Merci à vous, bande de virus, qui m’aidez tant à progresser.
Avec l’antidote universel anti-voleurs-de-pouvoirs qu’est le tirage au sort, on va coller la crève au monstre oligarchique.
Ce qui va changer le monde, c’est cette idée simple et puissante :
la Constitution, c’est NOTRE affaire !
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Lien Facebook correspondant à ce billet :
https://www.facebook.com/etienne.chouard/posts/10152497732457317
Etienne est un être profondémment humain, qui partage avec tout le monde, et du coup ça laisse pas indifférent, ni ceux qui aiment, ni ceux qui pourraient s’en vouloir d’être si médiocre et indigne de ne pouvoir soutenir un regard clair et sain. Ils critiquent au lieu d’en prendre de la graine, pcq ça leur demanderaient trop d’effort de s’améliorer. Pourtant vouloir et prendre la décision est le pas le plus difficile à faire, car ensuite ça devient une question de discipline. Pourquoi ne pas décider une fois pour toute d’arrêter de se mentir. L’humanité va mal, à quand le changement intime pour chacun personnellement ? A se voir une fois sinçèrement tel que l’on est, avec ses défauts et ses qualités, sans se mentir. Se laisser être qui l’on est sans paraître pour plaire, se donner de la tendresse au moins une fois par jour, se rencontrer soi-même, même si on a pas de temps, qui court très vite. Apprendre à s’aimer soi, se voir comme un enfant qui apprend, se prendre par la main, avec amour, celui que l’on a toujours attendu. Si on ne le fait pas, personne ne le fera ensuite, car le premier pas, c’est l’enfant qui doit le faire, pour apprendre à marcher.
Pour ceux que ça intéresse une playlist sur la Grèce antique dont une ou deux vidéo sur la démocratie athénienne(EN ANGLAIS)
https://youtu.be/9FrHGAd_yto&list=PL023BCE5134243987
Si quelqu’un connaît un équivalent Français…
Le terme « gourou » qui est utilisé dans tous les sens actuellement est à l’origine un mot sanscrit composé de deux parties gou et rou. Gou signifie noir et rou signifie blanc : c’est celui qui fait passer de l’obscurité à la lumière. Ce terme a été galvaudé par l’ époque pourrie que nous traversons actuellement, qui salit tout ce qu’elle touche mais en est à ses derniers soubresauts, je l’espère. Reconnaître Etienne Chouard comme un gourou est donc une réalité objective mais le monde vicié actuel qui pourrit beaucoup de choses fait que l’on se sent gêné lorsque l’on vous accole un nom pareil. Ce n’est pas grave, Etienne, merci de continuer.
Pour parler des vrais gourous…
httpv://www.youtube.com/watch?v=vUsvjjQMXss
… je trouve cette analyse, cette hypothèse très intéressante…
Un commentaire croustillant sur lequel je viens de tomber…
‘Flye me to The moon’ :
Bonjour Etienne, j’ai une question à vous poser… rien à voir avec vos prises de positions politico-idéologique !!! je ressent comme une OVERDOSE de vous voir partout sur la toile, je ne remet pas en question vos propos mais j’en arrive à ne plus pouvoir regarder de vidéos dans lesquels vous apparaissez ! je n’en peux plus !!! alors on me dira « bha ne les regardes pas » mais le problème c’est que je voie votre tronche partout comme BHL !!! OVERDOSE !!!!
https://youtu.be/lbSv4ae7rI0
Un disciple soufi avait une telle confiance dans son gourou qu’il escaladait les montagnes, marchait sur l’eau, ignorait les braises, juste un psalmodiant le nom du gourou, « Chourad ! Chourad ! ».
Chourad se crût tout puissant et voulut franchir un fleuve impétueux en criant : « Moi ! Moi ! ». Et se noya.
Un gourou anarchiste apprit qu’un de ses disciples, des plus bobo, faisait une grève de la faim et s’enquit de la raison :
_ « C’est pour lutter contre mon moi égoïste, et laisser la nourriture aux pauvres du Monde »
dit le benêt
_« Oui c’est une chose très difficile »
répondit le maître,
… « surtout l’estomac vide »
Un gourou de la Psyka (mystique juive), devenu riche (pléonasme) se mit au ski. Trop nul il glissa dans un ravin et resta accroché à un petit arbuste au dessus d’un profond précipice et se mit à hurler :
_« Au secours ! Y a quelqu’un ? »
Alors une voix d’outre tombe répondit :
_« Confiance mon fils, je t’envoie deux anges qui te ramèneront sur la piste »
Le gourou réfléchit un moment puis cria :
-« Y a quelqu’un d’autre ? »
Un gourou du boboisme vert entoura sa belle villa de panneaux photovoltaïques chinois qui prodiguèrent plus de CO2 durant leur fabrication qu’il ne purent jamais en économiser.
Les adeptes d’un grand gourou communiste, dépités de ne pouvoir déclencher la révolutionnaire, lui demandèrent conseil :
_« Maître du Grand Marx, comment mobiliser le peuple ? »
_« Cuisinez toutes les volailles, cochons, dindons, du Peuple, pour que le comité révolutionnaire puisse festoyer. »
Interloqués mais disciplinés les militants obéirent … mais la révolution ne vint pas :
_« Maître le peuple ne se révolte pas »
_« Amenez, toutes les fraises, le lait, le beurre, les framboises, vider les vignes pour faire du vin, abattez les vergers pour faire du cidre, que le comité révolutionnaire festoie. »
Foutu pour foutu, l’avant garde du prolétariat finit d’affamer celui ci … et après la grande bombance du comité, la révolution advint.
« C’est toujours comme ça quand les ventres sont vides, je ne sais pas trop pourquoi, c’est comme quand j’étends mon uniforme sur la corde à linge, il pleut systématiquement. » remarqua le gourou marxiste.
Mieux :
« C’est comma ça, quand j’ai une indigestion il y a la révolution, c’est comme quand j’étends mon uniforme sur la corde à linge, il pleut systématiquement. » remarqua le gourou marxiste.
Pour la machine à café des esclaves
Précision pour le tiré au sort un peu limité (ça peut arriver): c’est Dieu qui fait pleuvoir
Un jour un gourou lotocrate rencontra un gourou nazi et lui dit :
_ « J’ai fait 10 fois plus de disciples que toi ce mois ci »
_« C’est vrai, je n’en fait qu’un »
répondu ce dernier, puis ajouta :
…« mais c’est un SA »
Une vieille banquière affolée se précipite au commissariat :
_ « Faites quelque chose ! Un gourou baudruchonien vient de ramasser un couteau ! »
_« Ne vous inquiétez pas … »
répondit le commissaire,
… « tant que ce n’est pas un homme »
C’est encore un gourou juif, Simon, mais de la finance cette fois, très riche (toujours pléonasme), et qui vit superbement. Putes DSK, chaussures Dumas, cireur Morelle, éphèbes Lang, etc …
Mais un jour l’illumination l’atteint, et il décide de tout donner et de vivre pauvrement au service des malheureux. Il garde juste de quoi acheter un billet d’avion, et part rejoindre mère Thérésa. Il arrive pieds nus, dépenaillés, hirsute dans le bidon-ville. Et là un camion l’écrase.
Les badauds vont le voir, par curiosité, et il l’entendent geindre dans son agonie :
_ « Dieu, pourquoi m’as tu fait cela, le jour où j’allais aider mon prochain ! »
Au grand étonnement de la foule, les nuées s’ouvrèrent et une voix sépulcrale répliqua embarrassée :
_ « A franchement parler, Simon, je ne t’avais pas reconnu … »
C’est encore un gourou juif, Simon, mais de la Psika cette fois, très pauvre, et qui vit dans le désert. Bouffant des scorpions, hirsute, sale , etc …
Mais un jour il trouve un trésor, et il décide de vivre la grande vie sur la Côte d’Azur .…
(à adapter en fonction du public et du gourou qui raconte l’histoire. Dans les 2 versions un locuteur goyim risque la taule)
Un benêt bobo qui voulait connaître le sens du mot « stochocratie » alla voir un grand gourou du mysticrassisme qui se nommait Lotos. Ce dernier lui répondit :
_« Ochlocratie me prendrait 2s à t’expliquer, mais stochocratie 40 ans »
Le bobo fût dépité car il n’avait pas 40 ans à consacrer à cette étude, il y avait ‘Les Marseillais’ ce soir là à la télé. Voyant le découragement du bobo, le gourou ajouta :
_« Mais je connais un gourou, Chouardas, qui peut te l’explique en 5mn »
et Lotos donna l’adresse au bobo qui trouva le grand messie Chouardas en position du Lotus, devant une grande roue de tombola dans son salon. Intimidé il lui demanda quand même la signification de la mystérieuse stochocrassie. Chouardas, d’une voix enrouée ânonna :
_« C’est … la justice pour tous. »
_« Et c’est quoi la justice pour tous ? » demanda le bobo sans vergogne.
_« Ah … ça … il me faudrait 40 ans pour te l’expliquer »
Dans une réserve souchienne, un vieux paysan, un peu sorcier, sur un vieux rocher, regarde deux vaches brouter, une noire et une blanche. Apparemment sans rien faire. Arrive un bobo freebikecountryman, venu s’aérer le week-end de son ergastule mulotienne. Il lui avait fallu monter une longue cote et il décide de s’arrêter pour boire un peu du Redbull Biker Specialized, car il le veau bien
Voulant engager la conversion par intérêt ethnologique, le bobo vert demande au vieux souchien :
_« Elles mangent bien les vaches ? » (une question philosophique)
_« Laquelle ? » marmonne le vieux paysan.
Un peu décontenancé, le bobo répond au hasard (enfin pas vraiment, par réflexe pavlovien anti-raciste):
_« La noire ? »
_« La noire oui » répond le local
_« Et la blanche ? »
_« La blanche aussi »
Le bobo se demande si en français (langue benête antique) il y a une subtilité … et donc par curiosité anthropologique continue la conversation :
_« Et elles font beaucoup de lait ? » (à cette époque le bobo sait encore que le lait sort des vaches)
_« Laquelle ? » marmonne le vieux paysan.
_« La noire ? »
_« La noire oui » répond le local
_« Et la blanche ? »
_« La blanche aussi »
Après ce cut-and-paste le bobo se demande si le vieux souchien n’est pas un peu limité. Passe un long moment à admirer l’horizon, les grues familières du grand bétonnage Duflot bétonnant de belles colonies melting-potes du Grand Remplacement. Puis le bobo toujours par curiosité anthropologique, et un peu condescendant, demande au vieux gâteux :
_« Pourquoi vous me demandez toujours laquelle ? »
_« Parce que la noire m’appartient » bougonne le local.
Après un moment de réflexion, avec un peu d’appréhension, le bobo vert enchaîne :
_« Et la blanche ? »
_« La blanche aussi »
« Le hidjab emmènera petit souchien pour sa sortie d’école »
http://www.lefigaro.fr/actualite-france/2014/10/28/01016–20141028ARTFIG00374-ecole-les-meres-voilees-pourront-accompagner-les-sorties.php
illustration :
Un jour, dans le TGV en 1ère classe, le gourou Chouard rencontra Attali, castiste de la Ploutocratie Sexialiste de la pire espèce. Ce fameux khan du GlobalState gôôôchiste demanda au gourou :
_« Croyez vous que la vraie démocratie existe ? »
_« Non » répondit Chouard sans hésiter.
A la descente du train, un bobo de 1ère, qui avait entendu la réponse, et très énervé, interpella Chouard :
_« Croyez vous que la vraie démocratie existe ? »
_« Oui » répondit Chouard sans hésiter.
_« Mais vous avez dit à Attali le contraire ! »
_« Vrai », répondit le gourou, « mais Attali ne vient pas à mes conférences. »
http://www.tv5monde.com/TV5Site/upload_image/infos/dilem_photo_1669_TV5291014.jpg
Un moine gourou du Zen se met au ski. C’est le printemps, presque l’été. Trop nul, il glisse dans un ravin et reste cramponné à un petit arbuste (le même que précédemment), suspendu au dessus du gouffre mortel. Arrive un yéti qui commence à lui taper sur les doigts (le yéti n’aime pas les jaunes sur son territoire, à l’étranger il s’en fout). Puis des gentilles gerboises commencent à grignoter les racines de l’arbuste. Des choucas déchirent son sac pour lui piquer son casse-croute.
Passent des abeilles gorgées de miel qui en laisse tomber des gouttes.
Alors le moine zen tend une main pour en goûter la saveur.
« SOS racisme … SOS Baleines… Ambiguïté … appel subliminal à sauver le racisme. » Baudrillard comprend l’idiot utile gôôôchiste et son gourou capitaliste
http://www.tv5monde.com/TV5Site/upload_image/infos/dilem_photo_1656_TV5101014.jpg
A la terrasse d’un café de la capitale du Paristan, 4 gourous discutent du moment exact où commence la vie du benêt :
_« Quand la semence de l’homme féconde l’œuf de la femelle » affirme le très vieux théologien de la scolastique, qui d’ailleurs est mourant.
_« Non, quand le gode-bébé sort de l’utérus de la mère porteuse louée » affirme le gourou gôôôchiste droitdelhommiste 68ard pédéraste, plus très vert.
_« Oh non ! » remarque d’un air connaisseur, le jeune Seigneur Capitaliste dynamique, propriétaire d’une ferme d’utérus thaïlandais , « seulement quand le produit a la conscience de classe de lui-même, 4–5 ans, pas avant. »
_« Ah pas du tout ! » proteste le rabbin grand maitre de la Psyka, à l’âge indéfinissable, « La vie commence quand les enfants sont partis et que le chien est mort. »
« Le libéralisme n’a pas le moindre point commun avec la liberté. Sa liberté n’est que la liberté pour l’individu de devenir un homme moyen » Arthur Moeller
http://www.tv5monde.com/TV5Site/upload_image/infos/dilem_photo_1654_TV081014.jpg
Une grande expédition de lotocrates fût organisée en Antarctique, par le grand gourou lui-même, pour une grande étude comparative de l’ochlocratie pingouinesque (aux frais du contribuable, comme Borlo où Carrignon au Groenland). Les grands bobos embarquèrent donc dans un grand paquebot pour gros touristes américains à Punta Arena.
Mais le grand anthropologue de l’histoire fût un perroquet …
Pour distraire les bidochons, du hamburger, où de la métaphysique lotocrate, un illusionniste devait faire un numéro avec un perroquet. Mais celui ci mourut de dépression dès le largage des amarres (la nostalgie de son chaud pays natal avant son émigration de la traite animale capitaliste baudruchonienne, et cette météo toujours pourrie). Les bobos avaient remarqué que le vieux capitaine chilien avait aussi ce genre de bestiole, et le signalèrent au magicien embarrassé, (en benêt, avec des « os » et des « a » à la fin de tous les mots, mais le magicien comprit). Ce dernier demanda donc au capitaine s’il pouvait emprunter son perroquet pour une représentation. Le capitaine répondit qu’il fallait le demander à l’animal, démocratiquement … que lui ne voulait absolument pas s’en mêler, connaissant le caractère psittaciforme. Le magicien consulta donc le perroquet, grincheux et d’un âge certain, qui lui demanda en retour de quoi il en retournait :
_ « Presque rien » expliqua le magicien, « à un moment donné je te fais disparaître et c’est tout »
_ « Pas question » protesta le volatile, « Je ne veux absolument pas disparaître ! Et puis quoi encore ! »
L’illusionniste palabra longuement, se répétant maintes fois pour expliquer le tour, et finalement le perroquet accepta contre 10 cacahuètes (salaire décent pour un travailleur détaché). Pendant ce temps le capitaine, qui avait pris du retard sur le programme traine-couillons, fit lancer à fond les chaudières ultra-modernes au charbon écolo (comme la lignite teutonne qui sert à la transition énergétique de bobo vert qui a peur de son cancer nucléaire). Alors que les bobos lotocrasses regardaient, béas, le tour incroyable qui consistait à faire disparaître un perroquet sous une petite burka droitdelhommiste, les chaudières explosèrent, coulant le navire en 5mn. La lotocrassie était irrémédiablement perdue pour l’Humanité, au fond de la mer d’Admunsen.
Plus tard les secouristes chiliens ne retrouvèrent aucun survivant, excepté un perroquet tout énervé, qui marchait de long en large sur une plaque de glace à la dérive, en bougonnant :
_« Mais quel jeux de cons ! Quel jeux de cons ! »
« L’enquête MondoVision 2013, montre que benêt est de plus en plus individualiste, l’État n’étant même plus une assurance. Tous des autres, chacun pour soi, pourboire à La Baudruche. »
Seigneur Capitaliste anonyme
Le fameux Grand Hôtel Attalux était pourvu de tout le confort, mais suspendu au bord d’un abîme, d’un néant, de l’absurde aurait-on pu dire.
Le spectacle quotidien de ce grand vide, situé entre la qualité de la cuisine où travaillait les plongeurs nègres illégaux, et le chapiteau de la salle des orgies, ne pouvait que rehausser le plaisirs que trouvaient les Seigneurs Capitalistes à ce confort raffiné.
Aquino Morellius, vautré sur sur fauteuil de sénateur, se faisait cirer ses chaussures par un petit nègre amené tout exprès par Lucius Baudruchonus, qui regardait pensif le grand vide.
Sur la scène dansait une farandole de hobbits. L’œil d’aigle d’Aquilino put facilement lire sur la petite rotonde adjacente, l’affiche du programme des spectacles, « Niaiseries des bobos de gôôôche ». Barbus et en petites robes de mousselines roses, les hobbits se suivaient à la queue leu leu, la main gôôôche branlant leurs sexes en érection, d’où leur appellation probablement.
Aquilino se demanda ce que pouvait signifier les paroles de leur chant, qui rythmaient les petits bondissements :
« Lotocrassie, si, si ! Lotocrassie ! si ! si ! »
« Lotocrassie ! Ho ! Ho ! Lotocrassie ! Ho ! Ho ! »
Lucius Mélanchonius trouvait ce beau chant très mélanchonique.
« Il faut stopper l’immigration officielle et clandestine. Il est inadmissible de laisser entrer de nouveaux travailleurs immigrés en France. »
Georges Marchais, le 27 mars 1980, à la porte des pantins de gôôôche.