[Passionnant] « L’éducation populaire, Monsieur, ils n’en ont pas voulu. » Franck Lepage – Incultures (1) (vidéo 5 h 40, à connaître absolument)

18/12/2016 | 22 commentaires

For­mi­dable confé­rence ges­ti­cu­lée (©) de Franck Lepage, pas­sion­nante, déso­pi­lante, très importante.

Ça fait des années que cette confé­rence a com­men­cé à me trans­for­mer, je ne m’en lasse pas… et elle s’al­longe sans cesse 🙂

Ceux qui ne la connaissent pas vont la dévorer.
Ceux qui la connaissent vont la dévo­rer aussi 🙂
C’est la ver­sion 5 h 40 — encore trop courte ! 🙂

Il fau­dra un jour retrans­crire tout ça, en construire le plan détaillé minuté.
Il y a bien des perles pré­cieuses dans ce document.

L’an­cêtre 🙂 :
http://www.scoplepave.org/l‑education-populaire-monsieur-ils-n-en-ont-pas

Savou­rons (le crayon à la main) et digé­rons ensemble ces pépites de mémoire des luttes : s’il vous plaît, signa­lez (en com­men­taires) vos minu­tages pré­fé­rés, à extraire, à iso­ler, à repu­blier, à retrans­crire, et à com­men­ter, com­plé­ter, cor­ri­ger… Tâchons de mettre en valeur le meilleur.

Au plai­sir de vous lire 🙂

Étienne.
_______________

Fil Face­book cor­res­pon­dant à ce billet :
https://​www​.face​book​.com/​e​t​i​e​n​n​e​.​c​h​o​u​a​r​d​/​p​o​s​t​s​/​1​0​1​5​4​7​9​0​8​7​6​0​5​2​317

Pour m'aider et m'encourager à continuer, il est désormais possible de faire un don.
Un grand merci aux donatrices et donateurs : par ce geste, vous permettez à de beaux projets de voir le jour, pour notre cause commune.
Étienne

Catégorie(s) de l'article :

22 Commentaires

  1. etienne

    Des nouvelles de la lamentable privatisation de la SNCF : 

    Rap­pel (uni­ver­sel) : un État digne de ce nom n’emprunte pas la mon­naie dont il a besoin, il la crée.

    Réponse
  2. etienne

    Grèves, retards, prix prohibitifs : pourquoi certains Britanniques veulent renationaliser leurs chemins de fer

    Les usa­gers dénoncent un ser­vice cau­che­mar­desque au quo­ti­dien, entre retards, pannes, manque de place et annu­la­tions de der­nière minute. Consé­quence, une par­tie de la popu­la­tion et des res­pon­sables poli­tiques demandent une reprise en main du rail par l’E­tat. Explications.

    Un train circule près de Chinley, dans le Derbyshire (Royaume-Uni), le 14 février 2016.
    Un train cir­cule près de Chin­ley, dans le Der­by­shire (Royaume-Uni), le 14 février 2016. (JONATHAN NICHOLSON / NURPHOTO / AFP)

    « Rena­tio­na­li­sez le réseau fer­ro­viaire MAINTENANT ! » C’est le titre que les Bri­tan­niques pou­vaient lire à la une du Dai­ly Mir­ror, mar­di 13 décembre. Dans une tri­bune, le jour­nal dénonce, pêle-mêle, les tarifs « les plus chers d’Eu­rope« et des dys­fonc­tion­ne­ments quo­ti­diens. Les citoyens d’outre-Manche sont nom­breux à avoir réagi à cet appel à « reprendre le contrôle » du rail. Au Royaume-Uni, la pri­va­ti­sa­tion des che­mins de fer a été amor­cée par Mar­ga­ret That­cher au début des années 1980. Treize entre­prises pri­vées se par­tagent désor­mais le réseau.

    Fran­cein­fo vous explique pour­quoi les usa­gers sont en colère.

    Parce qu’ils vivent l’une des pires grèves depuis vingt ans

    Depuis mar­di 13 décembre, 300 000 usa­gers des lignes reliant le sud de l’An­gle­terre à Londres subissent une nou­velle grève, dans le cadre d’un conflit qui dure depuis des mois. Les conduc­teurs de la Sou­thern Rail­way, opé­ra­teur pri­vé mis­sion­né par le gou­ver­ne­ment, dénoncent la volon­té de la com­pa­gnie de leur confier la fer­me­ture et l’ou­ver­ture auto­ma­tique des portes des wagons, jus­qu’i­ci assu­rée par un second employé.

    La Pre­mière ministre, The­re­sa May, a qua­li­fié cette grève d’ « épou­van­table ». Dans un dis­cours au Par­le­ment mer­cre­di, elle a deman­dé un accord rapide entre les gré­vistes et la Sou­thern. L’an­nu­la­tion de plus de 2 000 trains a exa­cer­bé la colère des voya­geurs, pour la plu­part soli­daires des gré­vistes, comme l’a consta­té l’AFP à la gare lon­do­nienne de Victoria.

    Parce que le réseau fonctionne très mal

    Le train Londres-Brigh­ton, qui quitte la capi­tale bri­tan­nique à 7h29 tous les matins, n’est jamais arri­vé à l’heure en 2015, rap­porte l’AFP. Le bilan est conster­nant : quatre trains sur cinq sur cette ligne, assu­rée par la Sou­thern Rail­way, étaient en retard en 2015. « Le maté­riel rou­lant est très ancien », rap­porte une uti­li­sa­trice sur Twit­ter. « Nous payons des sièges et finis­sons par res­ter debout », déplore un inter­naute. « On m’a refu­sé un tra­vail parce que je vivais dans une zone des­ser­vie par la Sou­thern », affirme un autre.

    Parce que les prix sont prohibitifs

    Entre 1995 et 2015, le prix d’un billet de train a aug­men­té en moyenne de 117%. Il y a douze ans, un tra­jet entre Londres et Man­ches­ter coû­tait 50 livres, soit 59 euros. Aujourd’­hui, il faut débour­ser 166 livres, presque le triple.  

    Une étude GoEu­ro réa­li­sée en 2016 montre que les trains bri­tan­niques sont les deuxièmes plus chers d’Eu­rope après les suisses, avec plus de 20 euros en moyenne pour par­cou­rir 100 kilo­mètres. Selon Andy McDo­nald, élu du Par­ti tra­vailliste cité par le Dai­ly Mir­ror, les usa­gers de la Sou­thern dépensent en moyenne 17% de leurs reve­nus médians en abon­ne­ment pour les trans­ports en com­mun, contre 7% en France et en Allemagne.

    La pilule est dure à ava­ler pour les usa­gers. Cer­tains se sou­viennent encore de la pro­messe que leur avait faite le ministre des Trans­ports de l’é­poque, John Mac­Gre­gor, pour jus­ti­fier la pri­va­ti­sa­tion. « Je ne vois aucune rai­son pour laquelle les tarifs devraient aug­men­ter plus rapi­de­ment avec des entre­prises pri­vées. Au contraire, ils seront plus flexibles et bais­se­ront », avait-il annon­cé en 1993.

    Parce que les trains sont bondés

    Jere­my Cor­byn, le lea­der du Par­ti tra­vailliste, n’a pas hési­té à réa­li­ser une vidéo pour illus­trer le pro­blème des trains bon­dés. Il s’est fait fil­mer assis sur le sol du train de 11h11 reliant Londres à Newcastle.

    Dans la vidéo, il dénonce « un pro­blème auquel sont confron­tés de très nom­breux pas­sa­gers », fus­ti­geant au pas­sage la com­pa­gnie Vir­gin. Qui s’est défen­due en arguant que le train n’é­tait pas plein ce jour-là.

    Selon des chiffres offi­ciels relayés par le Dai­ly Mir­ror, pen­dant l’heure de pointe, à Londres, 35% des pas­sa­gers doivent res­ter debout. Le jour­nal rap­porte que le nombre de pas­sa­gers a aug­men­té ces der­nières années sans que les infra­struc­tures évoluent.

    Parce qu’ils ont l’exemple d’une renationalisation réussie

    Pour appuyer leur demande de rena­tio­na­li­ser le tra­fic, les usa­gers en colère s’ap­puient sur un exemple, celui de Rail Track. Cette socié­té bri­tan­nique char­gée du réseau fer­ro­viaire a direc­te­ment été mise en cause, en 1999 et en 2000, quand deux acci­dents ont pro­vo­qué la mort de 35 per­sonnes. Elle était alors noyée sous les dettes et les demandes de com­pen­sa­tions. Dix ans après avoir déci­dé de la pri­va­ti­ser, l’E­tat fait alors machine arrière et reprend son contrôle en 2003.

    L’O­pi­nion sou­ligne que cette reprise a été béné­fique pour le réseau : « Le retour­ne­ment en matière de sécu­ri­té est presque total. » Aucun décès n’a été enre­gis­tré depuis 2007 et aucun employé n’a trou­vé la mort depuis 2005, fai­sant du Royaume-Uni le deuxième pays euro­péen le plus sûr en matière ferroviaire.

    Source : http://​www​.fran​cet​vin​fo​.fr/​m​o​n​d​e​/​r​o​y​a​u​m​e​-​u​n​i​/​g​r​e​v​e​s​-​r​e​t​a​r​d​s​-​p​r​i​x​-​p​r​o​h​i​b​i​t​i​f​s​-​p​o​u​r​q​u​o​i​-​c​e​r​t​a​i​n​s​-​b​r​i​t​a​n​n​i​q​u​e​s​-​v​e​u​l​e​n​t​-​r​e​n​a​t​i​o​n​a​l​i​s​e​r​-​l​e​u​r​s​-​c​h​e​m​i​n​s​-​d​e​-​f​e​r​_​1​9​7​0​1​1​7​.​h​tml

    Com­men­taire des Éco­no­mistes Atter­rés : « avec la pri­va­ti­sa­tion [des trains anglais], on leur avait pré­dit une baisse des tarifs. Ils ont aug­men­té de 115% en 10 ans. Et le ser­vice s’est consi­dé­ra­ble­ment dégra­dé. » :
    https://​www​.face​book​.com/​a​t​t​e​r​r​e​s​/​p​o​s​t​s​/​1​3​3​1​6​3​3​8​3​0​2​2​1​125

    Réponse
    • Aquablue03

      Une grève a tou­jours une bonne rai­son pour exis­ter ! La casse du rail est aus­si com­men­cée en France depuis long­temps, sur­tout les petites lignes !

      Je revien­drai plus tard sur la vidéo de 5 h 40, 1 h 20, c’est le trait maxi­mum que je puisse sup­por­ter de ce rire impo­sé à mon oreille gauche, son écran ava­leur des paroles de Franck Lepage ! J’au­rais ado­ré sans. 

      Pour M.Lepage, tout se trans­forme, tout est donc cri­ti­quable et c’est plu­tôt ras­su­rant… la culture des riches comme celle des pauvres aus­si ! Et je mets les riches au défi de vivre avec les moyens à dis­po­si­tion des pauvres ! Je ne parle pas là des mar­gi­naux de notre actua­li­té, ceux qui font la route, et celles et ceux en retours inter­mit­tents ! Mais bien des gens aux situa­tions très pré­caires, sou­vent retrai­tés, sans réels moyens de sub­sis­ter qui n’al­tèrent en rien leurs connais­sances acquises au cours de leur vie passée !

      La culture est une affaire d’ar­ro­sage ! Tout dépend de ce que l’on cultive, de la graine de cra­pule, à la graine de courge, il faut se bais­ser et seul le bon jar­di­nier aura son rendu !

      ève

      Réponse
  3. etienne

    La Grèce crève sous les coups meur­triers du régime assas­sin qu’est la pré­ten­due « union euro­péenne ». ÉC.

    Grèce : la honte et la colère

    La Grèce revient sur le devant de l’actualité avec un inci­dent qui dit, en des termes d’une telle sim­pli­ci­té qu’elle en devient évi­dente, la réa­li­té de l’oppression exer­cée par l’Union euro­péenne sur ce pauvre pays.


    Le Méca­nisme Euro­péen de Sta­bi­li­té (MES), vient d’annoncer le gel du « toi­let­tage » de la dette déci­dé par l’Eurogroupe du 5 décembre der­nier. Cela signi­fie, en clair que Les créan­ciers euro­péens de la Grèce ont sus­pen­du les mesures prises sur la dette la semaine pas­sée. Jeroen Dijs­sel­bloem, le pré­sident de l’Eurogroupe qui dirige de fait le MES, le dit sans ambages : « Les ins­ti­tu­tions sont arri­vées à la conclu­sion que les actions du gou­ver­ne­ment grec semblent ne pas être en ligne avec nos accords »[1]. Ce qui est en cause est une mesure sociale, par­fai­te­ment dans la ligne de ce qui est auto­ri­sé au gou­ver­ne­ment grec par les dits « accords », au pro­fit des retrai­tés. En effet le mémo­ran­dum d’août 2015, signé on le rap­pelle sous la contrainte, le cou­teau sous la gorge, pré­voit que la Grèce puisse dis­po­ser de sommes équi­va­lentes à 40 % des excé­dents bud­gé­taires sup­plé­men­taires déga­gés par le pays. Or, cet excé­dent bud­gé­taire s’est éle­vé en octobre 2016 à envi­ron 3 mil­liards d’euros. Les mesures pré­vues par le gou­ver­ne­ment grec au pro­fit des retrai­tés ne cou­te­ront que de 674 mil­lions d’euros. On le constate, le MES, et M. Dijs­sel­bloem en par­ti­cu­lier, mène une poli­tique d’humiliation sys­té­ma­tique du gou­ver­ne­ment grec.

    Rap­pe­lons que, depuis qu’elle applique les mesures d’austérité impo­sées par ses créan­ciers, la « Troï­ka » soit l’Union euro­péenne, la BCE et le FMI, le PIB de la Grèce est reve­nu à son niveau de 2014. Les inves­tis­se­ments (en capi­tal fixe) sont des­cen­dus quant à eux sous leur niveau de 1996, autre­ment dit d’il y a 20 ans.

    Gra­phique 1

    Evo­lu­tion du PIB et de l’investissement en capi­tal fixe (à prix constants)

    a-01-grece-a

    Source : Elstat

    La situa­tion est d’ailleurs d’autant plus dra­ma­tique si l’on regarde les inves­tis­se­ments par sec­teurs. Dans l’industrie méca­nique, on est au-des­sous du niveau de 1997. Pour les trans­ports, au niveau de 1996, et pour le loge­ment bien en-des­sous du niveau de 1996. Non seule­ment on affame et l’on assas­sine le peuple grec aujourd’hui, mais on lui retire tous les moyens de pou­voir un jour se redresser.

    Gra­phique 2

    Evo­lu­tion de l’investissement en capi­tal fixe par acti­vi­té (à prix constants)

    a-01-grece-b

    Source : Elstat

    La situa­tion de la Grèce est aujourd’hui à ce point dra­ma­tique que le FMI, qui en a pour­tant vu d’autres, appelle les ins­ti­tu­tions euro­péennes à auto­ri­ser les mesures prises par le gou­ver­ne­ment grec et à annu­ler une par­tie impor­tante de la dette grecques. Mais, rien n’y fait et n’y fera. Les ins­ti­tu­tions euro­péennes n’ont de cesse que d’obtenir la chute du gou­ver­ne­ment Tsi­pras et conduisent à son égard une véri­table ven­det­ta politique.

    Cela montre bien, s’il en était besoin, que la capi­tu­la­tion de juillet 2015 n’a ser­vi à rien. Seule, une poli­tique de rup­ture avec les ins­ti­tu­tions euro­péennes, et avec l’Eurogroupe, pou­vait per­mettre à la Grèce de retrou­ver un espoir. Il n’y a pas d’avenir pour la Grèce si elle reste dans la zone euro, ni d’ailleurs pour les autres nations de l’Europe du sud.

    Ce fut la res­pon­sa­bi­li­té de Tsi­pras de refu­ser cela, et ce en dépit du man­dat clair qu’il avait pu obte­nir du peuple grec lors du réfé­ren­dum. Mais, le fait d’avoir tra­hi son man­dat ne l’a pas sau­vé de la vin­dicte des ins­ti­tu­tions euro­péennes. Il fau­dra se sou­ve­nir de cela lors de l’élection pré­si­den­tielle d’avril-mai 2017, et ne pas élire quelqu’un dont la main, au moment déci­sif, soit sus­cep­tible de trembler.

    Jacques Sapir

    [1] Godin R., http://​www​.latri​bune​.fr/​e​c​o​n​o​m​i​e​/​u​n​i​o​n​e​u​r​o​p​e​e​n​n​e​/​g​r​e​c​e​-​l​e​u​r​o​g​r​o​u​p​e​-​g​e​l​e​-​l​e​s​m​e​s​u​r​e​s​-​s​u​r​-​l​a​-​d​e​t​t​e​-​6​2​4​8​6​7​.​h​tml

    Source : Russeurope,
    https://​www​.face​book​.com/​j​a​c​q​u​e​s​.​s​a​p​i​r​/​p​o​s​t​s​/​9​4​6​0​7​8​9​2​5​5​2​2​026

    Réponse
  4. etienne

    Prises de décision, pièges de la pensée

    Rémi Lar­rousse | TEDxVaugirardRoad

    Réponse
    • Aquablue03

      LA RÉVOLUTION NE SE PRODUIRA PAS DANS UNE SALLE DE CLASSE
      À quoi donc pour­rait bien ser­vir une salle de classe après un réveil poli­tique du prof ou intervenant ?
      Je vous sou­haite une année à la hau­teur de vos espé­rances , riche en évè­ne­ments de grandes impor­tances , pleine aus­si de ces petits bon­heurs résis­tants ! Bonne année 2017

      Réponse
  5. etienne

    Un exemple de COLLOQUE, avec un jar­gon vrai­ment comique, celui-là même qui est si bien moqué par Franck :

    Les expérimentations démocratiques aujourd’hui – Appel à contributions

    http://​www​.par​ti​ci​pa​tion​-et​-demo​cra​tie​.fr/​f​r​/​n​o​d​e​/​2​1​50/

    Je serais curieux de savoir si les par­ti­ci­pants à ce col­loque vont y évo­quer les ate­liers consti­tuants popu­laires (et conta­gieux) 🙂 et, si oui, dans quels termes 🙂

    Est-ce qu’un virus pari­sien (et cou­ra­geux) pour­rait y aller, et puis nous raconter ? 🙂

    Réponse
  6. Ronald

    On retombe dans le pro­blème du « séné­cha­lisme ». Il ne faut pas que la forme contre­dise le fond. De la même manière qu’on ne peut pas attendre d’une élite-poli­ti­que­ment-consciente-gui­dant-le-pro­lé­ta­riat-vers-la-vic­toire ins­taure la démo­cra­tie, on ne peut pas espé­rer mobi­li­ser mon­sieur tout-le-monde quand on emploie un jar­gon indigeste.

    En reli­sant len­te­ment et en essayant de com­prendre, le pro­gramme semble cepen­dant inté­res­sant. Il est d’ailleurs détaillé ici :

    http://​www​.par​ti​ci​pa​tion​-et​-demo​cra​tie​.fr/​f​r​/​c​o​n​t​e​n​t​/​l​e​s​-​e​x​p​e​r​i​m​e​n​t​a​t​i​o​n​s​-​d​e​m​o​c​r​a​t​i​q​u​e​s​-​a​u​j​o​u​r​d​h​u​i​-​p​r​o​g​r​a​m​m​e​-​d​u​-​c​o​l​l​o​que

    Je n’ai juste pas vu com­ment on s’ins­crit. J’es­père qu’en plus ce n’est pas réser­vé à un cercle restreint !

    C’est vrai que « La pro­blé­ma­tique des com­muns (com­mons), au cœur des tran­si­tions en cours, déplace l’attention vers la construc­tion de nou­veaux par­te­na­riats dans des pro­ces­sus ascen­dants d’innovation sociale et éco­lo­gique uti­li­sant lar­ge­ment le numé­rique » semble direc­te­ment rédi­gé par la méthode de Franck Lepage. Quant au « ter­rain poli­tique d’une conflic­tua­li­té que la concer­ta­tion ambi­tion­nait de dépas­ser par le dia­logue et la recherche de solu­tions négo­ciées », c’est sûr que ça fait avan­cer les choses 🙂

    Ils me semblent bien inten­tion­nés, mais c’est vrai que leur méthode ne fera sans doute pas trem­bler le pou­voir. Comme l’é­crit l’au­teur, « on assiste éga­le­ment à l’émergence d’une nov­langue asep­ti­sant la dimen­sion cri­tique » (sic, je vous le jure !).

    Réponse
    • Ronald

      Ce post était en réponse au pré­cé­dent sur « Les expé­ri­men­ta­tions démo­cra­tiques aujourd’hui »

      Réponse
  7. etienne

    [CRAPULERIE POLITICIENNE GÉNÉRALISÉE] Christine Lagarde jugée COUPABLE par la CJR MAIS DISPENSÉE DE PEINE !

    par MICHEL DELÉAN

    L’ex-ministre de l’é­co­no­mie a été décla­rée cou­pable de négli­gence dans l’af­faire de l’ar­bi­trage Tapie par la Cour de jus­tice de la Répu­blique (CJR), ce lun­di 19 décembre. Mais la Cour a choi­si de la dis­pen­ser de toute peine. Une déci­sion peu sur­pre­nante au vu de cette juri­dic­tion d’ex­cep­tion, conçue pour épar­gner aux poli­tiques les foudres de la jus­tice ordi­naire. Media­part met en ligne l’ar­rêt de la CJR. Le FMI se réuni­ra « sous peu » pour exa­mi­ner les suites à don­ner à cette condamnation.

    La for­ma­tion de juge­ment de la Cour de jus­tice de la Répu­blique (CJR), où les par­le­men­taires sont lar­ge­ment majo­ri­taires, a décla­ré Chris­tine Lagarde cou­pable de négli­gence dans la ges­tion de l’af­faire de l’ar­bi­trage Tapie, ce lun­di 19 décembre. La CJR ne retient tou­te­fois cette culpa­bi­li­té que sur un point de l’ac­cu­sa­tion du chef de négli­gence, et dis­pense de peine l’an­cienne ministre et actuelle direc­trice géné­rale du Fonds moné­taire inter­na­tio­nal (FMI). La Cour n’a pas sui­vi les réqui­si­tions de relaxe du pro­cu­reur géné­ral Jean-Claude Marin.

    Chris­tine Lagarde était jugée pré­ci­sé­ment pour « détour­ne­ment de fonds publics com­mis par un tiers et résul­tant de la négli­gence » d’une per­sonne dépo­si­taire de l’au­to­ri­té publique, et ris­quait un an de pri­son et 15 000 euros d’amende (selon l’article 432–16 du code pénal). La com­mis­sion d’ins­truc­tion (trois juges) de la CJR lui repro­chait une série de négli­gences dans le choix, fait rapi­de­ment, de recou­rir à un arbi­trage pour régler le litige entre Ber­nard Tapie et le CDR, puis la déci­sion, tout aus­si rapide, de ne pas enga­ger de recours quand il est appa­ru que la sen­tence arbi­trale coû­te­rait 403 mil­lions d’eu­ros aux finances publiques et rap­por­te­rait en outre quelque 45 mil­lions à Ber­nard Tapie au titre du pré­ju­dice moral.

    Christine Lagarde à l'ouverture de son procès © ReutersChris­tine Lagarde à l’ou­ver­ture de son pro­cès © Reuters

     
    La CJR a relaxé Chris­tine Lagarde pour la pre­mière par­tie des griefs, en esti­mant que le recours à l’ar­bi­trage pou­vait se défendre à l’é­poque, « compte tenu de l’é­chec des pré­cé­dentes ten­ta­tives de média­tion et des mul­tiples conten­tieux aux­quels il conve­nait, selon elle, de mettre fin en rai­son de leur durée et de leur coût ». En revanche, la Cour a consi­dé­ré que « la déci­sion de ne pas for­mer de recours en annu­la­tion, prise 19 jours avant l’ex­pi­ra­tion du délai pré­vu par la loi », après la sen­tence arbi­trale extê­me­ment défa­vo­rable aux inté­rêts de l’É­tat, et mira­cu­leuse pour Tapie, consti­tuait bien une faute péna­le­ment répré­hen­sible. La CJR note que Chris­tine Lagarde est « avo­cate de pro­fes­sion » , dit s’être « impli­quée per­son­nel­le­ment dans la ges­tion du dos­sier », et déclare avoir été « conster­née et stu­pé­faite » en décou­vrant la sen­tence arbitrale.Face à un pré­ju­dice moral aus­si élé­vé qu’im­pré­vu, la ministre a failli : « Une demande d’ex­pli­ca­tions auprès de son cabi­net, de l’APE et des repré­sen­tants de l’E­tat auprès de l’EP­FR s’im­po­sait pour com­prendre le pro­ces­sus d’une sen­tence arbi­trale aus­si cho­quante », estime la Cour de jus­tice. « Une telle demande aurait, sans nul doute, per­mis de décou­vrir, comme l’a fait plus tard la Cour des comptes, une modi­fi­ca­tion de la rédac­tion du com­pro­mis d’ar­bi­trage », et aurait pu « conduire à l’ou­ver­ture d’un recours en annu­la­tion ». La CJR retient éga­le­ment que la ministre n’a pas lu une note de l’APE sur le coût de cette sen­tence arbi­trale, qu’elle n’a pas étu­dié la sen­tence elle-même, et qu’elle n’a pas consul­té les adver­saires de l’ar­bi­trage avant de déci­der l’ab­sence de recours. « L’en­semble de ces éle­ments est révé­la­teur d’une négli­gence dans la recherche d’in­for­ma­tions à laquelle Mme Lagarde aurait dû pro­cé­der avant de prendre sa déci­son », estime la Cour.

    La CJR n’a pas trou­vé trace d’ins­truc­tions poli­tiques don­nées à Chris­tine Lagarde, qui a assu­mé son choix de ne pas inten­ter de recours. Elle consi­dère éga­le­ment que le détour­ne­ment de fonds publics est suf­fi­sam­ment carac­té­ri­sé, contrai­re­ment à la défense de l’ex-ministre. « La déci­sion de la ministre de ne pas exer­cer un recours en annu­la­tion dont les chances de suc­cès n’é­taient pas négli­geables a ren­du, in fine, iné­luc­table l’ap­pro­pria­tion frau­du­leuse par les époux Tapie de la somme de 45 mil­lions deu­ros, ce qui consti­tuait l’a­bou­tis­se­ment d’un pro­ces­sus délic­tuel enga­gé de longue date », juge-t-elle.

    Mais afin de tenir compte à la fois de l’an­nu­la­tion de l’ar­bi­trage en 2015, de la per­son­na­li­té de Chris­tine Lagarde, de sa « répu­ta­tion natio­nale et inter­na­tio­nale », et de la dif­fi­cul­té de ses fonc­tions de l’é­poque, alors que la crise finan­cière mon­diale com­men­çait, la CJR l’a dis­pen­sée de peine, a expli­qué la pré­si­dente Mar­tine Ract-Madoux. Cette condam­na­tion ne sera pas ins­crite au casier judi­ciaire de Chris­tine Lagarde.

    Lire ci-des­sous l’ar­rêt de la CJR :

    Cette déci­sion mi-chèvre mi-chou – pour ne pas dire plus – illustre une fois de plus la répu­gnance de cette juri­dic­tion d’ex­cep­tion à pro­non­cer des sanc­tions contre les poli­tiques, et ne rehaus­se­ra pas son pres­tige. Chris­tine Lagarde n’a d’ailleurs pas dai­gné assis­ter au pro­non­cé du juge­ment, ce lun­di au palais de jus­tice de Paris : elle avait rega­gné Washing­ton dès same­di, selon son défen­seur Patrick Maisonneuve.L’actuelle direc­trice géné­rale du FMI avait été bous­cu­lée pen­dant le pro­cès, cer­taines de ses expli­ca­tions étant appa­rues peu convain­cantes. La pré­si­dente Mar­tine Ract-Madouxa diri­gé les débats sans com­plai­sance, et quelques par­le­men­taires de l’actuelle majo­ri­té (comme Marie-Fran­çoise Bech­tel) ont posé des ques­tions per­ti­nentes à Chris­tine Lagarde (ceux de l’opposition se sont mon­trés plus com­pré­hen­sifs, quand ils ne sont pas res­tés muets).

    Les témoi­gnages à charge de Bru­no Bézard, for­te­ment oppo­sé à l’ar­bi­trage Tapie quand il était direc­teur de l’A­gence des par­ti­ci­pa­tions de l’É­tat (APE) à Ber­cy, et de Thier­ry Bre­ton, le pré­dé­ces­seur de Chris­tine Lagarde au minis­tère de l’é­co­no­mie, qui l’a­vait impli­ci­te­ment contre­dite, ont sans doute pesé dans la balance. Ven­dre­di 16 décembre, à la fin des débats, Chris­tine Lagarde avait, dans une courte décla­ra­tion, à nou­veau assu­mé ses déci­sions, prises « avec pour seul objec­tif la défense de l’in­té­rêt géné­ral ».

    Dans le volet non minis­té­riel de cette affaire, six per­sonnes sont mises en exa­men et risquent d’être ren­voyées pro­chai­ne­ment devant le tri­bu­nal cor­rec­tion­nel : il s’a­git de Ber­nard Tapie, Pierre Estoup, Mau­rice Lan­tourne, Sté­phane Richard, Jean-Fran­çois Roc­chi et Ber­nard Sce­ma­ma. L’ar­bi­trage tru­qué ayant fini par être annu­lé en 2015.

    Pour sta­tuer sur la culpa­bi­li­té d’un ancien ministre accu­sé d’a­voir com­mis une infrac­tion dans l’exer­cice de ses fonc­tions, le vote des juges de la CJR se fait lors d’un déli­bé­ré (à l’is­sue du pro­cès), à bul­le­tin secret, et à la majo­ri­té abso­lue. La for­ma­tion de juge­ment est consti­tuée de trois magis­trats pro­fes­sion­nels, six dépu­tés et six séna­teurs (lire sa com­po­si­tion sous l’on­glet Pro­lon­ger). Enfin, un arrêt de la CJR peut, en théo­rie, faire l’ob­jet d’un pour­voi en cas­sa­tion pour un motif de droit, mais cela ne s’est encore jamais produit.

    Véri­table usine à gaz, la CJR a été conçue en 1994, après le scan­dale du sang conta­mi­né, pour épar­gner aux poli­tiques les foudres de la jus­tice ordi­naire. Son fonc­tion­ne­ment consiste à fil­trer très sévè­re­ment les plaintes dépo­sées contre les ministres (au stade de la com­mis­sion des requêtes), à ins­truire pai­si­ble­ment les plus sérieuses d’entre elles (au stade de la com­mis­sion d’ins­truc­tion), puis éven­tuel­le­ment à orga­ni­ser un pro­cès public quand cela devient inévitable.

    Le bilan de cette juri­dic­tion d’ex­cep­tion est famé­lique(lire notre ana­lyse ici). De fait, seuls Edmond Her­vé (dis­pen­sé de peine en 1999), Michel Gil­li­bert (en 2004) puis Charles Pas­qua (en 2010) avaient été condam­nés par la CJR, long­temps après les faits, dans des cir­cons­tances cri­ti­quées, et sans qu’une peine de pri­son ferme ait jamais été pro­non­cée. Pen­dant la cam­pagne pré­si­den­tielle de 2012, Fran­çois Hol­lande avait annon­cé son inten­tion de sup­pri­mer la CJR. Une pro­messe non tenue.

    hollandecjr

    De son côté, le Fonds moné­taire inter­na­tio­nal a aus­si­tôt fait savoir que son « conseil d’ad­mi­nis­tra­tion s’est réuni par le pas­sé pour exa­mi­ner les déve­lop­pe­ments de l’action en jus­tice en France. Il est pré­vu qu’il se réuni­ra de nou­veau sous peu pour en exa­mi­ner les der­niers déve­lop­pe­ments ». Chris­tine Lagarde a décro­ché cet été des pays action­naires du Fonds la pos­si­bi­li­té de faire un deuxième man­dat en tant que direc­trice géné­rale : il doit débu­ter en février 2017. Il semble peu pro­bable, en l’ab­sence de peine pro­non­cée par la CJR et si le gou­ver­ne­ment fran­çais conti­nue à la sou­te­nir, qu’elle soit écar­tée de la direc­tion de l’ins­ti­tu­tion internationale.

    Le sou­tien de la France ne s’est pas fait attendre. Dans un com­mu­ni­qué dif­fu­sé par le ministre de l’é­co­no­mie Michel Sapin, on lit ceci : « Le gou­ver­ne­ment prend acte de la déci­sion de la Cour de Jus­tice de la Répu­blique qui, tout en la recon­nais­sant cou­pable de « négli­gence », l’a dis­pen­sée de peine. Cette déci­sion porte sur des faits anté­rieurs à la prise de fonc­tion de Chris­tine Lagarde à la tête du Fonds Moné­taire Inter­na­tio­nal (FMI). Chris­tine Lagarde exerce son man­dat au FMI avec suc­cès et le gou­ver­ne­ment main­tient toute sa confiance en sa capa­ci­té à y exer­cer ses res­pon­sa­bi­li­tés ».

    Lire la com­po­si­tion de la Cour sous l’on­glet Prolonger

    Source : Média­part, le seul jour­nal en France, désor­mais, qui n’ap­par­tient pas aux 10 barons voleurs :
    https://​www​.media​part​.fr/​j​o​u​r​n​a​l​/​f​r​a​n​c​e​/​1​9​1​2​1​6​/​c​h​r​i​s​t​i​n​e​-​l​a​g​a​r​d​e​-​j​u​g​e​e​-​c​o​u​p​a​b​l​e​-​p​a​r​-​l​a​-​c​j​r​-​m​a​i​s​-​d​i​s​p​e​n​s​e​e​-​d​e​-​p​e​ine
    Abon­nez-vous : ces (vrais) jour­na­listes ont besoin de nous !

    Réponse
    • Aquablue03

      Les profs aus­si ont des pro­blèmes ! Les ennuis sérieux des élèves devraient les inter­pel­ler davan­tage dans l’exer­cice de leur pro­fes­sion ! Non pas en se sub­sti­tuant à la place des ser­vices sociaux , mais en par­ti­ci­pant à la recon­quête de l’é­lève en détresse en pro­po­sant des solu­tions après une écoute pri­vée ou en groupe selon le cas ! Et je suis sûre que la leçon de géo sera sui­vie et apprise !
      Le tableau de ma classe est rare­ment pour moi , mais à 85% pour les gens qui viennent apprendre le français !
      c’est un expo­sé pour le moins inquié­tant , parce qu’in­con­nu ! Com­ment faire pour ne pas lais­ser entrer l’argent en com­pé­ti­tion avec les besoins en com­pé­tences ? Cette mar­chan­di­sa­tion me fait pen­ser à une cer­taine période , peut-être encore d’ac­tua­li­té , qui consis­tait à chas­ser des têtes d’é­lites , sol­li­ci­tées pour des postes clés dans cer­tains domaines de pointe !
      Un truc de nature à dépré­cier tous les autres tout aus­si méri­tants dans des sec­teurs dif­fé­rents ! Ces pra­tiques devraient être inter­dites dans la consti­tu­tion à venir . Bon , je ne suis pas un robot ! lolol
      Bonne nuit
      ève

      Réponse
  8. etienne

    [Fripouilles politiciennes, bandits cravatés] Scandale Lagarde, une « négligence » de 400 millions d’€ !…

    Source : Le Fil d’Actu

    Réponse
    • Aquablue03

      Pas s’é­ner­ver , vous allez nous faire une pous­sée de tension !
      Pre­nez soin !

      Réponse
  9. etienne

    Extrait remar­quable (de 46:42 à 49:07) :

    « […] En tout cas les sommes sont là : qu’on ne vienne pas me dire qu’un pays qui est capable de dis­tri­buer un mil­liard de dis­penses fis­cales à des gens qui n’en font rien n’est pas capable de mettre le même mil­liard pour éta­blir des lycées pro­fes­sion­nels, éta­blir des ensei­gnants sur place, et ain­si de suite, ce n’est pas vrai, on peut le faire, et il n’y a pas besoin de s’é­va­nouir en deman­dant com­bien ça va coû­ter 🙂 parce que de toute façon, cet argent-là, il est pas dif­fi­cile à trouver : […] » 

    Suit une tirade remar­quable contre les banques : https://​you​tu​.be/​4​v​h​Q​I​a​0​K​A​t​w​?​t​=​4​6​m​41s

    Réponse
  10. Gaudefroy

    La poli­tique étran­gère Fran­çaise (exer­cée par une caste en notre nom) semble être une béné­dic­tion pour les indus­triels de l’armement : 

    Ventes d’armes : la France bientôt devant la Russie ?

    https://​fran​cais​.rt​.com/​e​c​o​n​o​m​i​e​/​3​0​9​5​7​-​v​e​n​t​e​s​-​d​a​r​m​e​s​-​f​r​a​n​c​e​-​b​i​e​n​t​o​t​-​d​e​v​a​n​t​-​r​u​s​sie

    Réponse
  11. Aquablue03

    Un conden­sé de J.L.Mélenchon bien per­cu­tant , et néces­saire dans cette par­tie du globe un peu consi­dé­rée comme entiè­re­ment à part ! Je le remer­cie d’a­voir fait le dépla­ce­ment jus­qu’aux Antilles , tout comme vous jus­qu’à l’île de la Réunion ! Ils ont besoin de cette recon­nais­sance je crois , de ne pas se sen­tir aban­don­nés à leur sort !
    Un film à voir si vous avez un peu de temps et si vous arri­vez à le trou­ver ,  » Rue case nègres  » ! Long métrage tour­né loca­le­ment avec des artistes locaux dans un patois local à l’ époque du siècle dernier !
    Bonnes vacances à vous
    ève

    Réponse
  12. RV

    Prises de déci­sion, pièges de la pensée

    quel inté­rêt ?
    quelle pertinence ?

    Réponse
  13. Didier SOMVONGS

    Bon­jour

    à pro­pos de Frank Lepage. Je ne le connais­sais pas. C’est géant.
    je ne le connais­sais pas… pas plus que vous. Vous êtes géant.
    vous enten­drez par­lez de nous car nous sommes sur la même lon­gueur d’ondes sur beau­coup de points.
    Notre sou­tien moral dans un pre­mier temps… qui sera sui­vi par une par­ti­ci­pa­tion à l’é­la­bo­ra­tion consti­tuante par la suite.

    Réponse

Laisser un commentaire

Derniers articles

Essai pour un contrôle populaire des institutions – DÉFINITION, FORCE ET ENJEUX DE LA CONSTITUTION : pourquoi nous sommes complètement fous de ne pas nous y intéresser en priorité absolue (3 vidéos intégrales et texte)

Essai pour un contrôle populaire des institutions – DÉFINITION, FORCE ET ENJEUX DE LA CONSTITUTION : pourquoi nous sommes complètement fous de ne pas nous y intéresser en priorité absolue (3 vidéos intégrales et texte)

Chers amis, Je récapitule, sur ma chaîne et dans ce billet, les vidéos que j'ai conçues et publiées pour Une Nôtre Histoire pour faire le point sur la démocratie et les institutions, en insistant évidemment sur l'importance prioritaire d'un processus constituant...