti­na­tion, quel entrain, quelle moti­va­tion pour sau­ver des vies avec les vac­cins, alors qu’ils pillent, qu’ils asser­vissent, qu’ils appau­vrissent, qu’ils affai­blissent ces mêmes populations.

    …dans la fou­lée on pour­rait ima­gi­ner l’or­ga­ni­sa­tion de som­mets inter­na­tio­naux pour pro­mou­voir la confiance en l’as­pi­rine à tra­vers le monde.

    Réponse
  7. Joh

    Le pape actuel n’a plus rien à voir avec le catho­li­cisme d’ailleurs il est pro­wax et jésuite donc rien à espé­rer de ce mon­dia­liste. La renon­cia­tion de Benoît XVI est curieuse, pour le moins.

    Réponse
  8. joss
  9. Cheu Esteban

    Bon­jour,

    Moi, j’ai eu un chien intoxi­qué à la Moxi­dec­tine et c’é­tait pas joli à voir. Il est mort ( il y a aucun anti­dote ; c’é­tait un ber­ger Shet­land MDr1-/- de 1an) Connais­sez-vous réel­le­ment la pré­va­lence de ces intoxi­ca­tions chez l’homme ?

    On peu lire « c’est très sûr » mais qu’en sait-on ? En Bel­gique par exemple, il n’y a pas de médi­ca­ment « humains » enre­gis­tré avec ce prin­cipe actif… donc il n’est jamais prescrit.

    je veux bien croire alors qu’il y a peu de rap­port d’in­toxi­ca­tion envoyer à l’AFMPS…

    Pour­quoi être tel­le­ment confiant sur l’I­ver­mec­tine et tel­le­ment méfiant sur les vac­cins ? vous trou­ve­rez pro­ba­ble­ment plus de méde­cins qui conseils l’ac­cé­lé­ra­tion de la vac­ci­na­tion que ceux qui conseils de l’ar­rê­ter pour don­ner médicaments.
    Vous en trou­ve­rez aus­si qui conseil un confi­ne­ment plus stricte.…

    Com­ment faites-vous pour leurs don­ner cré­dits à cer­tains plu­tôt qu’à d’autres ?

    En méde­cine vété­ri­naire, L’i­ver­mec­tine (l’I­vo­mec de Pfi­zer tiens donc ;)…) est uti­li­sée mas­si­ve­ment sur­tout pour son spectre très large. Son impact sur l’environnement est d’ailleurs très cri­ti­qués (réma­nence impor­tante dans les selles qui tue les insectes « ster­co­phage »,…) Aucun vété­ri­naires n’as jamais consta­té, à ma connais­sance, une effi­ca­ci­té sur les infec­tions virales à coro­na­vi­rus ( bovins par exemple). 

    Je ne dit pas que ça marche pas, je dis que c’est tel­le­ment à l’op­po­sé des infor­ma­tions qu’on a jusque main­te­nant ( et rap­pe­lez-vous on c’é­tait déjà embal­ler avec la chlo­ro­quine,…) que je com­prend que, modes­te­ment et de manière bien­veillante, les agences natio­nales ( qui son pas mieux ni pire que les autres scien­ti­fiques) sont obli­gées d’at­tendre des preuves plus solides. 

    Sinon j’es­père qu’elle marche et j’es­père qu’on aura vite l’in­for­ma­tion mais il faut pas vou­loir aller plus vite que la musique.

    En atten­dant : confi­nez-vous un max et vac­ci­nez-vous un max ! 

    ça on sait que ça marche ! (–>pour l’ins­tant, parce qu’ a force de lais­ser cir­cu­ler « la grip­pette inexis­tante » on aura tou­jours plus de variants (mais aus­si des variants résis­tants à l’I­ver­mec­tine vous pou­vez en êtres sùr : les micror­ga­nismes on tou­jours une lon­gueur d’a­vance sur nous.)

    Res­tons modeste, « la nature » ne s’in­té­resse guerre à nos que­relles d’hu­mains comme elle se moquait de celle des dino­saures il y a 65 mil­lions d’années.

    Démo­cra­tie et science ne font qu’un, ont n’au­ra pas l’un sans l’autre. 

    Je sais que c’est dur mais res­ter calme et gar­der votre rai­son. On couvre la démo­cra­tie directe de ridi­cule en cra­chant sur la science.

    Bien à vous,

    Réponse
    • joss

      @Esteban
      Vous êtes trop gen­til, il ne faut pas se satis­faire d’at­tendre qu’une étude cli­nique digne de ce nom soit réa­li­sée sur l’i­ver­mec­tine en France (la France n’est pas le Pérou, nous avons d’ex­cel­lents labo­ra­toires, l’ins­ti­tut Pas­teur étant répu­té jus­qu’à Wuhan). Nous sommes en guerre, en pleine vague covid, c’est main­te­nant qu’il faut agir si on veut réel­le­ment sau­ver des vies.

      Réponse
      • Cheu Esteban

        Oui,
        mais com­ment choi­sir entre l’as­tro­lo­gie, les magné­ti­seurs, les ostéo­pathes, le can­na­bis thé­ra­peu­tique, le vac­cin, le confi­ne­ment ou l’ivermectine??

        Un méde­cin peu uti­li­sé un trai­te­ment non-indi­qué si il l’es­time néces­saire en son âme et conscience, mais une auto­ri­té scien­ti­fique, elle, doit faire de la science, ne confon­dons pas les rôles.

        Bien à vous,

        Réponse
  10. Joh

    Il est pos­sible que ces thé­ra­pies géniques empêchent le sys­tème immu­ni­taire de fonc­tion­ner normalement.

    Réponse
    • Berberis

      Per­so, j’ai l’im­pres­sion que les maux s’emplifie au contact des vaccinés.
      Mon avis est que tout ça a été exa­gé­ré­ment mon­té en épingle, qu’il n’y a pas plus de décès qu’a­vec la grippe, ce que d’ailleurs, beau­coup de méde­cins disent.
      Toute cette his­toire m’a paru louche dès le pre­mier confi­ne­ment, le déca­lage entre les pho­tos de mort en rue, en Chine et la panique indé­cente affi­chée au JT dans nos contrées, énu­mé­rant des chiffres comme à l’eu­ro­vi­sion, me fait pen­ser que seuls ceux qui atten­daient de vivre un film de science-fic­tion en vrai, ont pu y adhé­rer complètement.
      Sans juge­ment pour ceux-ci, juste une totale incom­pré­hen­sion face à un tel éloi­gne­ment de la vrais­sem­blance et de la décence (qu’elle soit de la pro­tec­tion psy­cho­lo­gique ou éco­no­mique et bien­sûr concer­nant la libre pres­crip­tion empêchée).
      Concer­nant les chefs reli­gieux, je crois qu’il serait rai­son­nable comme dit l’autre, de ne jamais délé­guer son pou­voir de déci­sion, à aucun prix, fut-il un « sain« t.
      Plus il y a d’in­co­hé­rence et moins tout cela me ras­sure quant à l’a­ve­nir des dominés.

      Réponse
      • joss

        Moi, j’ai eu du mal depuis la 1ère minute à accep­ter la nar­ra­tion de nos médias natio­naux tel­le­ment « le faux » suin­tait à tra­vers l’é­cran. Je suis méfiant de nature, j’ai tout pas­sé au crible. Ca me prend un temps fou… Mais quelque part ça nous empêche de réflé­chir à l’es­sen­tiel, ça nous détourne de notre cause com­mune. Toute cette his­toire sert à semer la confu­sion et la dis­per­sion dans la population.

        Réponse
  11. Joh

    Oui vous avez rai­son tous les deux, ils nous tuent len­te­ment depuis des années en volant notre force de tra­vail au pro­fit des ultra-mil­liar­daires qui forment des mafias éta­tiques. Là, le pro­ces­sus s’ac­cé­lère avec des refus de soins et piqures mor­telles (atten­tion, cer­tains effets secon­daires peuvent être à évo­lu­tion lente).

    Réponse
  12. Cheu Esteban

    Je suis vrai­ment déso­lé cher cama­rades, je déteste le capi­tal et l’au­to­ri­té autant que vous, Mais je ne com­prend pas ce que vous dites. 

    La science, la connais­sance de la vrai nature du monde, c’est l’ob­jec­tif numé­ro un pour un démo­crate, on peu remettre en ques­tion faci­le­ment des pro­pos de jour­na­listes, mais pas ceux d’a­gences scien­ti­fiques mul­ti­na­tio­nales. le niveau de preuves n’est pas le même. 

    Si vous me per­met­tez je vous cite­rais Tzve­tan Todorov :

    « Dans les pays tota­li­taire, la véri­té est sys­té­ma­ti­que­ment sacri­fiée à la lutte pour la vic­toire. Dans un Etat démo­cra­tique, le sou­ci de véri­té doit-être sacré » 

    Or je ne vois d’autre moyens que la science (mal­gré ses défauts) pour accé­der à la véri­té sur le monde.

    Réponse
    • joss

      En effet, il n’y a plus de science valable, elle est censurée.

      Réponse
    • Étienne CHOUARD

      Bon­jour Esteban,

      OK pour la science comme che­min (métho­dique, le plus fiable pos­sible) vers la véri­té, bien sûr, outil irrem­pla­çable pour éclai­rer l’o­pi­nion du démos. 

      OK.

      Mais la science cor­rom­pue, ce n’est pas seule­ment « un défaut » (sic) : ce n’est abso­lu­ment plus du tout la science.

      N’est-ce pas ?

      Réponse
  13. joss

    J’ai du mal à asso­cier la science et la véri­té, cela me rap­pelle Gali­lée et l’Eglise.
    La science, c’est la fabrique de la connais­sance, c’est un processus.
    La science pro­duit des véri­tés réfu­tables, contrai­re­ment à la reli­gion. Ces véri­tés pour per­du­rer doivent résis­ter à la critique.
    De nos jours, la cen­sure et la cor­rup­tion font que la cri­tique se réduit comme une peau de cha­grin et du coup les véri­tés deviennent irré­fu­tables. Cela ne s’ap­pelle plus de la science mais de la reli­gion. Il faut croire au dieu « vac­cin » pour vous don­ner l’hos­tie sans confession 😉

    Réponse
    • joss

      On pour­rait faire le rap­pro­che­ment avec la culture. La culture serait éga­le­ment un pro­ces­sus, elle fabrique nos pré­ju­gés, nos liens sociaux,…

      Réponse
    • joss

      « La science est plus que de la connais­sance, c’est une façon de penser »
      Carl Sagan – scien­ti­fique et astro­nome amé­ri­cain (1934−1996)
      https://​www​.you​tube​.com/​w​a​t​c​h​?​v​=​J​1​c​N​a​F​G​1​VII

      Extrait :
      « Si nous ne sommes pas capables de poser des ques­tions per­ti­nentes à ceux qui nous disent que quelque chose est vrai. D’être scep­tique par rap­port à nos res­pon­sables, qui détiennent l’au­to­ri­té alors nous pou­vons nous faire avoir par le pro­chain char­la­tan, qu’il soit poli­tique ou reli­gieux. C’est quelque chose qui tenait beau­coup à coeur à Jef­fer­son. Ce n’est pas suf­fi­sant, disait-t-il, d’ins­crire des droits dans une Consti­tu­tion ou un « Bill of Rights ». Le peuple DOIT être édu­qué, et ils (les gens) doivent mettre en pra­tique leur scep­ti­cisme et leur édu­ca­tion. Sinon, nous ne diri­geons pas le gou­ver­ne­ment. C’est le gou­ver­ne­ment qui nous dirige. »

      Réponse
  14. Joh

    Le chris­tia­nisme a bâti nos vies basées sur la bon­té du Christ repré­sen­tant Dieu sur Terre et la lutte per­pé­tuelle contre satan.

    Réponse
  15. joss

    Pour­quoi n’y a‑t-il pas encore de trai­te­ment en UE ?
    La réponse à cette ques­tion pour­rait être liée à l’art. 4 du RÈGLEMENT (CE) No 5072006 DE LA COMMISSION du 29 mars 2006 rela­tif à l’autorisation de mise sur le mar­ché condi­tion­nelle de médicaments :
    1. Une auto­ri­sa­tion de mise sur le mar­ché condi­tion­nelle peut être accor­dée lorsque le comi­té constate que, bien que des don­nées cli­niques com­plètes concer­nant la sécu­ri­té et l’efficacité du médi­ca­ment n’aient pas été four­nies, toutes les exi­gences ci-après sont satisfaites :
    c) le médi­ca­ment répond à des besoins médi­caux non satisfaits ;
    2. Aux fins du para­graphe 1, point c), on entend par « besoins médi­caux non satis­faits » une affec­tion pour laquelle il n’existe pas de méthode satis­fai­sante de diag­nos­tic, de pré­ven­tion ou de traitement.

    Réponse
  16. Joh

    Fla­via Groșan a détaillé le pro­to­cole de « soins » impo­sé dans toute l’UE dans le vise­grad post de mars, qu’elle n’a évi­dem­ment jamais appli­qué pour ne pas tuer ses malades. Ce qui était le but recher­ché comme pen­dant la cani­cule de 2003. Main­te­nant ils ont ven­du la mèche : les vac­cins n’empêchent pas d’at­tra­per la mala­die, il faut donc conti­nuer à por­ter le masque (décla­ré fina­le­ment inutile au moins en exté­rieur la semaine der­nière !), res­pec­ter la dis­tan­cia­tion et le couvre-feu (si si !), faire des tests coû­tant quelques cen­times et fac­tu­rés 70 euros (!!!) en vue d’un pas­se­port dit sani­taire. Pire, il est pos­sible que les piqués doivent conti­nuer à l’être toute leur vie car leur immu­ni­té n’est plus garan­tie ! Nor­mal avec des piqures tueuses ou pro­vo­quant de graves effets secondaires.
    Heu­reu­se­ment il n’y a plus aucun sou­tien sérieux pour les gou­ver­nants maintenant.

    Réponse
  17. Joh

    Les vac­cins contre les virus à cou­ronne ne peuvent être effi­caces vu leurs muta­tions, celui contre l’ac­tuel semble séquen­cé sur celui d’il y a deux ans, qui n’existe plus. La parole se libère.

    Réponse
  18. Joh

    Tout ça est à relier avec la remise à zéro de K. Schwab qui vise à un maxi­mum de vic­times par piqures mas­sives puis au contrôle com­plet des popu­la­tions par puçage genre pas­se­port inté­rieur dit sani­taire. Les comptes ban­caires et les biens pri­vés pour­ront être saisis.

    Réponse
  19. Joh

    Les vac­ci­nés seraient bien­tôt inter­dits dans cer­tains pays car plus contagieux.

    Réponse
  20. alain Debray

    Je pars d. un Constat : Le Gvr actuel fran­cais est ille­gi­time suite a de nom­breuses vio­la­tions de la Consti­tu­tion . Ce Gvt sou­tient l appar­te­nance a cet UE de gang­sters .Il encou­rage les injec­tions sans preuves d effi­ca­cite , de l argent change de mains . Tout cela pue la com­bine .Per­son­nel­le­ment et ma famille nous ne nous lais­se­rons empoi­son­ner que en cas d impos­si­bi­lite d y echapper

    Réponse
  21. Saint Maurice

    En tant que méde­cin, et même fan du plan C, je ne peux pas pres­crire de l’i­ver­mec­tine au vu de tout ce que je lis. Je sais bien que cer­tains sont des tri­cheurs, mais je ne suis pas sur du tout que la balance avan­tage risque soit en sa faveur pour autant.
    Je pense que la balance est en faveur du vac­cin, ce qui ne veut pas dire qu’il n’existe pas de risque bien sur.
    Donc oui les rec­co de nos socié­tés savantes sur le sujet me semblent pertinentes.
    Mais oui pour le RIC, le consti­tuante, le post keynesianisme.…

    Réponse
  22. Étienne CHOUARD

    Inter­view de Rei­ner Fuell­mich, nous avons une bonne chance de réussir

    https://​rumble​.com/​v​h​j​w​7​x​-​i​n​t​e​r​v​i​e​w​-​d​e​-​r​e​i​n​e​r​-​f​u​e​l​l​m​i​c​h​-​n​o​u​s​-​a​v​o​n​s​-​u​n​e​-​b​o​n​n​e​-​c​h​a​n​c​e​-​d​e​-​r​u​s​s​i​r​.​h​tml

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