[Rendez-vous] 23 sept 2016 : présentation du film Demain à Puyloubier (13)

17/09/2016 | 3 commentaires

Je serai à Puy­lou­bier (tout près de chez moi, pour une fois, au pied de la mon­tagne Sainte-Vic­toire), ven­dre­di pro­chain 23 sep­tembre 2016 à 19 h 30, pour pré­sen­ter (en 15–20 min) le film Demain :

Comme vous le savez sans doute, le pro­jet de Cyril et de Méla­nie, avec Demain, est de décrire une foule d’ac­tions posi­tives enthou­sias­mantes, un peu par­tout sur terre, actions pour le BIEN COMMUN menées par des col­lec­tifs bien moti­vés, pour nous remon­ter le moral en asso­ciant les idées de pro­jets citoyens, éco­lo­giques et soli­daires, de mon­naies locales, de vraie démo­cra­tie… en remon­tant même, fina­le­ment, à la cause pre­mière de nos impuis­sances poli­tiques pour défendre — tenez-vous bien — les très néces­saires assem­blées consti­tuantes tirées au sort !… 🙂 

Un film épa­tant, donc, qu’on revoit tou­jours avec plai­sir sans se las­ser, tant il four­mille de détails exci­tants et sti­mu­lants. C’est un grand réser­voir d’op­ti­misme et de bonne humeur 🙂

Si vous habi­tez dans la région d’Aix-Mar­seille, je serai heu­reux de vous y ren­con­trer (on pren­dra sûre­ment un pot après le débat qui sui­vra le film).

Étienne.

Fil Face­book cor­res­pon­dant à ce billet :
https://​www​.face​book​.com/​e​t​i​e​n​n​e​.​c​h​o​u​a​r​d​/​p​o​s​t​s​/​1​0​1​5​4​5​1​1​3​6​7​2​6​7​317

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Étienne

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3 Commentaires

  1. etienne

    [Très inté­res­sant]

    La Revanche du Rameur par Dominique Dupagne

  2. etienne

    [bien dit] « Pen­ser par soi-même » :
    https://​www​.face​book​.com/​p​a​t​r​i​c​k​.​l​a​p​l​a​n​t​e​/​v​i​d​e​o​s​/​v​b​.​6​2​8​7​5​1​2​7​8​/​1​0​1​5​3​9​5​6​5​9​7​2​1​6​2​7​9​/​?​t​y​p​e​=​2​&​t​h​e​a​ter

    Mais deman­der aux « élus » de ser­vir l’in­té­rêt géné­ral, c’est oublier que les élus servent NATURELLEMENT, for­cé­ment, méca­ni­que­ment, les inté­rêts de ceux qui les font élire, et pas du tout ceux de ceux qui les élisent.

    Avec l’é­lec­tion, les pires gouverneront.
    Toujours.

    Pen­ser l’é­lec­tion par soi-même conduit pro­gres­si­ve­ment à la condam­ner radi­ca­le­ment, et à lui pré­fé­rer le tirage au sort (avec contrôle ser­ré des tirés au sort par d’autres tirés au sort).

    https://​www​.chouard​.org/​2​0​1​6​/​0​4​/​1​3​/​a​r​g​u​m​e​n​t​s​-​p​o​u​r​-​d​e​b​a​t​t​r​e​-​a​u​t​o​u​r​-​d​e​-​v​o​u​s​-​s​u​r​-​l​e​-​t​h​e​m​e​-​e​l​e​c​t​i​o​n​-​o​u​-​t​i​r​a​g​e​-​a​u​-​s​o​rt/

  3. etienne

    Autoroutes : Bercy se bat pour éviter toute transparence

    18 sept 2016 | par Mar­tine ORANGE

    Le minis­tère de l’économie et des finances se pour­voit en cas­sa­tion auprès du conseil d’État, dans l’espoir de ne pas avoir à trans­mettre à Ray­mond Avrillier l’accord signé entre l’État et les socié­tés auto­rou­tières en avril 2015. Mais qu’a donc à cacher Ber­cy pour s’opposer avec tant de constance à toutes les demandes de com­mu­ni­ca­tion de ce docu­ment, au moment où il annonce un énième pro­gramme autoroutier ?

    Mais qu’a donc à cacher le minis­tère de l’économie et des finances pour s’opposer à toutes les demandes de com­mu­ni­ca­tion de l’accord signé entre l’État et les socié­tés conces­sion­naires d’autoroutes le 9 avril 2015 ? Une nou­velle fois, Ray­mond Avrillier, éco­lo­giste de longue date et ancien maire adjoint de Gre­noble, s’est heur­té à une fin de non-rece­voir au minis­tère de l’économie, lorsqu’il a deman­dé l’accès à ce pro­to­cole. Il avait pour­tant en poche le juge­ment du tri­bu­nal admi­nis­tra­tif de Paris du 13 juillet, enjoi­gnant à Ber­cy de lui trans­mettre les docu­ments publics deman­dés (lire notre pré­cé­dent article). Constes­tant cette déci­sion, le minis­tère a déci­dé de se pour­voir en cas­sa­tion auprès du conseil d’État et donc de refu­ser toute com­mu­ni­ca­tion du texte de l’accord, comme il l’en a infor­mé dans un cour­rier daté du 12 sep­tembre. Juste avant que le gou­ver­ne­ment annonce ce dimanche 18 sep­tembre, un nou­veau plan auto­rou­tier de 1 mil­liard d’euros. 

    La déci­sion de faire appel du juge­ment du tri­bu­nal admi­nis­tra­tif a été prise, alors qu’Emmanuel Macron était encore ministre de l’économie. « Mais cette déci­sion est une posi­tion du minis­tère, pas celle du ministre. L’analyse de Ber­cy est que ce pro­to­cole est un texte pré­pa­ra­toire, com­mun aux six socié­tés conces­sion­naires. Il n’a pas à être com­mu­ni­qué. Les vrais accords socié­té par socié­té ont été publiés par la suite au Jour­nal offi­ciel », expliquent des conseillers dans l’entourage d’Emmanuel Macron et à Ber­cy (lire la boîte noire de cet article).

    Cette expli­ca­tion dif­fère de celle qui avait été pré­sen­tée par le minis­tère de l’économie devant les juges admi­nis­tra­tifs. Pour jus­ti­fier son refus, Ber­cy avait alors plai­dé que l’accord avec les socié­tés auto­rou­tières rele­vait du droit pri­vé : il avait été signé dans le cadre d’un « pro­to­cole tran­sac­tion­nel », les socié­tés conces­sion­naires renon­çant à enga­ger une action judi­ciaire contre l’État comme elles en avaient agi­té la menace. C’était l’application du secret des affaires avant la loi, en somme. 

    Mais le tri­bu­nal admi­nis­tra­tif de Paris, pour­tant très sou­cieux de la pro­tec­tion des inté­rêts de l’État, avait balayé cet argu­ment, dans son juge­ment : « Ces cir­cons­tances [le renon­ce­ment à toute action judi­ciaire – ndlr] ne sont pas de nature à ôter à ce contrat conclu entre l’État et des socié­tés délé­ga­taires d’une mis­sion de ser­vice public le carac­tère de docu­ment admi­nis­tra­tif au sens des dis­po­si­tions pré­ci­tées de la loi du 17 juillet 1978 ; dès lors, M. Avrillier est fon­dé à sou­te­nir, qu’en refu­sant de com­mu­ni­quer le docu­ment deman­dé, le ministre a mécon­nu les dis­po­si­tions pré­ci­tées de la loi du 17 juillet 1978 ; par suite, la déci­sion impli­cite por­tant rejet de la demande de com­mu­ni­ca­tion dudit docu­ment doit être annu­lée », avait-il tranché.

    D’où le chan­ge­ment de ligne de défense de Ber­cy. Le pro­to­cole annon­cé en fan­fare par le pre­mier ministre Manuel Valls le 9 avril, cen­sé ouvrir une nou­velle ère entre l’État et les socié­tés d’autoroutes, en éta­blis­sant des « rela­tions plus équi­li­brées » et un grand plan de tra­vaux, n’est plus désor­mais qu’un « docu­ment préparatoire » !

    Ce n’est qu’un épi­sode bru­meux de plus dans ce dos­sier très opaque, trai­té de près par Ber­cy. Alors que les dépu­tés socia­listes – au terme d’une com­mis­sion d’enquête par­le­men­taire créée à la suite du fias­co de l’écotaxe et de l’obscur contrat Eco­mouv – en étaient arri­vés à la conclu­sion qu’il fal­lait remettre à plat tous les contrats de conces­sions auto­rou­tières, quitte à « rena­tio­na­li­ser » de façon tem­po­raire s’il le fal­lait, le minis­tère de l’économie, sou­te­nu par Mati­gnon, avait rapi­de­ment repris les choses pour contrer ces ten­ta­tives « irréa­listes » voire « irres­pon­sables » des parlementaires. […]

    Lire la suite :
    https://​www​.media​part​.fr/​j​o​u​r​n​a​l​/​e​c​o​n​o​m​i​e​/​1​8​0​9​1​6​/​a​u​t​o​r​o​u​t​e​s​-​b​e​r​c​y​-​s​e​-​b​a​t​-​p​o​u​r​-​e​v​i​t​e​r​-​t​o​u​t​e​-​t​r​a​n​s​p​a​r​e​nce

    Source : Mediapart.

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