ÉLUS POURRIS ET IMPUNIS bien dénoncés par Philippe Pascot

28/10/2017 | 10 commentaires

Je trouve Phi­lippe Pas­cot de plus en plus pug­nace et efficace. 

httpv://youtu.be/XFqmMdlJ_i0

Mer­ci Phi­lippe, pour nous tous. 

Lisez (et faites lire autour de vous) les livres de Pas­cot : ce sont des bombes contre les cra­pules qui nous oppriment.

Ce n’est pas aux hommes au pou­voir d’é­crire les règles du pou­voir. C’est aux simples citoyens (donc à l’ex­clu­sion abso­lue de tous les pro­fes­sion­nels de la poli­tique) d’é­crire et de modi­fier la consti­tu­tion, c’est-à-dire les moda­li­tés pra­ti­co-pra­tiques de la puis­sance popu­laire et les contrôles pra­ti­co-pra­tiques de tous les pouvoirs.

La solu­tion à l’im­puis­sance popu­laire ne vien­dra pas des « élus », jamais.
Nous ne pou­vons comp­ter que sur nous-mêmes pour nous éman­ci­per, deve­nir adultes poli­tiques, par édu­ca­tion popu­laire, dans nos mini-ate­liers consti­tuants, pro­li­fiques et contagieux.
Un citoyen digne de ce nom est consti­tuant et vigi­lant. Sinon, c’est un enfant.

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10 Commentaires

  1. etienne

    Centenaire de la Révolution d’Octobre : retour sur la propagande anti-soviétique, par Robert Charvin :

    httpv://youtu.be/ntuYqVugWz0

    Source : Inves­tig’Ac­tion- Michel Collon

    Réponse
  2. Ronald

    Comme je l’avais déjà expli­qué la pre­mière fois, je suis tout à fait en désac­cord avec Phi­lippe Pas­cot. Je ne vais pas reve­nir sur ma pre­mière objec­tion, qui est que la « mora­li­sa­tion » pré­sup­pose une morale, et que celle-ci étant rela­tive, elle sera édic­tée en pra­tique par le pou­voir en place.

    Je vais ici déve­lop­per que son idée est en contra­dic­tion avec les prin­cipes du gou­ver­ne­ment représentatif.

    L’un des prin­cipe dans notre régime est la sépa­ra­tion des pou­voirs. Or, ici, il est pro­po­sé que suite à une condam­na­tion par un juge, le condam­né ne puisse pas de pré­sen­ter aux élec­tions. Et donc par là, le peuple qui délègue sa sou­ve­rai­ne­té légis­la­tive à des dépu­tés, ne peut pas choi­sir libre­ment le repré­sen­tant qu’il veut. C’est donc un empié­te­ment du pou­voir judi­ciaire sur le pou­voir législatif.

    Dans le débat à l’assemblée, on s’est d’autre part atta­ché beau­coup au pro­blème qu’il s’agissait d’une peine « auto­ma­tique ». Or, nos prin­cipes judi­ciaires rejettent l’idée de peine auto­ma­tique, le juge devant tou­jours juger au cas par cas la peine qu’il applique selon les cir­cons­tances (je crois qu’on dit « en l’espèce »). La loi telle qu’elle a été rédi­gée reste bien sur ce prin­cipe, puisque l’inégibilité est bien la règle dans les cas de délit finan­cier ou de dis­cri­mi­na­tion, mais que le juge peut déci­der de ne pas l’appliquer. Mais pour ma part, en toute bonne logique, la peine d’inéligibilité ne devrait tout sim­ple­ment pas exis­ter, et le peuple (et non le juge) devrait être le seul à déci­der si telle per­sonne mérite de le représenter.

    Pas­cot argu­mente en disant (4:50) « Pour être maître-chien , pour être pom­pier, pour être taxi, pour bos­ser dans une mai­rie, chère madame, il vous faut un casier judi­ciaire vierge, par contre pour diri­ger la mai­rie, vous pou­vez avoir vio­lé, vous pou­vez avoir détour­né du pognon… »
    L’argument semble sédui­sant. Mais mal­heu­reu­se­ment, comme beau­coup de per­sonnes publiques qui veulent empor­ter l’adhésion, Pas­cot déforme la réalité.
    Pour toute ces pro­fes­sions et bien d’autres, il ne faut pas « un casier judi­ciaire vierge », il faut pré­sen­ter son casier judi­ciaire. Et c’est au cas par cas que l’administration, l’employeur pri­vé ou l’ordre pro­fes­sion­nel éva­lue si le can­di­dat est apte à occu­per le poste (on peut ima­gi­ner qu’un homi­cide invo­lon­taire dans un acci­dent de voi­ture n’empêche pas d’être pompier).
    http://​www​.lob​ser​va​toi​re​de​lem​ploi​.fr/​a​r​t​i​c​l​e​4​/​c​a​s​i​e​r​-​j​u​d​i​c​i​a​ire

    C’est une dis­tinc­tion ESSENTIELLE, parce que, dès lors, toute sa démons­tra­tion tombe à l’eau. Elle était basée sur l’analogie « Il faut un casier vierge pour être enga­gé comme maître-chien par un employeur » donc « Il fau­drait aus­si avoir un casier vierge pour être ‘enga­gé’ comme dépu­té par les électeurs ».
    Alors qu’avec une pré­sen­ta­tion hon­nête, l’analogie abou­tit à ma posi­tion : « Pour être enga­gé comme maître-chien, l’employeur éva­lue si le sta­tut judi­ciaire est com­pa­tible avec le poste », donc « Pour être enga­gé comme dépu­té, le corps élec­to­ral éva­lue si le sta­tut judi­ciaire est com­pa­tible avec la fonc­tion ». Ain­si, pour prendre l’exemple de la vidéo, si les élec­teurs de Leval­lois estiment que la condam­na­tion pour prise illé­gale d’intérêt de Bal­ka­ny ne font pas de lui un mau­vais repré­sen­tant, je n’y vois rien à redire. De la même manière que les habi­tants d’Evry peuvent trou­ver que Dieu­don­né les repré­sen­te­rait bien en dépit de ses condam­na­tions pour pro­vo­ca­tion à la haine raciale.

    Alors, si on veut pour­suivre l’analogie, et si on veut amé­lio­rer le sys­tème élec­tif, on ferait la chose sui­vante. Si le can­di­dat à une pro­fes­sion doit pré­sen­ter son casier à son employeur poten­tiel, le can­di­dat à un poste élec­tif devrait aus­si pré­sen­ter son casier aux élec­teurs. Aus­si, je pro­po­se­rais que le jour de l’élection, le casier judi­ciaire des can­di­dats soit annexé au bul­le­tin de vote. De la sorte, l’électeur est plei­ne­ment infor­mé de son sta­tut judi­ciaire. Et d’autre part il n’y a ni pro­blème de cen­sure du juge sur le choix de l’électeur, ni pro­blème de peine automatique.

    En ter­mi­nant, je me rends compte que je viens de rédi­ger un mini-ate­lier constituant…

    Réponse
    • Ronald

      Juste pour ajou­ter une cita­tion que j’aime bien, attri­buée à Kis­sin­ger : « Nine­ty percent of the poli­ti­cians give the other ten percent a bad repu­ta­tion » (Quatre-vingt-dix pour­cents des poli­ti­ciens donnent aux dix pour­cents res­tants une mau­vaise image)

      Réponse
    • gilles

      Vive la démocratie !

      1. « L’un des prin­cipes dans notre régime est la sépa­ra­tion des pou­voirs » …. » C’est donc un empié­te­ment du pou­voir judi­ciaire sur le pou­voir législatif »
      Faux : Si une loi est adop­tée et qu’elle est appli­quée par le pou­voir légis­la­tif, on ne peut pas dire qu’il y a empiè­te­ment du pou­voir judi­ciaire sur le législatif.

      2. « nos prin­cipes judi­ciaires rejettent l’idée de peine automatique »
      Il faut faire une dif­fé­rence entre le mon­tant des amendes assor­ties ou non de peines d’emprisonnement (qui résul­te­raient de « cir­cons­tances) et l’inéligibilité qui découle (ou devrait décou­ler) d’un prin­cipe démocratique(et non judi­ciaire) , à savoir, que toute per­sonne se pré­sen­tant à des élec­tions ne devrait pas avoir été condamnée.

      3. « le peuple (et non le juge) devrait être le seul à déci­der si telle per­sonne mérite de le repré­sen­ter. » et « je pro­po­se­rais que le jour de l’élection, le casier judi­ciaire des can­di­dats soit annexé au bul­le­tin de vote »
      Ain­si donc, on accep­te­rait que la pire des fri­pouilles soit élue, même si pour cela, elle a usé de moyens frau­du­leux : Crimes, racket, chan­tage, cor­rup­tion, menaces etc …. démocratie?!!

      4. « Pour toute ces pro­fes­sions et bien d’autres, il ne faut pas « un casier judi­ciaire vierge », il faut pré­sen­ter son casier judiciaire »
      Vous pen­sez sérieu­se­ment que les admi­nis­tra­tions demandent un casier judi­ciaire rien que pour ajou­ter un docu­ment dans un dos­sier de can­di­da­ture ? Bien sur que non. Elles en tiennent compte et nombre de pro­fes­sions sont inter­dites à toute per­sonne pré­sen­tant un casier judi­ciaire non vierge (je parle de l’extrait de casier N°3 qui ne conserve que les sanc­tions les plus graves)

      Réponse
  3. barbe

    Ok Ronald,
    vous ne faites pas confiance à la morale (que vous dites être rela­tive : ; elle est même capable de retour­ne­ments para­doxaux, qui font que l’homme se rend insai­sis­sable… mais pas­sons sur ce sujet philosophique)
    mais vous faites confiance au sys­tème éléctoral.
    Je vous suis, à la condi­tion que l’on pro­cède SANS VOTE ELECTRONIQUE : car la tri­che­rie peut conti­nuer avec lui, sous la forme de l’im­pos­si­bi­li­té de recomp­ter les voix, et sous la forme de la tra­hi­son (puisque le vote éléc­tro­nique per­met de savoir pour qui quel­qu’un a voté).

    Réponse
  4. BA

    Un nou­veau sym­bole, un nou­veau dra­peau est appa­ru aujourd’­hui dans les rues de Barcelone.

    C’est le dra­peau bran­di par les unio­nistes de Catalogne.

    Le dra­peau des unio­nistes de Cata­logne est divi­sé en trois parties :

    1- La pre­mière par­tie du dra­peau est consti­tuée par les cou­leurs de la Cata­logne : les unio­nistes disent qu’ils sont atta­chés à leur région, la Catalogne.

    2- La deuxième par­tie du dra­peau est consti­tuée par les cou­leurs de l’Es­pagne : les unio­nistes disent qu’ils veulent main­te­nir l’u­ni­té de leur nation, l’Espagne.

    3- La troi­sième par­tie du dra­peau est consti­tuée par les cou­leurs de l’U­nion Euro­péenne : bleu, avec des étoiles jaunes. Les unio­nistes disent qu’ils veulent res­ter dans l’U­nion Européenne.

    Leur dra­peau est ici :

    http://i.f1g.fr/media/figaro/680x/2017/10/29/XVM877bcd0a-bcbb-11e7-a54f-b3dab0ed9a79-805x453.jpg

    ou ici, bran­di par la femme au pre­mier plan :

    http://i.f1g.fr/media/figaro/680x/2017/10/29/XVMef3b96a0-bcb6-11e7-a54f-b3dab0ed9a79-805x453.jpg

    Aujourd’­hui, il y avait dans les rues de Bar­ce­lone des régio­na­listes, des monar­chistes, des européistes.

    En Cata­logne, dans les mois qui viennent, l’His­toire va se jouer entre ces deux camps :

    - les régio­na­listes, les monar­chistes, les euro­péistes. Leur hymne est la « Mar­cha Real ». En fran­çais : la « Marche Royale ». À la fin de la guerre civile, le géné­ral Fran­cis­co Fran­co res­taure la Marche royale comme hymne natio­nal sous son ancien nom de la Mar­cha Gra­na­de­ra. À la fin de la dic­ta­ture, le texte offi­ciel de Fran­co dis­pa­raît. La Marche royale est tou­jours l’hymne offi­ciel de l’Es­pagne, mais se voit dépour­vue de paroles.

    - les indé­pen­dan­tistes, les répu­bli­cains, les séces­sion­nistes. Leur hymne, « Els Sega­dors », ser­vit de chant de ral­lie­ment des Cata­lans répu­bli­cains pen­dant la guerre d’Es­pagne. Il fut inter­dit par la dic­ta­ture franquiste. 

    Ce qui va se pas­ser en Cata­logne dans les mois qui viennent aura des consé­quences incalculables.

    Réponse
  5. alainr

    Le finan­ce­ment des cam­pagnes présidentielles : 

    1)
    Envoyé spécial
    Robert Bou­lin : der­nières révé­la­tions 26/10/2017
    httpv://youtu.be/SXZ5shwtXVg

    L’o­mer­ta dure depuis 37 ans, et Chi­rac a été élu en 1995. 

    2)
    Finan­ce­ment de la cam­pagne 2007 de Sar­ko­zy : la jus­tice a décou­vert un cir­cuit de primes en liquide.
    29/10/2017

    http://​mobile​.fran​cet​vin​fo​.fr/​p​o​l​i​t​i​q​u​e​/​a​f​f​a​i​r​e​/​f​i​n​a​n​c​e​m​e​n​t​-​d​e​-​l​a​-​c​a​m​p​a​g​n​e​-​d​e​-​s​a​r​k​o​z​y​/​e​n​q​u​e​t​e​-​f​r​a​n​c​e​i​n​f​o​-​c​a​m​p​a​g​n​e​-​2​0​0​7​-​d​e​-​n​i​c​o​l​a​s​-​s​a​r​k​o​z​y​-​l​a​-​j​u​s​t​i​c​e​-​a​-​d​e​c​o​u​v​e​r​t​-​u​n​-​c​i​r​c​u​i​t​-​d​-​a​r​g​e​n​t​-​l​i​q​u​i​d​e​_​2​4​3​8​6​4​5​.​amp

    3)
    21 mai 2017
    « Macron Leaks » : les secrets d’une levée de fonds hors norme

    https://​www​.media​part​.fr/​j​o​u​r​n​a​l​/​f​r​a​n​c​e​/​2​1​0​5​1​7​/​m​a​c​r​o​n​-​l​e​a​k​s​-​l​e​s​-​s​e​c​r​e​t​s​-​d​u​n​e​-​l​e​v​e​e​-​d​e​-​f​o​n​d​s​-​h​o​r​s​-​n​o​rme

    « En réa­li­té, c’est bien une cama­rilla de ban­quiers d’affaires qui a pris en main cette levée de fonds hors norme, mobi­li­sant tous azi­muts ses réseaux et car­nets d’adresses au ser­vice du com­bat de l’ov­ni poli­tique Macron. »

    4)
    Conclusion :
    Élec­tion = piège à .…

    Réponse
  6. nanou

    Les écoles de la pourriture !

    Le pauvre « devrait être considéré comme un criminel »

    L’auteur, Yves Dum­pas, nous conte son voyage hor­ri­fiant chez les jeunes bar­bares d’une école de com­merce de la « Grande Libéralie ».

    « Effon­dré ! Écœu­ré ! Malaise, angoisse, envie de vomir…

    Je n’ai pas d’autre mot pour décrire les sen­ti­ments qui m’oppressent à l’issue du débat que je viens d’organiser sur le thème des inéga­li­tés, de la pau­vre­té et de la misère dans une école supé­rieure de com­merce bruxel­loise dont je tai­rai le nom par res­pect pour ceux qui croient encore aux ver­tus de l’éducation…

    Près de trois heures à entendre une grosse cen­taine de futurs cadres com­mer­ciaux (18 à 25 ans) pro­fé­rer des hor­reurs à pro­pos des pauvres et de la pau­vre­té. Assis­tés, fai­néants, bons à rien, bou­lets, para­sites, pro­fi­teurs, frau­deurs… Tout le voca­bu­laire du mépris et de la haine y est passé !

    Ils n’ont aucun doute. Le pauvre est le seul res­pon­sable de sa pau­vre­té… La socié­té n’a ni le devoir ni les moyens de prendre en charge les plus faibles. Marche ou crève ! Du tra­vail, il y en a assez pour tout le monde parce que des « entre­pre­neurs de génie » (Uber, Deli­ve­roo… eh oui !) créent chaque jour « des cen­taines de mil­liers d’emplois » (si, si, elle a bien dit des cen­taines de milliers…)

    Une jeune femme qui se des­tine à une car­rière dans la com­mu­ni­ca­tion est convain­cue que la pau­vre­té devrait consti­tuer un délit. Sans rire ! J’étais tel­le­ment incré­dule que je lui ai deman­dé si elle plai­san­tait. Eh bien non, elle était sérieuse… Selon elle, il existe tel­le­ment d’aides, tel­le­ment de (belles) oppor­tu­ni­tés, tel­le­ment de pos­si­bi­li­tés de s’en sor­tir que « celui qui ne s’en sort pas devrait être consi­dé­ré comme un cri­mi­nel qui met des bâtons dans les roues de ceux qui veulent pro­duire de la richesse et construire un monde meilleur ». Je lui ai deman­dé si je pou­vais noter ses paroles, en espé­rant qu’elle sen­ti­rait le sar­casme, mais la fier­té qu’elle n’a pas dis­si­mu­lée a déçu mon espoir.

    Trois heures. Pen­dant trois heures, après une intro­duc­tion de dix minutes, je les ai lais­sé débattre libre­ment entre eux. Miracle de la parole libé­rée, pen­dant trois heures, j’ai dû endu­rer des pro­pos que je ne par­viens tou­jours pas à qualifier.

    C’est ça, la « belle jeu­nesse » rayon­nante, stu­dieuse, volon­taire, géné­reuse, créa­tive, prometteuse ?

    Deux pro­fes­seurs ont cru devoir venir les excu­ser après le débat :

    — Il faut leur par­don­ner. Ces jeunes gens n’ont encore aucune expé­rience de la vie active, la plu­part des réa­li­tés leur échappe encore…

    Quoi ? À 20 ans, on a le droit d’être cré­tin ? À 20 ans, on est inca­pable de poser sur le monde un regard intel­li­gent et empa­thique ? À 20 ans, on pos­sède un droit abso­lu à l’égoïsme ? »

    => Source : Yves Dumpas.

    On sou­haite à nos jeunes salo­pards [Larousse : « Salo­pard. Péjo­ra­tif. Indi­vi­du sans scru­pule qui agit envers autrui d’une façon ignoble. »] on sou­haite à nos jeunes salo­pards de subir chô­mage, pré­ca­ri­té, mépris et harcèlement.

    Source : Le Yéti
    https://​yeti​blog​.org/​p​a​u​v​r​e​-​c​r​i​m​i​n​el/

    Réponse
  7. nanou

    httpv://www.youtube.com/watch?v=9orP6ub0Qvw

    Réponse
  8. Christele Juchault

    J’ai 74 ans et je suis tom­bé par hasard sur votre site, je suis éton­né de trou­ver un site qui cor­res­pond a mes idées Liber­taire , je vous remer­cie car je retrouve des per­sonnes censées.
    Pay et fra­ter­ni­té Cammarade.
    Chris

    Réponse

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