AUTONOMIES, le prochain film de Nazzaréna, financés par nous tous qui voulons le voir 🙂

20/07/2017 | 1 commentaire

J’ai hâte de voir le nou­veau film de Nazzaréna :
il s’ap­pel­le­ra AUTONOMIES.

httpv://www.youtube.com/watch?v=3ks8eY7XUjE

C’est un film docu­men­taire finan­cé par ceux d’entre-nous qui veulent le voir. Les vidéos de pré­sen­ta­tion (avec plein de gens bien 🙂 ) sont très intéressantes.
C’est sur cette même page que nous pou­vons par­ti­ci­per à son finan­ce­ment : https://​fr​.ulule​.com/​a​u​t​o​n​o​m​i​es/

Pré­sen­ta­tion du film :

L’Autonomie ali­men­taire, éner­gé­tique, c’est pos­sible. Vivre dans une mai­son à 10.000€ aus­si. Pour­tant, auto­no­mie ne veut pas dire autar­cie, mais inter­dé­pen­dances

Le film en une phrase : « Agis en ton lieu, pense avec le monde » (Édouard Glissant)

Cinq ans après « La Pan­dé­mie du Nou­veau monde » – L’éveil des consciences citoyennes, qui mon­trait entre autres Fabrice André, créa­teur d’un refuge auto­nome à 2000 mètres d’al­ti­tude, Naz­za­ré­na a à coeur de pour­suivre cette réflexion sur l’au­to­no­mie. Il s’a­git d’en mon­trer les dif­fé­rentes facettes, dont cer­taines sont surprenantes.

Le film en une minute :

Pour cer­tains, auto­no­mie rime avec autar­cie et uto­pie. Par­tie à la ren­contre de per­sonnes qui vivent en auto­no­mie ali­men­taire ou éner­gé­tique, je découvre que l’autonomie est aus­si juri­dique, poli­tique, psy­cho­lo­gique, édu­ca­tive, voire bio­lo­gique et même his­to­rique. Juri­dique, car com­ment créer un éco-lieu réel­le­ment auto­nome si la légis­la­tion ne le per­met pas, ou si l’on doit obli­ga­toi­re­ment être rac­cor­dé au réseau ? Poli­tique, donc, car le renou­veau démo­cra­tique passe par des ini­tia­tives locales de cer­tains maires en France qui s’en­gagent dans des vota­tions citoyennes, par exemple.Psy­cho­lo­gique, car com­ment opé­rer un chan­ge­ment de vie durable sans une sta­bi­li­té dans ses enga­ge­ments, ses choix, son rap­port aux autres ? Édu­ca­tive, car à la base, il y a l’en­fant, un adulte en deve­nir qui doit pou­voir s’é­man­ci­per dans ses appren­tis­sages. Bio­lo­gique, car au coeur de nos cel­lules, il y a par exemple des mil­liards de bac­té­ries qui ont appris à coopé­rer. His­to­rique enfin, car nous avons peut-être à apprendre d’une com­mu­nau­té en par­tie « auto­nome », active durant quatre siècles dans les Alpes. Voi­là pour­quoi « Auto­no­mies » s’é­crit au pluriel.

Qui n’a pas rêvé un jour de chan­ger de vie ?

Ils étaient étu­diants, pro­fes­seur de gym­nas­tique, juriste inter­na­tio­nale ou agri­cul­teur tra­di­tion­nel. Ils sont main­te­nant ins­tal­lés dans des fermes, des éco-lieux, des éco-hameaux, dans le res­pect de l’environnement.

L’une des ori­gi­na­li­tés du film réside dans l’exem­pla­ri­té de ces per­sonnes qui ont che­mi­né à contre-cou­rant et sont en train de créer des éco-lieux ou des éco-hameaux, dans l’optique de par­ta­ger leurs savoirs grâce à des jour­nées portes ouvertes, des for­ma­tions, des stages ou des chan­tiers participatifs.

Au départ, ils avaient déci­dé de vivre plus près de la nature pour eux et leur famille, puis ils ont créé des habi­tats auto­nomes ou une ferme per­ma­cul­tu­relle là où il n’y avait qu’une friche. Pour cer­tains, c’était il y a qua­rante ans, pour la nou­velle géné­ra­tion, c’était il y a à peine plus d’une an. Leurs atouts :  inven­ter de nou­velles manières de consom­mer et de vivre, avec de la créa­ti­vi­té et une réelle ingé­nio­si­té technique.

Jour­nées portes ouvertes à la ferme du Bec-Hellouin

Toutes ces ini­tia­tives  concrètes, si elles essai­maient davan­tage, per­met­traient à des com­mu­nau­tés, des vil­lages ou des villes de faire face aux crises actuelles.

Mais pour que ce chan­ge­ment de socié­té puisse se pro­pa­ger, le savoir-faire tech­nique seul ne suf­fit pas. Il faut allier l’autonomie exté­rieure à l’autonomie inté­rieure.

C’est ain­si que seront abor­dés les limites posées par la légis­la­tion, le chan­ge­ment psy­cho­lo­giqueliée à tout chan­ge­ment de vie, l’émancipation dès le plus jeune âge grâce à d’autres méthodes d’éducation, ou l’indispensable créa­ti­vi­té de chaque être humain.

Sur ces thé­ma­tiques seront inter­viewées des per­son­na­li­tés ouvertes à d’autres dis­ci­plines, per­met­tant de faire des ponts entre la phi­lo­so­phie, la psy­cho­lo­gie, le droit et la bio­lo­gie.

L’ob­jec­tif  de ce film est de mon­trer qu’être auto­nome, ça n’est pas vivre en autar­cie. C’est choi­sir ses dépen­dances… dans un envi­ron­ne­ment basé sur les inter­dé­pen­dances.

En fil rouge, le film fera décou­vrir une com­mu­nau­té qui a vécu en auto­no­mie poli­tique, juri­dique, fis­cale et édu­ca­tive entre le XIVe siècle et la Révo­lu­tion fran­çaise, soit sur plus de douze géné­ra­tions. Peut-être est-ce l’oc­ca­sion d’y trou­ver des sources d’inspiration.

Les inter­ve­nants

La mai­son auto­nome de Bri­gitte et Patrick Baronnet

Bri­gitte et Patrick ont quit­té la vie pari­sienne il y a plus de qua­rante ans et vivent dans une ferme en Bre­tagne, où à force de tra­vaux et d’ingéniosité, ils sont deve­nus auto­nomes de leur eau, de leur élec­tri­ci­té et en par­tie de leur nour­ri­ture. Il nous montrent qu’il est pos­sible, via des chan­tiers par­ti­ci­pa­tifs, de construire un habi­tat à moindre coût avec des maté­riaux nobles, d’a­voir un accès à l’éner­gie en uti­li­sant à la fois le solaire et l’éo­lien, avec des per­sonnes fabri­quant eux-mêmes leurs pan­neaux solaires pour l’eau chaude, ou en fai­sant des for­ma­tions pour fabri­quer des éoliennes, par exemple.

En 20 ans, ce sont plus de 20.000 curieux qui sont venus dans la « mai­son auto­nome », lors de fes­ti­vals, de jour­nées portes ouvertes ou de stages, pour décou­vrir com­ment se lan­cer dans l’aventure de l’autonomie éner­gé­tique. Comme nous le pré­cise Patrick Baron­net, l’au­to­no­mie, c’est…

httpv://youtu.be/AudL8i_VAZ0

La ferme per­ma­cul­tu­relle du Bec Hellouin

Per­rine, ancienne juriste inter­na­tio­nale, est aujourd’hui diplô­mée en per­ma­cul­ture. Elle  a vou­lu réin­ven­ter sa vie et rompre dras­ti­que­ment avec ce qu’elle fai­sait aupa­ra­vant. C’est ain­si qu’elle a ren­con­tré Charles, son mari, et qu’ensemble, ils ont fon­dé la ferme bio­lo­gique du Bec-Hel­louin. Ils déve­loppent une agri­cul­ture qui per­met­trait non seule­ment d’être auto­suf­fi­sant en ali­men­ta­tion à l’é­chelle d’un vil­lage, mais dont le déve­lop­pe­ment pour­rait nour­rir toute la pla­nète, grâce à des tech­niques de per­ma­cul­ture, de micro-agri­cul­ture, avec une culture inten­sive sur de petites sur­faces sans engrais chi­miques ni pesticides.

Nous sommes allés en 2015 aux jour­nées portes ouvertes qu’ils orga­ni­saient, afin de décou­vrir leur immense jar­din, avec une serre, des étangs, un pota­ger, un jar­din man­da­la, des arbres fruitiers…

Per­rine et Charles assurent des for­ma­tions, tra­vaillent avec de grands chefs étoi­lés et on été sui­vis pour une étude par l’INRA (Ins­ti­tut natio­nal de recherche en agronomie).

httpv://youtu.be/bL0H0i6vUYo

L’é­co-lieu Eotopia

Ben­ja­min, 32 ans, expé­ri­mente depuis sept ans la vie sans argent. Il a voya­gé ain­si sur les routes d’Europe, d’Amérique, en pas­sant par l’Afrique, pri­vi­lé­giant les échanges. En 2016, il s’est réso­lu avec d’autres per­sonnes à ache­ter un ter­rain avec un corps de ferme pour créer un éco-lieu appe­léEoto­pia. Ben­ja­min et son épouse y vivent avec d’autres membres de la com­mu­nau­té dans une éco­no­mie basée sur le don, les échanges, pour tendre vers l’hu­main plu­tôt que vers l’argent. Ben­ja­min a pour le moment renon­cé à son idéal de vivre avec « zéro argent », mais l’utilise aus­si peu que possible.

httpv://youtu.be/LgcvQnl8emU

L’é­co-lieu Alôsnys

Aurore avait une for­ma­tion dans l’a­gri­cul­ture et l’é­du­ca­tion à l’en­vi­ron­ne­ment. Avec Bru­no, agri­cul­teur, ils ont créé Alôs­nys, un éco-lieu en Bour­gogne qui accueille aus­si bien des enfants que des adultes pour les recon­nec­ter à un jar­di­nage sain, res­pec­tueux des éco­sys­tèmes. Ils assurent par ailleurs des for­ma­tions diplô­mantes en per­ma­cul­ture et accueillent de nom­breux stagiaires.

httpv://youtu.be/Cd87icC2blI

Les autres facettes des « Autonomies »

Et si l’a­ve­nir pas­sait par une ren­for­ce­ment de la démo­cra­tie locale ? Les maires ont un rôle essen­tiel pour favo­ri­ser l’émergence de ces ini­tia­tives. Par exemple, la ville des Molières, dans l’Essonne est un labo­ra­toire d’initiatives éco­lo­giques et démo­cra­tiques. Jar­dins par­ta­gés, épi­ce­rie bio et locale, vota­tions citoyennes, ain­si que la proxi­mi­té du foyer d’ac­cueil médi­ca­li­sés pour autistes La Len­de­maine, qui est aus­si une ferme agri­cole et arti­sa­nale de 7 hec­tares : l’al­liance du soin de lanature et de l’humain.

httpv://youtu.be/Djoxqh2dB7I

Pour faire exis­ter de tels lieux, la légis­la­tion doit bien évi­dem­ment s’y prê­ter. Mais pour le pro­jet Eoto­pia, par exemple, l’a­chat du ter­rain s’est avé­ré incon­tour­nable, alors que dans son optique de vivre sans argent, Ben­ja­min avait envi­sa­gé un don. En France, les dona­teurs sont taxés à 60% de la valeur du bien. Les autres contraintes résident dans les per­mis de construire des habi­tats inno­vants, avec récu­pé­ra­tion d’eau, ou l’o­bli­ga­tion d’être rac­cor­dé au réseau même si l’on est en auto­no­mie énergétique.

Un point qui reste essen­tiel, c’est le déclen­cheur, le déclic, le moment où l’on décide de chan­ger de vie, où l’on se jette à l’eau. Com­ment sur­mon­ter psy­cho­lo­gi­que­ment les obs­tacles lors­qu’on se lance dans l’ex­pé­ri­men­ta­tion, l’in­no­va­tion, en couple ou en communauté ?

L’é­man­ci­pa­tion passe aus­si par l’é­du­ca­tion. Par­mi les inter­ve­nants, cer­tains prônent « une édu­ca­tion libre », res­pec­teuse de la soif d’ap­prendre de l’en­fant. Fran­çois Tad­déi, cher­cheur ensciences cog­ni­tives, appor­te­ra son éclai­rage sur ce sujet qui est un enjeu majeur pour les géné­ra­tions futures. L’oc­ca­sion de décou­vrir que dès le Moyen-Âge, une com­mu­nau­té dans les Alpes ensei­gnait aux riches et aux pauvres, filles et gar­çons, avec un faible taux d’illet­trisme, tout en incul­quant des notions de droit.

Fran­çois Tad­déi nous démontre que la der­nière facette des auto­no­mies est liée à la bio­lo­gie, par l’exemple d’é­tudes sur les cel­lules. Ain­si, les bac­té­ries font évo­luer la manière dont elles évo­luent. Elles savent échan­ger de l’information sur la façon de coopé­rer et elles savent coopé­rer sur la façon d’é­chan­ger de l’information.

Coopé­rer, échan­ger de l’in­for­ma­tion, c’est ce que font les per­sonnes qui vivent dans des éco-lieux, tout comme la nature et les éco­sys­tèmes. Comme l’a écrit Edgar Morin, «Pen­ser glo­bal », c’est pen­ser LE glo­bal, dans ses rela­tions entre le tout et les par­ties. Sans arrêt, le glo­bal et le local interfèrent. »

A quoi va servir le financement ?

Naz­za­ré­na et Chris­tophe tra­vaillent béné­vo­le­ment sur ce pro­jet depuis un an et demi.L’écriture du film a com­men­cé début 2016, les tour­nages en avril 2016. Ils se pour­suivent actuellement.

Nous pri­vi­lé­gions au maxi­mum la tente ou l’hébergement chez l’habitant, ain­si que les pique-niques… mais il y a des dépenses incompressibles.

La col­lecte per­met­tra de finan­cer la fin des tour­nages, le mon­tage et la post-pro­duc­tion du film.

[…]

L’oc­ca­sion pour ceux d’entre vous qui le sou­haitent de deve­nir des spec­ta’c­teurs pri­vi­lé­giés et des acteurs du changement.

À propos du porteur de projet

Il y a quelques années, je pen­sais que j’avais oublié
Oublié tous mes rêves, tout ce que j’aurais pu réaliser
J’avais peur d’entreprendre quoi que ce soit
Peut-être mon édu­ca­tion a contri­bué à tout ça
Aujourd’hui plus que tout, je veux
Je veux me nour­rir sans appau­vrir la terre
Je veux boire sans assé­cher nos sources et nos rivières
Je veux m’éclairer et me chauf­fer sans nos cen­trales nucléaires
Je veux vivre en auto­no­mie, grâce au vent, au soleil, à la pluie
Je ne suis qu’une goutte l’eau dans l’océan de l’humanité
Je veux m’arrêter à chaque port, tis­ser la toile de la solidarité
Je n’ai pas la cer­ti­tude que tout cela arrivera
Je veux juste en avoir l’opportunité
Faire ce film sym­bo­lise l’opportunité
L’opportunité que ces choses changent
Si je viens vers vous,
C’est par ce que vous êtes 
Et ce que vous êtes me mon­tre­ra qu’il n’est pas trop tard 
Pour réa­li­ser ce film et le faire avec vous.

Naz­za­ré­na

 

Naz­za­ré­na est artiste, auteure de pièces de théâtre et de poèmes. Auteure com­po­si­trice inter­prète, elle a enre­gis­tré un CD 2 titres en 2007.

« La Pan­dé­mie du Nou­veau monde » – L’éveil des consciences citoyennes était son pre­mier docu­men­taire, finan­cé avec suc­cès sur Ulule. Il a été sélec­tion­né au Salon Mar­jo­laine 2013, au fes­ti­val d’ATTAC à Ivry-sur-Seine et au fes­ti­val du film enga­gé de Romagnat.

httpv://youtu.be/oAHGiHC14Ao

Dès l’é­té 2013, le thème de l’au­to­no­mie citoyenne la ques­tionne, comme le montre ce micro-trottoir.

httpv://youtu.be/rbnCIBeumBE

En 2014, elle a ini­tié le pro­jet « Pas­se­relles » avec le sou­tien d’EELV. Il s’a­git d’une série de vidéos mises en ligne sur Inter­net, dans les­quelles la dépu­tée euro­péenne Michèle Riva­si débat­tait avec le phi­lo­sophe Patrick Vive­ret ou le pré­sident du groupe SOS Jean-Marc Borel­lo sur les thèmes de la démo­cra­tie, de l’engagement et du changement.

Ses atouts : décro­cher les inter­views, poser des ques­tions que les jour­na­listes ne posent pas, le tout accom­pa­gné d’une bonne dose d’intuition. Son inté­rêt pour la psy­cho­lo­gie et la psy­cha­na­lyse per­met de com­plé­ter son approche originale.

Chris­tophe est docu­men­ta­liste, archi­viste, spé­cia­liste de l’analyse des médias et ancien de l’émission de France 5 « Arrêt sur images » (1996 à 2002).

Il a co-réa­li­sé « Désen­tu­bages catho­diques » (Zalea TV), sor­ti en salles en 2005 et réa­li­sé « https://​you​tu​.be/​o​n​v​n​u​t​r​T​AWg » , sor­ti en salles en 2006.

Aupa­ra­vant, il a été assis­tant docu­men­ta­liste pour le docu­men­taire de Daniel Schnei­der­mann « Koso­vo, des jour­na­listes dans la guerre » (Arte, 2000) ou « Chom­sky et Cie » de Daniel Mer­met et Oli­vier Azam (Les Mutins de Pan­gée, 2008).

Avec Naz­za­ré­na, il a co-réa­li­sé « La Pan­dé­mie du Nou­veau monde », dont le tour­nage a débu­té en 2009 pour s’achever en 2012.

Ses atouts : l’esprit de syn­thèse, l’articulation des thé­ma­tiques à abor­der dans le film, ain­si que la recherche de la per­fec­tion.. qui n’est pas de ce monde, soi-disant !

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La page Ulule pour aider les auteurs du film à conti­nuer leur bou­lot d’é­du­ca­tion popu­laire : https://​fr​.ulule​.com/​a​u​t​o​n​o​m​i​es/

Salut à tous, bande de virus 🙂

Étienne.

Fil Face­book cor­res­pon­dant à ce billet :
https://​www​.face​book​.com/​e​t​i​e​n​n​e​.​c​h​o​u​a​r​d​/​p​o​s​t​s​/​1​0​1​5​5​4​6​3​5​4​4​2​7​7​317

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Étienne

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1 Commentaire

  1. etienne

    Reportage sur « la maison du bonheur » :

    Réponse

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