Olivier Berruyer, sur les « intégristes européens » :
Sur le blog (passionnant) d’Olivier,
voyez le « dossier Ukraine » :
http://www.les-crises.fr/ukraine/
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La dictature se prépare en ESPAGNE
J’ai reçu ce lien (effrayant) et ce commentaire de Lucien Pons (que j’aime bien) :
http://blogs.mediapart.fr/blog/koszayr/160414/la-dictature-se-prepare-en-espagne
La dictature se prépare en ESPAGNE
16 avril 2014 | Par KOSZAYR
Le gouvernement espagnol attaque les droits démocratiques
Par Alejandro Lopez
Le gouvernement du Parti populaire (PP) espagnol intensifie ses attaques contre les droits démocratiques en réaction à la vive opposition à la catastrophe sociale engendrée par ses mesures d’austérité et à celles de son prédécesseur, le Parti socialiste ouvrier espagnol (PSOE).
D’après le Fonds monétaire international qui est complice dans l’imposition des mesures d’austérité, le gouffre entre riches et pauvres a augmenté plus vite en Espagne depuis la crise économique qui a éclaté en 2008 que dans n’importe quel autre pays d’Europe. Un rapport de l’organisation humanitaire Caritas montre que les 20 pour cent les plus riches de la société espagnole sont maintenant sept fois et demi plus riches que le cinquième le plus pauvre – l’écart le plus important d’Europe. Une étude du Crédit suisse a révélé que le nombre de millionnaires en Espagne a atteint 402.000 en 2012, une augmentation de 13 pour cent en seulement un an. En même temps, le chômage est à 25,6 pour cent et 56 pour cent parmi les jeunes.
La résistance de la classe ouvrière contre l’appauvrissement a augmenté. D’après l’organisation des employeurs, la CEOE, durant les deux premiers mois de 2014 il y a eu 184 grèves soutenues par 56.693 travailleurs, entraînant la perte de 2.668.556 heures de travail, une augmentation de 5 pour cent par rapport à l’année passée. En tout en 2013, plus de 15 millions d’heures de travail ont été perdues suite à 1259 grèves où plus d’un demi-million de travailleurs furent impliqués.
Le nombre de manifestations a augmenté fortement. D’après le ministère de l’Intérieur, il y a eu 36.000 manifestations en 2012 – le double du nombre de 2011 (18.442).
Dans ces conditions, la classe dirigeante s’en remet ouvertement à des mesures autoritaires. Les travailleurs en grève et les manifestants sont traînés devant les tribunaux et les procureurs demandent des sanctions féroces.
Huit travailleurs d’Airbus sont actuellement poursuivis pour des affrontements avec la police devant l’usine au cours de la grève générale de septembre 2010 contre les réformes du droit du travail du PSOE. Les procureurs demandent huit ans d’emprisonnement pour chacune des personnes impliquées, la peine la plus élevée jamais demandée pour des affaires similaires depuis la fin du régime fasciste en Espagne en 1978.
À Madrid, 113 contrôleurs aériens (CTA) et huit responsables du syndicat USCA sont accusés de sédition et encourent jusqu’à six années de prison pour avoir participé à une grève sauvage en décembre 2010. Les CTA étaient en grève contre le décret du gouvernement du PSOE qui réduisait leurs salaires de 40 pour cent, augmentait les heures de travail et réduisait les périodes de repos. Le gouvernement du PSOE a réagi en déclarant un état d’alerte de 15 jours et en envoyant l’armée.
La grève des CTA a montré que lorsque les syndicats ne parviennent pas à contenir, isoler et démoraliser la classe ouvrière par leurs manifestations symboliques d’un jour, l’État emploie la répression sans retenue. Encouragé par la trahison syndicale de cette grève et d’autres depuis, et par leur collaboration dans l’application des coupes et des réformes du travail, le gouvernement tente maintenant d’établir le contexte dans lequel les grèves seront entièrement illégales.
La ministre du Travail et de l’Emploi, Fátima Bañez, lance des appels sur le « besoin d’une nouvelle loi sur les services minimums » pour toutes les grèves, qui viendrait neutraliser les mouvements de revendication comme c’est déjà le cas dans les « services essentiels » comme les transports publics, où 50 pour cent du service normal doivent être maintenus. Bañez a affirmé qu’une loi de ce genre devrait « être discutée naturellement et sérieusement par les représentants des travailleurs, des employeurs et du gouvernement ». Les syndicats vont sans doute se plier à ses demandes comme par le passé.
Le gouvernement espagnol a également renforcé les forces de la répression, dont la police antiémeute impliquée dans le contrôle et la surveillance des manifestations. En 2013, le budget du matériel et des équipements antiémeute est passé de 173.670 euros en 2012 à 3,26 millions d’euros, et du financement supplémentaire est déjà promis.
Un cadre juridique est mis en place pour rendre les manifestations illégales. Le 31 mars, une affaire judiciaire sans précédent a commencé contre 20 jeunes accusés de « crimes contre les institutions de l’État » pour avoir cerné le parlement catalan en juin 2011 au cours d’une tentative d’empêcher les députés d’entrer et de voter d’importantes coupes budgétaires.
Les parties civiles dans cette affaire sont la Generalitat (l’exécutif régional catalan), le parlement régional catalan, et le syndicat fasciste Manos Limpias (Mains propres), qui demandent jusqu’à huit ans et demi de prison contre les accusés.
Le fait que le parti catalan au pouvoir Convérgencia i Unió, qui mène actuellement une agitation séparatiste en faveur d’une Catalogne indépendante, demande des poursuites et s’allie avec les fascistes, montre le genre de mini-État qu’il cherche à créer en Catalogne : un cadre antiouvrier favorable aux affaires, où les manifestations seront écrasées et où ceux qui sont arrêtés seront condamnés à des années de prison.
Les manifestations récentes des trois dernières semaines ont également subi la répression.
Après l’énorme manifestation du 22 mars contre l’austérité dans la capitale espagnole, le délégué du gouvernement à Madrid a annoncé que les principaux organisateurs allaient être accusés des dégâts causés durant les troubles qui ont eu lieu à la fin. Le maire de Madrid Ana Botella a exigé l’interdiction des manifestations dans les « zones d’intérêt historique et artistique, les zones avec une présence touristique importante et les voies de transport stratégiques » de la ville, les restreignant de fait à la périphérie de la ville. Cette demande est appuyée par le ministre de l’Intérieur, Jorge Fernández Díaz, qui a déclaré qu’«aucun droit n’est absolu ».
Durant la grève du 26 au 28 mars contre les coupes dans l’éducation, l’élimination des bourses étudiantes et l’augmentation des frais d’inscription, qui avait l’appui de plus de 2 millions d’étudiants, la police a pénétré dans l’enceinte des universités, ce qui rappelle son action sous l’ère Franco : d’après la loi espagnole la police ne peut pénétrer dans une université qu’avec la permission du recteur. Rien qu’à Madrid, 80 étudiants ont été arrêtés parce qu’ils occupaient leur faculté.
Le 29 mars, une petite manifestation à Madrid pour l’abolition de la monarchie a été dispersée par des policiers antiémeute qui l’ont déclaré « illégale » parce qu’elle n’avait pas été annoncée aux autorités. Des journalistes connus pour leur critique de la conduite du gouvernement et de la police face aux manifestations ont été attaqués par la police et l’un d’entre eux a été arrêté.
Le même jour, à Barcelone, 1 400 policiers antiémeute ont été mobilisés contre une manifestation de 8 000 personnes contre le projet de Loi citoyenne, qui limite le droit de manifester et impose de lourdes amendes et des peines de prison pour « désobéissance ».
Les autorités espagnoles font preuve d’un mépris de toute critique de leurs méthodes, dont l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe (OSCE), qui a déclaré que « toute tentative d’intimider ou d’attaquer des journalistes est une violation claire du droit à des médias libres et ne peut être tolérée », après l’arrestation de quatre journalistes à Madrid.
La présidente de région du PP, Esperanza Aguirre, a attaquée l’OSCE en affirmant : « qui sont ces gens qui viennent en Espagne regarder notre police comme si c’était une république bananière ou une satrapie communiste […] la présence de ces gens est intolérable ».
Une pratique de provocations policières délibérées émerge : la police charge les manifestations à 20h30, soit une demi-heure avant les grands journaux télévisés.
(Article original paru le 15 avril 2014)
http://blogs.mediapart.fr/blog/koszayr/160414/la-dictature-se-prepare-en-espagne
Synthèse formulée par Solidarité & Progrès :
Ukraine : éviter la Guerre mondiale
Voir aussi : http://www.solidariteetprogres.org/ukraine.html
Lettre de +300 Allemands à Vladimir Poutine
(Neue Rheinischer Zeitung)
Jochen Scholz
Source : http://www.legrandsoir.info/lettre-de-300-allemands-a-vladimir-poutine-neue-rheinischer-zeitung.html
Le Lieutenant-colonel à la retraite de l’Armée de l’Air allemande, Jochen Scholz
Cher Monsieur le Président,
Dans votre discours devant la Douma, vous avez demandé au peuple allemand de vous comprendre. Nous sommes des citoyens allemands qui avons, pour la plupart, vécu l’époque d’après-guerre dans la moitié ouest de l’Allemagne. En 1990, quand la guerre froide a pris fin et que notre pays a été réunifié, le monde a poussé un soupir de soulagement, parce que le danger toujours menaçant d’un conflit nucléaire qui aurait affecté la terre entière semblait écarté. Dans un tel conflit, l’Allemagne aurait disparu.
L’Union Soviétique a joué un rôle décisif dans la libération de l’Europe du nazisme, au prix d’un nombre incomparable de victimes. Néanmoins, elle a été, en 1990, d’accord pour soutenir la réunification de l’Allemagne, pour dissoudre le Pacte de Varsovie et même pour admettre l’entrée de l’Allemagne réunifiée dans l’OTAN. L’Occident ne lui en a su aucun gré.
L’ancien ambassadeur des États-Unis à Moscou (de 1987 à 1991) Jack Matlock, a confirmé il y a quelques jours dans le Washington Post que le président Bush Sr avait formellement promis de ne pas tirer abusivement parti de la générosité du président Gorbatchev.
L’expansion de l’OTAN jusque dans les anciennes républiques soviétiques, l’implantation de bases militaires dans les pays qui avaient jadis signé le Pacte de Varsovie et la construction d’un « Bouclier Anti Missiles » en Europe de l’Est, coïncidant avec le désengagement unilatéral des États-Unis du traité ABM (pour Anti-Ballistic Missile, signé à Moscou le 26 mai 1972 dans le cadre des négociations pour la limitation des armes stratégiques. NdT), sont autant de ruptures d’engagements criantes. Ces mesures, nous les prenons pour ce qu’elles sont : une claire et nette volonté de puissance hégémonique de la part des gouvernements occidentaux, dirigée contre la consolidation économique de votre pays, que vous poursuivez depuis votre accession à la présidence en 2000.
En outre, Keir A. Lieber et Daryl G. Press avaient déjà reconnu sans ambages, dans un article de 2006 intitulé « L’essor de la primauté nucléaire des États-Unis », que le Bouclier (« de défense ») Anti-Missiles n’avait d’autre but que de permettre une première frappe destinée à neutraliser la Russie.
Ce contexte est, sous forme condensée, celui dans lequel nous évaluons les événements qui se déroulent en Ukraine depuis novembre 2013. Il est abondamment prouvé que les États-Unis ont exploité les revendications légitimes des Ukrainiens à leurs propres fins. D’autres pays nous ont, de manière répétitive, familiarisés avec ce schéma : la Serbie, la Géorgie, l’Ukraine en 2004, l’Égypte, la Syrie, la Libye, le Venezuela…
L’ingérence de l’Union Européenne et de l’OSCE s’est déployée avec célérité dans les douze heures qui ont suivi le rejet de l’accord pris par les ministres des Affaires Étrangères en vue d’un règlement pacifique ; avec le concours de forces fascistes.
Le site web de la Fondation Ukraine Ouverte du Premier ministre en exercice montre qui est derrière le gouvernement de coup d’état actuellement au pouvoir à Kiev.
Des questions de lois nationales et internationales sont diversement en cours d’interprétation à propos de la sécession de la Crimée. Nous voulons les évaluer ici non pas légalement mais d’un point de vue politique.
Compte tenu des développements survenus en Europe depuis 1990, du déploiement de quelque 1.000 bases militaires U.S. dans le monde, du contrôle exercé par les États-Unis sur tous les détroits et des dangers que font courir les auteurs du crime de Maïdan à la flotte russe de la Mer Noire, nous voyons, dans la sécession de la Crimée, une mesure défensive assortie d’un message : jusqu’ici et pas plus loin !
La différence cruciale entre cet événement et la déclaration d’indépendance du Kosovo réside dans le fait que cette dernière n’a été rendue possible que par les bombardements massifs illégaux de l’OTAN, avec, malheureusement, la participation de l’Allemagne, qui ont créé les conditions de l’indépendance.
Cher Monsieur le Président, il y a près de quatre ans que vous en appelez à une communauté économique de Lisbonne à Vladivostok. Cette communauté pourrait être la base économique d’une « maison européenne commune ».
L’Ukraine pourrait remplir la fonction de pont idéal pour cette future coopération entre l’Union Eurasienne dirigée par vous et l’Union Européenne, dont l’aspect culturel ne devrait surtout pas être absent. Nous sommes persuadés que la tentative de prise de contrôle par les États-Unis n’a pas d’autre but que d’empêcher l’Ukraine de jouer ce rôle.
Les forces qui ont prévalu au sein de la Commission Européenne soutiennent la politique des États-Unis contre la Russie. Le discours du secrétaire général exécutif du Service européen pour l’action extérieure, Pierre Vimont, le 14 mars dernier est si unique (EurActiv : « L’Union Européenne écartée de la rencontre USA-Russie sur l’Ukraine »).
Cher Monsieur le Président, nous sommes sûrs que votre discours historique de 2001 continuera à constituer la base de vos actions à l’égard de l’Union Européenne et de l’Allemagne. Les derniers sondages montrent que la majorité des Allemands ne veut pas d’une confrontation avec la Fédération de Russie et, au contraire, comprend parfaitement l’action de la Russie à l’égard de l’Ukraine.
Nous ne sous-estimons pas les difficultés auxquelles doit faire face la République Fédérale d’Allemagne, en tant que membre de l’Union Européenne et de l’OTAN, dans ses rapports avec la Russie. Vous ne les ignorez pas non plus. Cependant, nous comptons que le Gouvernement Fédéral ne fera pas fi du vieux principe de droit romain audiatur et altera pars (« toujours écouter aussi l’autre partie »). Ce principe a été ignoré par la politique extérieure de l’Union Européenne, dans l’affaire ukrainienne.
Même pendant la guerre froide, la Russie ne s’est jamais prévalue du fait que 27 millions de ses citoyens étaient morts pendant la IIe Guerre Mondiale, pour en tirer un avantage politique contre l’Allemagne. Ce chiffre seul donne une qualité spéciale aux relations entre nos deux pays.
Le peuple allemand en a vivement conscience. Ainsi, quand les troupes d’occupation soviétiques en Allemagne se sont retirées, en 1994, leur Corps de Musique a participé à une cérémonie qui s’est déroulée sur la place du Bundeskunsthalle, à Bonn. Elle a donné lieu à des scènes d’émotion communes entre les musiciens et les spectateurs.
Sachant tout cela, les informations et les commentaires des médias allemands nous dégoûtent profondément.
Cher Monsieur le Président, avec nos modestes moyens de simples citoyens, nous avons l’intention de faire tout notre possible pour que la division programmée de l’Europe n’ait pas lieu, et pour qu’au contraire, les idées de Gottfried Wilhelm Leibniz retrouvent une vie et une vigueur nouvelles.
Nous en sommes convaincus : si seulement les états et les peuples du double continent eurasien pouvaient régler leurs affaires en paix les uns avec les autres, respectueusement, coopérativement, sur la base du droit et sans ingérence extérieure, leur entente ne pourrait que se communiquer au reste de la planète. Nous voyons en vous, de ce point de vue, un allié. Pour votre mandat présent et, nous l’espérons, pour le suivant, nous vous souhaitons force, endurance et sagesse.
Avec notre profond respect,
Jochen Scholz
Oberstleutnant a. D.
Source : http://www.legrandsoir.info/lettre-de-300-allemands-a-vladimir-poutine-neue-rheinischer-zeitung.html
Si nous voulons une Constitution, il faudra l’écrire nous-mêmes.
N’oubliez pas de MUTER, d’électeur obéissant en citoyen constituant : tous les jours, atelier d’écriture, en invitant aussi souvent que possible un nouveau débutant, à entraîner : s’exercer pour devenir apte, vouloir devenir adulte, politiquement, et s’en occuper concrètement, réellement, réfléchir vous-même au contrat social qui nous manque, y réfléchir tous les jours un peu. La solution ne viendra pas « des autres », il va falloir nous transformer nous-mêmes. Bon courage à tous.
On n’est forts qu’ensemble
et on en train de trouver une vraie cause commune :
la Constitution, c’est NOTRE affaire !
Message de Gaudefroy sur l’ancien blog :
Le laboratoire néonazi de Kiev :
C’est une véritable expérience de laboratoire à laquelle se livrent les oligarchies occidentales de l’OTAN et du FMI en Ukraine en s’alliant avec des fascistes avérés pour renverser un gouvernement démocratiquement élu et où s’installe peu à peu la terreur. (900 000 ukrainiens ont déjà fuit le pays pour la Russie depuis novembre 2013)
source :
https://youtu.be/NKuDzXAgdf4
Hélas le mot fasciste est un peu délavé en France où des officines » antifas » (ex : indymedia paris, la horde) accusent de fascistes les gens qui simplement parce qu’ils s’opposent à l’UE et à l’OTAN
Les mamies de 70 ans armées de parapluies de Julien Sauvaget
Je cite le passage : » Lors des incidents (élément de langage n°1) hier (il est 00h30, décalage horaire), nous avons vu des femmes de 70 ans armées de parapluie en train d’exciter la foule et d’essayer au maximum qu’il y ait tout simplement une étincelle. Cette étincelle de violence a un but très simple pour ces agents euh Russes (élément de langage n°2), c’est d’avoir une excuse pour Wladimir Poutine de pouvoir intervenir militairement pour sauver les russophones de la région et donc TOUT SIMPLEMENT ENVAHIR L’EST DE L’UKRAINE » (élément de langage n°3)
Ce médiamensonge, accompagné d’une seule image de grand-mère pro-Ukrainienne passant un caillou, est particulièrement grave en ce qu’il est lancé le soir même de l’attaque et du massacre du camp de toile pro-Russe d’Odessa, dont voici des images accablantes :
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=rHal5LYnUNU
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=s9AMjLBIliw
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=0rgf5n2HiMw
https://www.youtube.com/watch?list=UUvcixnPTwtpx8Xxdnbuvn1Q&v=oQRUuG6bcRA&feature=player_embedded
https://www.dailymotion.com/video/x1t0vff_choc-odessa-2-mai-2014-on-acheve-bien-les-blesses_webcam
https://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=FQYIhwFtsUE
Voir l’excellente page de réinformation de les crises.fr
http://www.les-crises.fr/svoboda-c-est-ca/
Sur le site http://www.les-crises.fr d’Olivier Berruyer la traduction en français d’une enquête publiée originellement sur le site anglophone 21 Wire concernant le crash du vol MH17 de la Malaysian Airlines le 17 juillet 2014.
http://www.les-crises.fr/mh17-une-enquete/
« J’ai été moi-même le témoin des agissements de l’ambassadeur américain à Bratislava qui distribuait des sommes considérables aux opposants du Premier Ministre, Vladimir Méciar, qui souhaitait intégrer l’Union européenne sans intégrer l’OTAN. »…
http://asorte.fr/wa_files/Bulletin_20n_C2_B017_202014.pdf
Ça,c’est le curriculum vitae de l’auteur :
http://www.geopolitique-geostrategie.fr/general-jean-bernard-pinatel
Info exploitable ou pas,ce n’est pas non-plus n’importe qui…!
Un journaliste ukrainien, Bogdan Boutkevitch, dans la ligne du pouvoir néo-nazi actuel de Kiev, appelle au génocide d’un million et demi de personnes du Donbass.
httpv://www.youtube.com/watch?v=fGCNKNFy5Do
Durée : 1mn 7s
http://www.vineyardsaker.fr/
http://french.ruvr.ru/news/2014_10_31/Ukraine-les-corps-de-286-jeunes-femmes-decouverts-aux-environs-de-Krasnoarmeisk-6959/
« Soleil noir de Himmler, runes de la waffen SS Das Reich, aigle de la wehrmacht … tout ça sur l’insigne des droitdelommistes otaniens »
http://fr.ria.ru/discussion/20140814/202145338.html
Mais bon, après 70 ans de congélation, normal.