[EMPOISONNEMENT UNIVERSEL] DEMAIN, TOUS CRÉTINS, EMPOISONNÉS PAR « LE CAPITALISME » (qu’on ferait mieux d’appeler le crapulisme)

1/12/2017 | 6 commentaires

https://www.arte.tv/fr/videos/069096–000‑A/demain-tous-cretins/

Pas­sion­nant repor­tage sur Arte (à voir vite avant qu’il ne dis­pa­raisse des écrans), que je recoupe avec le bou­quin for­mi­dable, cap­ti­vant et pro­fon­dé­ment révol­tant, de 

Fabrice Nicolino, « UN EMPOISONNEMENT UNIVERSEL.
Comment les produits chimiques ont envahi la planète »


http://www.editionslesliensquiliberent.fr/livre-Un_empoisonnement_universel-401–1‑1–0‑1.html


Mon com­men­taire :

Dans une consti­tu­tion digne de ce nom, le « lob­bying » (comme le « pan­tou­flage ») serait qua­li­fié de TRAFIC D’INFLUENCE CRIMINEL — au lieu d’être léga­li­sé, et même encou­ra­gé (!), dans nos régimes klep­to­cra­tiques, où les plus grands voleurs, men­teurs et empoi­son­neurs achètent tous les pou­voirs grâce au faux « suf­frage uni­ver­sel » (élire des maîtres au lieu de voter les lois).

Et dans une consti­tu­tion digne de ce nom, les riches indus­triels et ban­quiers per­draient tout leur pou­voir d’in­fluence sur les repré­sen­tants poli­tiques 1) grâce à l’ins­ti­tu­tion mas­sive du tirage au sort (au moins dans le pro­ces­sus consti­tuant et dans les organes de contrôles) et 2) grâce à la socia­li­sa­tion de tous les outils d’in­for­ma­tion (les grands médias et évi­dem­ment les ins­ti­tuts de son­dage et de statistiques).

C’est à vous (et pas « aux autres ») de pré­pa­rer cette révo­lu­tion démo­cra­tique, dans vos ate­liers consti­tuants quotidiens 🙂 

 
Com­ment ça « tu radotes… » ? 🙂

Je vais vous offrir ce week-end un outil épa­tant pour vous aider à orga­ni­ser vos ateliers 🙂

Salut à tous, bande de virus 🙂

Étienne.

[Edit, 1er déc. 9h] 

Sébas­tien Mischel me signale (sur Face­book) le « debun­king » sui­vant, de Mar­tin Cla­vey sur « The sound of science », qui cri­tique sévè­re­ment le docu­men­taire d’Arte : 

Tous pris pour des crétins devant Arte

https://​www​.soun​dof​science​.fr/​644

Mon com­men­taire :

C’est tou­jours inté­res­sant, de voir des avis très oppo­sés au sien, de façon à modé­rer son opi­nion. Ici, je retiens que l’au­teur condamne sur­tout le ton alar­miste et des approxi­ma­tions « hasar­deuses », ain­si qu’un conflit d’in­té­rêts non avoué. 

Je trouve cette cri­tique utile mais pas déci­sive : je reste sur mon inté­rêt vif pour ce film d’Arte parce qu’on y trouve des infor­ma­tions impor­tantes et qu’on peut com­prendre (et admettre) la peur bien réelle (et donc les extra­po­la­tions liées à ces peurs) de ceux qui ont conçu ce repor­tage, car nous avons, nous aus­si, bien d’autres sources d’information qui confirment les rai­sons d’être très inquiets de l’empoisonnement de la pla­nète par les indus­triels mus par le seul profit.

Et puis aus­si, pas déci­sive parce que des points inquié­tants ou inté­res­sants (comme le cas des retar­da­teurs de feu réim­po­sés par les indus­triels après leur inter­dic­tion) ne sont pas debunkés.

Quant au conflit d’in­té­rêts, je le trouve véniel et pas évident : il fau­drait entendre ce que l’ac­cu­sée avance pour sa défense ; ce qu’elle fait des sommes gagnées, par exemple, pour­rait désac­ti­ver com­plè­te­ment l’accusation. 

Certes, les auteurs du repor­tage sont affec­tés par un biais de confir­ma­tion (nous avons tous ten­dance à pri­vi­lé­gier les infor­ma­tions qui confirment ce que nous croyons déjà, et à mini­mi­ser les infor­ma­tions qui contre­disent nos croyances du moment), COMME NOUS TOUS, TOUT LE TEMPS, et comme l’au­teur du debun­king aus­si, bien sûr. 

Il est impor­tant de connaître ce biais et d’in­té­grer cette conscience dans nos com­por­te­ments. Ain­si, je vois bien que beau­coup de contes­ta­taires du sys­tème de domi­na­tion par­le­men­taires sont, comme moi, très inquiets de l’é­vo­lu­tion de nos régimes poli­tiques vers une ten­dance auto­ri­taire, arbi­traire et escla­va­giste, et que nous récol­tons donc sur­tout les infor­ma­tions qui vont dans ce sens plu­tôt que les dis­cours ras­su­rants que nous consi­dé­rons comme léni­fiants. Je vois aus­si que sou­vent nous exa­gé­rons, nous for­çons le trait pour accé­lé­rer la prise de conscience et pour favo­ri­ser la mobi­li­sa­tion. C’est un biais, c’est vrai. Mais on en trouve bien d’autres de toutes parts. Beau­coup de jour­na­listes, et même des scien­ti­fiques, font ain­si du sen­sa­tion­na­lisme, tous les jours, pour toutes sortes de bonnes ou mau­vaises rai­sons. C’est humain, pour­rait-on dire. Il vaut mieux le savoir, certes, mais c’est exa­gé­ré de le diaboliser.

Enfin, je trouve bien des cri­tiques déri­soires dans ce papier : je ne trouve pas convain­cants, par exemple, la cri­tique du titre (sur­tout que le titre du debun­king est lui-même une exa­gé­ra­tion, juste pour faire un bon jeu de mot), ni le pro­cès d’in­ten­tion (« les auteurs prennent volon­tai­re­ment tous leurs audi­teurs pour des idiots »). Glo­ba­le­ment, je trouve que le debun­king coupe sou­vent les che­veux en quatre pour faire de gros reproches sur des défauts sans gravité.

Bon, en tout cas, c’est tou­jours inté­res­sant d’en­tendre plu­sieurs sons de cloche.

Mer­ci à Sébas­tien d’a­voir signa­lé ça. Un cer­veau col­lec­tif, c’est vrai­ment plus inté­res­sant qu’un cer­veau isolé 🙂

Étienne.

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6 Commentaires

  1. etienne
  2. Jacques

    Voi­ci la copie par­tielle d’un cour­riel que j’ai adres­sé à un correspondant.

    … à la page 265 vous faites usage à trois reprises de la notion de « sub­stance active ». J’ai été lon­gue­ment uti­li­sa­teur de cette notion – au sens de croyant/adepte – avant de dis­po­ser du suc­cu­lent fruit d’une « confron­ta­tion longue à une pen­sée qui résiste » (1) … confron­ta­tion qui se dérou­la en moi-même, vous l’a­viez devi­né. En 2002, j’é­cri­vais (dans un docu­ment pro­po­sé seule­ment à mes proches):

     » Comp­tant sur le « pou­voir gué­ris­seur » dont seraient impré­gnés les gra­nules de lac­tose bien connus de tous les adeptes de l’ho­méo­pa­thie, j’ai « consom­mé » cette méde­cine « douce ». Je l’ai même un peu étu­diée, auprès de vété­ri­naires homéo­pathes « uni­cistes ». J’ad­met­tais sans doute que cette « facul­té de gué­ri­son » pou­vait se confondre avec un « mes­sage favo­rable » (magné­tique ? ondu­la­toire ?) qui « s’im­pri­me­rait » sur la sub­stance sup­port grâce aux dilu­tions et « dyna­mi­sa­tions » suc­ces­sives. Voi­là qui atteste que je conti­nuais, en toute ingé­nui­té, à ché­rir la croyance dans l’ « Action du médi­ca­ment » … il fal­lut qu’en auto­di­dacte j’ef­fec­tue des études « inter­dites » pour des­siller mes yeux. Aveu­glé par la foi que je par­ta­geais jus­qu’a­lors quant aux  » Ver­tus actives, cura­tives » des médi­ca­ments, je ne voyais pas l’é­vi­dence : c’est l’or­ga­nisme vivant qui AGIT, choi­sis­sant tel ou tel de ses organes, mani­fes­tant tel ou tel com­por­te­ment inha­bi­tuel AFIN DE SE SOUSTRAIRE – au plus vite et en dépen­sant le mini­mum d’éner­gie, AU CONTACT NOCIF des molé­cules qui viennent de le péné­trer et qu’il a « éti­que­tées » POISON. Si cette sub­stance qu’est l’al­cool « agis­sait », elle ne ferait pas une chose et son contraire : éner­ver telle per­sonne, assom­mer telle autre. Si tel médi­ca­ment « agis­sait » son « action » ne varie­rait pas en fonc­tion de l’heure de son admi­nis­tra­tion ( cf.travaux sur la chro­no­bio­lo­gie). Si la sola­nine – cet alca­loïde pré­sent dans les par­ties vertes de la plante pomme de terre – « agis­sait » elle fou­droie­rait les dory­phores (et pas seule­ment humains et por­cins) et ça se sau­rait, n’est-ce pas ?! … il serait inutile, me semble-t-il, d’en dire plus à pro­pos de la pré­ten­due « action des sub­stances » : la rai­son a cer­tai­ne­ment déjà ren­du son ver­dict … quant à la foi … » Fin de repro­duc­tion (très par­tielle) de mon texte de 2002.

    Si vous éprou­vez le besoin de lire l’é­qui­valent (des lignes pré­cé­dentes) sous la plume d’un auteur qui ensei­gna pen­dant onze années en facul­té de méde­cine, repor­tez-vous aux pages 149 et 150 du livre « Ini­tia­tion à la san­té inté­grale » par André Pas­se­becq / édi­tions Dangles-Pik­tos, 2010. Je dois beau­coup (tout ?) à mon étude de l’hy­giène vitale … ce livre y contri­bue puis­sam­ment – avec tou­te­fois, de ma part, une incom­pré­hen­sion quant au confor­misme mani­fes­té par l’au­teur au sujet du Sida (page 73) et au sujet de l’o­ri­gine de la flore intes­ti­nale (pages 81 à 85) … com­ment n’ai-je pas éclair­ci cela lors de mes nom­breux échanges avec André Pas­se­becq (décé­dé en 2010) ?

    Ren­voi (1) : « confron­ta­tion longue à une pen­sée qui résiste » est une for­mu­la­tion qui m’est délec­table et que j’emprunte à Ber­nard Friot – lequel s’ex­pri­mait en public et sur un autre sujet en octobre der­nier – c’est à retrou­ver à la minute 46:10 dans l’en­re­gis­tre­ment vidéo You­tube Ber­nard Friot sur « Vaincre Macron ».

    il ne me reste qu’à vous dire  » Tenez bon !  » Bien cor­dia­le­ment, Jacques

    Réponse
  3. Berbère

    Atta­li : « Les élus n’ont plus de pou­voir et voi­ci votre avenir »

    « L’Au­rore Rouge », l’agenda pro-NWO écrit en 1985 s’avère par­ti­cu­liè­re­ment prédictif 

    Père Régim­bald et Serge Monast en 1985 nous annoncent le Nou­vel Ordre Mon­dial. Révé­la­tions impor­tantes à une époque où Inter­net n’exis­tait pas encore… Une vidéo archive (en notre pos­ses­sion), montre que Serge Monast ‑tout comme le Père Régim­bald- fut l’un des pion­niers de la lutte contre le Nou­vel Ordre Mon­dial, alors même que celui-ci n’était encore dans les médias de l’époque qu’une « théo­rie du com­plot » limi­tée à 2 ou 3 éner­gu­mènes plus ou moins déran­gés, avant de deve­nir aujourd’hui l’objectif, voire l’obsession, des Grands de ce Monde et de leurs (très) puis­sants Maîtres.

    A lire abso­lu­ment ! Nous avions dans de pré­cé­dents articles dédiés, rela­té les tra­vaux pion­niers du Père Régim­bald sur le Nou­vel Ordre Mon­dial et les Illu­mi­na­ti, dès les années 80. Voi­ci ci-des­sous un texte par­ti­cu­liè­re­ment intri­gant, cen­sé, selon le jour­na­liste Serge Monast, mort subi­te­ment et sur­tout pré­ma­tu­ré­ment tout comme son com­pa­triote le Père Régim­bald, avoir été concoc­té dans une loge cryp­to-maçon­nique dénom­mée « 666 » :
    But du Pro­jet Mon­dia­liste : ÉTABLISSEMENT DE L’OCCULTE MONDIAL
    Moyens de Finan­ce­ment du Pro­jet : Contrôle du F.M.I., du G.A.T.T., de la Com­mis­sion de Bruxelles, de l’OTAN, de l’O.N.U. et d’autres Orga­nismes Internationaux.
    Les der­nières dix-huit années furent très pro­fi­tables pour l’a­van­ce­ment de nos pro­jets mon­diaux. Je peux vous dire, Frères, que nous tou­chons main­te­nant presque au but.
    La chute des États-Nations n’est plus qu’une ques­tion de temps, assez court, dois-je vous avouer en toute confiance.
    Grâce à nos Agents d’in­fil­tra­tion et à nos moyens finan­ciers colos­saux, des pro­grès sans pré­cé­dents ont main­te­nant été accom­plis dans tous les domaines de la Science et de la Tech­no­lo­gie dont nous contrô­lons finan­ciè­re­ment les plus grandes corporations.
    Depuis les réunions secrètes avec M. de Roth­schild dans les années 56, et qui avaient pour but de mettre au point le déve­lop­pe­ment, et l’im­plan­ta­tion mon­diale des « Ordi­na­teurs », il nous est main­te­nant pos­sible d’en­tre­voir la mise en place d’un genre « d’Au­to­route Inter­na­tio­nale » où toutes ces machines seraient reliées entre elles.
    Car, comme vous le savez déjà, le contrôle direct et indi­vi­duel des popu­la­tions de la pla­nète, serait à tout le moins tota­le­ment impos­sible sans l’u­sage des Ordi­na­teurs, et leur rat­ta­che­ment élec­tro­nique les uns par rap­port aux autres en un vaste « Réseau Mondial ».
    Ces machines d’ailleurs ont l’a­van­tage de pou­voir rem­pla­cer des mil­lions d’in­di­vi­dus. De plus, elles ne pos­sèdent ni conscience, ni morale aucune ; ce qui est indis­pen­sable pour la réus­site d’un pro­jet comme le nôtre.
    Sur­tout, ces machines accom­plissent, sans dis­cu­ter, tout ce qui leur est dic­té. Elles sont des esclaves par­faits dont ont tant rêvé nos pré­dé­ces­seurs, mais sans qu’ils aient été à même de se dou­ter qu’un jour, il nous serait pos­sible d’ac­com­plir un tel prodige.
    Ces machines sans patrie, sans cou­leur, sans reli­gion, sans appar­te­nance poli­tique, sont l’ul­time accom­plis­se­ment et outil de notre Nou­vel Ordre Mon­dial. Elles en sont la « Pierre angu­laire » ! L’or­ga­ni­sa­tion de ces machines en un vaste « Réseau mon­dial » dont nous contrô­le­rons les leviers supé­rieurs, nous ser­vi­ra à immo­bi­li­ser les popu­la­tions. Comment ?
    Comme vous le savez, la struc­ture de base de notre Nou­vel Ordre Mon­dial est com­po­sée, dans son essence, d’une mul­ti­tude de « Réseaux » divers cou­vrant cha­cun toutes les sphères de l’ac­ti­vi­té humaine sur toute l’é­ten­due de la planète.
    Jus­qu’à ce jour, tous ces « Réseaux » étaient reliés entre eux par une base idéo­lo­gique com­mune : celle de l’Homme comme étant le « Centre » et « l’Ul­time Accom­plis­se­ment » de l’Univers.
    Ain­si, grâce à tous ces « Réseaux » unis par le lien de la « Nou­velle Reli­gion de l’Homme pour l’Homme », nous avons pu faci­le­ment infil­trer tous les sec­teurs humains dans tous les pays Occi­den­taux, et en modi­fier la base « Judéo-Chrétienne ».
    Le résul­tat est qu’au­jourd’­hui, cet Homme, qu’il fasse par­tie du Poli­tique, de l’É­co­no­mique, du Social, de l’É­du­ca­tion, du Scien­ti­fique ou du Reli­gieux, a déjà, depuis notre der­nière Réunion de fin Juin 67, aban­don­né son héri­tage pas­sé pour le rem­pla­cer par notre idéal d’une Reli­gion Mon­diale basée uni­que­ment sur l’Homme.
    Cou­pé ain­si qu’il est doré­na­vant de ses racines his­to­riques, cet Homme n’at­tend plus, en défi­ni­tive, que lui soit pro­po­sé une nou­velle idéo­lo­gie. Celle-ci, bien enten­due, est la nôtre ; celle du « Vil­lage Com­mu­nau­taire Glo­bal » dont il sera le « Centre ».
    Et c’est pré­ci­sé­ment ce que nous lui appor­te­rons en l’en­cou­ra­geant à faire par­tie, « Corps et Ame », de ce « Réseau Élec­tro­nique Mon­dial » où les fron­tières des États-Nations auront été à tout jamais abo­lies, anéan­ties jus­qu’à leurs racines les plus profondes.
    Pen­dant que cet homme éga­ré sera absor­bé par son enthou­siasme aveugle à faire par­tie de sa nou­velle « Com­mu­nau­té Mon­diale » en fai­sant par­tie de ce vaste « Réseau d’Or­di­na­teurs », pour notre compte, nous ver­rons, à par­tir des leviers supé­rieurs qui lui seront cachés, à le ficher, à l’i­den­ti­fier, à le comp­ta­bi­li­ser, et à le ren­ta­bi­li­ser selon nos propres objectifs.
    Car à l’in­té­rieur de cette « Nou­velle Socié­té Glo­bale », aucun indi­vi­du ayant un poten­tiel de « Ren­ta­bi­li­té » pour nous, ne pour­ra nous échapper.
    L’ap­port constant de la « Tech­no­lo­gie Élec­tro­nique » devra nous assu­rer de tous les moyens pour ficher, iden­ti­fier, et contrô­ler tous les indi­vi­dus des popu­la­tions de l’Occident.
    Quant à ceux qui ne repré­sen­te­ront aucune « Ren­ta­bi­li­té Exploi­table » par nous, nous ver­rons à ce qu’ils s’é­li­minent d’eux-mêmes à tra­vers toutes les guerres intes­tines locales que nous aurons pris soin de faire écla­ter ici et là en nous ayant ser­vi, et de la « Chute de l’É­co­no­mie » des États-Nations, et des « Oppo­si­tions et des Reven­di­ca­tions » des divers groupes com­po­sant ces mêmes États.
    Voi­ci donc la manière détaillée par laquelle nous pro­cé­de­rons d’i­ci 1998 pour paver la route à la nais­sance de notre « Gou­ver­ne­ment Mondial » :
    1. – Décu­pler la « Socié­té des Loi­sirs » qui nous a été si pro­fi­table à date. En nous ser­vant de l’in­ven­tion da la « Vidéo » que nous avons finan­cé, et des jeux qui lui sont rat­ta­chés, finis­sons de per­ver­tir la morale de la jeu­nesse. Offrons-lui la pos­si­bi­li­té de satis­faire main­te­nant tous ses instincts.
    Un être pos­sé­dé par ses sens, et esclave de ceux-ci, nous le savons, n’a ni idéal, ni force inté­rieure pour défendre quoi que ce soit.
    Il est un « Indi­vi­dua­liste » par nature, et repré­sente un can­di­dat par­fait que nous pou­vons mode­ler aisé­ment selon nos dési­rs et nos prio­ri­tés. D’ailleurs, rap­pe­lez-vous avec quelle faci­li­té nos pré­dé­ces­seurs ont pu orien­ter toute la jeu­nesse alle­mande au début du siècle en se ser­vant du désa­bu­se­ment de cette dernière !
    2. – Encou­ra­ger la « Contes­ta­tion Étu­diante » pour toutes les causes rat­ta­chées à « l’Écologie ».
    La pro­tec­tion obli­ga­toire de cette der­nière sera un atout majeur le jour où nous aurons pous­sé les États-Nations à échan­ger leur « Dette Inté­rieure » contre la perte de 33 % de tous leurs ter­ri­toires demeu­rés à l’é­tat sauvage.
    3. – Com­blons le vide inté­rieur de cette jeu­nesse en l’i­ni­tiant, dès son tout jeune âge, à l’u­ni­vers des Ordi­na­teurs. Uti­li­sons, pour cela, son sys­tème d’é­du­ca­tion. Un esclave au ser­vice d’un autre esclave que nous contrôlons.
    4. – Sur un autre plan, éta­blis­sons le « Libre-Échange Inter­na­tio­nal » comme étant une prio­ri­té abso­lue pour la sur­vie éco­no­mique des États-Nations.
    Cette nou­velle concep­tion éco­no­mique nous aide­ra à accé­lé­rer le déclin des « Natio­na­listes » de toutes les Nations ; à les iso­ler en fac­tions diverses, et au moment vou­lu, à les oppo­ser farou­che­ment les uns aux autres dans des guerres intes­tines qui achè­ve­ront de rui­ner ces Nations.
    5. – Pour nous assu­rer à tout prix de la réus­site d’une telle entre­prise, fai­sons en sorte que nos Agents déjà infil­trés dans les Minis­tères des Affaires Inter­gou­ver­ne­men­tales et de l’Im­mi­gra­tion des États-Nations fassent modi­fier en pro­fon­deur les Lois de ces Minis­tères. Ces modi­fi­ca­tions vise­ront essen­tiel­le­ment à ouvrir les portes des pays occi­den­taux à une immi­gra­tion de plus en plus mas­sive à l’in­té­rieur de leurs fron­tières (immi­gra­tions que nous aurons d’ailleurs pro­vo­quées en ayant pris soin de faire écla­ter, ici et là, de nou­veaux conflits locaux).
    Par des cam­pagnes de Presse bien orches­trées dans l’o­pi­nion publique des États-Nations ciblées, nous pro­vo­que­rons chez celles-ci un afflux impor­tant de réfu­giés qui aura pour effet, de désta­bi­li­ser leur éco­no­mie inté­rieure, et de faire aug­men­ter les ten­sions raciales à l’in­té­rieur de leur territoire.
    Nous ver­rons à faire en sorte que des groupes d’ex­tré­mistes étran­gers fassent par­tie de ces afflux d’im­mi­grants ; ce qui faci­li­te­ra la désta­bi­li­sa­tion poli­tique, éco­no­mique et sociale des Nations visées.
    6. – Ce « Libre-Échange » qui, en réa­li­té, n’en est pas un car il est déjà contrô­lé par nous tout au som­met de la hié­rar­chie éco­no­mique, noyau­tons-le en « Trois Com­mis­sions Latérales » :
    [celle de l’A­sie, celle de l’A­mé­rique, celle de l’Eu­rope]. Il nous appor­te­ra la dis­corde à l’intérieur des États­Na­tions par la hausse du chô­mage relié aux restruc­tu­ra­tions de nos Multinationales.
    7. – Trans­fé­rons len­te­ment, mais sûre­ment, nos mul­ti­na­tio­nales dans de nou­veaux pays acquis à l’idée de « l’É­co­no­mie de Mar­ché », tels les pays de l’Est de l’Europe, en Rus­sie et en Chine par exemple. Nous nous fichons bien, pour l’instant, si leur popu­la­tion repré­sente ou non un vaste bas­sin de nou­veaux consommateurs.
    Ce qui nous inté­resse, c’est d’avoir accès, en pre­mier lieu, à une « Main‑d’œuvre-Esclave » (à bon mar­ché et non syn­di­quée) que nous offrent ces pays et ceux du Tiers-monde. D’ailleurs, leurs gou­ver­ne­ments ne sont-ils pas mis en place par nous ?
    Ne font-ils pas appel à l’aide étran­gère, et aux prêts de notre « Fond Moné­taire Inter­na­tio­nal » et de notre « Banque Mondiale » ?
    Ces trans­ferts offrent plu­sieurs avan­tages pour nous. Ils contri­buent à entre­te­nir ces nou­velles popu­la­tions dans l’illusion d’une « Libé­ra­tion Éco­no­mique », d’une « Liber­té Poli­tique » alors qu’en réa­li­té, nous les domi­ne­rons par l’appétit du gain et un endet­te­ment dont ils ne pour­ront jamais s’acquitter. Quant aux popu­la­tions occi­den­tales, elles seront entre­te­nues dans le rêve du [Bien-Être Éco­no­mique] car les pro­duits impor­tés de ces pays ne subi­ront aucune hausse de prix.
    Par contre, sans qu’elles s’en aper­çoivent au début, de plus en plus d’industries seront obli­gées de fer­mer leurs portes à cause des trans­ferts que nous aurons effec­tués hors des pays occidentaux.
    Ces fer­me­tures aug­men­te­ront le chô­mage, et appor­te­ront des pertes impor­tantes de reve­nus pour les États-Nations.
    8. – Ain­si nous met­trons sur pied une « Éco­no­mie Glo­bale » à l’échelle mon­diale qui échap­pe­ra tota­le­ment au contrôle des États-Nations.
    Cette nou­velle éco­no­mie sera au-des­sus de tout ; aucune pres­sion poli­tique ou syn­di­cale ne pour­ra avoir de pou­voir sur elle.
    Elle dic­te­ra ses propres « Poli­tiques Mon­diales », et obli­ge­ra à une réor­ga­ni­sa­tion poli­tique, mais selon nos prio­ri­tés à l’échelle mondiale.
    9. – Par cette « Éco­no­mie Indé­pen­dante » n’ayant de Lois que nos Lois, nous éta­bli­rons une « Culture de Masse Mon­diale ». Par le contrôle inter­na­tio­nal de la Télé­vi­sion, des Médias, nous ins­ti­tue­rons une « Nou­velle Culture », mais nive­lée, uni­forme pour tous, sans qu’aucune « Créa­tion » future ne nous échappe.
    Les artistes futurs seront à notre image ou bien ne pour­ront pas sur­vivre. Fini donc ce temps où des « Créa­tions Cultu­relles Indé­pen­dantes » met­taient à tout moment en péril nos pro­jets mon­dia­listes comme cela fut si sou­vent le cas dans le passé.
    10. – Par cette même éco­no­mie, il nous sera alors pos­sible de nous ser­vir des forces mili­taires des États­Na­tions (telles celles des États-Unis) dans des buts humanitaires.
    En réa­li­té, ces « Forces » nous ser­vi­ront à sou­mettre des pays récal­ci­trants à notre volon­té. Ain­si les pays du Tiers-Monde et d’autres sem­blables à eux ne pour­ront pas être en mesure d’échapper à notre volon­té de nous ser­vir de leur popu­la­tion comme main‑d’œuvre-esclave. 11. – Pour contrô­ler le mar­ché mon­dial, nous devrons détour­ner la pro­duc­ti­vi­té de son but pre­mier (libé­rer l’homme de la dure­té du tra­vail). Nous l’orienterons en fonc­tion de la retour­ner contre l’homme, en asser­vis­sant ce der­nier à notre sys­tème éco­no­mique où il n’aura pas le choix de deve­nir notre esclave, et même un futur criminel.
    12. – Tous ces trans­ferts à l’étranger de nos Mul­ti­na­tio­nales, et la réor­ga­ni­sa­tion mon­diale de l’économie auront pour but, entre autres, de faire grim­per le chô­mage dans les pays occidentaux.
    Cette situa­tion sera d’autant plus réa­li­sable parce qu’au départ, nous aurons pri­vi­lé­gié l’importation mas­sive des pro­duits de base à l’intérieur des États-Nations et, du même coup, nous aurons sur­char­gé ces États par l’emploi exa­gé­ré de leur popu­la­tion à la pro­duc­tion de ser­vices qu’ils ne pour­ront plus payer. Ces condi­tions extrêmes mul­ti­plie­ront par mil­lions, les masses d’assistés sociaux de tous genres, d’illettrés, de sans abris.
    13. – Par des pertes de mil­lions d’emplois dans le sec­teur pri­maire ; à même les éva­sions dégui­sées de capi­taux étran­gers hors des États-Nations, il nous sera ain­si pos­sible de mettre en dan­ger de mort l’harmonie sociale par le spectre de la guerre civile.
    14. – Ces mani­pu­la­tions inter­na­tio­nales des gou­ver­ne­ments et des popu­la­tions des États-Nations nous four­ni­ront le pré­texte d’utiliser notre F.M.I. pour pous­ser les gou­ver­ne­ments occi­den­taux à mettre en place des « Bud­gets d’Austérité » sous le cou­vercle de la réduc­tion illu­soire de leur « Dette Nationale » ;
    de la conser­va­tion hypo­thé­tique de leur « Cote de Cré­dit Internationale » ;
    de la pré­ser­va­tion impos­sible de la « Paix Sociale ».
    15. – Par ces « Mesures Bud­gé­taires d’Urgence », nous bri­se­rons ain­si le finan­ce­ment des États-Nations pour tous leurs « Méga-Pro­jets » qui repré­sentent une menace directe à notre contrôle mon­dial de l’économie.
    16. – D’ailleurs toutes ces mesures d’austérité nous per­met­tront de bri­ser les volon­tés natio­nales de struc­tures modernes dans les domaines de l’Éner­gie, de l’Agriculture, du Trans­port et des Tech­no­lo­gies nouvelles.
    17. – Ces mêmes mesures nous offri­ront l’occasion rêvée d’instaurer notre « Idéo­lo­gie de la Com­pé­ti­tion Éco­no­mique ». Celle-ci se tra­dui­ra, à l’intérieur des États-Nations, par la réduc­tion volon­taire des salaires, les départs volon­taires avec [Remises de Médailles pour Ser­vices ren­dus] ; ce qui nous ouvri­ra les portes à l’instauration par­tout de notre « Tech­no­lo­gie de Contrôle ».
    Dans cette pers­pec­tive, tous ces départs seront rem­pla­cés par des « Ordi­na­teurs » à notre service.
    18. – Ces trans­for­ma­tions sociales nous aide­ront à chan­ger en pro­fon­deur la main d’œuvre « Poli­cière et Mili­taire » des États-Nations. Sous le pré­texte des néces­si­tés du moment, et sans éveiller de soup­çons, nous nous débar­ras­se­rons une fois pour toutes de tous les indi­vi­dus ayant une « Conscience JudéoChrétienne ».
    Cette « Restruc­tu­ra­tion des Corps Poli­ciers et Mili­taires » nous per­met­tra de limo­ger sans contes­ta­tion, le per­son­nel âgé, de même que tous les élé­ments ne véhi­cu­lant pas nos prin­cipes mondialistes.
    Ceux-ci seront rem­pla­cés par de jeunes recrues dépour­vues de « Conscience et de Morale », et déjà toutes entraî­nées, et favo­rables à l’usage incon­si­dé­ré de notre « Tech­no­lo­gie de Réseaux Électroniques ».
    19. – Dans un même temps, et tou­jours sous le pré­texte de « Cou­pures Bud­gé­taires », nous veille­rons au trans­fert des bases mili­taires des États-Nations vers l’Organisation des Nations-Unies.
    20. – Dans cette pers­pec­tive, nous tra­vaille­rons à la réor­ga­ni­sa­tion du « Man­dat Inter­na­tio­nal des Nations-Unies ».
    De « Force de Paix » sans pou­voir déci­sion­nel, nous l’amènerons à deve­nir une « Force d’Intervention » où seront fon­dues, en un tout homo­gène, les forces mili­taires des États-Nations.
    Ceci nous per­met­tra d’effectuer, sans com­bat, la démi­li­ta­ri­sa­tion de tous ces États de manière à ce qu’aucun d’entre eux, dans l’avenir, ne soient suf­fi­sam­ment puis­sants (indé­pen­dants) pour remettre en ques­tion notre « Pou­voir Mondial ».
    21. – Pour accé­lé­rer ce pro­ces­sus de trans­fert, nous impli­que­rons la force actuelle des Nations-Unies dans des conflits impos­sibles à régler. De cette manière, et avec l’aide des Médias que nous contrô­lons, nous mon­tre­rons aux popu­la­tions l’impuissance et l’inutilité de cette « Force » dans sa forme actuelle.
    La frus­tra­tion aidant, et pous­sée à son paroxysme au moment vou­lu, pous­se­ra les popu­la­tions des États­Na­tions à sup­plier les ins­tances inter­na­tio­nales de for­mer une telle « Force Mul­ti-Natio­nale » au plus tôt afin de pro­té­ger à tout prix la « Paix ».
    22. – L’apparition pro­chaine de cette volon­té mon­diale d’une « Force Mili­taire Mul­ti-Natio­nale » ira de pair avec l’instauration, à l’intérieur des États-Nations, d’une « Force d’Intervention Multi-Juridictionnelle ».
    Cette com­bi­nai­son des « Effec­tifs Poli­ciers et Mili­taires », créée à même le pré­texte de l’augmentation de l’instabilité poli­tique et sociale gran­dis­sante à l’intérieur de ces États crou­lant sous le far­deau des pro­blèmes éco­no­miques, nous per­met­tra de mieux contrô­ler les popu­la­tions occidentales.
    Ici, l’utilisation à outrance de l’identification et du fichage élec­tro­nique des indi­vi­dus nous four­ni­ra une sur­veillance com­plète de toutes les popu­la­tions visées.
    23. – Cette réor­ga­ni­sa­tion poli­cière et mili­taire inté­rieure et exté­rieure des États-Nations per­met­tra de faire conver­ger le tout vers l’obligation de la mise en place d’un « Centre Mon­dial Judiciaire ».
    Ce « Centre » per­met­tra aux dif­fé­rents « Corps Poli­ciers des États-Nations » d’avoir rapi­de­ment accès à des « Banques de Don­nées » sur tous les indi­vi­dus poten­tiel­le­ment dan­ge­reux pour nous sur la pla­nète. L’image d’une meilleure effi­ca­ci­té judi­ciaire, et les liens de plus en plus étroits créés et entre­te­nus avec le « Mili­taire », nous aide­ront à mettre en valeur la néces­si­té d’un « Tri­bu­nal Inter­na­tio­nal » dou­blé d’un « Sys­tème Judi­ciaire Mon­dial » ; l’un pour les affaires civiles et cri­mi­nelles indi­vi­duelles, et l’autre pour les Nations.
    24. – Au cours de la crois­sance accep­tée par tous de ces nou­velles néces­si­tés, il sera impé­rieux pour nous de com­plé­ter au plus tôt le contrôle mon­dial des armes à feu à l’intérieur des ter­ri­toires des États-Nations. Pour ce faire, nous accé­lé­re­rons le « PLAN ALPHA » mis en œuvre au cours des années 60 par cer­tains de nos prédécesseurs.
    Ce « Plan » à l’origine visait deux objec­tifs qui sont demeu­rés les mêmes encore aujourd’hui : Par l’intervention de « Tireurs fous », créer un cli­mat d’insécurité dans les popu­la­tions pour ame­ner à un contrôle plus ser­ré des armes à feu.
    Orien­ter les actes de vio­lence de manière à en faire por­ter la res­pon­sa­bi­li­té par des extré­mistes reli­gieux, ou des per­sonnes affi­liées à des allé­geances reli­gieuses de ten­dance « Tra­di­tion­nelle », ou encore, des per­sonnes pré­ten­dant avoir des com­mu­ni­ca­tions pri­vi­lé­giées avec Dieu.
    Aujourd’hui, afin d’accélérer ce « Contrôle des Armes à Feu », nous pour­rons uti­li­ser la « Chute des Condi­tions Éco­no­miques » des États-Nations qui entraî­ne­ra avec elle, une désta­bi­li­sa­tion com­plète du Social ; donc aug­men­ta­tion de la vio­lence. Je n’ai pas besoin de vous rap­pe­ler, ni de vous démon­trer, Frères, les fon­de­ments de ce « Contrôle » des armes à feu.
    Sans celui-ci, il devien­drait presque impos­sible pour nous de mettre à genoux les popu­la­tions des États visés. Rap­pe­lez-vous avec quel suc­cès nos pré­dé­ces­seurs ont pu contrô­ler l’Allemagne de 1930 avec les nou­velles « Lois » mises en appli­ca­tion à l’époque ; Lois d’ailleurs sur les­quelles sont fon­dées les Lois actuelles des États-Nations pour ce même contrôle.
    25. – Les der­nières « Étapes » se rap­portent à la « PHASE OMEGA » expé­ri­men­tée à par­tir des expé­ri­men­ta­tions effec­tuées au début des années 70. Elles ren­ferment la mise en appli­ca­tion, à l’échelle mon­diale, des « Armes Electro-Magnétiques ».
    Les « Chan­ge­ments de Cli­mat » entraî­nant la des­truc­tion des récoltes ; la faillite dans ces condi­tions, des terres agricoles.
    L’avenir du « Contrôle des Popu­la­tions » de ces États passe obli­ga­toi­re­ment par le contrôle abso­lu, par nous, de la pro­duc­tion ali­men­taire à l’échelle mon­diale, et par la prise de contrôle des prin­ci­pales « Routes Ali­men­taires » de la pla­nète. Pour ce faire, il est néces­saire d’utiliser l’Electro-Magnétique, entre autre, pour désta­bi­li­ser les cli­mats des États les plus pro­duc­tifs sur le plan agri­cole. Quant à l’empoisonnement de la nature, elle sera d’autant plus accé­lé­rée que l’augmentation des popu­la­tions l’y pous­se­ra sans res­tric­tion. La déna­tu­ra­tion, par moyens arti­fi­ciels, des pro­duits ali­men­taires de consom­ma­tion cou­rante ; l’empoisonnement de la nature par une exploi­ta­tion exa­gé­rée et incon­si­dé­rée, et l’utilisation mas­sive de pro­duits chi­miques dans l’agriculture ; tout cela, Frères, mène­ra à la ruine assu­rée des indus­tries ali­men­taires des États-Nations.
    26. – L’utilisation de l’Electro-Magnétique pour pro­vo­quer des « Trem­ble­ments de Terre » dans les régions indus­trielles les plus impor­tantes des États-Nations contri­bue­ra à accé­lé­rer la « Chute Éco­no­mique » des États les plus mena­çants pour nous ; de même qu’à ampli­fier l’obligation de la mise en place de notre Nou­vel Ordre Mondial.
    27. – Qui pour­ra nous soup­çon­ner ? Qui pour­ra se dou­ter des moyens uti­li­sés ? Ceux qui ose­ront se dres­ser contre nous en dif­fu­sant de l’information quant à l’existence et au conte­nu de notre « Conspi­ra­tion », devien­dront sus­pects aux yeux des auto­ri­tés de leur Nation et de leur popu­la­tion. Grâce à la dés­in­for­ma­tion, au men­songe, à l’hypocrisie et à l’individualisme que nous avons créé au sein des peuples des États-Nations, l’Homme est deve­nu un Enne­mi pour l’Homme.
    Ain­si ces « Indi­vi­dus Indé­pen­dants » qui sont des plus dan­ge­reux pour nous, jus­te­ment à cause de leur « Liber­té », seront consi­dé­rés par leurs sem­blables comme étant des enne­mis et non des libé­ra­teurs. L’esclavage des enfants, le pillage des richesses du Tiers-Monde, le chô­mage, la pro­pa­gande pour la libé­ra­tion de la drogue, l’abrutissement de la jeu­nesse des Nations, l’idéologie du « Res­pect de la Liber­té Indi­vi­duelle » dif­fu­sée au sein des Églises Judéo-Chré­tiennes et à l’intérieur des États-Nations, l’obscurantisme consi­dé­ré comme une base de la fier­té, les conflits inter-eth­niques, et notre der­nière réa­li­sa­tion : « les Res­tric­tions Bud­gé­taires » ; tout cela nous per­met enfin de voir l’accomplissement ances­tral de notre « Rêve » : celui de l’instauration de notre « NOUVEL ORDRE MONDIAL ».
    Écrit Fin Juin 1985. 

    Ce qui intrigue dans ce texte ce n’est pas seule­ment son contexte, comme les relais pro-NWO et autres idiots utiles le font constam­ment remar­quer en fus­ti­geant un contexte para­noïde ou extrême-droi­tiste (ou extrême-gau­chiste, voire extrême-cen­triste ou nihi­liste, c’est selon), mais le fond du texte lui-même, les infor­ma­tions pré­dic­tives qu’il dévoile et qui se retrouvent pour une par­tie très impor­tante véri­fiés par les faits, plus de 30 ans après leur pre­mière publication… 

    Ce qui importe ici c’est de lire ce qui est écrit noir sur blanc, ce qui a été écrit il y a plus de 30 ans et qui se trouve recou­pé par les faits eux-mêmes. 

    Ci-après : Com­ment mani­pu­ler la popu­lace, en 10 leçons… 

    Com­ment mani­pu­ler la popu­lace, en 10 leçons 

    1/ La stra­té­gie de la distraction
    Élé­ment pri­mor­dial du contrôle social, la stra­té­gie de la diver­sion consiste à détour­ner l’attention du public des pro­blèmes impor­tants et des muta­tions déci­dées par les élites poli­tiques et éco­no­miques, grâce à un déluge conti­nuel de dis­trac­tions et d’informations insi­gni­fiantes. La stra­té­gie de la diver­sion est éga­le­ment indis­pen­sable pour empê­cher le public de s’intéresser aux connais­sances essen­tielles, dans les domaines de la science, de l’économie, de la psy­cho­lo­gie, de la neu­ro­bio­lo­gie, et de la cyber­né­tique. « Gar­der l’attention du public dis­traite, loin des véri­tables pro­blèmes sociaux, cap­ti­vée par des sujets sans impor­tance réelle. Gar­der le public occu­pé, occu­pé, occu­pé, sans aucun temps pour pen­ser ; de retour à la ferme avec les autres ani­maux. » Extrait de « Armes silen­cieuses pour guerres tranquilles ».
    2/ Créer des pro­blèmes, puis offrir des solutions
    Cette méthode est aus­si appe­lée « pro­blème-réac­tion-solu­tion ». On crée d’abord un pro­blème, une « situa­tion » pré­vue pour sus­ci­ter une cer­taine réac­tion du public, afin que celui-ci soit lui-même deman­deur des mesures qu’on sou­haite lui faire accep­ter. Par exemple : lais­ser se déve­lop­per la vio­lence urbaine, ou orga­ni­ser des atten­tats san­glants, afin que le public soit deman­deur de lois sécu­ri­taires au détri­ment de la liber­té. Ou encore : créer une crise éco­no­mique pour faire accep­ter comme un mal néces­saire le recul des droits sociaux et le déman­tè­le­ment des ser­vices publics.
    3/ La stra­té­gie de la dégradation
    Pour faire accep­ter une mesure inac­cep­table, il suf­fit de l’appliquer pro­gres­si­ve­ment, en « dégra­dé », sur une durée de 10 ans. C’est de cette façon que des condi­tions socio-éco­no­miques radi­ca­le­ment nou­velles (néo­li­bé­ra­lisme) ont été impo­sées durant les années 1980 à 1990. Chô­mage mas­sif, pré­ca­ri­té, flexi­bi­li­té, délo­ca­li­sa­tions, salaires n’assurant plus un reve­nu décent, autant de chan­ge­ments qui auraient pro­vo­qué une révo­lu­tion s’ils avaient été appli­qués brutalement.
    4/ La stra­té­gie du différé
    Une autre façon de faire accep­ter une déci­sion impo­pu­laire est de la pré­sen­ter comme « dou­lou­reuse mais néces­saire », en obte­nant l’accord du public dans le pré­sent pour une appli­ca­tion dans le futur. Il est tou­jours plus facile d’accepter un sacri­fice futur qu’un sacri­fice immé­diat. D’abord parce que l’effort n’est pas à four­nir tout de suite. Ensuite parce que le public a tou­jours ten­dance à espé­rer naï­ve­ment que « tout ira mieux demain » et que le sacri­fice deman­dé pour­ra être évi­té. Enfin, cela laisse du temps au public pour s’habituer à l’idée du chan­ge­ment et l’accepter avec rési­gna­tion lorsque le moment sera venu.
    5/ S’adresser au public comme à des enfants en bas âge
    La plu­part des publi­ci­tés des­ti­nées au grand public uti­lisent un dis­cours, des argu­ments, des per­son­nages, et un ton par­ti­cu­liè­re­ment infan­ti­li­sants, sou­vent proche du débi­li­tant, comme si le spec­ta­teur était un enfant en bas âge ou un han­di­ca­pé men­tal. Plus on cher­che­ra à trom­per le spec­ta­teur, plus on adop­te­ra un ton infan­ti­li­sant. Pour­quoi ? « Si on s’adresse à une per­sonne comme si elle était âgée de 12 ans, alors, en rai­son de la sug­ges­ti­bi­li­té, elle aura, avec une cer­taine pro­ba­bi­li­té, une réponse ou une réac­tion aus­si dénuée de sens cri­tique que celles d’une per­sonne de 12 ans ». Extrait de « Armes silen­cieuses pour guerres tranquilles ».
    6/ Faire appel à l’émotionnel plu­tôt qu’à la réflexion
    Faire appel à l’émotionnel est une tech­nique clas­sique pour court-cir­cui­ter l’analyse ration­nelle, et donc le sens cri­tique des indi­vi­dus. De plus, l’utilisation du registre émo­tion­nel per­met d’ouvrir la porte d’accès à l’inconscient pour y implan­ter des idées, des dési­rs, des peurs, des pul­sions, ou des comportements…
    7/ Main­te­nir le public dans l’ignorance et la bêtise
    Faire en sorte que le public soit inca­pable de com­prendre les tech­no­lo­gies et les méthodes uti­li­sées pour son contrôle et son escla­vage. « La qua­li­té de l’éducation don­née aux classes infé­rieures doit être la plus pauvre, de telle sorte que le fos­sé de l’ignorance qui isole les classes infé­rieures des classes supé­rieures soit et demeure incom­pré­hen­sible par les classes infé­rieures. Extrait de « Armes silen­cieuses pour guerres tranquilles ».
    8/ Encou­ra­ger le public à se com­plaire dans la médiocrité
    Encou­ra­ger le public à trou­ver « cool » le fait d’être stu­pide, vul­gaire, et inculte…
    9/ Rem­pla­cer la révolte par la culpabilité
    Faire croire à l’individu qu’il est seul res­pon­sable de son mal­heur, à cause de l’insuffisance de son intel­li­gence, de ses capa­ci­tés, ou de ses efforts. Ain­si, au lieu de se révol­ter contre le sys­tème éco­no­mique, l’individu s’auto déva­lue et culpa­bi­lise, ce qui engendre un état dépres­sif dont l’un des effets est l’inhibition de l’action. Et sans action, pas de révolution!…
    10/ Connaître les indi­vi­dus mieux qu’ils ne se connaissent eux-mêmes
    Au cours des 50 der­nières années, les pro­grès ful­gu­rants de la science ont creu­sé un fos­sé crois­sant entre les connais­sances du public et celles déte­nues et uti­li­sées par les élites diri­geantes. Grâce à la bio­lo­gie, la neu­ro­bio­lo­gie, et la psy­cho­lo­gie appli­quée, sans comp­ter les enquêtes de sur­veillance d’é­coute et de ren­sei­gne­ment.. le « sys­tème » est par­ve­nu à une connais­sance avan­cée de l’être humain, à la fois phy­si­que­ment et psy­cho­lo­gi­que­ment. Le sys­tème en est arri­vé à mieux connaître l’individu moyen que celui-ci ne se connaît lui-même. Cela signi­fie que dans la majo­ri­té des cas, le sys­tème détient un plus grand contrôle et un plus grand pou­voir sur les indi­vi­dus que les indi­vi­dus eux-mêmes

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