[Important] Petit questionnaire rapide pour tous ceux qui ont déjà participé à un atelier constituant.
C’est pour un mémoire (à l’Université) sur le sujet des ateliers constituants et des Gentils Virus.
Merci à chacun d’y répondre le plus rapidement possible, la soutenance se faisant dans la quinzaine.
Un grand MERCI pour votre participation ! 🙂
Fil fb correspondant à ce billet :
https://www.facebook.com/etienne.chouard/posts/10154428183262317
Le gouvernement russe reconsidère sa politique néolibérale
Par Paul Craig Roberts et Michael Hudson – Le 11 août 2016 – Source thesaker
Selon divers rapports, le gouvernement russe est en train de reconsidérer la politique néolibérale qui a si mal servi la Russie depuis l’effondrement de l’Union soviétique.
Si la Russie avait adopté une politique économique intelligente, son économie serait très en avance sur ce qu’elle est aujourd’hui. Elle aurait évité la majeure partie du pillage de son capital par l’Ouest en s’appuyant sur l’auto-financement.
Washington a profité d’un gouvernement russe démoralisé, qui se tournait vers lui pour le guider dans l’ère post-soviétique. Pensant que la rivalité entre les deux pays avait pris fin avec l’effondrement soviétique, les Russes ont fait confiance aux conseils américains pour moderniser leur économie, avec les meilleures pratiques des idées occidentales. Au lieu de cela, Washington a abusé de cette confiance, et a chargé la Russie avec une politique économique visant à dépecer les actifs économiques russes et à transférer leur propriété dans des mains étrangères. En incitant la Russie à accepter des capitaux étrangers et à exposer le rouble à la spéculation monétaire, Washington a fait en sorte que les États-Unis puissent déstabiliser la Russie, par des sorties de capitaux et des attaques sur le taux de change du rouble. Seul un gouvernement peu familier avec l’objectif néoconservateur d’hégémonie mondiale des États-Unis pouvait exposer son système économique à une telle manipulation étrangère.
Les sanctions que Washington a imposées – et contraint l’Europe à imposer – à la Russie montrent à quel point l’économie néolibérale travaille contre la Russie. Son dogme de taux d’intérêt élevés et d’austérité a coulé l’économie russe – inutilement. Le rouble a été affaibli par les sorties de capitaux, ce qui a entraîné la Banque centrale russe, soumise aux politiques néo-libérales, à dilapider les réserves de change de la Russie dans un effort pour soutenir le rouble, mais a en réalité soutenu la fuite des capitaux.
Même Vladimir Poutine trouve attrayante la notion romantique d’une économie mondiale à laquelle chaque pays a un accès égal. Mais les problèmes résultant de la politique néo-libérale l’ont forcé à se tourner vers le remplacement des importations par des marchandises produites dans le pays, afin de rendre l’économie russe moins dépendante de l’extérieur. Poutine s’est aussi rendu compte que si la Russie devait avoir un pied dans l’ordre économique de l’Ouest, elle avait également besoin d’avoir l’autre pied dans le nouvel ordre économique en cours de construction avec la Chine, l’Inde et les anciennes républiques soviétiques d’Asie centrale.
L’économie néolibérale prescrit une politique de dépendance qui se fonde sur les prêts et les investissements étrangers. Cette politique crée de la dette en devises et transfère à l’étranger les bénéfices russes. Ce sont des vulnérabilités dangereuses pour une nation déclarée par Washington comme étant « une menace existentielle pour les États-Unis ».
Les élites économiques que Washington a mises en place en Russie sont d’idéologie néolibérale. Plus particulièrement, la dirigeante de la Banque centrale russe, Elvira Nabiullina, le ministre du Développement économique Alexei Ulyukayev, et les ministres des Finances actuels et anciens, Anton Siluanov et Alexei Kudrin, sont des néolibéraux doctrinaires. Cette foule voulait régler la question du déficit budgétaire de la Russie par la vente d’actifs publics à des étrangers. Si elle est effectivement réalisée, cette politique donnera à Washington plus de contrôle sur l’économie russe.
Face à cette bande d’«économistes de pacotille » se dresse Sergeï Glaziev avec Boris Titov et Andreï Klepach comme alliés.
Ce trio comprend que les politiques néolibérales risquent de déstabiliser l’économie de la Russie, en la rendant vulnérable aux agressions de Washington, qui veut punir le gouvernement russe pour ne pas suivre sa politique étrangère. Leur but est de promouvoir une plus grande autonomie en Russie, afin de protéger la souveraineté de la nation et la capacité du gouvernement à agir dans le sens des intérêts nationaux, plutôt que de soumettre ces intérêts à ceux de Washington. Le modèle néolibéral n’est pas un modèle de développement, mais de prédation pure et simple. Les Américains ont décrit cela en caractérisant la Russie, et d’autres, comme des « coupeurs de bois et des porteurs d’eau »– ou, dans ce cas, pétrole, gaz, platine et diamants.
L’autosuffisance signifie ne pas être dépendant des importations ni des capitaux étrangers pour des investissement qui pourraient être financés par la Banque centrale de Russie. Cela signifie également garder les parties stratégiques de l’économie dans les mains du public, et non du privé. Les services d’infrastructure de base devraient être fournis à l’économie au prix de revient, sur une base subventionnée ou libre, et non pas remis à des propriétaires étrangers pour en extraire une rente monopolistique. Glaziev veut aussi que la valeur de change du rouble soit fixée par la Banque centrale, et non par les spéculateurs sur le marché des devises.
Les économistes néolibéraux ne reconnaissent pas que le développement économique d’une nation avec des dotations en ressources naturelles, telle que la Russie, peut être financé par la Banque centrale en créant l’argent nécessaire pour entreprendre les projets. Ils prétendent que ce serait inflationniste. Les néolibéraux nient le fait reconnu depuis longtemps que, en termes de quantité d’argent, cela ne fait aucune différence que les prêts proviennent de la Banque centrale, de banques privées ou même de l’étranger. La différence est que si l’argent provient de banques privées ou de l’étranger, l’intérêt doit leur être payé et les bénéfices doivent être partagés avec les investisseurs étrangers, qui se retrouvent avec un certain contrôle sur l’économie.
Apparemment, les néolibéraux en Russie sont insensibles à la menace que Washington et ses vassaux européens représentent pour l’État russe. Sur la base de mensonges, Washington a imposé des sanctions économiques à la Russie. Cette diabolisation politique est aussi fallacieuse que la propagande économique néolibérale. Sur la base de ces mensonges, Washington a mis en place des forces militaires et des bases de missiles sur les frontières de la Russie et dans les eaux russes. Washington cherche à renverser les gouvernement des anciennes provinces russes ou soviétiques, pour y installer des régimes hostiles à la Russie, comme en Ukraine et en Géorgie. La Russie est toujours diabolisée par Washington et l’OTAN. Washington a même politisé les Jeux olympiques, en empêchant la participation de nombreux athlètes russes.
En dépit de ces mouvements hostiles manifestes contre la Russie, les néolibéraux russes croient encore que les politiques économiques que Washington encourage en Russie sont dans l’intérêt de la Russie, et ne visent pas à prendre le contrôle de son économie. Accrocher le destin de la Russie à l’hégémonie occidentale dans ces conditions condamnerait sa souveraineté.
Paul Craig-Roberts et Michael Hudson
Traduit et édité par jj, relu par nadine pour le Saker Francophone
Source : le Saker francophone,
http://lesakerfrancophone.fr/le-gouvernement-russe-reconsidere-sa-politique-neoliberale
[NOS Terroristes] Le photographe d’Osmane fréquentait les décapiteurs de l’enfant syrien… (Incroyable mais vrai)
http://www.les-crises.fr/le-photographe-dosmane-frequentait-les-decapiteurs-de-lenfant-syrien
Source : les-crises.fr Olivier Berruyer
Oui, Obama et Clinton ont crée Daesh – dommage que Trump soit incapable d’expliquer comment. (Black Agenda Report)
par Glen FORD
« C’est un fait historique que le États-Unis et l’Arabie Saoudite ont créé, il y a près de quarante ans, le réseau jihadiste international à partir de laquelle Al-Qaïda et Daesh ont jailli. […] Soyons clairs sur un point : ce ne sont pas les États-Unis qui ont rejeté la secte macabre djihadiste qui est devenue Daesh ; c’est Daesh qui s’est dissocié des Etats-Unis et leurs alliés européens et royaux.
Donald Trump a fait marche arrière – en quelque sorte – sur son affirmation que le président Obama et Hillary Clinton étaient les « fondateurs » de Daesh, ou les « joueurs les plus précieux » de l’équipe Daesh. « Évidemment, je suis sarcastique, » a dit le soi-disant avocat de l’ « Amérique avant tout » – en ajoutant aussitôt « mais pour être honnête, pas tant que ça ».
Trump ne peut pas formuler ou saisir toute la vérité horrible contenue dans sa déclaration initiale parce que cela exigerait de prononcer un acte d’accusation beaucoup plus fondamental de la politique américaine impériale dans le monde musulman depuis la fin de 1979, lorsque Zbigniew Brzezinski a convaincu le président Jimmy Carter de lâcher les chiens djihadistes en Afghanistan. Comme indiqué dans ses mémoires From the Shadow, Brzezinski a conseillé Carter d’aider la résistance musulmane de droite contre le gouvernement laïque de gauche en Afghanistan afin de « provoquer une intervention militaire soviétique » et entraîner l’URSS dans un bourbier de type Vietnamien. Brzezinski voyait les soi-disant Moudjahidin comme des fantassins potentiels de la politique globale des Etats-Unis. « Qu’est-ce qui est le plus important pour l’histoire du monde ? Les Talibans ou la chute de l’Empire soviétique ? Quelques musulmans agités ou la libération de l’Europe centrale et la fin de la Guerre Froide ? » demanda Brzezinski, de façon rhétorique, quelques décennies plus tard.
JPEG – 35.2 ko
Zbigniew Brzezinski en discussion avec Oussama Ben Laden
Ayant suivi les conseils de Brzezinski, le président Carter peut à raison être décrit comme un « père fondateur » d’Al-Qaïda, avec son camarade et autre « joueur le plus précieux », Ronald Reagan, dont la CIA en partenariat avec l’Arabie Saoudite dépensèrent des milliards pour attirer des musulmans du monde entier dans la guerre en Afghanistan. Ensemble, les États-Unis et les Saoudiens ont donné naissance au mouvement djihadiste islamique internationale – un phénomène qui n’avait jamais existé auparavant dans l’histoire du monde. Les djihadistes allaient devenir une arme essentielle dans l’arsenal impérial US, un outil horrible pour accomplir des changements de régime dans le monde musulman et qui sert également à justifier, depuis la disparition de l’épouvantail soviétique, la quête sans fin des Etats-Unis d’une domination mondiale,. […]
(Lire la suite)
http://www.legrandsoir.info/oui-obama-et-clinton-ont-cree-daesh-dommage-que-trump-soit-incapable-d-expliquer-comment-black-agenda-report.html
Source : Le Grand Soir
Les pièges du Labyrinthe
La grogne sociale a fait place à la douce torpeur estivale, des mouvements comme nuit debout peinent désormais à mobiliser les citoyens, découragés. Pourtant rien n’a changé, sinon en pire, la présidentielle se profile à l’horizon, les candidats affûtent leurs programmes basés sur la duperie, et le gouvernement n’a de cesse de dresser les citoyens les uns contre les autres.
(lire la suite)
http://www.levilainpetitcanard.be/articles/edito/les-pieges-du-labyrinthe_851125482
Salut Etienne,
Ce texte est très juste a mon avis sur toi mais sur l’UPR pas du tout :
https://blogs.mediapart.fr/beruriervon77/blog/220611/upr-lultra-droite-souverainiste
et sur JL Mélenchon n’ont plus qui a effectivement voté pour le traité de Maastricht mais le regrette officiellement et sur le fait qu’il ne ferait rien que faire perdurer le système pourrit actuel rien ne permet de l’affirmer.
Son discours et ses votes(secret des affaires etc) est plutôt cohérent comme son programme de 6ème république.
La question est le ferait-il ou jusqu’où irait-il car toutes les banques se retourneraient contre lui comme en Grèce et a cela je n’ai aucune réponse que de l’espoir…l’avenir nous le dira.
Pour le reste je suis d’accord avec l’analyse du vilainpetitcanard.
A+
Bonsoir !
Ça s’organise en catimini !
Un temps d’arrêt mérité pour les troupes fatiguées appauvries et désarçonnées .…. les salariés ont depuis longtemps acquis l’habitude de » croiser le fer » avec le patronat !
Ce n’est pas fini… nos droits, on les aura !
http://www.humanite.fr/ce-nest-pas-fini-nos-droits-les-aura-613499
Ils n’ont pas l’intention de lâcher un si gros morceau !
Intéressant votre article sur les traitres en place en Russie !
Bonne continuation
De l’indécence d’une illusoire neutralité (Howard Zinn, Desmond Tutu, Banksy, Sophie Scholl, etc.)
POSTED BY: LEPARTAGE 11 AOÛT 2016
« Rester neutre face à l’injustice, c’est choisir le camp de l’oppresseur ».
— Desmond Tutu
« Les endroits les plus sombres de l’enfer sont réservés aux indécis qui restent neutre ».
— citation apocryphe, reprise par Dan Brown.
« Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui les regardent sans rien faire ».
— Albert Einstein
« Celui qui accepte passivement le mal est tout autant responsable que celui qui le commet. Celui qui voit le mal et ne proteste pas, celui-là aide à faire le mal ».
— Martin Luther King
« Tu ne dois pas être une victime, tu ne dois pas être un oppresseur, mais avant tout, tu ne dois pas être un spectateur ».
— Yehuda Bauer
En ces temps troublés de crises planétaires, tandis que la guerre continue de faire rage dans de nombreux endroits sur Terre, que la déforestation continue à atrophier le couvert forestier, que les diverses pollutions engendrées par la société industrielle empoisonnent l’air, l’eau et le sol dont dépend la toile du vivant, que d’innombrables oppressions érodent les communautés humaines (racisme, sexisme, diverses phobies, dépressions, burn-out, harcèlements, conflits en tous genres, etc.) et non-humaines (élevages industriels, étalement urbain, …), que les inégalités économiques augmentent, nous remarquons — non sans consternation — que certains individus, tout en vivant au sein de la civilisation industrielle, affirment rester neutres. Bien évidemment, et de leur point de vue, bien malheureusement, c’est non seulement faux et impossible, mais aussi relativement indécent.
A partir du moment où un individu évolue au sein de la civilisation industrielle, qu’il en consomme les produits, qu’il bénéficie de ses technologies, du confort qu’elle offre, il participe à son fonctionnement et par-là même en cautionne les effets, les exactions, les oppressions, les pollutions et les destructions. Il serait par exemple absurde de se prétendre neutre vis-à-vis de la déforestation tout en consommant du Nutella, où n’importe quel produit qui en serait la cause. Même chose pour tous les actes de notre quotidien, tous nos achats, notre travail. Tout cela a des conséquences dans le monde réel. Que nous l’admettions ou pas. Que nous le voulions ou pas.
Comme le rappelle Antonio Gramsci :
A ce propos, citons également l’historien militant Howard Zinn :
Et enfin, Sophie Scholl :
« Se laver les mains du conflit entre les puissants et les opprimés, ce n’est pas rester neutre, mais prendre parti pour les puissants » (graffiti peint par Banksy sur un mur de Gaza, la citation est de Paulo Freire).
Source : Le Partage, signalé par les-crises.fr :
http://partage-le.com/2016/08/de-lindecence-dune-illusoire-neutralite-howard-zinn-desmond-tutu-banksy-sophie-scholl-etc/
http://www.les-crises.fr/je-nallais-pas-faire-semblant-detre-neutre/
Bonsoir Monsieur !
M’expliquer comment on fait actuellement pour ne pas être obligée d’acheter un plein de gazole pour me rendre à mes cours , étant domiciliée
à plus de dix kilomètres de la ville ?
Je trouve qu’écrire et parler , c’est super , prévenir aussi , citer encore mieux , mais voyez-vous , il est un peu tard pour çà quand il ne reste que des solutions qui mènent aux leurs ! Et si réagir de la sorte apparait comme un comportement neutre , bin je suis neutre , parce que je n’ai pas d’autres choix , du moins pour l’instant !
Bien entendu , je souhaite comme beaucoup que tout se recrée et se transforme , mais en attendant , faire avec ce qu’on a et continuer de tendre vers une autonomie complète , si possible !
Je vous souhaite une bonne rentrée !
ève
La désobéissance civile n’est pas notre problème.
Notre problème c’est l’obéissance civile.
Notre problème, ce sont les gens qui obéissent aux diktats imposés par les dirigeants de leurs gouvernements et qui ont donc soutenu des guerres. Des millions de personnes ont été tuées à cause de cette obéissance.
Notre problème, c’est l’obéissance des gens quand la pauvreté, la famine, la stupidité, la guerre et la cruauté ravagent le monde.
Notre problème, c’est que les gens soient obéissants alors que les prisons sont pleines de petits voleurs et que les plus grands bandits sont à la tête du pays.
C’est ça notre problème.
Howard Zinn.
https://old.chouard.org/Europe/precieuses_pepites.pdf
Bonjour !
Je ne peux pas tout dire sur le net , mais vous seriez étonné de voir comment je sais bien désobéir et j’aime beaucoup !
Bonne semaine
ève
Bientôt, nous devrons choisir entre la loi et la justice.
Howard Zinn (1922 – 2010).
https://old.chouard.org/Europe/precieuses_pepites.pdf
Critiquer le gouvernement est la plus grande forme de patriotisme.
Howard Zinn.
https://old.chouard.org/Europe/precieuses_pepites.pdf
[Veinards de parisiens]
(je trouve ces deux chercheurs passionnants)
Rencontre entre Bernard Friot et Michel Bauwens
Entre Peer to peer et salaire à vie,
« Quelles convergences possibles pour un nouveau paradigme économique ? »
lundi 26 septembre 2016 à 19h30, Lieu : Paris 20e, Bar-restaurant « Le lieu dit », 6 rue Sorbier, Métro Ménilmontant ou Gambetta
« De la réappropriation de nos communs comme la caisse de sécurité sociale à l’autogestion de caisses de salaires et d’investissement par territoire en passant par la redéfinition du travail au sein des collectifs de production et l’absence de propriété lucrative qu’elle soit intellectuelle ou matérielle, des ponts existent entre ces 2 mondes que sont le peer to peer et le salaire à vie, et qui s’adressent souvent à des classes sociales différentes.
Quand 2 écosystèmes révolutionnaires émanant de paradigmes de l’utopie concrète se rencontrent : quel champs des possibles ? La révolution numérique et les mutations qu’elle engendre notamment en terme de modèle de production et nouveau travailleur, est-elle compatible avec le salaire à vie ?
Ce sont toutes ces questions que nous voulons aborder lors de cette rencontre.
Nous nous appuierons pour cette séquence – qui ce veut libre et ouverte – plus particulièrement sur 2 de leurs ouvrages respectifs : émanciper le travail et sauvez le monde vers une économie post-capitaliste avec le peer-to-peer. »
Lien : https://paris.demosphere.eu/rv/49526
Source : https://www.facebook.com/events/1275384469161