Gérard Foucher explique le mur de la dette

28/03/2018 | 11 commentaires

httpv://www.youtube.com/watch?v=tcH-6X_LY1o

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Étienne

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11 Commentaires

  1. Citoyen Constituant

    Un échange sympathique :
    httpv://www.youtube.com/watch?v=2TWVCL47dRk

    Réponse
    • ève

      Mais nous en sommes encore à cueillir les fruits dans les arbres , et effec­ti­ve­ment , les boni­men­teurs nous trompent en empoi­son­nant nos récoltent pour nous les vendre ! Ce sont eux qui sont de trop sur cette terre , ceux qui ne servent à rien ! Les mettre à la tâche pour ne pas les lais­ser colo­ni­ser l’u­ni­vers , ils vont nous ren­voyer dans les cordes , météo­rites aux fesses .… ou une alter­na­tive Mar­tienne lol
      Trop déca­lée .… je reviens !

      Réponse
    • ève

      Nos empoi­son­neurs truandent nos récoltes .…..mdr !

      Réponse
  2. etienne

    Qui fabrique nos francs ?

    httpv://youtu.be/u3q065WUO3w

    Réponse
  3. Ronald

    Avec l’initiative mon­naie pleine, on est confron­té au même phé­no­mène qu’avec le débat élections/tirage au sort. Les par­ti­sans de l’ordre éta­bli défendent leur posi­tion, mais ne savent pas pour­quoi. Ils n’ont en fait jamais réflé­chi à son fon­de­ment, aus­si leurs argu­ments n’ont aucun sens (ils ne les com­prennent pro­ba­ble­ment pas eux-mêmes) . On est donc obli­gé de faire le tra­vail à leur place.
    Je vais essayer d’expliquer à mon avis le fon­de­ment de l’argument CONTRE la créa­tion publique de la mon­naie. C’est un mélange de choses lues à gauche et à droite, je n’ai pas de réfé­rence poin­tue sur le sujet.

    Soit deux régimes, l’un où la créa­tion moné­taire est le fait du cré­dit des banques pri­vées, l’autre où est le mono­pole de la banque cen­trale publique. En période de crois­sance « nor­male », les deux fonc­tionnent éga­le­ment et l’on ne per­çoit pas qu’il y a une différence.
    Celle-ci se fait res­sen­tir en cas de crise éco­no­mique. La réac­tion sera dif­fé­rente. Dans le sys­tème « pri­va­ti­sé », les banques com­mer­ciales réagi­ront en fer­mant les cré­dits, tant envers les par­ti­cu­liers qu’en­vers leurs concur­rentes. Au pire, les gui­chets sont fer­més et ils y a des files de clients qui se créent. La mon­naie se tarit dans la cir­cu­la­tion. C’est la crise « défla­tion­niste ». Dans le sys­tème « cen­tra­li­sé », l’État, qui a le mono­pole de la créa­tion moné­taire, réagit par l’intermédiaire de sa banque cen­trale au contraire en créant de la mon­naie pour assu­rer ses dépenses, aug­men­tant ain­si la masse moné­taire cir­cu­lante. C’est la crise « inflationniste ».
    Les deux situa­tions semblent avoir des effets symé­triques, entraî­nant toutes deux des désa­gré­ments simi­laires pour les citoyens. Ce n’est pas le cas. Dans le pre­mier cas, la perte de confiance touche seule­ment les banques com­mer­ciales. Il n’y a pas de perte de confiance dans l’État et dans sa mon­naie. Ain­si, lors de la crise grecque, si les gens n’avaient pas accès à leur compte ban­quaire, au moins, celui qui n’avait pas mis son argent à la banque était assu­ré que celui-ci gar­de­rait sa valeur et pou­vait tou­jours faire des achats avec. Et l’on se dit qu’en fin de compte, l’État peut tou­jours reprendre la main pour relan­cer l’économie.
    Dans le second cas, d’une part la hausse des prix entraîne une perte de confiance dans la mon­naie. Cha­cun com­mence à vou­loir s’en débar­ras­ser. Et donc, outre la créa­tion de mon­naie sup­plé­men­taire par l’État, afflue sur le mar­ché toute la mon­naie natio­nale dont les par­ti­cu­lier veulent se débar­ras­ser, et tous les actifs finan­ciers libel­lés dans cette mon­naie déte­nus par les natio­naux et l’étranger. Il y a un phé­no­mène d’emballement qui n’est pas pré­sent dans le pre­mier cas. Il y a ici perte de confiance dans la mon­naie et dans l’État lui-même et sa capa­ci­té à rem­plir ses enga­ge­ments. C’est l’ « hyper­in­fla­tion ». Celle de 1922–23 en Alle­magne est liée en plus grande par­tie à cette perte de confiance qu’à une sur­créa­tion moné­taire de la part de l’État. Celui-ci n’a ici pas la capa­ci­té de réagir puisque toute créa­tion moné­taire de sa part ne fait qu’accentuer le pro­blème. Géné­ra­le­ment, ce genre de crise se ter­mine parce que les gens se tournent vers une mon­naie étran­gère (le dol­lar en géné­ral) pour leur échanges : la pays à alors per­du sa sou­ve­rai­ne­té monétaire.
    Créa­tion moné­taire pri­vée et cen­tra­li­sée ont donc cha­cune leur défaut, et peuvent tour­ner mal. Mais dans le cas de la créa­tion cen­tra­li­sée, le risque est que quand cela tourne mal, cela tourne très mal. Cela est liée au fait qu’avec un sys­tème pri­va­ti­sé, il y a deux « ver­rous de sécu­ri­té » à la confiance moné­taire : les banque pri­vées et l’État, alors qu’ils sont réunis en une seule ins­tance dans le sys­tème centralisé.

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  4. ève

    Pré­sen­ter les inté­rêts de la dette à hau­teur de l’emprunt est de nature à noyer les comptes dans la même bas­sine ! Jamais un emprun­teur se lais­se­ra berné
    sur des taux d’in­té­rêts aus­si éle­vés ! Dérou­tante expli­ca­tion dès le début

    Réponse
  5. ève

    Abo­lir la mon­naie scrip­tu­rale ! Faire tom­ber les banques avec une mon­naie pleine !

    Réponse
  6. etienne

    Eberhard Hamer : le prochain crash est planifié

    Réponse
    • ève

      Les plumes vont voler dans tous les sens du terme !

      Réponse
  7. joss

    A ne pas rater, 

    la conférence-débat FRIOT + LORDON :

    httpv://www.youtube.com/watch?v=QmW_lCH4ZxA

    Réponse
    • etienne

      Le début est là, avec l’in­tro­duc­tion de Frédéric :

      Réponse

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